FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. Ancelet, 24 février 1870
Sur les décors du théâtre du Familistère en construction : Godin interroge son correspondant sur le coût et le délai de réalisation des décors indispensables.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Barré, 24 février 1870
Sur les décors du théâtre du Familistère : Godin accuse réception d'un devis de Barré et des « esquisses de rideau et de forêt » ; il interroge son correspondant sur la réalisation et le coût des décors (exécution in situ ou non, prix de la peinture comprenant ou non le marouflage, prix variable ou non selon les sujets traités).

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Fernando Garrido y Tortosa, 6 novembre 1867
Godin envoie à Garrido une vue générale du Familistère composée à partir de deux photographies, sur laquelle il a ajouté le croquis du théâtre et des écoles, encore à édifier. Godin décrit les futures constructions et signale que la crèche n'apparaît pas sur la vue. Il demande à Garrido de lui communiquer une épreuve de la gravure qu'il fera faire à partir de ces documents.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 28 mai 1869
Godin prend des nouvelles de Pagliardini. Il espère sa visite et lui fait part de la construction du théâtre et des écoles du Familistère. Il l'informe qu'Émile Godin va se rendre à nouveau en Angleterre pour placer 700 à 800 000 F dans une banque à Londres, et lui demande conseil à ce sujet. Godin explique à Pagliardini qu'il est contraint de « faire le rentier » pour ne pas laisser voir dans sa comptabilité d'importants capitaux disponibles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à la Société du Familistère Dequenne et Cie, 30 août 1893
Invitation à la fête de l'Enfance de septembre : l'invitation reçue de la part de l'économat indique qu'une place sera réservée sur la scène du théâtre à Marie Moret, alors qu'elle occupe habituellement en cette circonstance avec sa famille la loge de Jean-Baptiste André Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léopold Rollot, 18 juin 1869
Godin explique à Rollot qu'il ne comprend pas pourquoi celui-ci lui intente un procès car faute d'autorisation acceptable, ses ouvriers se sont abstenus de faire jouer toute romance et chansonnette dans leurs représentations privées, conformément à la sommation qui lui avait été faite. Godin se demande quel intérêt la société de Rollot peut-elle trouver à faire un procès. Il semble que des vaudevilles ont été joués sans la musique d'accompagnement. Godin lui explique qu'il fait construire une salle de théâtre où se produiront des acteurs du dehors qui donneront des représentations publiques et que les droits des compositeurs des romances et chansonnettes des vaudevilles seront alors payés à la société de Rollot. Godin suggère à Rollot de ne pas davantage s'engager dans un procès injuste inspiré par des haines et des jalousies. Il exprime son souhait de s'entendre avec sa société comme il s'entend avec la société des auteurs dramatiques, malgré la brouille instillée par son agent de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Ancelet, 21 janvier 1866
Godin explique à Émile Ancelet que les travaux de construction du théâtre du Familistère sont retardés par la saison d'hiver mais aussi par l'absence de charpentiers ou d'ouvriers connaissant le travail de construction d'une scène. Il demande à Ancelet s'il lui est possible de faire faire le travail à des conditions raisonnables en lui précisant que le théâtre de Saint-Quentin est au-dessus de ses prétentions et de ses moyens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Daillez, 14 février 1870
Godin accepte les conditions faites par Daillez pour diriger la construction de la scène du théâtre du Familistère.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 8 janvier 1873
Sur monsieur Lamy-Vassal et sur le dépôt d'un brevet ; sur le brevet d'une chaîne à maillons graisseurs. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur l'expertise de la valeur des usines Godin-Lemaire et du Familistère. À propos de l'estimation du Familistère, Godin fait remarquer que les maçonneries du Familistère nouveau ont été mieux faites que celles du premier et la construction plus soignée ; il demande à Grebel de remettre le devis des écoles et du théâtre ainsi que celui de la nourricerie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 15 août 1895
