FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 9 février 1893
Accuse réception des envois de Doyen : « [Mouvement des] assurances », « État-civil », divers imprimés et journaux anglais illustrés. Prie Doyen de demander à Élise Pré la facture de monsieur Sabouret, marchand de graines, que Roger lui a remise. Le facteur de Guise demande des étrennes : comme l'année précédente, Marie Moret demande à Doyen de lui remettre 3 F bien que le « cher homme ne fait - pour ainsi dire - rien pour nous, puisque c'est vous je suppose qui allez à la poste et que autrefois c'était Roger. » Demande des nouvelles de différentes personnes de Guise : Baré en possession des épreuves du livres de Bernardot ; Martens au Familistère ; la marche des affaires industrielles. Temps superbe et climat favorable à la santé à Nîmes. Sur l'aide de Fabre apportée à Marie Moret dans son travail sur Le Devoir et la parution dans le numéro de février 1893 d'un article de Fabre sur « L'Assistance publique ». Demande des nouvelles de Sylvain Lefèvre et du père de celui-ci ainsi que de Marcel Laporte. En post-scriptum, Marie Moret indique qu'Émilie Dallet a chargé Flore Moret de remettre ses étrennes au facteur : Doyen vérifiera cette commission avant de lui donner les 3 F de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 9 février 1893
Explique palier son absence de correspondance avec Flore Moret par les lettres régulières de Marie-Jeanne et Émilie Dallet. Sur l'absence d'humidité du climat de Nîmes, favorable à la santé de la famille Moret-Dallet, et le beau temps leur permettant de sortir tous les jours. Sur l'hiver exceptionnellement rigoureux connu par les Nîmois, dont Marie Moret se moque, et qui a ravagé la végétation. Marie Moret « infiniment mieux qu'à Guise pour le travail, pour la vie intellectuelle - à cause de la présence de M. Fabre ». Remercie Flore Moret d'avoir remis 13 F à Élise Pré et de s'être arrangée avec Doyen. Demande des nouvelles de différentes personnes de Guise : le père de Sylvain Lefèvre ; Marcel Laporte ; les affaires industrielles. Sur les étrennes du facteur de Guise : prie Flore Moret de ne pas donner les 3 F car elle l'a demandé à Doyen.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 avril 1893
Annonce du départ des gardiens de la maison de Lesquielles et du projet de déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Franceline Alavoine a trouvé un emploi de cuisinière à Courcelles (Lesquielles-Saint-Germain) où son mari est cocher. Sur la charge que représente la maison de Lesquielles pour Marie Moret mais qu'elle ne peut ni vendre ni louer. Informe qu'elle a écrit à monsieur Picot pour le déménagement. Émilie et Marie-Jeanne Dallet heureuses de rentrer prochainement à Guise, ce qui n'est pas le cas de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 20 avril 1893
Sur le départ de Lesquielles de Julien Alavoine et de son épouse Franceline pour Courcelles le 18 mai 1893. Informe qu'elle compte déménager le mobilier de la maison vers Nîmes où elle souhaite désormais passer l'hiver. La maison de Lesquielles vidée n'aura besoin que d'une surveillance générale. Arrêt de la location des jardins potagers à messieurs Caudron et Casseleux dont il faudra reboucher les ouvertures et refaire les haies.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fosset, 20 juin 1847
Sur une réclamation relative à la livraison d'une cuisinière par Lefèvre, messager de Buironfosse : Godin confirme à Fosset qu'il a bien livré une cuisinière d'un mètre de largeur dont le prix, sans le foyer, est de 86 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fiévet, après le 16 mars 1843
À propos de ramassage de foin sur une propriété de Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pauquet, 14 juillet [1843]
Sur la livraison de fils de fer à La Capelle (Aisne) : des bottes de fils de fer destinées à la manufacture Godin-Lemaire sont égarées. Livraison chez l'aubergiste Grégoire de La Capelle de marchandises destinées à monsieur Pauquet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Meurisse, vers le 20 octobre 1845
Expédition de deux cuisinières à la demande de monsieur Fosset ; demande de renseignements sur monsieur Lefèvre de Revin (Ardennes) qui est venu à Esquéhéries commander une cuisinière, se disant envoyé par monsieur Fosset.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fiévet-Grain, 14 novembre [1845]
Livraison de poêles à enlever chez l'aubergiste Lefèvre à Origny-Sainte-Benoite (Aisne), et facturation de ces marchandises.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 17 décembre 1851
Godin informe Émile qu'il enverra prochainement les modèles d'écriture faits par Bouleau, qu'il transmettra ses compliments à toute la famille à Esquéhéries et ses remerciements à la grand-mère Lemaire. Il lui fait part des compliments de son oncle Lefèvre, venu à Guise en l'absence de Godin alors en déplacement à Paris, et de sa tante Pommerose. Il lui donne des nouvelles du chien et des chats de la maison, et lui exprime sa satisfaction de le voir faire des progrès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 22 mai 1857
