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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (5) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chedevile, 2 octobre 1861
Godin informe Chedeville que ses aptitudes ne correspondent pas à celles d'un candidat aux emplois offerts dans l'annonce parue dans les journaux. Il lui propose un emploi plus secondaire, celui de la direction des magasins et des expéditions de l'usine de Guise aux appointements de 125 F par mois. Il précise que la fonction requiert une présence pendant toutes les heures de travail de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chenard, 30 juillet 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Chenard que son éloignement, le fait qu'il occupe déjà un emploi, et que son désir d'occuper des fonctions plus paisibles alors que l'emploi auquel il prétend demande une grande activité d'esprit, ne plaît pas en faveur de sa candidature. Toutefois, étant donné l'insistance de Chenard, Godin lui signale que son choix n'est pas arrêté et il lui demande son âge et le chiffre des émoluments auquel il aspire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Correaux, 21 septembre 1859
Godin répond à une lettre officieuse que lui a envoyée le commissaire de police à propos de faits reprochés à Émile Godin. Godin remercie le commissaire de donner l'occasion à Émile de justifier les paroles qu'il a employées à l'égard, semble-t-il, de la police.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Darras, 12 octobre 1861
Godin demande à Darras des renseignements sur Potel, ancien fondeur à Amiens qui se propose de venir à Guise comme employé des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il pose à Darras une série de questions relatives à Potel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Degon, 14 janvier 1857
Godin explique à Degon que Lhermitte lui a parlé de lui, mais qu'il n'est pas favorable à son projet d'entrer dans son entreprise, car il ne dispose pas des connaissances pratiques requises pour la nature de son industrie qui n'a rien à voir avec une filature ou un tissage dans lequel Degon pourrait être utile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delachevardière, 4 janvier 1861
Godin explique à Delachevardière qu'il veut juger non seulement les capacités, mais aussi le caractère facile et bienveillant de son frère, candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais que le peu d'informations données par ce dernier est un obstacle à cette appréciation. Godin juge qu'une entrevue avec le frère de son correspondant est prématurée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delachevardière, 19 décembre 1860
Godin informe qu'un emploi de comptable sera prochainement vacant dans son usine de Guise, que l'employé a perçu 5 000 F l'an passé grâce à ses capacités. Il demande à son correspondant que la personne intéressée par le poste se fasse connaître rapidement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delachevardière, 22 décembre 1860
Godin répond à une lettre de Delachevardière du 21 décembre 1860 qui se propose de venir à Guise. Godin lui demande que son frère doit d'abord lui répondre personnellement pour lui communiquer des renseignements sur ses capacités en comptabilité et lui indiquer quels sont les émoluments auxquels il prétend.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur de Saussaye, 5 octobre 1861
Godin répond à un candidat à l'emploi de direction de la fonderie de l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande s'il a les aptitudes pour l'emploi et s'il a un caractère facile pour se faire accepter par un personnel nombreux d'ouvriers et de contremaîtres. Il lui demande le montant des appointements qu'il prétend obtenir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Diguit, 1er septembre 1856
Godin informe Diguit qu'à la suite de sa consultation avec madame Diguit le 16 août 1856, sa santé s'est améliorée, mais une glande est apparue sous l'aisselle gauche, douloureuse, qu'il ne parvient pas à dissiper par des cataplasmes. Il demande à Diguit si madame Diguit consentirait à correspondre avec lui en attendant la prochaine consultation à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 2 juillet 1856
Godin communique à Dolot des informations sur la maison qu'il doit louer à Guise. Monsieur Willot est toujours disposé à lui louer une maison pour 150 F. Godin a reçu la proposition de louer la partie d'une maison louée par Bouleau dont il décrit la disposition et les conditions financières de location. Le loyer de la maison de Bouleau est de 325 F. Godin juge qu'elle est préférable à celle de Willot et il précise qu'elle se trouve en face de celle de Moret, donc assez proche de la manufacture. Il ajoute que Bouleau n'est pas encore parti, mais que le propriétaire mettrait deux autres pièces à sa disposition.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 4 février 1861
Sur le départ de Dolot, comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin reproche à Dolot d'avoir prélevé dans la caisse de la manufacture une somme de 3 500 F pour solde de son compte sans en avoir convenu avec lui. Godin juge parfaitement irrégulière cette façon de procéder et enjoint Dolot de reverser dès le lendemain la somme dans la caisse. Godin menace Dolot d'un scandale s'il ne satisfaisait pas à cette exigence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 5 juillet 1856
Godin informe Dolot sur le coût du transport de son mobilier, et lui demande d'arriver rapidement à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 7 août 1861
Godin répond à une lettre de Dolot du 31 juin 1861. Godin refuse l'offre de services de Dolot auquel ne convenait pas la situation que lui avait faite Godin. Il lui explique que l'entreprise que Dolot veut entreprendre (en concurrence de Godin semble-t-il) lui sera fatale, et qu'il ne veut consentir à aucun dépôt. Il lui indique qu'ouvrir un magasin à Lille ou Paris pourrait être profitable, mais que son aide ne peut offrir de garantie à la réussite d'une entreprise mal gérée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 7 juin 1856
Godin précise à Dolot ce qu'il attend du comptable qu'il s'apprête à recruter : la direction de la comptabilité, mais aussi la direction commerciale et aussi l'achat des matières premières. Godin veut savoir si Dolot a des aptitudes à la direction commerciale et s'il peut prétendre à gagner 3 600 F comme il l'a demandé lors de leur entretien. Godin l'encourage à faire un essai.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 7 novembre 1861
