Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Louis et Suzanne (Suzon) sont les frère et sœur de Léon. On ne confondra pas la sœur et l’épouse de ce dernier (Werth se marie en 1922 avec Suzanne Canard), qui portent le même prénom.

Ami commun de Marguerite Audoux et de Léon Werth, le Docteur Delort est médecin à l’Hôpital Saint-Antoine et dans son cabinet du 26 avenue du Président-Wilson (XVIe arrondissement). Il pratique aussi, comme il était d’usage à l’époque, et comme c’est le cas ici, les visites à domicile.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Suzon Werth est la sœur de Léon.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Louis est le frère de Léon et Suzanne Werth.

Ami commun de Marguerite Audoux et de Léon Werth, le Docteur Delort est médecin à l’Hôpital Saint-Antoine et dans son cabinet du 26 avenue du Président-Wilson (XVIe arrondissement). Il pratique aussi, comme il était d’usage à l’époque, et comme c’est le cas ici, les visites à domicile.

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Le « petit commissionnaire de 14 ans » pourrait être Paul, l’aîné des fils adoptifs, mais qui n’en a alors que 11.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sophie Rauh est la mère de Léon Werth et la sœur du philosophe Frédéric Rauh.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888–1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Louis est le frère de Suzanne et Léon Werth.

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Louis est le frère de Léon Werth.

Gégé n’a pu être identifié.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon et Louis Werth).

Agathe est l’épouse de Francis Jourdain.

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Suzanne Werth, née Canard (1888 – 1949) sculpteur, décoratrice et résistante à partir de 1942, est l’épouse de Léon Werth. (à ne pas confondre avec l’autre Suzanne, la sœur de Léon Werth).

Louise Roche est l’amie de toujours de la romancière.

Collection : 1926
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Henri Dejoulx (dans Marie-Claire, Henri Deslois), dont s’éprend Marguerite Audoux lorsqu’elle est placée dans une ferme de Sologne, a une sœur aînée, Charlotte Dejoulx, qui épouse émile Dubois, notaire à Argent-sur-Sauldre puis à Saint-Viâtre. Leur fils aîné deviendra le docteur Augustin Dubois (23 août 1874, Argent-sur-Sauldre – 8 décembre 1948), qui exercera à Lamotte-Beuvron de 1906 à sa mort subite, et à qui est adressée la présente lettre. Singulièrement, la rencontre entre le médecin et la romancière vient davantage du succès de Marie-Claire que d’une recherche biographique qu’eût menée Augustin Dubois, qui « est un homme lettré ayant écrit quelques plaquettes historiques ou ethnologiques. S’intéressant aux auteurs qui chantent la Sologne, il est en relation avec quelques écrivains bien oubliés aujourd’hui, dont Roger sausset et Lucien Jullemier, mais aussi Marguerite Audoux, dont le renom n’est plus à affirmer. Augustin Dubois lui rend visite à Paris quand elle est au sommet de sa réputation, et de cette rencontre naît une lettre dans laquelle la romancière se dévoile avec une réelle sincérité dans son style littéraire à la simplicité inimitable. » [Heude (Bernard), Marguerite Audoux et la Sologne. Lettre autographe inédite au docteur Augustin Dubois. Lointains souvenirs et diverses dédicaces, in la Sologne et son passé (Bulletin du Groupe de Recherches Archéologiques et Historiques de SOLOGNE), n° 62, janvier-mars 2015, p. 13-26]

À cette lettre sont joints la reproduction d’un article de Marguerite Audoux extrait du journal Paris-Soir du jeudi 25 mars 1926, Lointains souvenirs (la romancière a ajouté au-dessus du titre : « Histoire vraie ») et Une Petite Histoire de Sologne dont nous reproduisons le texte :

« Comme récompense de la peine que vous allez prendre, voici une petite histoire de Sologne.