Réponse à la lettre de Marie Dossogne du 13 août 1895. Souhaite bonne fête de Marie à sa correspondante. Projet de visite de Marie Dossogne au Familistère. Sur la fille de Marie Dossogne, que madame Edmond a présentée il y a peu à la famille Moret-Dallet et que Marie a vue à nouveau au théâtre du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 31 janvier 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À propos de l'évaluation du matériel du Familistère : Godin juge que l'évaluation de Lesne est correcte dans l'ensemble, mais il observe qu'il ne faut pas considérer le matériel du théâtre comme du mobilier et qu'il aurait fallu le faire entrer dans l'estimation du théâtre lui-même, et il juge que le matériel des magasins d'étoffes et d'épicerie ou celui des bains est sous-estimé. À propos de l'estimation du matériel de l'usine : Godin fait des recommandations sur l'analyse comptable et il demande à Lesne de se concerter avec Grebel pour remettre aux experts un état complémentaire de la valeur du matériel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux candidats à l'emploi d'économe du Familistère, 6 mars 1873
Godin propose aux candidats à l'emploi d'économe un concours sur le plan de comptabilité et de contrôle des services du Familistère. Godin énumère les services : l'entretien des parties publiques du palais d'habitation, crèche, écoles, magasins, casino, estaminet, théâtre, buanderie, cuisine alimentaire.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 mai 1874
Godin a reçu une lettre d'Alphonse Grebel l'informant que Duchateau et Rouchy ont été invités à supprimer leurs conduites de gaz : Godin estime que Duchateau est sous la pression de Maillet [maire de Guise] et il s'oppose à la suppression des conduites qu'il a passées à sa demande ; Godin exige que rien ne soit écrit à ce sujet et que l'on en parle le moins possible. Grebel a appris à Godin que la municipalité interdit tout bal public : il recommande de ne pas se mettre en contravention sous ce rapport, mais incite son fils Émile à continuer à organiser un bal de société dans le foyer du théâtre en veillant à ne laisser entrer que les personnes invitées ; « C'est un devoir pour nous de faire respecter nos libertés publiques, mais nous devons d'un autre côté ne pas donner à nos adversaires la satisfaction de nous mettre en défaut. » Godin demande à Émile de lui écrire si Maillet n'a pas répondu à l'offre qu'il a faite au bureau de bienfaisance. Il l'informe que Quaintenne lui a écrit qu'il allait partir du Familistère et se demande s'il faut encore employer ses services à l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre de la Justice, vers le 13 mai 1875
Sur l'affaire des affiches de théâtre placardées à Guise. Godin estime être victime d'une persécution politique. Il expose l'affaire au ministre : des représentations légalement déclarées ont lieu au théâtre du Familistère depuis plusieurs années au bénéfice du bureau de bienfaisance de la ville qui en retire 700 à 1 000 F chaque année ; le 9 avril dernier la municipalité fait interdire sans s'appuyer sur aucun arrêté l'affichage dans la ville du prochain spectacle et Godin se résout à n'afficher que dans sa propriété et dans les hôtels de la ville ; la représentation eut lieu le dimanche suivant après l'accord entre le maire de Guise et le directeur de la troupe d'acteurs ; mais Godin découvre en rentrant d'un voyage de trois semaines que son fils et trois de ses employés sont cités à comparaître en police correctionnelle pour délit d'affichage suivant la loi du 10 décembre 1830 qui, d'après Godin, ne concerne que les écrits politiques ; le procureur de la République n'a pas voulu accorder la remise demandée. Godin signale au ministre qu'il est l'objet de multiples tracasseries depuis que le « Ministère du 24 mai » a révoqué les maires républicains. Godin informe le ministre que le tribunal a innocenté les quatre prévenus et a condamné le ministère public aux frais et dépenses. Dans le post-scriptum, Godin indique que les arrêtés pris par le maire de Guise depuis le procès figurent au dossier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 14 juillet 1875
