FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (19) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Marie Howland que l'édition en volume de la traduction de Papa's Own Girl restituera le texte complet du roman sans les coupes qui ont été faites dans les chapitre VII à XIII du feuilleton du journal Le Devoir pour pouvoir offrir le roman en entier aux lecteurs au cours de la première année. Marie Moret indique qu'elle répond en partie aux lettres que Marie Howland a écrites à Godin le 7 avril et le 4 mai avant que ce dernier ne lui dicte une réponse. Marie Howland a lu avec émotion dans Le Devoir la conférence du 4 mai 1878 de Godin aux ouvriers de l'usine : Marie Moret explique que les difficultés qu'il affronte sont le lot des novateurs ; elle loue le génie et la force morale de Godin. Elle livre un portrait de Godin : « Quant aux moyens de distraction et de repos, imaginez-vous qu'il ne s'amuse de rien de ce qui plaît aux autres hommes. Il ne fume pas, n'aime ni les cartes, ni les échecs, ni le billard, ni mille choses dont, en conséquence, j'ignore les noms. Le théâtre le fatigue ; les conversations oiseuses lui pèsent ; la promenade ne lui est bonne qu'en voiture. L'unique distraction qu'il puisse prendre, c'est la conversation entre gens sympathiques et notre cercle est très restreint. » Elle ajoute qu'il joue avec ses deux nièces les plus âgées, de 3 et 6 ans, qui l'appellent oncle André. Sur Albert Brisbane : il n'est pas venu au Familistère ; à la différence de Godin, il ne versa pas un sou des 25 000 $ qu'il avait promis à la Société de colonisation du Texas ; Brisbane se sentirait humilié devant Godin et il ne faut pas compter qu'il vienne au Familistère. Sur le journal Le Devoir : Godin éprouve le besoin d'élargir le cercle de ses auditeurs devant l'insuffisance de son personnel ; il pense que ses articles sur les caisses nationales de prévoyance publiés dans les numéros 16, 17 et 19 du Devoir seraient plus intéressants à traduire en anglais que sa conférence, comme l'ont fait en partie déjà des journaux anglais et américains. Sur l'appréciation de Marie Moret par Marie Howland : Marie Moret compare Marie Howland à Clara Forest [le personnage de Papa's Own Girl], dont le cœur déborde d'amour. Sur la traduction de la lettre d'amour du comte de Frauenstein à Clara Forest : le plus grand soin sera apporté à la traduction. Sur Massoulard : il a appris l'existence du Familistère à New York dans un article réactionnaire de La revue des deux mondes. Marie Moret remercie Marie Howland pour l'envoi du Harper's magazine dont Le Devoir a reproduit l'article sur l'école normale de New York. Sur Kate Stanton : elle a obtenu la dignité de docteur-médecin ; elle est rieuse comme Émile Godin, a un esprit fin mais superficiel. Elle retourne à Marie Howland l'article de monsieur Fields, « Une visite à l'auteur de La Fille de son père » et elle espère que Marie Howland puisse venir en Europe et au Familistère. Elle le prévient que Godin ne supporte pas l'odeur du tabac, qu'elle ne pourrait pas fumer près de lui, et qu'il estime que le tabac affaiblit l'intelligence. Sur la traduction de Papa's Own Girl : Massoulard informe Marie Howland qu'il n'endosse aucune responsabilité dans la traduction en raison des remaniements effectués au texte des chapitres VII à XIII du roman dans le journal Le Devoir ; elle précise que ces chapitres ont été rétablis dans le texte de Massoulard pour l'édition en volume, et qu'elle fait maintenant la révision du texte aidée d'une autre personne ; elle l'assure que Massoulard est resté son ami et celui de Godin. Elle transmet ses compliments à Edward Howland.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie à Marie Howland les quatre premières feuilles de La Fille de son père. Elle explique les changements faits au texte dans la traduction : Daniel au lieu de Dan, préjugés au lieu de religion dans le titre du chapitre XIII, une citation du Nouveau Testament. Elle assure Marie Howland que le roman est apprécié par les lecteurs du journal Le Devoir. Elle présente ses compliments à Edward Howland.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Marie Howland pour ses lettres des 2 et 19 août 1878. Elle et Godin se réjouissent du projet de visite du Familistère par Marie Howland. Elle et Godin félicitent Marie et Edward Howland d'avoir abandonné le tabac. Sur la méthode Chevé d'éducation musicale : elle a été enseignée sans résultat dans les écoles du Familistère pendant 4 ans ; les élèves doivent finalement apprendre la notation ordinaire ; Marie Moret lui envoie le traité élémentaire de la méthode ; Godin doute de la valeur de la méthode. Godin consent à échanger le journal Le Devoir avec la publication de monsieur Alden ; Marie Moret envoie à Alden le numéro 27 du journal [du 8 septembre 1878] qui contient la table analytique du premier volume. Sur la traduction de La Fille de son père : Marie Moret a tenu compte des observations de Marie Howland. Elle la remercie pour l'envoi du journal L'Évolution, qui contient l'article de son amie Augusta Cooper Bristol : « Je souhaiterais que M. Godin eût en France beaucoup d'aussi fervents amis. » Elle lui transmet les compliments de Massoulard.