C’était fête à Pierrefitte ce dimanche-là, et votre mère, la bonne Charlotte aux beaux yeux francs, aux cheveux brillants et bouclés, avait eu la gentillesse de m’emmener à cette fête en même temps que sa mère, mais aussitôt arrivée elle s’aperçoit qu’elle a oublié un vêtement indispensable à l’un de ses enfants. J’offre de courir à Villeneuve le chercher, mais même en courant, à l’aller comme au retour, je ne serais pas revenue à temps. Charlotte, alors, a une idée. Prenez la voiture, me dit-elle. Je ne savais pas conduire, et Henriette assurait que je jetterais la jument dans le fossé si on me la confiait. Mais Charlotte, ses yeux dans les miens, me dit avec cette bonne humeur qui lui était coutumière : mais si, voyons, vous saurez bien conduire. Et puis la jument connaît bien le chemin, elle ira toute seule.

Oui, la jument connaissait le chemin, mais tout de suite elle prit la gauche, de sorte que les voitures rencontrées s’écartaient de mauvaise grâce, tandis que l’on me criait : ta droite, ta droite. J’ignorais qu’il y eût une droite et une gauche pour les voitures et je me creusai la tête pour savoir ce que voulaient dire ces gens. Au retour, lorsque je le demandais à Charlotte, elle eut un beau sourire avant de me répondre. »

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Agathe est l’épouse de Francis Jourdain.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Collection : 1934
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Collection : 1913
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Élie Faure (1873‑1937) est à la fois médecin et auteur d’une Histoire de l’art (1909‑1921). C’est lui qui, dans la clinique de son frère Jean‑Louis, soigne en décembre 1910 Charles‑Louis Philippe mourant, véritablement désespéré de ne pouvoir rien faire pour lui [Voir Gide, André, Journal, Pléiade, 1940, p. 281]. C’est donc un familier du groupe de Carnetin, d’autant que ses idées de gauche le rapprochent de Philippe, Jourdain et Werth. Il lutte inlassablement pour les moins favorisés, et ce sont ses cours, prodigués dans les Universités ouvrières, qui donneront naissance à son grand ouvrage.

Léon Werth (1879‑1955) représente, de façon moins radicale et plus marginale que Francis Jourdain, l’homme de gauche du Groupe de Carnetin. Après une enfance où il est plus ou moins livré à lui‑même, il poursuit de bonnes études, mais quitte l’hypokhâgne d’henri‑IV pour exercer de nombreux petits métiers. En tant que juif, il est contraint, pendant la Seconde guerre, de se cacher dans le Jura. Ses relations chaleureuses avec Marguerite Audoux demeurent jusqu’à la fin d’une grande fidélité. La romancière apprécie d’ailleurs plus l’ami que l’homme engagé politiquement à gauche et l’écrivain, trop intellectuel à son goût. Werth, journaliste reconnu (voir la lettre 29, note 74), et secrétaire de Mirbeau, laisse un certain nombre d’œuvres, dont La Maison blanche, qui rate de peu le Goncourt en 1913.

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Valserine

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Signatures d'exemplaires

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de restitution d'une page manuscrite

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

D’origine modeste, et après des échecs répétés dans ses études, Charles-Louis Philippe [4 août 1874 (Cérilly, Allier) ‑ 21 décembre1909 (Paris)], tente de s’imposer littérairement dans la capitale, tout en travaillant à l’Hôtel de Ville sur une recommandation de Barrès. Il abandonne une poésie symboliste un peu laborieuse au profit du roman. Son plus grand succès est Bubu de Montparnasse (1901). On retiendra aussi, pour l’essentiel, La Mère et l’Enfant (œuvre autobiographique, 1900), Le Père Perdrix (1903), Marie Donadieu (1904), Croquignole (1906) et Charles Blanchard (posth. 1913). C’est en 1900 que ce natif de Cérilly fait la connaissance de Marguerite Audoux, sa « payse », par l’intermédiaire de Michel Yell. L’amitié avec la romancière sera si forte que celle‑ci pensera renoncer à la publication de Marie‑Claire lorsque Philippe meurt prématurément à trente‑cinq ans. Certains des Contes du Matin, « La Visite » et « L’Ivrogne », empruntent à la vie de la romancière.

