FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 23 résultats dans 15568 notices du site.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 13 octobre 1846
Sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin informe Lucq qu'en raison de sa mauvaise santé, il n'a pu se rendre à Longchamps pour lui indiquer le rivage de livraison de la fonte ; il lui indique qu'il a assez de fonte pour le moment. Godin informe Lucq qu'il lui expédiera la cuisinière commandée et qu'il lui adresse un prospectus sur les perfectionnements apportés aux appareils. Godin signale à Lucq que le chargement de la dernière voiture de fonte qu'il a réceptionnée pesait 3 950 kg au lieu de 4 500 kg, et qu'il lui reste plus de 3 000 kg à obtenir sur ce qui devait lui être livré en voiture. Il demande que Lucq émette une traite pour pouvoir le payer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Depret-Béghin, 3 juin 1847
Godin répond tardivement à la lettre de Depret-Béghin du 28 mai 1847 relative à 4 meules anglaises de 1,40 m de diamètre, dont Godin a un besoin pressant, et sur la fourniture de coke : le prix du coke livré par Depret-Béghin à Longchamps n'est, admet Godin, que légèrement supérieur à celui qui lui est livré par voiture, mais il craint de perdre davantage à cause de la diminution du poids dans les différentes manutentions liées au transport par bateau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Verdavainne, 7 août 1847
Godin demande à Verdavainne s'il peut charger sur ses bateaux des marchandises expédiées à Paris ; il lui indique que ces marchandises seront prêtes à charger à l'écluse n° 20 près de Longchamps ; il lui demande quel serait le prix du transport, quelle est la durée du voyage et à quelle époque passeront ses premiers bateaux ; il ajoute que les quantités de marchandises varient de 1 à 10 tonneaux et qu'à la reprise de la navigation, il pourra faire charger 7 000 kg.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 7 août 1847
Godin informe la maison Allez que les 73 cuisinières qui se trouvaient au port de Longchamps ne sont pas parties et qu'en raison du chômage de la navigation, elle ne pourront être acheminées par bateau avant le mois d'octobre ; il explique qu'une maison de roulage a consenti à leur livrer des marchandises au prix de 4,60 F les 100 kg et qu'il a expédié 16 cuisinières par ce moyen. Godin envoie la facture correspondant à cette livraison d'un montant de 1 525 F, et il rectifie une erreur en sa défaveur commise sur une facture précédente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 24 août 1847
Godin adresse à Allez une facture de 440 F pour l'expédition du 19 août. Il précise que les foyers au bois ont été mis dans une caisse, sont restés au port de Longchamps et seront expédiés avec les cuisinières par bateau à la reprise de la navigation. Il avertit qu'il émet un mandat de 4 274,36 F à payer avant la fin du mois pour solder le compte d'Allez. Il signale une erreur commise dans sa facture du 7 août et demande à quelles conditions Allez conserverait les poêles qui lui ont été livrés de Brie-Comte-Robert. Godin propose à Allez de lui céder des poêles à un prix avantageux pourvu que la commande soit de plus de 1 500 F, poêles qu'il pourrait expédier avec les cuisinières qui restent à Longchamps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 28 septembre 1847
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin demande à Lucq s'il peut livrer tout ou partie de 50 tonnes de fonte des Hauts-fourneaux du Nord avant le 10 octobre 1847. Godin demande en outre à Lucq à quel prix il peut lui livrer au port de Longchamps 50 à 80 hectolitres de charbon de forge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Decroix, 1er octobre 1847
Rectification d'une erreur de facture en faveur de Decroix. Godin signale qu'il n'a aucun avantage à recevoir les poêles retournés par Decroix ni à faire revenir de Longchamps ceux qu'il avait déposés pour lui. Godin donne des explications à Decroix sur les cuisinières qu'il lui a expédiées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 14 octobre 1847
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin regrette que la livraison de fonte ne puisse avoir lieu avant longtemps ; il informe Lucq qu'il demande aux Hauts-fourneaux du Nord de lui en expédier par voiture. Sur le prix peu avantageux du charbon proposé par Lucq : il coûte 2,40 F l'hectolitre alors que Godin l'achète à Guise 2,60 l'hectolitre et qu'on lui propose du charbon de Denain livré à Longchamps au prix de 1,65 F l'hectolitre. Godin informe Lucq qu'il fait faire les plaques de fonte qu'il a demandées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la maison Allez, 27 octobre 1847