Auteur : Massoulard, Antoine (1843-1882?)
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Massoulard rappelle à Hourdequin qu'un télégramme lui a été envoyé au sujet de spécimens de caractères d'imprimerie à employer pour composer le journal Le Devoir. Il précise que ces caractères ne devront pas être ceux du journal Le Glaneur et qu'ils doivent être neufs. Il l'avertit que s'il reçoit les spécimens par le courrier du soir et qu'ils conviennent à Godin, il lui adressera immédiatement le texte pour qu'il le compose.

Auteur : Massoulard, Antoine (1843-1882?)
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Massoulard informe Henri de Hulster que Godin est au conseil général de l'Aisne ; il lui adresse un chèque de 7 000 F.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Leymarie de lui avoir fait connaître l'œuvre de Crookes et il lui renvoie l'ouvrage de ce dernier avec sa traduction. Il lui indique qu'il peut attendre que l'ouvrage soit publié en français pour l'acquérir, mais qu'il préfèrerait obtenir le volume annoncé par Crookes dans son ouvrage de 1874. Il lui demande si ce dernier ouvrage a été publié en anglais et dans ce cas s'il peut le lui procurer. Godin remercie également Leymarie de l'informer quand monsieur Monck se trouvera à Paris. Il lui transmet les compliments de sa famille.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin annonce à Limousin qu'il projette de fonder à Guise un journal hebdomadaire intitulé L'Économie sociale. Il lui demande s'il connaît une personne susceptible d'en être le rédacteur.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Nice qu'il a envoyé les pièces qu'il lui avait confiées à Turquet au 11 route de la Révolte à Neuilly. Il l'informe que la majorité des électeurs s'est reportée sur le conseiller général et les conseillers d'arrondissement républicains « dans l'élection Turquet ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le compte de Henri de Hulster. Sur les travaux de sondage à La Capelle et à Sardy. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : difficultés du sondage de Sardy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Sur la difficulté de trouver un rédacteur au fait des question pratiques d'association. Sur le programme du journal. Sur la diffusion du journal : Godin annonce qu'il commencera par envoyer le journal aux 4 à 5 000 correspondants de son établissement industriel, et qu'il consacrera la quatrième page du journal aux appareils produits à l'usine. Il informe Limousin qu'il va organiser définitivement la participation des travailleurs aux bénéfices industriels de l'usine et commerciaux du Familistère, qu'il va achever le Familistère avec la construction de l'aile droite et porter ainsi la population du Familistère à 1 200 personnes. Il précise que les appointements du rédacteur du journal dépendront de l'étendue de son travail, et qu'il a besoin de quelqu'un sachant traiter les questions d'association et de politique courante.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à madame Piard les documents qu'elle lui a envoyés, qui n'indiquent pas la nature des terrains qui ont été l'objet de demandes de concessions au préfet du Nord. Il lui demande si elle a des renseignements sur les puits d'essais ou les couches des terrains traversés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe son « cher coreligionnaire » Fauvety qu'il n'a pu envoyer sa revue au médium Slade car ce dernier a quitté Bruxelles pour se rendre à Nykøbing au Danemark, puis à Vienne, puis à Saint-Pétersbourg. Il lui rappelle qu'il n'est pas en mesure d'écrire régulièrement dans sa revue et qu'il ne pourrait que répéter ce qui s'écrit dans les journaux spirites. Il avertit Fauvety que sa revue pourrait passer pour un organe des manifestations occultes si elle publiait des articles sur le spiritisme et que seule une revue spéciale peut s'attacher à constater les faits de spiritisme et à les étudier.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin félicite Ganault pour son élection au conseil général de l'Aisne, où il espère que les intérêts républicains pourront désormais se faire entendre. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin annonce qu'il se contentera de produire des pièces écrites par Tisserant devant le tribunal de Vervins et qu'il ne fera pas plaider par un avocat ; il demande à Ganault ce qu'il pense de cette stratégie. Sur la politique du gouvernement : « Va-t-il nous donner le spectacle d'une conflagration de tous les pouvoirs [...] ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin envoie 700 F à Richard. Il s'interroge sur la possibilité de sauver le sondage. Il lui demande de renvoyer à Guise les fers à chevaux, utiles pour les nombreux chevaux de l'usine de Guise. Il souhaite obtenir des nouvelles plus fréquentes du sondage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richard d'employer de la dynamite pour la poursuite des travaux de sondage. Il lui annonce qu'il va écrire à Henri de Hulster à ce propos.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin explique à Henri de Hulster qu'avant d'abandonner le sondage, il faudrait tenter de jeter de la dynamite au fond du trou. Il lui demande s'il veut se charger d'organiser l'opération.