Francis jourdain (1876-1958), élève d’Eugène Carrière, est peintre, décorateur et écrivain. Il est un intermédiaire efficace auprès d’Octave Mirbeau pour l’édition et le succès de Marie-Claire. C’est lui qui dessine les meubles de Marguerite Audoux. Avec Léon Werth, il demeurera, jusqu’à la fin l’ami fidèle de la romancière.

Collection : 1909
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Nouvelles de son entorse, allusion à certains membres du groupe de Carnetin (Francis Jourdain, Michel Yell, Marcel Ray)

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Projet de déjeuner chez Gignoux - Emma Mc Kenty

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Questions domestiques - Dessin de Charles Guérin - Épreuves de Rouché - Nouvelles de l'entourage

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Recherche, par Marguerite Audoux, d'un appartement pour le romancier

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Santés - Francis Jourdain - Appartement de Larbaud - Mort de Jules Renard - Besson - Élie Faure - Gide - Corrections - Contes - Copeau et Rouché - Charles-Louis Philippe

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Venue de Marcel Ray à Paris - Nouvelles des amis - Préface de Marie-Claire - Traduction du roman - Fermina Marquez - Projets de Bretagne

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Appartements de Valery Larbaud - Angèle Lenoir - Emma Mc Kenty et Madame Philippe

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Angèle Lenoir - Affaires domestiques concernant Larbaud - Emma Mc Kenty et la famille Philippe - Régis Gignoux et Francis Jourdain

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La Phalange - William-Ernest Henley - Style - Santé - Souvenirs estivaux

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Annonce du départ pour le Jura, traduction de Larbaud dans la NRF, affaires matérielles (santé, appartement de Larbaud), Cahiers nivernais

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
L'attente du Prix Goncourt

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Pèlerinage à Bourges, les Nocturnes de Léon-Paul Fargue

Collection : 1910
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Article de Marguerite Audoux sur Charles-Louis Philippe - Tirage de Marie-Claire - Léon Damasse

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Nouvelles de Fargue et des Jourdain - Projet de voyage dans le Midi - Fermina Marquez - Article sur Charles-Louis Philippe à envoyer à Montfort et Mirbeau

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Relation par Marguerite Audoux de son voyage vers le Midi et se son accueil à la gare de Marseille par Francis Jourdain

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur ses vacances avec les Jourdain à Saint-Jean-sur-Mer

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur "Baboulo" (fils des Jourdain), enfant capricieux - Vie à Saint-Jean-sur-Mer - Problèmes de santé

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur la santé de Larbaud et des Jourdain et la vie à Saint-Jean-sur-Mer - Projet d'aller retrouver Michel Yell - Jeanne Gignoux enceinte

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Traductions de Marie-Claire - Nouvelles des Jourdain - Correspondance éditoriale - Versatilité de Michel Yell - Mon Bien-Aimé - Questions domestiques

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la santé et la maternité - Remerciements pour l'envoi de bonbons

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour un colis de friandises - Charles-Louis Philippe - Baisse de moral - Anecdotes plaisantes

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Rhume - Léon-Paul Fargue - Arrivée prochaine à Fronton

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Problèmes domestiques et administratifs, nouvelles de certains membres du Groupe de Carnetin

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Projets de vacances estivales à l'Île-d'Yeu

Collection : 1911
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Léon Werth - "Rose Lourdain" - Relation avec Michel Yell - Son travail d'écrivain

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voeux - Emploi du temps quotidien - Rédaction simultanée de L'Atelier de Marie-Claire et du "Suicide"

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La Chanson du vieux marin - Propos domestiques - Antonin Dusserre - Réunions amicales chez Francis Jourdain et Léon Werth

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Silence de Larbaud - Valse-hésitation de Michel

Collection : 1912
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Fargue - Annonce de la parution de la revue de Besson - Difficultés à travailler

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Correction des épreuves de L'Atelier de Marie-Claire - Marcel Ray - Paul d'Aubuisson - Demande de traduction espagnole
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