FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 7 février 1897
À propos d'un bal organisé au Familistère le soir du 7 février 1897 pour venir en aide aux ouvriers sans travail de la filature Chenest à Guise ; la famille a envoyé de l'argent au bureau de bienfaisance de la ville. Remerciements adressés à Alfred Bocheux pour l'envoi du relevé de son compte au Familistère. Demande à Buridant des exemplaires du Devoir d'août à octobre 1896. Signale le changement d'adresse de Henri Babut, qui bénéficie du service gratuit du Devoir : remplacer M. Henri Babut, 1, rue Bourdaloue à Nîmes (Gard) par M. Henri Babut, pasteur, à Landouzy-la-Ville (Aisne). Informe Buridant que les exemplaires du numéro de février 1897 ont été expédiés de Nîmes et que le nom du gérant n'a pas été oublié. Informe Buridant que le petit-fils d'Auguste Fabre, âgé de 5 ans, est décédé. Marie Moret travaille sur la vie de Godin en 1848. Compliments à mesdames Roger, Louis et Allart.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Céline Beauvisage, 12 avril 1897
Réponse à la lettre de Céline Beauvisage du 10 avril 1897. Sur le décès de madame Brullé : dégagée du corps matériel sans douleur, espère Marie Moret ; « Âme toute à la droiture et à la bonté, elle ne peut que se trouver dans de très heureuses conditions de vie nouvelle » ; sur la vie des défunts. Envoie une somme d'argent pour contribuer aux funérailles de son amie. La lettre du 10 avril écrite par la belle-fille de madame Beauvisage évoque pour Marie Moret le souvenir du fils de celle-ci, Georges, qu'elle a vu à Paris en 1863 alors qu'il était âgé d'une douzaine d'années.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 15 août 1897
Remercie Marie Dossogne de ses vœux pour la fête de Marie. Souvenirs ravivés par la lettre de Marie Dossogne. Beau temps à Guise. Émilie Dallet, occupée par les examens et la fête de l'Enfance, ne peut pour le moment répondre à la lettre que Marie Dossogne lui a écrite à la suite de l'envoi de vêtements par Émilie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 5 juin 1895
Envoi d'une jupe.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Joseph Décembre, 13 août 1895
Réponse à la lettre de J. Décembre du 12 août 1895 : « nous servons la même cause par des moyens différents et […] j'emploie aux œuvres dont j'ai pris charge ce dont je puis disposer ». Marie Moret ne dispose pas de moyens à consacrer à d'autres œuvres que celle qu'elle accomplit.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur le maire de Guise, 9 octobre 1895
Envoi de 100 F pour le bureau de bienfaisance de Guise au nom de Marie Moret et de la famille Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 18 décembre 1895
Sur les secours à apporter à monsieur Pierquet, « brave homme » et « digne homme », employé du Familistère, qui donne des leçons d'anglais. Marie Moret a été informée par une lettre d'Hélène Moyat à Marie-Jeanne Dallet que monsieur Pierquet était malade et sans ressources : elle demande à Piponnier s'il connaît sa situation à l'égard des assurances mutuelles du Familistère et si sa famille est informée. Marie Moret propose de lancer une souscription pour le secourir sans blesser sa dignité. Temps pluvieux à Nîmes : Marie Moret attend toujours son foyer économique.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 23 décembre 1895
Sur le soleil spirituel qui rayonne des lettres de Piponnier. Réponse à la lettre de Piponnier du 20 décembre 1895. Réception à Nîmes du foyer économique. Demande s'il y a eu au Familistère des réactions à la publication de la conférence de Godin dans Le Devoir de décembre 1895. Antonia Piponnier a joué le rôle de Marie Stuart dans la pièce éponyme. Sur monsieur Pierquet : renseignements communiqués par Piponnier ; la souscription est écartée pour le moment ; Pierquet bénéficie des allocations des assurances mutuelles du Familistère. Sur les abus dans les assurances mutuelles. Sur la voix chantée de Robert Piponnier. Félicitations à Marcel Piponnier pour ses résultats scolaires. Georges et Julien « sur la voie où Paul était l'an dernier ». Envoi de la brochure d'Auguste Fabre sur Robert Owen : « Robert Owen était animé du même amour humanitaire que Godin. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 30 décembre 1895
Sur les enfants de Marie Dossogne. Envoi d'argent. Marie Moret souffre de la main droite et doit abréger ses lettres.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président du bureau de bienfaisance, 14 mai 1874