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richard d'employer de la dynamite pour la poursuite des travaux de sondage. Il lui annonce qu'il va écrire à Henri de Hulster à ce propos.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin remercie Limousin de sa proposition d'une combinaison entre le Bulletin du mouvement social et le journal qu'il veut fonder à Guise, mais il ne souhaite pas y donner suite. Il précise que son futur journal doit se faire à Guise et que le rédacteur qu'il cherche devra en tenir compte. Il lui demande des renseignements sur Edmond Potonié, rédacteur d'un journal intitulé La Feuille d'Olivier, revue internationale paraissant tous les dimanches, qui demeure au 5, rue Debelleyme à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient son « cher Lefèvre » qu'il va avoir besoin d'argent et il lui demande de rembourser le plus tôt possible ce qu'il lui doit.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Levasseur qu'il est d'accord avec les factures dont le montant s'élève à 517,81 F.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Richard que Henri de Hulster ne peut se rendre à Sardy. Il fait des recommandations pour une opération de dynamitage du fond du trou de sondage de Sardy. Il demande des échantillons de sol.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Fleury qu'il est seulement maintenant en mesure de satisfaire sa demande de gravures du Familistère. Il le remercie pour le volume envoyé et l'encourage à achever ce travail dans le département de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Guillaumin et Cie le compte des ventes de son livre Solutions sociales. Il lui demande de suspendre son abonnement à leur revue.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Marcoux une copie des règlements de la caisse de secours et de la caisse de retraite de l'usine du Familistère de Guise. Il précise que l'allocation fixée pour la caisse de retraite a toujours dépassé les besoins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait part à Henri de Hulster de sa volonté de mettre un terme aux dépenses des travaux de sondage de Sardy ; il lui confie que monsieur Richard n'a pas la capacité ni l'énergie de poursuivre le travail et qu'il n'a pas été en mesure de dynamiter le fond du trou. Godin reproche à Henri de Hulster que les travaux de sondage [à La Capelle] n'avancent pas plus rapidement avec monsieur Maurois, puisque la profondeur atteinte est de 95 m seulement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Gosselet de l'envoi de brochures sur les terrains houillers du nord de la France. Il l'autorise à publier le résultat de son sondage de La Capelle et il exprime le regret que la loi n'oblige pas à l'enregistrement de toutes les fouilles faites à grande profondeur, pour faire avancer la connaissance géologique du sol de la France.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Richard de lui adresser par chemin de fer un échantillon de pierre qu'il aura récupéré au fond du trou de sondage de Sardy après l'explosion de la dynamite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin explique à monsieur Richard qu'il ne peut abandonner le sondage de Sardy sans savoir la nature de la roche sous le morceau d'acier bloqué au fond du trou. Il demande à Richard d'essayer de faire exploser une nouvelle cartouche de dynamite, même en l'absence de Henri de Hulster.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Richard de lui envoyer un échantillon de roche dès qu'il l'aura prélevé et de reprendre le travail de fonçage. Godin souhaite connaître quelle profondeur d'enfoncement Richard peut atteindre en 24 heures et les frais engagés pour ce travail. Il accuse réception de la caisse envoyée par Richard.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Règlement du compte de Henri de Hulster qui s'élève à 4 266,65 F. Godin envoie un chèque de 2 154,55 F et effectue une retenue provisoire de 1 500 F correspondant à la valeur de tubes appartenant à Godin endommagés pendant les travaux de sondage. Dans le post-scriptum Godin demande à Henri de Hulster d'ordonner à Maurois d'opérer différemment pour épargner les tubes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie des échantillons de pierre à Gosselet, qui avait sollicité des renseignements sur son sondage de La Capelle, et lui demande à quel étage géologique ils appartiennent. Godin informe Gosselet que dans son sondage de Guise, à 70 m de profondeur, se trouvent encore les marnes plastiques.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Turquet a demandé à Godin l'état de l'opinion publique sur le refus du budget [par les parlementaires républicains]. Godin estime que les personnes ayant l'intelligence des affaires comprennent que c'est le seul moyen pour contraindre le pouvoir à tenir compte de la volonté du peuple, mais qu'il faudrait publier un manifeste à la nation pour expliquer aux classes ouvrières les motifs du refus. Il pense que le public éprouve du dégoût et de l'indignation à l'égard du pouvoir, mais dans le calme : « Ce que tout le monde attend de la Chambre, c'est qu'elle maintienne haut et ferme les prérogatives parlementaires et les droits du suffrage universel. