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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (3) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 17 décembre 1851
Godin informe Émile qu'il enverra prochainement les modèles d'écriture faits par Bouleau, qu'il transmettra ses compliments à toute la famille à Esquéhéries et ses remerciements à la grand-mère Lemaire. Il lui fait part des compliments de son oncle Lefèvre, venu à Guise en l'absence de Godin alors en déplacement à Paris, et de sa tante Pommerose. Il lui donne des nouvelles du chien et des chats de la maison, et lui exprime sa satisfaction de le voir faire des progrès.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esher Lemaire à Émile Godin, 18 février 1854
Esther Lemaire constate avec chagrin qu'Émile semble, d'après sa lettre du 10 février 1854, perdre courage. Elle lui écrit qu'elle préfère ne rien dire plutôt que de lui adresser des reproches et regrette que les conseils de Godin à son fils n'aient servi à rien. Elle l'informe que Godin se rendra à Paris avec les premiers beaux jours.

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Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 16 octobre 1854
Esther Lemaire explique à Émile qu'elle répond avec retard à sa lettre du 6 octobre 1854 car elle voulait attendre le retour de Godin, revenu de Paris un peu malade mardi soir, et qu'elle devait mettre au courant une nouvelle domestique [Fanie]. Elle lui donne des nouvelles de ses cochons d'Inde et de la chienne Debertrude. Elle lui indique qu'elle n'a pas de nouvelles d'Élise depuis qu'elle a quitté la maison, et que Fanie n'est pas mariée. Elle lui annonce qu'elle a retrouvé la cravate et le bas de son uniforme du collège Chaptal, que Godin lui ramènera à Paris. Elle l'encourage à bien travailler au collège.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 25 octobre 1854
Esther Lemaire annonce à Émile qu'elle a retrouvé son jeu de patience et qu'elle vient de recevoir une petite caisse « dans laquelle je t'ai vu avec ton papa » et qu'elle en a été agréablement surprise. Elle l'informe que Godin est parti à Bruxelles dimanche, qu'il lui communiquera à son retour les dimensions de la machine qu'il avait demandées, et que sa marraine est venue passer quelques jours à Guise. Elle transmet à Émile les compliments de sa marraine et ceux de la grand-mère Lemaire.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881) ; Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Esther Lemaire et Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 février 1855
Esther Lemaire explique à Émile qu'elle ne lui a pas répondu plus tôt car elle se trouvait auprès de sa mère, malade et qui se remet maintenant. Elle lui annonce qu'elle est heureuse de donner à manger à sa tirelire et qu'elle aimerait pouvoir le faire une fois par semaine. Elle lui indique qu'elle n'a pas apporter ses cochons d'Inde chez madame Béranger car cette dernière n'a plus de lapins pour leur tenir chaud. Sous la signature d'Esther Lemaire, Godin a ajouté un texte pour annoncer à Émile qu'ils s'entretiendront pendant les vacances de Pâques à Guise des hautes températures du fer.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 24 avril 1855
Esther Lemaire remercie Émile pour sa lettre et la chanson qu'elle va apprendre pour la lui chanter. Elle lui recommande de continuer à bien écrire et de prendre soin de sa santé. Elle lui donne des nouvelles de ses cochons d'Inde et de la chienne Debertrude qu'elle frictionne. Elle joint 10 timbres postaux à sa lettre. Elle lui fait part de son regret de ne pas avoir été avec lui dimanche dernier ; elle l'informe qu'elle écrit à Godin et demande à Émile de l'embrasser pour elle.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 7 mai 1855
Esther Lemaire annonce à Émile que Godin est parti aujourd'hui à Bruxelles et qu'il reviendra vers la fin de la semaine. Elle lui donne des nouvelles des animaux domestiques de la maison : les chiots se portent bien et elle a donné le blanc à Clovis ; la chienne Debertrude est encore boiteuse ; le chat est guéri, mais boiteux ; la mère des cochons d'Inde n'a pas encore fait ses petits. Elle lui présente les compliments de Fanie. Esther Lemaire demande à Émile d'écrire à sa grand-mère Lemaire et elle lui envoie des enveloppes.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 14 mai 1855
Esther Lemaire informe Émile que Godin reste encore quelques jours à Bruxelles et qu'il va mieux après avoir été indisposé. Elle l'informe également qu'elle est allée voir la grand-mère Lemaire et sa marraine qui sont heureuses d'avoir reçu une lettre de lui. Elle lui donne des nouvelles des cochons d'Inde et des chiots qu'elle a donnés, l'un à Clovis et l'autre à l'émailleur Hutin car Beaudot n'en voulait plus pour ne pas avoir à acquitter l'impôt sur les chiens qu'il faudra payer l'année prochaine. Elle lui envoie des enveloppes. Dans le post-scriptum, elle demande à Émile s'il a besoin de quelque chose qu'elle pourrait confier à madame Moreau qui doit venir à Esquéhéries.