Godin informe le président du bureau de bienfaisance qu'il verse à la caisse du bureau de bienfaisance une somme de 420 F pour règlement de taxes sur les recettes du Familistère et une somme de 171,54 F qui est le produit de la cavalcade organisée par les habitants le 15 mars 1873. Godin constate que le ralentissement du travail crée des difficultés dans un certain nombre de familles. Il propose de dresser une liste de familles pauvres auxquelles il serait fait chaque mercredi une distribution de pain en son nom et pour son compte pendant la durée de la crise industrielle. Il espère avoir des imitateurs pour éradiquer la misère à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Alfred Maillet, 21 mai 1874
Sur la proposition de Godin de faire chaque semaine une distribution de pain aux familles nécessiteuses : Godin explique au maire qu'il désire arrêter avec le bureau de bienfaisance une première liste pour une distribution de 150 kg par distribution ; la rumeur annonce que le maire aurait refusé cette proposition, ce qu'il ne comprendrait pas ; Godin attend une réponse du maire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 22 mai 1874
Sur des secours à accorder par le comité présidé par Dequenne aux ouvriers de Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 16 juin 1874
Il est question d'une liste de distribution dressée par Dequenne. Godin lui demande si d'autres besoins méritent d'être pris en considération. Godin transmet à Dequenne les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 10 juillet 1874
Godin communique à Levasseur un article sur les institutions du Familistère rédigé par un de ses employés [Alphonse Grebel] pour combattre la calomnie à l'égard du Familistère ; il précise qu'il avait retenu la publication de l'article mais qu'il ne s'y oppose plus. Sur les écoles du Familistère : il lui transmet la note communiquée au ministre de l'Instruction publique ; l'administration avait jusqu'ici procédé par intimidation, sous le ministère Batbie, l'inspecteur général Eugène Rendu avait fait deux visites inquisitoriales concluant que le curé devait pouvoir entrer dans les écoles, ce qu'il a refusé tout en demandant aux maîtres d'enseigner davantage le catéchisme, et que les sexes devaient être séparés, ce qu'il a accepté. Godin envoie à Levasseur une correspondance relative à l'administration municipale et la gestion du bureau de bienfaisance de Guise : depuis 1870, la classe riche de Guise ne verse plus sa cotisation au bureau, d'où une réduction de 4 000 F de ses dépenses ; Godin a proposé une distribution de pain aux familles nécessiteuses mais le maire s'y est opposé avec violence ; Godin a donné ordre à ses employés d'organiser une distribution dans son établissement deux fois par semaine en plus des sommes versées au bureau de bienfaisance provenant des taxes levées sur les représentations théâtrales.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 juillet 1874
Sur les enfants Vérinos : Godin recommande à son fils de les laisser revenir à l'école : « Ne nous faisons pas trop redresseurs de torts ». Sur un arrêté du maire : Godin invite son fils à ne pas s'en préoccuper, mais de veiller à ce qu'il soit demandé au représentant de l'administration ou de la police qui viendrait à l'usine ou au Familistère de faire sa demande par écrit pour pouvoir y répondre après l'avoir consulté.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 16 décembre 1874
Sur la tenue d'une réunion des habitants le jour de l'an. Godin explique à Grebel qu'il avait accepté ces réunions car elles avaient un caractère de spontanéité, mais qu'elle avait eu un caractère officiel l'année dernière. Il préfèrerait qu'elle n'ait pas lieu, mais s'en remet à la décision du conseil. Il prie Grebel de dire à de Sobirats qu'il cherche à sauvegarder ses intérêts. Il lui recommande de ne pas envoyer au Journal de l'Aisne son article sur les institutions de bienfaisance.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 13 mars 1875
Godin demande à François Dequenne d'examiner la situation de la famille Duchemin et de prendre des mesures pour la soulager s'il y a lieu. Il annonce à Dequenne qu'il souhaiterait que les habitants du Familistère puissent travailler davantage pour améliorer leur position, quitte à renvoyer encore un certain nombre d'ouvriers ; il lui demande de s'entendre avec Émile Godin et avec Eugène André sur cette question.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 4 mai 1875
Sur l'organisation de la fête du Travail du Familistère. Godin s'en remet à Dequenne pour l'organisation de la fête mais il suggère que le comité administratif limite son action au contrôle des dépenses et laisse le conseil du Familistère s'occuper de l'organisation de la fête. Il donne raison à Dequenne sur la révision des « listes de secours » car « il ne faut pas qu'on s'habitue au Familistère à compter sur autre chose que le travail ». Il annonce à Dequenne son prochain retour à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 18 juin 1875