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin explique à de Pompéry qu'il veut fonder à Guise un journal hebdomadaire et qu'il en cherche le rédacteur. « Ce serait naturellement un journal local, s'occupant de politique et d'économie sociale, de manière à servir les intérêts du Familistère et à en propager les faits utiles à faire connaître au public. » Godin pense que le journaliste recherché devrait être familier des questions de coopération et d'association ou au moins être « bon républicain à tendances libérales ». Il demande à de Pompéry le montant des appointements qu'il devrait lui verser.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des nouvelles du sondage et réclame des échantillons.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Henri de Hulster qu'il est sans nouvelles du sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit sa correspondante qu'il veut entrer en relation avec monsieur Cardot avant que celui-ci vienne à Guise car il faut qu'il sache lire et écrire convenablement pour occuper l'emploi qu'il demande qui requiert la tenue d'un livre renseignant exactement les entrées, les transformations et les sorties des viandes.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation du journal Le Devoir. Godin remercie de Pompéry de l'aider à trouver un rédacteur. Édouard de Pompéry a proposé à Godin de collaborer au journal : Godin ne juge pas que ce soit une bonne idée car de Pompéry est positiviste et lui spiritualiste, et il lui en coûterait de ne pas être d'accord avec lui ; par ailleurs la vie à Guise n'a rien de comparable avec la vie à Paris, ajoute Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Henri de Hulster que la retenue sur le paiement de sa facture a pour cause un mauvais emploi des tubes de sondage. Il lui propose un accord financier. Il lui donne des nouvelles du sondage [de Guise]. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : dans le post-scriptum, Godin se plaint de l'inertie de monsieur Richard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Richon qu'il va pouvoir lui remettre le matériel lui appartenant.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin prévient Henri de Hulster que le sondage, qui a atteint 117 m de profondeur, a besoin de sa présence. Il l'assure qu'il ne veut pas lui faire des chicanes, mais l'avertit que la manière dont il a engagé le travail peut lui faire perdre la colonne de tubes déjà installée. Il lui explique que Maurois doit descendre de nouveaux tubes et il lui demande de lui en fournir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à monsieur Richard d'arrêter le travail et d'attendre son arrivée.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Gosselet a appris à Godin que Douvillé était attaché à la carte géologique de France après avoir été ingénieur des mines dans la Nièvre. Godin explique à Douvillé qu'il a réalisé un sondage près de Sardy pour rechercher de la houille et lui en décrit les résultats. Il l'avertit que Massoulard pourra lui présenter des échantillons de roche en fond de sondage, à 120 m de profondeur. Il demande à Douvillé si les échantillons sont extraits d'un terrain ancien stérile, du granit définitif, ou si les travaux peuvent être continués avec espoir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Massoulard de vérifier le compte de caisse de monsieur Richard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin estime que l'opinion de Henri Douvillé, qui juge que le sondage de Sardy a toujours été en plein porphyre, ne fait pas autorité. Godin considère que le sondage a atteint des zones granitiques. Il demande à Massoulard de vérifier la réalité des échantillons envoyés. Il lui signale qu'il doit se rendre à Laon mais qu'il peut lui écrire à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin informe Henri de Hulster qu'il a communiqué sa lettre à Maurois relative à la poursuite des travaux de sondage. Godin regrette que de Hulster ne puisse être présent.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin retourne un pouvoir à Massoulard. Sur la vente des terrains acquis à Cervon et à Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Amédée Moret de retarder son départ afin de réceptionner un brevet et d'en faire le dépôt. Il le prie d'aller voir Tisserant à l'hôtel du Plat d'étain de la rue Meslay, qui lui donnera l'argent nécessaire au dépôt.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le sondage de Guise. Godin regrette que de Hulster soit venu à Guise sans s'entendre avec lui car il voulait discuter avec lui de la direction à donner au sondage. Sur le tubage du trou de sondage. Sur le compte de Henri de Hulster : Godin n'est pas d'accord avec le compte présenté ; il envoie un chèque de 2 969 F à de Hulster.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il préfère qu'Amédée Moret dépose le brevet pour éviter des difficultés de retrait si Tisserant s'en était chargé.

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