Godin informe Brullé qu'un nommé Lefèvre sollicite un emploi dans les ateliers de Forest pour échapper « aux tribulations de son ménage », et lui demande de l'occuper au montage des cuisinières et cheminées. « C'est un assez bon ouvrier qui serait très raisonnable s'il avait une meilleure femme. » Godin avise Brullé qu'il a expédié par le chemin de fer le modèle de la cuisinière n° 6. Il lui demande enfin s'il a des informations sur la recherche de terrains [pour un nouvel établissement industriel].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 mai 1857
Godin précise à Brullé que Lefèvre lui a demandé comme une faveur d'aller à Forest, qu'en conséquence il n'a pas à tenir compte de ce qu'il gagnait à Guise (49 centimes de l'heure), et qu'il travaillera aux conditions faites aux autres ouvriers. Godin ne veut pas que les ouvriers français jouissent sans nécessité de privilèges qui les feraient jalouser par les ouvriers belges. Godin souhaite disposer d'un tableau des prix payés aux ouvriers de Forest. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles : Godin juge que le terrain d'Allard est le plus intéressant et il voudrait s'assurer la possibilité de l'acquérir ; il demande à Brullé de lui dire ce qu'il espère du prince Latour et Taxis ; il explique à Brullé qu'il faut renoncer aux terrains de monsieur Bourguignon et des Anglais, et que les recherches de terrain faites par Cantagrel au cadastre donneront peut-être des résultats. Godin confirme à Brullé que Bocquet est parti en voyage, qu'il rentrera dans 8 jours et ne pourra être à Bruxelles que dans 15 jours. Sur l'utilité des voyages en Belgique au printemps : Tellier l'assure que davantage d'affaires seraient faites à l'occasion d'un voyage plus tardif. Il lui annonce qu'il lui envoie une cuisinière n° 20. Dans le post-scriptum, il signale à Brullé que Leborne de Charleroi a accusé réception de sa cuisinière et demande qu'on y change un robinet, et il lui conseille de profiter du beau temps pour faire sécher le sable de fonderie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 4 janvier 1895
La famille Moret-Dallet et Fabre adressent leurs vœux de bonheur pour la nouvelle année à la famille Piponnier. Sur la météorologie à Nîmes et à Guise. Demande des nouvelles de la famille Piponnier et du Familistère. Sur la publication de Fabre sur Robert Owen à paraitre dans Le Devoir. Demande à Piponnier de lui transmettre l'état de son compte au Familistère. Demande des nouvelles de Lefèvre d'Esquéhéries. Remercie Piponnier et sa femme pour la carte envoyée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 28 avril 1895
Marie Moret ravie de la lettre de Piponnier. Transmet les remerciements d'Émilie Dallet pour les bons conseils de placements de Piponnier ; le félicite pour la bonne marche des affaires de l'usine dont Dequenne doit être content ; le remercie pour les nouvelles concernant la mort d'une madame Lefèvre. Sur l'appréciation et les réflexions de Piponnier sur la brochure de Gide ; sur l'avenir du fils de Piponnier à Armentières. Marie Moret espère revenir au Familistère dans le courant du mois.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edmond Turquet, 24 février 1888
Marie Moret informe Edmond Turquet qu'elle a répondu à monsieur Lefèvre qu'elle ne peut augmenter le personnel de l'Association.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin remercie Alexandre Chaseray pour sa lettre qu'il communique à Odilon Barrot. Il l'informe des progrès de la candidature d'Odilon Barrot dans les cantons de Wassigny et de Guise et lui demande s'il peut utiliser sa lettre auprès des électeurs et s'il s'est entendu avec Matton de Vervins. Il lui fait part des démarches de lui-même à Sains et de monsieur Lefèvre à La Capelle. Il lui demande de lui communiquer les noms des personnes qui peuvent aider le comité électoral et lui indique qu'il a écrit à Cardot du Fay à Tenailles et à Loth d'Hirson. Il incite Chaseray à écrire à Odilon Barrot, dont la candidature devrait être annoncée publiquement dans quelques jours.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 juillet 1874
Godin informe son fils Émile qu'il a choisi à l'essai monsieur de Rivière, qui a dirigé pour son compte des ateliers de céramique, pour diriger l'atelier d'émaillage, et que celui-ci doit arriver à Guise le mardi 7 juillet ; il lui demande de lui faire immédiatement fabriquer des couleurs pour juger de ses aptitudes et de l'installer s'il le veut dans les chambres occupées au Familistère par Pétilleau près de sa bibliothèque ; il lui demande également de prévenir monsieur Barbet de l'arrivée de monsieur de Rivière pour qu'il lui montre le travail de décoration des émaux, et de charger de Rivière de la surveillance de la cuisson des émaux. Il l'autorise à congédier le fils Quaintenne en prétextant que le travail manque. Il demande de quel Lefèvre Taupier parle en disant qu'il est nul. Il lui recommande d'éviter de congédier des employés qui pourraient être utiles, au magasin notamment. Godin avertit son fils qu'il ne doit pas provoquer de conflits avec la municipalité, et lui conseille de garder les eaux du jardin et de laisser passer les voitures. Il veut savoir si toutes les tables d'école prêtées à la ville ont été rendues. Godin annonce à Émile qu'Alphonse Grebel lui a parlé d'habitants du Familistère « mal famés » comme Maréchal et dont la « disparition » ferait plaisir. Dans le post-scriptum, il l'avertit qu'il joint une lettre à remettre à Delaruelle et il lui signale qu'il recherche toujours un directeur pour l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 juillet 1875