Sur des brevets de cuisinières. Godin se plaint que Larue ne s'occupe pas de ses affaires à Vervins : il n'a pas sollicité Cresson dans l'affaire de licitation, Esther Lemaire se fait toujours attendre et il ne répond pas à ses lettres. Sur l'affaire de la haie mitoyenne avec la propriété de Lefèvre père. Sur des taquineries de la mairie de Guise. Sur l'éducation des jeunes travailleurs de l'usine. Sur les caisses du Familistère : Godin ne veut pas qu'elles tournent au profit des invalides et des vieillards du dehors.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 1er juillet 1875
Godin autorise Grebel à faire ce qu'il prévoit au Familistère et à l'usine pour la souscription pour les inondés. Il lui explique que son projet de lettre au Courrier de l'Aisne sur la souscription aux inondés est un sujet de discussion entre les députés. Il lui demande de l'inscrire pour 200 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 1er juillet 1875
Godin a été informé du résultat des souscriptions du Familistère pour les inondés. Il incite Émile à élever sa souscription à la somme de 50 F. Il lui demande de remettre la lettre jointe [lettre de Godin à Alphonse Grebel du 1er juillet 1875] à Alphonse Grebel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 4 juillet 1875
Sur la rédaction d'un brevet d'invention pour une cuisinière. Sur la souscription de l'usine de Guise et celle de l'Assemblée nationale [pour les inondations du 23 juin 1875].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 juillet 1875
Godin demande à son fils Émile de remettre une lettre à François Dequenne. Sur une souscription de la ville de Guise [pour les victimes des inondations du 23 juin 1875] : Godin fait observer que celle du Familistère a été faite et qu'il n'y a pas lieu de s'occuper de celle de la ville.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 14 juillet 1875
Godin envoie à Grebel la copie du jugement dans l'affaire [de colportage] des brochures. Il souhaite que la recette brute de la représentation [théâtrale] du 18 juillet soit versée au profit des inondés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 juillet 1875
Godin indique à son fils Émile qu'il n'y a rien à payer à la municipalité de Guise tant que Maillet sera maire ; il lui demande de rendre le reçu à Noiret en lui disant qu'il distribue lui-même ce qu'il a à donner aux pauvres. Sur un monsieur Rousselle. Il demande à Émile de remettre à André la lettre jointe.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 décembre 1875
Godin est satisfait par la bonne marche de l'usine et des affaires et l'avertit qu'ils s'entretiendront à son retour des questions de personne et d'administration. Sur le litige de 20 F avec l'octroi : Godin explique à Eugène André que son fils Émile est trop à cheval sur ces questions de peu d'importance ; il souhaite que la somme soit payée. Il demande à André de dire à Darras qu'il ne peut satisfaire sa demande. Sur une maison Honoré à Guise : l'administration voudrait l'obliger à des frais d'entretien ou de réparation ; Godin demande à André de vérifier que l'administration ne puisse lui imposer des obligations de propriétaire ; il lui demande de déclarer au maire que c'est par charité pour ceux qui y habitent que la maison est entretenue par la manufacture. Il lui renvoie l'avertissement du commissaire à ce propos.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe sa cousine Césarine que le conseil général de l'Aisne a accordé un quart de bourse à son fils après une discussion sérieuse sur son cas. Il explique pourquoi un quart de bourse seulement a été attribué et s'offre de payer les trois autres quarts pour faciliter l'entrée de son fils à l'école normale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Maurin du 24 septembre dernier en lui faisant remarquer que les réponses à ses questions se trouvent dans le livre Solutions sociales qu'il dit avoir lu. Sur les assurances contre la maladie au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire de Guise qu'il a soumis aux commissions des caisses de retraite de son usine la pièce qu'il lui avait soumise, et que les commissions ont décidé qu'elles n'avaient pas à intervenir dans la mesure où Gernelle était un enfant de Guise dont le cas relevait de l'administration publique et que les secours qui lui étaient prodigués devaient se poursuivre sous la même forme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pour satisfaire la demande de Butez-Derosnes transmise par monsieur Novelli, Godin lui adresse un exemplaire de Solutions sociales et des quatre petits volumes publiés ensuite, pour sa bibliothèque populaire républicaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Ernest Lefèvre une liste de souscription en faveur des ouvriers lyonnais accompagnée d'un chèque de 694,80 F, et 1,05 F en timbres postaux pour l'achat de 7 exemplaires du numéro du Rappel qui présente la souscription.