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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Caudron-Nicolle, 8 mars 1843
Réponse à une lettre de Caudron-Nicolle en date du 22 février 1843 : remise de valeurs par Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 14 août 1845
Godin confirme à son arrivée à Valenciennes la commande de 9 tonnes de fonte n° 2 des deux tas qu'il a désignés avant son départ. Godin regrette que son correspondant ne l'ait pas autorisé à envoyer un bateau à son établissement dès la fin du chômage et demande s'il peut en envoyer un pour enlever de la fonte n°1.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marcaille et fils aîné, 7 [septembre 1846]
Sur une commande de boules : Godin s'adresse à Marcaille et fils aîné sur la recommandation de Pillez frères [quincailliers] à Valenciennes ; il commande un échantillon de 500 boules de 40 mm ; il indique qu'on peut se renseigner sur sa solvabilité auprès de la maison Allez, quincaillier au 2, quai de la Mégisserie à Paris ; il précise que la livraison se fera à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Depret-Béghin, 12 septembre 1846
Réponse à une lettre de Depret-Béghin en date du 7 septembre 1846 sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin accepte l'offre qui lui est faite de recevoir une tonne de fonte à Guise ; Godin indique qu'il serait prêt à en recevoir deux ou trois tonnes si le transport ne coûtait pas davantage que 20 F la tonne, qu'il compare aux 12 F que lui coûte le transport de charbon à partir de Valenciennes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélémy Godin, 7 août 1847
Godin répond à son frère dès réception de sa lettre et l'informe qu'il a expédié des marchandises à Rivière, à Bladier et à Vaillant-Sansade, qu'il n'a pas de nouvelles de Nesle ni de Decroix, mais qu'il va expédier des marchandises à celui-ci et à Château-Thierry. Godin invite son frère à se montrer attentif aux capacités financières des marchands avec lesquels il fait affaire. Il l'informe qu'il va expédier des marchandises à Fannonel et lui demande si celui-ci n'est pas prêt à en commander une importante quantité pour avoir l'exclusivité de la vente au Havre. Il lui demande de lui préciser dans les commandes si les appareils doivent fonctionner au bois ou au charbon ; il lui demande de retirer un poêle en dépôt chez Pillez frères à Valenciennes. Il lui signale enfin qu'il donnera de ses nouvelles [à leurs parents] à Esquéhéries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélémy Godin, 14 août 1847
Godin envoie à son frère 50 F et lui communique le tarif approximatif des transports de marchandises à destination de plusieurs villes. Il l'informe que l'expertise [dans l'affaire de contrefaçon Degon] a eu lieu la veille, mais que le procès-verbal des experts n'est pas encore connu.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur L. Bernus, 29 décembre 1847
Godin rappelle à Bernus que ce dernier lui avait montré des produits de fonte émaillée de sa fabrication. Il lui explique qu'après avoir constaté que des établissements établis récemment à Charleville et à Valenciennes livraient au commerce des poteries en fonte émaillée, il voudrait appliquer ce procédé à sa production. Godin demande à Bernus quel serait le coût d'une première installation pour fabriquer 6 000 marmites émaillées de 10 à 15 litres, et si le procédé permet d'émailler en différentes couleurs, en noir en particulier. Godin annonce à Bernus qu'il pourrait se rendre à Charleroi pour prendre connaissance des procédés employés par Bernus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Manesse, 13 avril 1848
Godin indique à son cousin qu'il n'a pas retrouvé, pour y répondre, la lettre que celui-ci lui a écrite l'hiver dernier. Il l'avise que la saison est favorable pour le retour des marchandises qui lui restent, par le moyen d'un voiturier passant chaque semaine au Quesnoy en se rendant à Valenciennes. En raison de la rareté du numéraire, Godin demande à son cousin quelle somme il tient à sa disposition pour pouvoir en faire l'encaissement. Godin évoque l'enlèvement de marchandises chez son cousin par Culot.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pillez frères, 11 septembre [1849]
Godin rappelle à Pillez frères qu'il leur avait expédié en octobre 1842 quelques échantillons de ses produits, dont il leur est resté un poêle de 64 F invendu. Godin leur explique qu'il a depuis perfectionné et multiplié ses modèles ; il leur propose de renouveler l'essai de la vente de ses marchandises. Il leur demande de lui indiquer de quels modèles ils souhaiteraient obtenir des échantillons, d'après le tarif et les dessins qu'il leur a envoyés au cours de l'été dernier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il envoie à Valenciennes une caisse de 52 kg de verre pour qu'elle soit livrée à Bruxelles. Il l'informe qu'il vient d'écrire à Adan et cite sa lettre à ce dernier du 13 juin 1855 qui autorise Brullé à recevoir des sommes en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris. Godin souhaite envoyer à Bruxelles un modèle de cheminée avec sa série de châssis [pour la faire fabriquer à Forest], mais demande à Brullé de se concerter avec Van Elewyck pour connaître les droits d'entrée de ces objets en Belgique.