Godin envoie à Grebel la copie du jugement dans l'affaire [de colportage] des brochures. Il souhaite que la recette brute de la représentation [théâtrale] du 18 juillet soit versée au profit des inondés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin offre à Maze l'hospitalité pour voir le Familistère et lui recommande de venir un jour de la semaine. Il accuse réception des rapports envoyés par Maze, dont il est question dans les numéros du journal Le Devoir des 14 et 21 janvier 1883. Il suggère à ce propos à Maze de faire une conférence au théâtre du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Un différend a eu lieu le samedi précédent entre le commissaire de police et un ouvrier bègue du Famiistère que le commissaire a supposé en état d'ivresse. Godin demande au commissaire de ne pas poursuivre l'ouvrier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bajer du 21 juin 1886. Il lui envoie la brochure Associated homes, qui contient une esquisse de sa biographie et qui emprunte à Solutions sociales. Il lui envoie également ce dernier ouvrage ainsi que le numéro du Panthéon de l'industrie, qui contient aussi une notice biographique. Il lui indique qu'il ne faut pas l'identifier à un Jules Godin habitant Versailles et qu'Harald Westergaard est venu visiter le Familistère en mai 1879, avant la constitution légale de l'association du Familistère le 13 août 1880. Il lui demande l'adresse de Westergaard pour lui adresser l'étude sociale Le Familistère, qui présente l'état actuel de l'association. Sur le restaurant du Familistère : il a été fermé car il n'était pas fréquenté par la population, ce qui prouve « que la vie dans un palais unitaire ne modifie pas les mœurs et les habitudes de la famille autant que des critiques opposées le prétendent ». Sur le théâtre du Familistère : il sert chaque hiver ; il accueille les troupes qui exploitent la région. Il l'invite à venir au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Haret pour l'envoi de son catalogue des produits ignifugeants. Il lui explique qu'il veut revêtir d'un tel produit les boiseries et les décors d'un théâtre pouvant contenir 1 000 personnes. Il lui envoie un mandat postal de 10 F pour recevoir cinq litres de l'enduit ininflammable n° 4 afin de faire un essai.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur la disparition de l'appareil photographique de Marie-Jeanne Dallet : Marie Moret remercie Buridant pour les renseignements sur l'enquête judiciaire mêlant les compagnies des chemins de fer du Nord et Paris-Lyon-Méditerranée. Plusieurs points sur la gestion du journal Le Devoir : exemplaires reçus, étiquettes, envoi des brochures à monsieur Garaste, deux numéros remis à Dequenne. Pose plusieurs questions au sujet des prochains occupants du logement vacant de Dequenne [au Familistère], le nouveau titulaire de la direction des modèles, les activités du théâtre. En post-scriptum, modification de l'adresse de madame Bouscharain au 2, rue Saint-Mathieu à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Antoine Médéric Cros pour sa lettre du 3 octobre 1901 et les extraits de textes qu'elle comprenait. Elle lui donne les nouvelles d'Auguste Fabre que lui a communiquées Jules Prudhommeaux, qui se trouve à Nîmes : il est fort occupé car il doit préparer le logement du futur ménage et courir après les maçons. Sur le rapport de Jules Prudhommeaux au congrès de Glasgow : le rapport a été accepté mais peu apprécié par les vieilles dames et les vieux messieurs imbus d'idées religieuses. Elle lui indique que « des tambours et trompettes me rompent la tête et m'enlèvent tout recueillement » à cause d'un concours d'archers se terminant par une fête au théâtre du Familistère. Elle l'informe qu'Auguste Fabre a apprécié son travail, et qu'aux vacances de Pâques, époque à laquelle Antoine Médéric et Juliette Cros viennent à Nîmes, elle en sera à la révision finale de son travail pour l'impression des pages sur Lord Kelvin. Elle remercie à nouveau Antoine Médéric Cros pour le colis des diverses variétés de raisin.
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