Sur une expérience de nickelage. Sur la fabrication d'un cylindre à Guise pour une machine de Laeken : Godin regrette que cette pièce n'ait pas été faite en Belgique. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : il reproche à André que rien n'a été fait pour la fabrication d'un deuxième appareil de sondage. Sur l'envoi de Demeulenaere à Laeken. Sur l'emploi de Lefèvre. Sur les capitaux placés en banque : il rappelle qu'il a recommandé à Émile de faire de gros achats de fonte car le matériau est bon marché et l'intérêt des capitaux est très bas. Il informe André qu'il a adressé à Laeken le chèque de 4 025,20 F. Il demande à André de faire savoir à la compagnie de chemin de fer que la poulie et la tringle [du matériel de sondage] ne sont pas parvenues à destination.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 novembre 1875
Sur l'achat d'une propriété à Guise proposée par monsieur Lefèvre : « Quant à moi, je ne veux plus acheter pour un sou à Guise ». Godin se demande si ce n'est pas une manœuvre des agents d'Esther Lemaire pour savoir s'il est prêt à acheter l'usine aux conditions du récent jugement. Il ne s'oppose pas à ce que son fils Émile en fasse l'achat pour son compte à bon prix. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : « Je ne puis accepter ce jugement, mais ce que nous avons de mieux à faire c'est de ne pas parler. Mais à partir de ce jour, je vais recommencer les études de l'an dernier sur les avantages qu'il y aurait à fonder une établissement d'industrie du chauffage ailleurs en France [...] » Godin pense qu'il n'hésiterait pas à créer un nouvel établissement s'il pouvait utiliser directement les minerais de la Nièvre dans la production de la fonte moulée. Il pense que l'approvisionnement en charbon de Sarrebruck pourrait se faire à Clamecy comme à Guise. Sur la production de fonte douce. Il propose à son fils de l'aider à faire l'étude comparée de l'influence des transports sur le prix de revient des marchandises à Guise et à Clamecy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rend compte au préfet de l'Aisne de l'installation de la commission pour les concours cantonaux : quatre membres étaient présents (le maire de Guise, le juge de paix, Lefèvre, conseiller d'arrondissement, et Godin) ; Godin a été élu président de la commission ; la commission demande au préfet des précisions sur ses attributions, si elle a accès aux écoles ou si elle se contente de procéder aux examens et concours pour les certificats d'étude.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Cadoret le document qu'il lui avait envoyé la veille à la suite du mauvais accueil qui lui avait été réservé à l'école des filles de Bernoville, après en avoir donné communication à monsieur Lefèvre.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin avertit Latrade qu'il ne faut pas confondre le contre-projet [au projet de l'administration des ponts et chaussées] établi à la hâte pour les besoins de l'enquête publique en mars 1880 et le contre-projet remis au ministre des Travaux publics en mai 1880. Il réfute certaines objections de l'administration des ponts et chaussées et des personnes ayant déposé pendant l'enquête publique à l'encontre du contre-projet, et il pointe les difficultés du projet de l'administration. Sur l'accès à la gare projetée dans le contre-projet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Turquet qu'il a écrit au ministre des Travaux publics, au président de la commission des chemins de fer [de la Chambre des députés], au rapporteur de la commission et à Crozet-Fourneyron. Il fait un résumé de cette correspondance qui soutient le contre-projet de la ligne de chemin de fer de Guise à Wassigny et son passage à Guise contre le projet de l'administration des ponts et chaussées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la délégation cantonale : Godin conteste les griefs de négligence de la part de membres de la délégation cantonale à son encontre ; chacun d'eux sait parfaitement, selon lui les communes qui lui sont assignées ; il communique au sous-préfet la liste des délégués et des communes auxquelles ils sont assignés (copiée folio 384v).

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet du compte financier du journal Le Devoir : Marie Moret demande à Henri Buridant de compter son crédit à 138,33 F et de porter ses appointements de novembre 1899 à 40 F au lieu de 35 F pour le remercier de son aide « dans les tracas du départ ». Elle prie son correspondant de remercier monsieur Alizart pour l'avoir informée du décès de monsieur Lefèvre d'Esquéhéries et demande des nouvelles de Sylvain [Lefèvre, neveu de Marie Moret]. Marie Moret remercie Buridant du mot sur Félicie Gauchet et se réjouit du rétablissement de Victoire Buridant, la grippe étant un grave mal qu'il faut bien soigner. Dans le post-scriptum, elle souhaite que Buridant lui fasse connaître les inscriptions portées sur son compte au Familistère de fin septembre au 31 décembre 1899.
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