Auteur : Fonderies et manufactures Godin-Lemaire
Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire à Alexandre Brullé, 11 juillet 1856
Les Fonderies et manufactures annoncent à Brullé que les foyers au bois des poêles n° 8 n'ont pas été expédiés en raison de frais de transport élevés. Elles lui envoient le dessin du foyer pour qu'il le fasse réaliser à Forest. Elles lui signalent que la facture de transport des 6 poêles n° 8 compte un transport de Guise à Landrecies, soit 3,15 F, alors qu'ils ont été transportés jusqu'à Valenciennes, aussi lui demandent-elles d'ajouter 3,10 F à la facture. Elles signalent à Brullé que Godin est absent pendant quelques jours et qu'il répondra à son retour à sa dernière lettre.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 29 octobre 1856
Les Fonderies Godin-Lemaire avertissent Brullé qu'elles expédient une caisse contenant de l'émail blanc et du vernis par le messager à Valenciennes, et de là par le chemin de fer jusqu'à l'entrepôt de Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 août 1859
Godin regrette qu'Alexandre Brullé ne lui communique pas d'observations sur le placement des produits de l'usine de Laeken. Il lui annonce qu'il a demandé à monsieur Georges de se rendre en Belgique, dès qu'il arrivera à Valenciennes, dans 6 à 8 jours. Godin demande à Brullé d'adresser à Georges un itinéraire et propose de lui envoyer également monsieur Telliez, qui pourrait se charger de la vallée de la Sambre et passer à Charleroi, Namur et Liège. Godin demande à Brullé d'envoyer rapidement à Guise, où Telliez se trouvera dans quelques jours, des instructions sur la clientèle à visiter. Dans le post-scriptum, Godin explique à Brullé qu'il a demandé à monsieur Georges de poursuivre ses voyages mais qu'il ne compte pas l'employer l'année prochaine, avec l'espoir de trouver un voyageur plus habile.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 2 septembre 1859
Godin communique à Brullé la liste des ouvriers belges désirant faire remettre de l'argent de leur quinzaine à leur famille, pour un montant total de 52 F, dont il crédite l'usine de Laeken : Pierre Renard, Vanmalderen, Moerenhout, Vanmalder. Il indique à Brullé qu'il a demandé à monsieur Georges d'interrompre à Valenciennes sa tournée et de se diriger vers Bruxelles.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 septembre 1859
Godin accuse réception des albums et des renseignements envoyés par Brullé, qu'il confiera à Telliez dès son arrivée à Guise pour qu'il entreprenne son voyage. Godin indique à Brullé que monsieur Georges ne se trouve pas encore à Valenciennes et qu'ainsi il pourra recevoir les instructions de Brullé pour son voyage en Belgique. Il adresse à Brullé une note sur l'argent de la quinzaine des ouvriers Appelmans et Vanhaesendonck, d'un montant total de 32,35 F qu'ils pourront percevoir à Laeken. Godin rassure Brullé sur l'état de santé de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 26 septembre 1859
Godin invite Brullé à donner congé à monsieur Georges, « dussiez-vous ne pas faire de voyages cette année », et lui demande d'établir l'état de son compte. Godin énumère ses griefs à l'encontre de monsieur Georges : Georges n'a pas interrompu son voyage à Valenciennes pour se rendre en Belgique comme cela lui avait été demandé ; il a passé commande de marchandises pour certains marchands qui ne l'avaient pas attendu pour en faire la demande, dans l'espoir de toucher une commission et causant une double expédition de produits ; il a mal parlé de la maison qu'il représente et s'est montré impoli à l'égard de certains clients. « J'ai considéré dès les débuts ce M. Georges comme un homme peu consciencieux, mais ce n'est plus pour moi aujourd'hui qu'un malhonnête homme et un sot dont je vous prie de me débarrasser au plus vite. » Godin informe Brullé que monsieur Telliez est parti la nuit précédente à Thuin. Il demande à Brullé des nouvelles de l'épidémie à Laeken. Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin informe qu'il a commandé à de Dordolot frères pour l'usine de Laeken 75 tonnes de fonte ; de Dordolot frères prétendent que le transport par eau est difficile et que le chemin de fer serait plus approprié, mais Godin leur a fait valoir que la gare du Midi n'est pas proche de son usine, qui est desservie par la voie d'eau.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 décembre 1859