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Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 24 octobre 1855
Esther Lemaire avertit Émile que Godin est parti le matin à Paris, qu'il pourra le retrouver rue de Beaune car il ne descend plus à l'hôtel Voltaire. Elle l'informe que Godin a un paquet pour lui contenant des vêtements. Elle l'encourage à bien étudier. Elle lui indique qu'elle n'a pas eu le temps de lire car Fanie était malade et qu'elle a dû faire le travail à sa place. Elle l'informe que le petit Wateau l'a vu à Paris et lui demande d'embrasser Godin. Elle ajoute qu'elle n'a pas retrouvé son couteau et qu'il doit en acheter un nouveau.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 12 novembre 1855
Esther Lemaire demande à Émile de lui envoyer les chansons qu'il évoquait dans sa lettre du 3 novembre 1855. Elle l'informe que Godin est à Bruxelles depuis jeudi et qu'elle ira à Esquéhéries voir la grand-mère Lemaire qu'au retour de celui-ci. Elle transmet ses compliments à Léonce Wateau, dont elle a vu le père à Guise. Elle lui donne des nouvelles de ses animaux, en particulier de son lièvre. Elle le félicite pour ses bons résultats scolaires. Elle évoque le mur d'Émile et des semailles de luzerne. Elle lui indique qu'elle n'a pas eu le temps de lire son feuilleton depuis que Fanie est guérie car elle a reçu des parents du Fayt et de Frasnoy. Elle l'informe que la fille du cousin Gosse est en pension à Guise.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, vers le 24 janvier 1856
Esther Lemaire avertit qu'elle n'a pas eu le temps de lui écrire des histoires car Godin est toujours malade ; elle précise qu'elle n'est allée voir la grand-mère Lemaire qu'une seule fois depuis le retour d'Émile au collège. Elle lui demande d'aller voir au Jardin des plantes « deux animaux du genre cheval », inconnus en France, donnés par le roi d'Égypte à l'impératrice, dont celle-ci a fait don au Muséum d'histoire naturelle. Elle l'informe que Wateau est venu la voir et lui a dit qu'il avait trouvé Émile très grand et très fort. Esther Lemaire demande à Émile si c'est madame Marchal qui soigne ses blessures.