Godin adresse à Allez fils une facture de 5147,80 F correspondant à l'expédition des marchandises restées au port de Longchamps et l'informe que le bateau est parti le 19 octobre et devrait arriver à La Villette dans 10 à 12 jours. Il signale à Allez fils que deux cuisinières ont été brisées au port de Longchamps, qu'elles ont été remplacées, mais par un appareil de dimensions différentes pour l'une d'entre elles. Godin avertit Allez fils qu'il émet un mandat de 5 000 F à payer avant le 15 novembre 1847. À propos de réclamations formulées par Allez fils, relatives à la prise en charge du transport de marchandises expédiées de Brie-Comte-Robert et refusées, et au prix d'appareils figurant sur des factures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 11 octobre 1848
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce qu'il ne peut rendre visite aux Hauts-fourneaux du Nord pour juger la qualité de leur fonte et discuter de son prix. Il demande qu'on lui envoie un échantillon de 5 tonnes au rivage de Macaigne à Longchamps.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société des hauts-fourneaux du Nord, 23 octobre 1848
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. De retour de voyage, Godin répond à la lettre des Hauts-fourneaux du Nord, qui l'informent qu'ils ne peuvent lui expédier 5 tonnes de fonte de qualité n° 1, qu'il ne peut accepter le prix de la fonte qu'ils lui indiquent. Godin fait valoir que leur voyageur de commerce lui avait annoncé le prix de 17 F les 100 kg, soit pas davantage que 17,50 F les 100 kg transportés à Longchamps ; il leur signale que le prix annoncé par les Hauts-fourneaux du Nord est supérieur au prix de la fonte belge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 7 janvier 1871
Sur l'échange de lettres entre Godin et son fils en décembre 1870 et en janvier 1871. Godin indique à Émile que sa lettre lui sera remise par madame Cottenest. Godin fait à Émile un récit détaillé de l'arrivée des Prussiens à Guise et de la manière dont il a été fait prisonnier. Godin interrompt son récit en espérant qu'Émile est en ce moment tranquille à Cambrai.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vinchon, 30 novembre 1860
Godin rappelle à Vinchon qu'ils ont adressé en mars 1860 au ministre de l'Agriculture, du Commerce et des Travaux publics une pétition demandant que le tracé de la ligne de chemin de fer de Somain à Busigny passe par Guise et la vallée de l'Oise. Il l'informe qu'un tracé concurrent est aussi à l'étude et qu'il s'agit de faire savoir que le tracé par Guise sert mieux les intérêts du pays. Godin mentionne la meunerie parmi les industries pouvant tirer bénéfice de ce tracé. Il espère que les meuniers pourront envoyer une nouvelle pétition au ministère, et que les autres industries feront de même. Godin demande à Vinchon de venir le voir à Guise pour discuter de cette question avec Pruvost de Longchamps, Flament de Noyales, Beaufrère de Macquigny et Parant de Wiège.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 2 août 1861
Sur un litige relatif à la fourniture de fonte par Pinart et Cie. Godin demande des nouvelles de l'affaire. Godin récapitule l'affaire en termes financiers et établit qu'il lui reste 426 tonnes de fonte inutilisable, qu'il a payé 190 500 F à Pinart et Cie et qu'il a chez eux un crédit d'environ 70 000 F compte tenu du coût de la fonte qui lui fait défaut, des frais de transport de Vadencourt à Guise, de la manutention de la fonte dans l'usine et des intérêts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Devaux, 27 septembre 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Devaux qu'il a pu éviter le chômage de ses ateliers en approvisionnant l'usine de quantités assez considérables de fonte par chemin de fer. Il lui demande de délivrer un permis de trématage jusqu'à Vadencourt aux bateaux le Ruiné et les Deux sœurs qui se trouvent à Mézières.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Macaigne, 9 septembre 1862
Godin demande à Macaigne quelles conditions il lui ferait pour décharger des bateaux à son rivage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Parmentier, 14 novembre 1862