Sur une affaire de probable faillite de monsieur Damonville, débiteur à l'égard des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, à propos de laquelle Dolot est allé consulter Delabarre. Dolot communique à Godin le compte détaillé de monsieur Georges et attend ses instructions pour le créditer. Il signale à Godin que les commandes avaient repris avec le froid mais que le dégel a commencé. Dans le post-scriptum, Dolot demande à Godin de se prononcer sur un projet professionnel qui le concerne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Lebret, 5 mars 1861
Godin explique à Lebret que le décret du 26 juin 1857 a donné espoir à la ville de Guise que le chemin de fer passerait par la ville, mais que la Compagnie du chemin de fer du Nord mène une lutte acharnée contre le projet de tracé passant par Guise et la vallée de l'Oise qui offrirait un débouché aux charbonnages du département du Nord au détriment de ceux du bassin de Mons et donc aux intérêts particuliers de son actionnaire principal. Il indique que la Compagnie du chemin de fer du Nord veut obtenir la concession d'un tronçon vers Maubeuge, tandis que le prolongement de la ligne de Cambrai à Busigny par Guise et la vallée de l'Oise servirait plus utilement les charbonnages de la région de Valenciennes. Il adresse à Lebret deux exemplaires de la pétition et du mémoire adressés au ministre [de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Boittelle, 14 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer dans le Nord et l'Aisne. De retour de Paris, Godin explique à Boittelle qu'il est urgent que les représentants des intérêts houillers du Nord et du Pas-de-Calais se concertent pour adresser au gouvernement leurs griefs sur les prétentions de la Compagnie du chemin de fer du Nord. Il juge que les députés du Nord (« vos députés ») croient utile de soutenir le tracé de la Compagnie du Nord plutôt que celui par Guise dans l'espoir d'obtenir le prolongement jusqu'à Lille. Godin évoque ses rendez-vous manqués à Paris avec Boittelle, chez lui ou à l'hôtel de Godin, et il relate la séance de la veille du Conseil des ponts et chaussées ajournée du fait du député Godard-Desmarest. Godin incite Boittelle à mettre à profit ce délai pour faire ses observations au Conseil des ministres ou directement à l'Empereur : « L'Empereur s'est déjà occupé de la question et je pense qu'il est de la plus grande utilité de donner des armes au gouvernement pour lutter contre la puissance de Rothschild. Et les armes du gouvernement c'est la volonté des populations. » Godin pense que le gouvernement est favorable au tracé par Guise et que le soutien des houillères que Boittelle représente peut lui être utile pour s'opposer à la volonté de Rothschild. Il rappelle que le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord serait au seul bénéfice des charbonnages belges au détriment des intérêts locaux et des houillères françaises. Godin analyse le tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord et conclut qu'il serait préjudiciable à l'industrie houillère dans son ensemble.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 20 juin 1861
Sur le tracé du chemin de fer par Guise. Godin évoque un « mémorial » de Guise, dont les personnes qui défendent les intérêts de la vallée de l'Oise attendent des résultats. Il indique que Seydoux, contrairement à ce que croit Wallerand et ainsi qu'il l'a appris de la bouche de Seydoux dans une réunion, n'est pas favorable au tracé par Guise, et qu'il pense de son devoir, en tant que représentant du Nord, de soutenir le tracé par Hachette dans l'espoir de son prolongement vers Valenciennes et Lille. Le post-scriptum fait référence à une note envoyée par Godin à Boittelle.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 25 janvier 1862