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Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 13 mars 1856
Esther Lemaire adresse à Émile une lettre à remettre à Goubaux pour qu'il lui donne les 30 F. Elle donne à Émile les instructions et les horaires de train pour son voyage de Paris à Guise. Elle lui interdit de prendre le train de nuit et lui demande de prendre un billet de 1re classe. Elle souhaite qu'en arrivant à la gare du Nord, il réserve une place de Saint-Quentin à Guise auprès du bureau des messageries impériales. Elle lui signale qu'il fait un peu froid.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 11 avril 1856
Esther Lemaire envoie à Émile du sel de soude pour guérir ses poireaux [verrues]. Elle souhaite que son mal de dents soit guéri. Elle l'informe que messieurs Bureau et Guillon sont venus les voir et qu'ils sont repartis vendredi à midi ; elle a appris qu'Émile avait passé la soirée de dimanche chez Guillon. Elle l'informe que Godin se rétablit peu à peu avec l'arrivée d'un temps doux. Elle souhaite qu'Émile poursuive ses efforts dans ses études et qu'il passe de la 35e place à l'une des premières. Dans le post-scriptum elle l'informe qu'elle revient de l'enterrement de Constant Hamel, dit le singe, mort la veille au soir.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 29 avril 1856
Esther Lemaire informe Émile que Godin part le soir à Paris et qu'il pourra aller le voir jeudi à l'hôtel Voltaire ou lui demander de venir le chercher au collège Chaptal. Elle l'informe que sa marraine est venue hier et qu'elle et la grand-mère Lemaire se portent bien ; elle lui annonce qu'elle va semer sa luzerne et que Godin laisse pousser sa barbe. Elle note que les jardins de leur propriété à Guise ne sont pas encore beaux et qu'il fait encore trop froid pour que les graines poussent convenablement. Elle le félicite d'avoir gagné d'un coup 15 places dans le classement de sa classe. Elle lui signale qu'elle va semer des soleils comme l'année précédente et qu'elle a acheté à Clovis Doudon (?) une chèvre et son petit qu'Émile soignera pendant les vacances. Elle l'avertit enfin que son père lui apportera du chocolat, du pain d'épice et du sel de soude. Dans le post-scriptum, elle demande à Émile s'il a besoin de papier à lettres, d'enveloppes ou de timbres, et lui demande de présenter ses compliments à Wateau.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 8 mai 1856
Esther Lemaire explique à Émile qu'elle et Godin renoncent à leur projet de lui rendre visite à la Pentecôte car Godin est encore souffrant et qu'il fait un temps exécrable. Elle observe qu'elle n'a pas reçu les derniers bulletins scolaires d'Émile. Elle lui envoie du sel de chaux et lui signale que son père est arrivé à Guise samedi soir.

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Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 16 mai 1856
Esther Lemaire regrette de ne pas être allée avec Godin à Paris pour les fêtes de la Pentecôte, d'autant qu'Émile lui apprend qu'il a une semaine de vacances. Elle lui donne des nouvelles de la chèvre, du chevreau et des cochons d'Inde, de sa grand-mère Lemaire et de sa marraine. Elle lui apprend que son père est toujours souffrant de la poitrine. Elle le félicite pour son bulletin scolaire, meilleur que l'avant-dernier. « Le cousin Moret de Brie-Comte-Robert que nous avons vu à l'Exposition ensemble est venu rester à Guise. Il est arrivé il y a eu lundi 8 jours avec sa femme et ses deux filles. Son fils, que tu as vu, viendra dans quelques mois. »

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 19 mai 1856
Esther Lemaire demande à Émile de prendre soin de ses dents. Elle joint à sa lettre des enveloppes et des timbres mais pas de sel de chaux pour soigner ses poireaux. Elle le prie de transmettre ses compliments à Léonie, dont le père est venu la voir. Elle lui donne des nouvelles des cochons d'Inde, de la chèvre et du chevreau.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 26 mai [1856]
Esther Lemaire félicite son fils après réception de son bulletin scolaire. Elle l'informe que des cochons d'Inde sont nés et que son père ira à Paris bientôt.