Sur la route n° 55 de Jonqueuse à Étreux. Godin accepte volontiers le choix de Parmentier en tant qu'expert désigné d'office et lui communique ses observations. Godin fait transporter des marchandises sur un tronçon de la ligne n° 55 ; il a contracté un bail annuel de 250 F avec Brunel pour la location d'un port placé sur le chemin, où les déchargements sont plus économiques qu'au port de Longchamps ; l'administration prétend qu'il a fait des dégâts considérables au chemin en 1861 et 1862 alors que les seuls travaux d'entretien ont été faits par lui ; il renonce depuis à emprunter le chemin et fait décharger ses bateaux au port de Longchamps, aussi la question ne porte que sur le passé ; Godin conteste qu'il ait dégradé la route qui n'est achevée que pour la moitié du trajet ; il a proposé néanmoins une indemnité à l'administration de 200 F correspondant au déchargement de 20 bateaux par an à Longchamps chez Macaigne au prix de 10 F par bateau, indemnité que l'administration juge insuffisante malgré l'inachèvement de la route. Godin communique à Parmentier un état annuel de ses transports en précisant que 2 198 tonnes transitent par le chemin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Cambier et Cie, 31 janvier 1863
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. À propos d'une livraison de fonte par bateau. Godin se plaint du mauvais vouloir du batelier Grave qui, une fois remise sa lettre de voiture, a refusé de décharger à 500 mètres du quai habituel sans contrepartie financière. Godin explique à Cambier et Cie qu'il a dû lui faire sommation par huissier. Godin recommande à Cambier et Cie d'indiquer désormais le rivage de Longchamps sur la lettre de voiture des bateliers.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Royaux et Beghin, 18 mai 1863
Émile Godin demande à Royaux et Beghin de lui communiquer le prix des pannes de premier choix, à joint serré par-dessus, à livrer au port de Longchamps avant la fin du mois d'août.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 7 novembre 1867
Godin informe le préfet que le secrétaire de la Commission des études de l'Exposition universelle lui a demandé de lui adresser son travail sur l'exposition, inabouti en raison de sa maladie. Il lui annonce qu'il lui a adressé ses notes sur les locomotives routières et il lui rappelle qu'il avait essayé d'obtenir l'autorisation d'ouvrir un service de locomotives sur routes, mais que l'autorisation qui lui avait été accordée était assortie de telles restrictions et de charges qu'il a renoncé à son application. Il explique qu'il n'a pu se servir de sa locomotive que pour les transports du canal à l'usine de Guise. L'administration avait mis à la charge de Godin notamment la reconstruction des ponts qui se trouvaient pourtant déjà en mauvais état pour la circulation ordinaire. Godin demande au préfet d'examiner la possibilité d'étendre son service de locomotive routière sur l'ensemble du parcours de Guise à Bohain, et pour y parvenir de faire réparer le pont qui se trouve près de Longchamp.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Loisy, 15 mai 1872
Godin répond à une lettre de Loisy. Sur des mésententes dans l'usine en l'absence de Godin. Il reproche à Loisy de ne pas s'exprimer franchement dans les réunions de la commission. « Combien je désirerais vois voir tous animés d'un plus grand amour du prochain et de moins de préoccupations personnelles ! » Sur Dury : Godin préconise de l'accepter définitivement. Sur la fonderie : le coulage de pièces en fonte dure est une faute de direction. Sur le procédé de Grebel pour le moulage de lanternes pour boutons : Godin recommande d'en faire usage. Sur une machine à découper les rondelles : Godin indique à Loisy qu'il aurait dû faire des plans raisonnés pour la faire admettre. Sur les approvisionnements : Godin l'encourage à attirer l'attention du conseil sur ce sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Rosalie Morel, 21 mars 1875
Godin répond à la lettre de Rosalie Morel du 15 mars. Il l'informe que la fin des vacances dans les écoles du Familistère aura lieu le 1er ou le 2 avril et qu'elle pourra les visiter en détail. Il la prie de venir le voir dès son arrivée au Familistère. Il lui communique les horaires de train de la gare du Nord à Paris à Saint-Quentin et de Saint-Quentin à Longchamps, d'où elle prendra une voiture pour Guise. Il lui signale qu'il existe plusieurs hôtels à Guise. Il la remercie pour l'envoi de son excellent ouvrage Un million comptant, mis à la disposition des lecteurs du Familistère. Il précise qu'il la connaît grâce à leur ami commun Édouard de Pompéry et que c'est la raison pour laquelle il lui a envoyé La richesse au service du peuple.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0388.T.383r.jpg
Sur la délégation cantonale : Godin conteste les griefs de négligence de la part de membres de la délégation cantonale à son encontre ; chacun d'eux sait parfaitement, selon lui les communes qui lui sont assignées ; il communique au sous-préfet la liste des délégués et des communes auxquelles ils sont assignés (copiée folio 384v).

Mots-clés : ,

Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2