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Cambier et Cie que le moyen le plus économique de transport de la fonte est le transport fluvial par la Sambre et le canal de la Sambre à l'Oise jusqu'à l'écluse n° 19 à Vadencourt ; il indique qu'il paie ordinairement 6 F la tonne de Charleroi et que le prix serait moindre si les bateaux étaient chargés à Thuin. Godin précise que le transport par le canal de Mons à Valenciennes, par l'Escaut, par le canal de Saint-Quentin et La Fère, par l'Oise puis par le canal de la Sambre à l'Oise est plus long mais que les frais de navigation sont beaucoup moins élevés. Godin ajoute que le transport par chemin de fer jusqu'à Erquelinnes et de là par bateau à 3 ou 4 F la tonne jusqu'à Vadencourt serait le plus rapide et le plus économique. Il demande à Cambier et Cie de préciser quelle quantité de fonte ils pourraient lui fournir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis-Joseph Wallerand, 28 avril 1862
Sur le tracé par Guise du chemin de fer. Wallerand a appris à Godin que la réunion du Conseil d'État n'avait pas été favorable au tracé du chemin de fer par la vallée de l'Oise. Godin demande à Wallerand si les houillères du Pas-de-Calais ne se satisferaient pas d'un tracé de Hachette à Valenciennes, bien que ce tracé de la Compagnie du chemin de fer du Nord doit favoriser la concurrence des charbonnages belges et assurer à la compagnie un monopole au détriment de la ligne belge par Mariembourg, ou si elles restent partisanes du tracé par la vallée de l'Oise. Dans ce dernier cas, explique Godin, même si le gouvernement accorde à la Compagnie du Nord un tracé par Avesnes, il resterait la possibilité d'honorer le décret sur une ligne reliant le chemin de fer d'Erquelinnes à Mézières à un point entre Busigny et Landrecies, et que la concurrence d'une autre compagnie pourrait inciter la Compagnie du Nord à réaliser celle-ci. Godin demande à Wallerand de lui faire savoir où vont les intérêts de sa contrée.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 14 juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise. Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a perdu son procès contre la ville de Guise en justice de paix ; il fait un récapitulatif de l'affaire, qui concerne le prix de l'octroi pour la chaux de Tournai classée comme de la chaux hydraulique et non comme de la chaux vive, des arguments qu'il a fait valoir et des motifs du juge de paix. Godin demande à Oudin-Leclère d'examiner s'il doit payer les frais ou porter l'affaire devant le tribunal de Vervins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 5 octobre 1873
Godin demande au préfet de l'Aisne si le dossier relatif à la concession de chemins de fer faite à la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et Nord central a été transmis au ministre. Godin estime que le retard mis à régulariser cette concession va être la source d'une difficulté pour l'implantation de la gare de Guise qui ne pourra être faite d'un commun accord entre la Compagnie du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin et la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes, alors que les travaux de la voie de Saint-Quentin à Guise vont bientôt arriver à Guise. Il demande au préfet si la commission désignée par le conseil général de l'Aisne peut aller voir le ministre des Travaux publics.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 décembre 1875
Godin renvoie son fils Émile à la lecture des journaux sur les questions politiques qui l'inquiètent. Sur une défaite possible de la droite à l'Assemblée le soir même. Sur un modèle fait par Alphonse Grebel autorisé par Godin et les rivalités qui paralysent l'action utile. Il lui annonce que Graillot, le nouveau comptable, ne pourra aller à l'usine qu'au début de janvier. Godin informe son fils que tous les députés du Nord et la commission semblent résolus à combattre le projet du gouvernement sur le chemin de fer de Valenciennes à Saint-Erme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Edmond Turquet, 21 mars 1876
Sur le chemin de fer de Valenciennes à Saint-Erme. Godin rappelle à Turquet que les députés du Nord se sont opposés aux prétentions de Caillaux sur la concession à la Compagnie du Nord de la ligne de Valenciennes au Cateau. Il lui explique qu'il s'est joint à la résistance des députés du Nord en déposant un amendement à la loi proposant l'adjonction à la concession de la partie du Cateau à Saint-Erme. Grâce à ces efforts communs, poursuit Godin, le ministre a renoncé momentanément à sa prétention de concéder à la Compagnie du chemin de fer du Nord un tronçon seulement de la ligne de Valenciennes à Saint-Erme. Sur les conseils généraux et monsieur Christophle.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Seydoux, 12 mai 1876