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Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 5 juin 1856
Esther Lemaire apprend que Godin et Émile ont passé la nuit de samedi à dimanche et le dimanche ensemble. Elle le félicite pour les progrès que mentionne son dernier bulletin scolaire. Elle lui signale que la Saint-Médard aura lieu dans 15 jours et le baptême du prince le 14 juin et non le 9 comme l'a écrit Émile. Elle lui apprend que Godin est à Paris jusque jeudi et qu'il l'emmènera à l'exposition agricole. Elle lui raconte que plusieurs animaux africains curieux sont arrivés au Jardin des plantes, envoyés par Delaporte, consul au Caire : deux fennecs, un guépard, un jaguar, un tigre royal et des oiseaux de proie, qu'elle regrette qu'Émile et Godin n'aient pas été voir dimanche. Elle lui écrit de demander à son père des enveloppes et des timbres postaux.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 24 juin 1856
Esther Lemaire indique à Émile qu'elle a bien reçu ses deux dernières lettres, qu'elle n'a pu lui répondre plus tôt car elle a reconduit la grand-mère Lemaire chez elle, et que sa marraine et grand-mère Lemaire ont été heureuses de lire ses lettres. Elle lui annonce que Godin est parti en voyage depuis vendredi pour aller acheter de la fonte, et qu'elle ne sait pas encore quand ils iront le voir. Esther Lemaire a lu dans la presse qu'on avait distribué des médailles à tous les collégiens et demande si Émile en a obtenu une. Elle lui donne des nouvelles du chevreau qu'elle avait attaché au pommier près de la petite maison d'Émile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 octobre 1851
Godin remercie son fils pour la lettre que celui-ci a écrite. Il promet de parler de lui à ses grands-parents à Esquéhéries, lui donne des nouvelles de la santé de son chiot et de deux chatons soignés par Élise. Il demande à Émile d'écrire souvent, et il espère qu'il se plaît à Bellevue.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 octobre 1851
Godin annonce à Émile qu'il a lu sa lettre à son retour d'Esquéhéries, le dimanche précédent, et que la famille se porte bien. Godin félicite Émile d'être dans de bonnes dispositions pour ses études. Il donne des nouvelles de la santé du chiot d'Émile. Godin recommande à son fils de ne pas seulement s'occuper de dessin linéaire, mais de se consacrer aussi à l'étude du français et de l'arithmétique. Il lui demande d'écrire ses lettres sans se faire aider et sans craindre de reproches sur son orthographe, de manière à pouvoir apprécier ses progrès en français. Godin espère que la vie à Bellevue avec ses camarades sera bénéfique pour Émile. Dans le post-scriptum, il demande à Émile d'informer Régnier que ses souliers ont été commandés et de voir avec Moreau, bottier au 23 ou 27 rue Laffitte à Paris, si ce qu'il a commandé convient ou non.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 novembre 1851
Godin reproche à Émile de ne pas avoir écrit depuis longtemps et lui demande de le faire tous les quinze jours. Il lui transmet les compliments de la grand-mère Lemaire, de l'oncle d'Émile et d'Élise. Il lui donne des nouvelles de son chien et des deux chats de la maison. Il l'informe que le nombre d'ouvriers occupés à Guise n'a pas changé depuis qu'il est parti. Il lui demande d'écrire sa prochaine lettre avec une seule conjonction de coordination à l'exemple de la lettre que lui écrit Godin. Dans le post-scriptum, il transmet ses compliments à Régnier et enjoint Émile à rappeler à celui-ci qu'il doit lui procurer tout ce qui lui est nécessaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 janvier [185]2
Godin informe Émile qu'il est allé récupérer lui-même à Bellevue à Meudon le parapluie qu'il avait oublié après l'avoir vu ; il fait remarquer à Émile qu'il aurait renvoyé le parapluie à la mauvaise adresse, rue Saint-Honoré au lieu de rue d'Orléans-Saint-Honoré. Il attire l'attention d'Émile sur l'orthographie de Régnier avec un « i ». Godin propose à Émile, qui ne sait pas quoi écrire à ses parents, de lui donner désormais un sujet pour sa réponse. Il l'interroge cette fois sur les pronoms. Il lui annonce que son grand-père est à Guise, que ce dernier est content de recevoir des lettres d'Émile, et que sa mère ira dimanche à Esquéhéries voir la grand-mère Lemaire qui est malade.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 6 février 1852