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Malézieux qu'il a reçu une lettre de son homonyme, Léon Godin, élève du lycée de Saint-Quentin, qui a l'ambition d'entrer à l'École polytechnique. Il demande à Malézieux d'intercéder auprès du ministère de l'Instruction publique pour obtenir une bourse en faveur de Léon Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Marcoux une copie des règlements de la caisse de secours et de la caisse de retraite de l'usine du Familistère de Guise. Il précise que l'allocation fixée pour la caisse de retraite a toujours dépassé les besoins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin soutient la demande formulée par Ermantine Ollivier, dévouée à sa sœur Grimonie Ollivier, et par Eugène Blondel, dévoué à Ermantine Ollivier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Vauchez un chèque de 210 F en paiement de son inscription sur la liste des membres de la Ligue de l'enseignement et de sa cotisation annuelle. Il lui demande ce qu'il lui doit pour les bandes d'adresses que Champury lui a demandé d'envoyer pour le journal qu'il fonde à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accepte de recevoir 13 000 adresses [pour l'envoi du Devoir] selon la proposition de Vauchez, mais lui demande toutefois s'il peut les lui fournir à un prix moindre que celui des adresses précédentes dont il lui envoie le règlement de 15,85 F. Il lui confirme qu'il lui a envoyé 210 F en vertu de l'article 5 des statuts [de la Ligue de l'enseignement]. Il suppose que Vauchez a reçu le numéro programme du journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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La préfecture de l'Aisne aurait égaré le dossier envoyé par Godin pour signaler les actes de dévouement d'Ermantine Ollivier de Saint-Germain près de Guise : Godin demande au préfet d'accorder son attention à cette affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin suggère à Vauchez de réclamer auprès d'Edmond Turquet le montant de la souscription de Guise pour le matériel des écoles, qui s'élève à 200 F. Dans le post-scriptum, il lui annonce qu'il lui envoie 0,60 F qu'il lui devait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le ministre que Louis Quentin Dubois, âgé de 64 ans et habitant à Guise, lui a adressé le 16 février 1878 une demande pour que son fils Louis Dubois, mécanicien à bord du croiseur La Themis affecté au port de Toulon, soit renvoyé dans ses foyers car ce dernier est le seul soutien du vieillard presqu'aveugle et infirme. Il ajoute que Louis Dubois est en permission à Guise depuis 29 jours et demande à bénéficier d'un congé définitif.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce au préfet que l'état de sa santé ne lui permet pas de se rendre à la réunion à laquelle il est invité. Il lui fait part de l'accord intervenu entre les maires du canton de Guise sur la répartition des secours aux familles. Il l'informe que la ville de Guise a 250 familles à secourir en temps ordinaire mais qu'elle en compte 500 actuellement, et que cette situation existe dans d'autres communes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Boissy a informé Edmond Thiaudière qu'il veut donner des livres à la bibliothèque du Familistère. Godin avertit Boissy qu'Amédée Moret ira le voir à ce sujet. Il le remercie pour son intention.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Lemonnier qu'il va faire paraître dans le journal Le Devoir la notice de ce dernier sur Les États unis d'Europe et il lui envoie un mandat postal de 50 F pour son œuvre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Lesigne de son concours. Sur la réputation de libéralisme et de républicanisme du département de l'Aisne. Godin espère rencontrer Lesigne à Paris où il se rend le lendemain.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Virginie Griess-Traut du 29 avril 1882. Godin estime insuffisante la somme de 100 000 F consacrée à la fondation d'une œuvre perpétuelle au profit de l'éducation des jeunes femmes, somme qu'il compare avec les millions qu'il a investis dans le Familistère. Il recommande de regrouper différents concours pour réaliser une telle œuvre. Il l'informe qu'il accepte de publier dans le journal Le Devoir l'étude sur le sort des femmes en Allemagne. Il lui fait envoyer le numéro du Devoir qu'elle n'a pas reçu.
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