Godin explique à Seydoux que le conseil général de l'Aisne a maintenu la concession de la ligne du Cateau à Hirson et a émis le vœu que le gouvernement et les députés de l'Aisne intègrent la ligne dans le prochain projet de loi sur l'intérêt général des chemins de fer. Sur la ligne du Cateau à Saint-Erme et le message de Plichon [président du conseil général du Nord] à Waddington, président du conseil général de l'Aisne. Godin signale à l'attention de Seydoux de Saint-Vallier, sénateur, Turquet, député, et Waddington, intéressés au sort de la ligne du Cateau à Saint-Erme, que soutient Godin et dont il défend le caractère d'intérêt général. Sur une ligne de chemin de fer d'Amiens à Dijon concédée à la Compagnie du chemin de fer du Nord et à la Compagnie du chemin de fer de l'Est, et sur la ligne de Lille à Dijon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Levasseur un article qu'il voudrait voir publier dans le numéro du dimanche du Courrier de l'Aisne. Le manuscrit de l'article intitulé « Chemin de fer du Cateau à St Erme » est copié à la suite de la lettre sur les folios 25r à 30r : l'article soutient la réalisation de la ligne de chemin de fer qui permettrait de relier les ports de mer du Nord à Marseille en passant par Lille, Valenciennes, Le Cateau, Guise, Marle, Reims, Châlons, Chaumont, Dijon et Lyon ; Godin passe en revue les avantages de la nouvelle ligne pour les cantons de l'Aisne qu'elle traverserait, et pour le département de l'Aisne qui pourrait faire l'économie de frais d'entretien des routes ordinaires ; il appelle le gouvernement à donner la possibilité aux capitaux inactifs de s'employer dans une entreprise d'utilité publique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Juzeaud pour l'envoi de brochures et d'un volume. Il lui demande de lui envoyer le projet de loi déposé par le ministre le 11 août sur les chemins de fer rétrocédés à la Compagnie du Nord par la Compagnie de Lille-Valenciennes dans le département du Nord, qui comprend la ligne de Valenciennes au Cateau à laquelle Turquet et lui-même s'intéressent.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des renseignements sur Leroy fils, architecte, qui serait employé depuis 4 ans dans l'établissement de Seydoux. Il demande en outre à Seydoux des nouvelles des chemins de fer dans le Nord, si la ligne de Valenciennes au Cateau est comprise dans les concessions du conseil général, et si le département de l'Aisne a quelque chose à faire à ce sujet avant la réunion des chambres.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les concessions de chemins de fer du département de l'Aisne pour lesquelles le gouvernement a refusé le décret d'utilité publique. Godin explique que le département du Nord a obtenu un projet de loi pour la concession définitive du chemin de fer de Lens à Armentières et de Valenciennes au Cateau à la Compagnie du chemin de fer du Nord, mais que le gouvernement a refusé l'exécution par une compagnie locale du prolongement de la ligne du Cateau à Saint-Erme en passant par Wassigny, Guise, Sains, Marle et Sissonne sous prétexte qu'il s'agit d'une ligne d'intérêt général de premier ordre. Il ajoute que la ligne est passée sous silence dans le projet de loi actuel, que le conseil d'arrondissement de Laon souhaite que les députés de l'Aisne fassent que la ligne soit comprise dans le projet de concession à la Compagnie du Nord, et que le gouvernement a promis au Département du Nord qu'il obligerait la Compagnie du Nord à réaliser toutes leurs lignes d'intérêt local. Godin demande à Leroux ce qu'il fait à ce sujet auprès du gouvernement et en particulier auprès de Waddington, ministre, président du conseil général de l'Aisne et père de la loi de 1871.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Turquet ne l'ait pas tenu informé de la question du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme après son retour à Versailles et que Leroux n'ait pas répondu à la longue lettre qu'il lui a écrite à ce sujet, qu'il devait diffuser auprès de Turquet et des autres députés de l'Aisne. Godin a appris que la commission [de la Chambre des députés] réunie le 8 décembre pour examiner les projets de chemins de fer n'avait pas dit un mot de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin se demande pourquoi les intérêts de l'Aisne sont ainsi oubliés, bien que Waddington fasse partie de la commission. Godin suggère à Turquet de s'intéresser à la question car elle intéresse ses électeurs.