Godin annonce à Émile que Régnier lui a indiqué qu'il faisait des progrès en orthographe, ce dont il le félicite. Il demande à Émile de répondre plus complètement aux questions qu'il lui a posées sur les pronoms. Il l'informe que la grand-mère Lemaire est toujours malade et que sa mère est allée la voir à Esquéhéries le dimanche précédent. Il transmet ses compliments à monsieur et madame Régnier, dit à Émile qu'il trouve bien qu'il étudie la géographie et lui exprime les sentiments de sa mère, de son oncle et d'Élise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 février 1852
Godin rappelle à Émile qu'il a promis d'envoyer ses lettres sans les faire corriger ; il lui demande aussi de ne pas se les faire dicter. Il lui fait des remarques sur son usage des pronoms personnels de la 3e personne : Émile emploie lui ou leurs à la place de leur dans ses lettres. Godin prie Émile de demander à Régnier s'il pourra visiter à son prochain voyage la manufacture royale de porcelaine de Sèvres, qu'il désire vivement voir. Il informe Émile que sa grand-mère Lemaire est toujours malade.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 mai 1852
Godin explique à Émile qu'il a tardé à lui répondre car il était à Bruxelles « où je fais travailler maintenant ». Il lui annonce qu'il lui apportera bientôt Les voyages de Gulliver et le félicite pour l'écriture de sa dernière lettre. « M. Régnier pense que tu ne feras jamais une écriture gracieuse. Je crois que si tu voulais t'en donner la peine, tu arriverais assez vite à lui faire croire le contraire. » Il lui recommande de tirer des lignes au crayon sur le papier de sa prochaine lettre pour obtenir une écriture plus régulière en faisant appel à son goût du dessin. Il félicite Émile pour ses progrès et l'encourage à bien travailler. Il transmet ses amitiés à monsieur et madame Régnier et promet d'aller voir Émile après réception de sa prochaine lettre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 juin 1852
Godin répond avec retard à Émile, qui exposait un problème d'arithmétique, en comparant le résultat de son calcul avec celui de son fils. Il félicite Émile pour ses progrès, lui annonce que la grand-mère Lemaire passe huit jours à Guise, et transmet ses compliments à monsieur et madame Régnier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 juillet 1852
Godin félicite Émile pour ses progrès en orthographe, déclare qu'il est satisfait de constater ses aptitudes pour le calcul et le dessin, et souhaiterait qu'il apprenne l'anglais et l'allemand. Régnier juge qu'Émile manque de logique ; aussi Godin lui fait-il une petite leçon de logique sur le sens de la formule qu'il emploie dans ses lettres « Votre très cher fils bien aimé » au lieu de « votre fils qui vous chérit et qui vous aime ». Godin conclut [avec malice, mais aussi avec une faute d'orthographe] : « Ton père qui te chéris et qui t'aimes (sic) ». Il transmet les compliments de ma mère d'Émile, d'Élise et de son oncle et adresse les siens à monsieur et madame Régnier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 octobre 1852
Godin demande des nouvelles de la santé d'Émile et transmet ses compliments à madame Bureau. Il donne des nouvelles de monsieur Bouleau et d'Élise. Il adresse à Émile, à la demande de ce dernier, le relevé des fautes d'orthographe commises dans sa dernière lettre, et le félicite pour ses progrès. Il lui demande de lire attentivement ses lettres pour répondre à chacune des questions qu'il lui pose.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 novembre 1852
Godin annonce à Émile que faute de pouvoir se rendre à Bellevue, il va lui envoyer par le chemin de fer un paquet contenant compas, plumes et autres objets demandés par lui. Il le félicite pour l'orthographe de sa dernière lettre, presque sans faute, et aussi parce qu'il donne satisfaction à Régnier. Il lui recommande davantage de régularité dans le tracé de son écriture. Dans le post-scriptum, Godin adresse ses compliments à madame Bureau.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 novembre 1852