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Maloigne qu'il va lui faire envoyer des outils de Valenciennes à la gare de Clamecy et il lui demande de les transporter à Sardy. Il l'informe qu'il lui règlera les frais de transport quand il ira à Corbigny.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Henri de Hulster qu'il est sans nouvelles du sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin avoue à Seydoux ne pas comprendre l'opposition du département du Nord au prolongement de la ligne de Valenciennes au Cateau jusqu'à Saint-Erme. Il explique que cette ligne mettrait directement en communication les bassins houillers du Nord avec les départements de la Marne et de l'Est, mais que la Ville de Reims promeut actuellement auprès du gouvernement une ligne allant de Reims à Hirson pour relier les chemins de fer allant à Mons et à Charleroi. Il lui envoie la carte de la pétition de la Ville de Reims au ministre des Travaux publics. Godin demande à Seydoux si le département du Nord préfère le tracé de Reims à Mons ou Charleroi au lieu d'un tracé de Reims à Valenciennes ; il fait valoir que la ville du Cateau aurait beaucoup à perdre avec le tracé de Reims.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson. Godin informe le ministre que les notabilités industrielles et commerciales de la vallée de l'Oise se sont réunies à Étréaupont puis à Guise pour lui adresser une pétition en faveur de la ligne de chemin de fer de Guise à Hirson dont la Compagnie du chemin de fer du Nord a obtenu la concession. Godin communique au ministre la pétition signée dans vingt communes du canton de Guise et l'avertit que de semblables pétitions lui seront adressées du canton d'Hirson et du canton de Vervins. Godin explique au ministre les bénéfices que l'industrie et le commerce tireraient de la ligne qui mettrait en communication les vingt communes comprises entre Guise et Hirson avec Paris au sud, avec Valenciennes et Lille au nord et avec Mézières, Sedan et Verdun à l'est. Il souligne que la ligne faciliterait le transport des fontes ouvrées avec les départements de l'est et l'Allemagne, les approvisionnements en charbon de Sarrebruck, le transport des fontes de Longwy ou des ardoises des Ardennes, ou des matériaux de construction et d'empierrement. Il ajoute qu'il y aurait intérêt pour la défense nationale de relier directement les forts d'Hirson avec la place de La Fère : « Or, la jonction du tronçon de Guise à Saint-Quentin permettrait cette communication, moyennant un court embranchement de Sery-les-Mézières à La Fère ou Tergnier. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le chemin de fer de la vallée de l'Oise. Soye a informé Godin que la ligne de la vallée de l'Oise a été classée dans le projet de loi. Godin annonce à Soye qu'il peut convoquer une réunion de la commission formée à Guise sur le sujet, mais que la question à traiter est davantage la ligne de Valenciennes à Laon, dont le projet déposé par Wilson ne dit rien des lieux desservis, que la ligne de la vallée de l'Oise : Valenciennes et Le Cateau sont nommés, mais pas Guise. Il demande à Soye d'en parler à Wilson.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il renonce à confier ses procès en contrefaçon à Eugène Pouillet en raison des conditions indélicates posées par Guillaume Ernest Cresson. Il regrette que le corps des avocats de Paris ne fasse pas respecter la discipline parmi eux et se dit prêt à se passer de leur concours. Il demande à Tisserant de reprendre son dossier si Pouillet ne fixe pas le montant de ses honoraires avant de plaider son affaire à Amiens. Il lui demande de lui télégraphier quand il arrivera à Valenciennes, où il le retrouvera à l'hôtel du Commerce.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Mathias que le chef de gare de Saint-Quentin l'avait consulté pour l'amélioration du transport des marchandises de l'usine du Familistère de Guise par la Compagnie du chemin de fer du Nord. Godin demande à Mathias un rendez-vous pour en parler avec lui et il sollicite aussi un rendez-vous avec l'ingénieur chargé des études des tracés. Il explique qu'il voudrait obtenir des renseignements sur le tracé définitif dans la ville de Guise de la ligne de Valenciennes à Laon pour pouvoir arrêter le plan des nouvelles constructions qu'il va édifier dans l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sénéchal a demandé le 13 octobre 1879 à Godin de provoquer une réunion sur le chemin de fer de la vallée de l'Oise. Godin lui répond qu'une réunion des maires pour leur demander une subvention pour la ligne n'aurait pas d'intérêt car ceux-ci devraient consulter les conseils municipaux. Il lui indique que la seule chose à faire est de demander au gouvernement la poursuite des études après que l'achèvement des études de la ligne principale de Valenciennes à Laon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Sadi Carnot qu'une pétition des habitants de Guise au sujet du tracé à travers Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon a été adressée au ministre des Travaux publics et que lui-même s'est rendu à Paris pour essayer sans succès de lui en parler. Le maintien d'un projet considéré à l'origine comme impossible tient selon Godin à deux cause : les intérêts de la compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise ; l'opposition du parti de la réaction. Il évoque les importants intérêts industriels qu'il a personnellement dans cette affaire, et il demande rendez-vous à Sadi Carnot.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Ganault de lui rendre le service d'aller à la préfecture voir s'il est possible de consulter les plans de l'ancienne concession du chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Il l'avertit qu'il a des communications intéressantes à lui faire au sujet du tracé de la voie de Valenciennes à Laon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin approuve l'idée de Ganault de rédiger un article sur le chemin de fer de Valenciennes à Laon. Il lui suggère de s'occuper particulièrement du tronçon de Wassigny à Guise. Il lui signale qu'il a appris que les habitants de Wassigny sont enragés contre lui : on pense qu'il veut faire passer le chemin de fer par Étreux plutôt que par Wassigny, alors que l'idée est de Menche de Loisne. Il ajoute qu'on répand de fausses informations pour exciter la population de Wassigny contre celle d'Étreux et celle de Mennevret contre celle de Tupigny. Il propose d'habituer ces populations à croire à l'excellence du tracé par Hannapes. Godin envoie à ce sujet une série de notes à Ganault. Il propose que son article s'intitule « Chemin de fer du Cateau à Laon. Lettre d'Hannapes ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au ministre des Travaux publics une audience pour l'entretenir du chemin de fer de Wassigny à Guise sur la ligne de Valenciennes à Laon. Il l'avertit qu'il viendra avec Gaston Ganault, conseiller général de l'Aisne et ancien député comme lui. Il lui indique qu'il joint à son courrier une brochure montrant que les études d'avant-projet de l'ingénieur en chef des ponts et chaussées compromettent les intérêts de l'État, des communes, de l'industrie et du trafic général. Il lui annonce qu'il lui remettra des plans et des profils rectificatifs de cet avant-projet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin s'adresse au ministre en qualité de conseiller général de l'Aisne au sujet du tronçon de Guise à Wassigny de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Il joint à sa lettre une lettre de lui et de Delorme, maire de Guise, au Conseil général des ponts et chaussées. Godin conteste l'avant-projet de l'ingénieur Menche de Loisne, et soutient le contre-projet qui comprend la réalisation par l'État de 1 700 m de raccordement de la ligne d'intérêt local au chemin de fer de l'État.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin annonce à Boysset qu'il se rendra le lendemain à Paris pour s'entretenir avec Sarrien, député de Saône-et-Loire et rapporteur de la question du chemin de fer de Valenciennes à Laon passant par Guise pour la commission des chemins de fer de la Chambre des députés. Il indique à Boysset que le projet de tracé va à l'encontre de l'intérêt général. Il demande son aide auprès de Sarrien qu'il ne connaît pas et l'informe qu'il se trouvera au Grand hôtel de la place du Palais-Royal en espérant qu'il lui fixera un rendez-vous.

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