Godin annonce à Émile que le paquet qui lui est destiné est enfin parti et qu'il contient des provisions de bouche préparées par Esther Lemaire et divers objets, dont des compas et tire-ligne, et un casse-noisette offert par Bouleau. Godin encourage Émile à soigner son orthographe, mais aussi à étudier la géométrie en commençant par le dessin linéaire. Il lui communique un problème d'arithmétique [non joint à la copie] à résoudre et lui signale, sans la mentionner, une grave faute d'orthographe dans son avant-dernière lettre. Dans le post-scriptum, il demande à Émile de lui dire si le gaufrier a bien fonctionné sur le fourneau de madame Régnier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 novembre 1852
Godin écrit à Émile à la demande d'Esther Lemaire et lui demande d'écrire prochainement. Il demande à Émile s'il a tenu sa promesse d'envoyer ses lettres sans en faire corriger les fautes par son professeur ou l'un de ses camarades. Il lui donne des nouvelles de son petit chien Argus, et lui annonce que la chienne Débertrude va donner naissance à de nouveaux chiots, autant que ceux de la dame de Bellevue, et qu'ils vont également avoir une nichée de cochons d'Inde : Émile trouvera ainsi à Guise une petite ménagerie. Godin corrige la réponse d'Émile à l'exercice d'arithmétique qu'il lui a soumis [dans sa dernière lettre] et lui propose le même exercice avec une modification dans l'énoncé. L'énoncé du problème est copié à la suite du texte de la lettre : deux jeunes gens entrent dans une maison de commerce et perçoivent des rémunérations évoluant différemment dans le temps ; il s'agit de calculer la durée de leur engagement pour obtenir la même rémunération. Deux questions de géométries sont ajoutées au problème d'arithmétique. Dans le post-scriptum, Godin annonce qu'il enverra un modèle d'écriture fait par Bouleau et il adresse ses compliments à monsieur et madame Bureau ainsi qu'à monsieur et madame Régnier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 21 décembre 1852
Godin indique à Émile qu'il a été si occupé qu'il n'a pu lui écrire plus tôt. Il a été heureux d'apprendre que sa supposition [qu'Émile faisait corriger ses lettres] n'était pas fondée ; il le félicite pour ses progrès en orthographe, mais constate que la dernière lettre d'Émile contenait davantage de fautes. Il annonce à Émile qu'un chiot est né à Guise. Godin revient sur le problème d'arithmétique soumis à Émile et lui demande de le réexaminer car sa réponse n'est pas satisfaisante. Il formule enfin un problème de géométrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 janvier 1853
Godin signale à Émile qu'il rentre de Belgique et n'a pu répondre plus tôt à sa lettre de vœux de bonne année. Il lui adresse ses vœux : qu'il soit en bonne santé, qu'il travaille avec ardeur, qu'il suive les recommandations qu'on lui fait, qu'il soit humain et généreux, qu'il aime et écoute ses parents, qu'il devienne digne de la considération publique par les qualités de son caractère et ses talents. Il précise à Émile qu'il commence à organiser la fabrique à Bruxelles et il lui annonce qu'il ira bientôt le voir et qu'il lui apportera les deux règles en fer qu'il demande. Il adresse ses vœux de bonne année à monsieur et madame Régnier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 février 1853
Godin exprime sa satisfaction de savoir que madame Régnier a obtenu la faveur qu'Émile fasse sa première communion cette année et il encourage son fils à apprendre le catéchisme. Il est également heureux d'avoir su à l'occasion de son dernier voyage à Bellevue qu'Émile avait reçu les félicitations de monsieur et madame Régnier pour sa bonne conduite et son assiduité ; toutefois, dans sa dernière lettre, Régnier a indiqué qu'Émile avait mérité les pensums de son professeur et Esther Lemaire a eu la larme à l'œil en l'apprenant. Godin l'encourage à garder une conduite régulière et lui signale enfin que la grand-mère Lemaire se trouve à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 mars 1853
Godin exprime son inquiétude et celle d'Esther Lemaire après qu'Émile ait écrit qu'il avait quelque chose à leur dire. Il l'assure qu'il peut avoir confiance en lui et qu'il est son ami. Il l'informe qu'il lui enverra bientôt son extrait de baptême qu'il a obtenu du grand-père d'Émile, et il l'encourage à bien apprendre le catéchisme.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 avril 1853
Godin écrit à son fils qu'il a sous les yeux ses lettres des 3 et 11 avril, qui lui annoncent qu'il a commencé à apprendre l'anglais et qu'il aimerait bien l'apprendre avec madame Bureau. Godin envoie à Émile la liste des fautes d'orthographe contenues dans ces lettres, et commente l'usage que fait Émile du futur au lieu du conditionnel dans « J'aimerai bien d'apprendre l'anglais avec Mme Bureau. » : « Cela peut te faire voir l'utilité qu'il y a de t'attacher davantage à ton orthographe afin de ne pas dire autre chose que ce que tu veux dire. » Godin indique à Émile que les leçons d'anglais chez monsieur Régnier n'empêchent pas celles de madame Bureau, et que monsieur Bureau envisage de lui en faire donner à la belle saison. Godin recommande enfin à son fils d'être raisonnable avec ses professeurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 avril 1853
Émile a annoncé dans sa dernière lettre qu'il ferait une narration. Godin trouve que c'est un bon moyen pour qu'il soit plus disert dans sa correspondance et il propose de lui fournir des sujets. Il lui propose une narration sur l'étude des langues et leur orthographe : « Pose-toi des questions et fais-y des réponses écrites que tu mettras au net ensuite. Tu examineras d'abord s'il est nécessaire, étant Français, de bien connaître la langue française. Après avoir exposé ton opinion de la manière la plus étendue sur ce point, tu examineras quelle nécessité il peut y avoir pour un Français d'apprendre l'anglais, et pour un Anglais d'apprendre le français, etc. » Il lui annonce qu'il lui donnera ensuite un sujet sur les mathématiques. Godin évoque enfin l'envoi de graines par Émile, « et nous les soignerons d'autant mieux qu'elles nous rappellerons chaque jour que c'est à l'amitié que tu as pour nous qu'elles doivent d'avoir vu le jour à Guise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 mai 1853
Godin annonce à Émile que ses graines ont été semées par monsieur Bouleau. Godin estime que la narration promise par Émile est une « carotte que tu voulu nous faire avaler et qui nous fait du mal car elle n'a pas pu passer ». Godin explique à Émile que ce qu'il admire le plus chez un homme est la sincérité, la vérité et la franchise dans ses actions, et il lui demande qui est l'auteur de la narration. Sur les relations d'Émile avec ses camarades : Godin indique à son fils que l'entente entre les personnes tient au fait qu'elles aiment faire les mêmes choses, et qu'il aurait dû, pour gagner la sympathie de ses camarades, accepter qu'ils éparpillent ses fleurs et en faire de même, tout en reconnaissant que lui-même n'aurait pas été heureux de leur agissement peu raisonnable : « Mais tu peux reconnaître néanmoins que si tes camarades critiquent ta manière de faire que [sic] c'est parce qu'elle n'est pas en rapport avec la leur et que, sans être obligé de penser comme autrui, nous devons souvent dans le cours de la vie faire le sacrifice de nos actions vulgaires pour ne pas contrarier ses semblables. » Godin encourage finalement à étudier car « n'est que par l'étude que l'homme arrive à la science », et il l'informe que la grand-mère Lemaire est toujours malade et qu'Esther Lemaire ira la voir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 mai 1853
Godin fait remarquer à son fils que sa dernière lettre montre qu'il ne parvient pas à se conformer à l'humeur des autres et lui recommande de la patience à l'égard de ses camarades de pension. Godin espère que le retour de madame Bureau à Bellevue donnera à Émile l'occasion de quelques promenades qui tromperont son ennui. Émile ayant confirmé dans sa lettre du 12 mai qu'il est bien l'auteur de la narration, Godin s'excuse auprès de lui de l'avoir accusé de mensonge, le félicite et juge que son intelligence est riche en ressources qui peuvent le conduire à la science. Il lui demande de rédiger une nouvelle narration sur le sujet : « En quoi consistent le bien, le mal, l'injustice et la justice envisagé dans nos rapports avec nos semblables. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 juin 1853
Godin reproche à Émile de ne pas suffisamment tenir compte des autres dans ses actions, ce qui explique qu'il est l'élève le plus puni du pensionnat. Émile a été puni à 300 lignes parce qu'il est entré dans les lieux d'aisance parce qu'il pleuvait, alors qu'un camarade s'y trouvait : la punition est méritée car elle est prévue dans le règlement, et le maître de pension doit faire respecter celui-ci. Godin refuse d'accéder à la demande d'Émile qui souhaite être retiré de la pension, car il en ira de même au collège ensuite. Godin regrette qu'Émile n'ait pas continué à bien se conduire après avoir reçu les félicitations de Régnier dans le bulletin reçu le 18 avril et malgré les conseils donnés par ses parents aux vacances de Pâques. Il espère qu'il fera retour sur lui-même pour ne pas attribuer à ses semblables des mauvaises intentions qui ne sont pas prouvées.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 7 juillet 1853
Godin encourage Émile à étudier et à avoir une conduite raisonnable. Il l'informe que la fête d'Esquéhéries aura lieu le dimanche suivant, qu'il va y passer deux jours et que la famille serait heureuse de recevoir une lettre de lui. Émile a exprimé le souhait d'aller en Angleterre dans sa dernière lettre : Godin lui répond qu'il désire surtout qu'il sache bien le français et qu'il pourra voyager quand son éducation sera assez avancée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 juillet 1853
Godin attend une lettre de son fils qu'il espérait recevoir à Esquéhéries lorsqu'il se trouvait chez ses parents. Il transmet ses compliments affectueux à madame et monsieur Bureau.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 août 1853
Godin annonce à Émile qu'il viendra à Bellevue avant le 13 août et il souhaite que madame Régnier tienne prêt son trousseau afin qu'il l'emporte. Il encourage Émile dans ses études et à ne pas oublier ce qu'il a appris pendant les vacances. « Tu feras donc encore cette fois le voyage avec moi puisque je ne doute pas le moins du monde que tu sois bien capable de revenir seul. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 13 octobre 1853
Godin informe Allyre Bureau qu'il a conduit Émile au collège Chaptal à Paris il y a quelques jours et qu'il n'a pas eu l'occasion de le voir. Godin souhaiterait que madame Bureau puisse continuer à accorder à Émile des moments de distraction. Godin demande à Allyre Bureau de s'occuper d'Émile à Paris, propose de le dédommager pour cela, et l'informe qu'il l'a désigné en tant que personne référente à l'économat du collège Chaptal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 octobre 1853
Godin explique à Émile qu'il serait heureux d'apprendre que le collège n'est plus un ennui pour lui et qu'il fréquente ses camarades. Il l'encourage aux études et l'informe qu'il a écrit à Allyre Bureau pour lui permettre de sortir en compagnie de madame Bureau.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Véran Sabran, 18 octobre 1853
Godin remercie Véran Sabran de lui avoir proposé d'être son correspondant à Paris auprès du collège Chaptal où étudie son fils. Il lui annonce qu'il écrit en ce sens à monsieur Goubaux, le directeur du collège. Godin demande à Véran Sabran où doit être expédiée la cheminée qui lui est destinée, rue Saint-Joseph à Paris ou ailleurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Prosper Goubaux, 18 octobre 1853
Godin informe Goubaux que Véran Sabran est son correspondant à Paris pour permettre à son fils d'effectuer des sorties. Il précise que ce droit accordé à Véran Sabran ne restreint pas celui dont dispose Allyre Bureau.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 octobre 1853
Godin est heureux de savoir qu'Émile pense à ses parents et qu'ainsi il suivra leurs conseils. Il l'encourage aux études. À Émile, qui souhaite rentrer définitivement à Guise aux prochaines vacances, Godin répond qu'il doit auparavant parfaire son éducation, que ses parents seront heureux de le retrouver ensuite et qu'il ne doit pas mettre de condition à son application aux études. Il transmet à Émile les compliments de sa grand-mère et de sa marraine. Il lui annonce que Véran Sabran lui donnera l'occasion d'une sortie dans peu de jours et qu'il dînera chez lui comme il le ferait chez madame Bureau.

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