Godin explique à Dolot qu'il a constaté des irrégularités comptables dans sa gestion et lui demande de rembourser la somme de 156,35 F. Il lui indique en outre qu'il ne souhaite pas s'engager avec lui dans des affaires alors que de nombreuses affaires l'occupent déjà.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 10 juillet 1856
Sur une maison à louer à Guise par Dolot. Godin communique à Dolot une lettre de madame Tordeux relative à une maison à louer. Il conseiller à Dolot de venir un peu avant l'arrivée de ses malles pour obtenir réponse à toutes ses questions. Il l'avertit qu'il se trouvera le lendemain et le surlendemain au n° 6 rue de Beaune à Paris, où il pourra venir le voir. Il précise qu'il ne l'invite pas à le rencontrer à l'hôtel Voltaire, car il pourrait descendre au Grand hôtel du Louvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 16 juin 1856
Godin fixe les conditions du recrutement de Dolot dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : appointements de 300 F par mois dès son entrée qui pourront être modifiées par des émoluments fixes de 170 F par mois auxquels s'ajoutera une participation aux bénéfices qui portera la rémunération à au moins 3 600 F pour la première année. Godin demande à Dolot si ces conditions lui conviennent et le cas échéant la date de son arrivée à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 18 juin 1856
Godin exprime son accord avec la lettre de Dolot du 17 juin 1856 excepté sur un point : il aura la direction des employés de bureau, mais n'aura que des observations et des conseils à donner au personnel de la fabrication. Godin lui annonce qu'il doit partir dans deux jours pour Dunkerque pour y recevoir de la fonte venue d'Angleterre ; il propose de lui écrire de Dunkerque la date de son retour à Guise afin que Dolot puisse venir à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dolot, 29 août 186
Godin confirme à Dolot qu'il n'a pas l'intention de lui concéder un dépôt ni consacrer du temps à faire des affaires avec lui, mais qu'il ne repousse pas l'idée d'accepter ses services s'il n'est pas obligé de s'y engager personnellement. Il lui indique qu'il ne peut lui confier la position occupée par monsieur Poirier et qu'il ne peut qu'attendre une occasion favorable.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dugast, 9 décembre 1856
Godin rappelle à Dugast sa visite à Indret, à l'occasion de laquelle il l'avait empêché de partir pour le Texas « lorsque j'ai reconnu l'impuissance de notre direction là-bas à utiliser des capacités comme les vôtres qui auraient été s'y perdre sans profit pour la cause ». Godin souhaite obtenir un croquis du système des machines à vapeur destinées à percer et à étamper les boulons et à découper les tôles, qu'il a vues à Indret, qui lui serait utile pour construire une machine à découper et percer de petits écrous.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dugast, 24 décembre 1856
Godin remercie Dugast pour l'envoi de dessins et d'une description [de machines]. Il suggère à Dugast de lui communiquer une note des frais qu'il a engagés pour ce travail du croquis de la machine à percer d'Indret. Godin précise que ce qui l'intéresse, c'est la transmission du mouvement par une machine à vapeur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dupontchef, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre de Dupontchef, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, qui a fixé le montant des appointements auquel il prétend. Godin lui explique qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers, mais que des besoins nouveaux l'engagent à faire appel à un artiste. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine : « C'est d'ailleurs moins dans la sculpture des objets que dans l'harmonie des lignes que je trouverai du mérite, car entrant dans la voie de l'imitation du marbre, le genre des objets devra être sévère et sobre d'ornements. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dupuis, 11 octobre 1861
Godin informe Dupuis que ses connaissances ne sont pas en rapport avec la direction d'une fonderie de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Édel, 17 novembre 1856
Godin rappelle à Edel la visite de ses ateliers de construction de navire à Nantes qu'il a faite l'année précédente, et lui demande des renseignements sur une machine à percer les tôles de fer qu'il a vues à cette occasion. Il voudrait faire construire une machine analogue et demande pour cela un croquis de la machine ; il propose de couvrir les frais d'un dessinateur par un bon sur Blachier, dépositaire de ses produits à Nantes. La fin de la lettre est relative à la colonie de Réunion au Texas : « Je ne viens pas à mon grand regret vous entretenir de nos affaires de l'autre monde. Elles sont tombées dans le calme le plus complet, et si nous faisons des affaires fructueuses au Texas, nous ne pouvons maintenant y faire que des affaires. L'avenir de l'idée phalanstérienne n'est plus là plus qu'ailleurs. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. Demaret, 22 décembre 1860
Godin indique à E. Demaret quelles sont les capacités utiles pour occuper l'emploi de comptable qu'il offre par une annonce dans les journaux. Il juge que le jeune âge de Demaret ne lui permet pas d'avoir les connaissances requises pour cet emploi, mais qu'il pourrait prétendre à un emploi moins élevé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. Gentil, 11 juin 1862
Godin informe Gentil que sa candidature à un emploi dans l'usine de Guise n'a pas été retenue et que la direction de l'usine de Laeken n'est pas dans ses aptitudes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. G Gavet, 23 mai 1861
Godin avertit E. G. Gravet que l'emploi qu'il avait en vue de créer en écrivant au directeur de l'École des arts et métiers de Châlons n'est peut-être pas ce qu'il pouvait espérer, aussi lui demande-t-il de fixer ses conditions pour entrer au service des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il précise que le logement n'est pas fourni, que chacun peut se loger comme il le désire, en ville ou dans la vaste habitation qu'il a construite moyennant un loyer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. G Gavet, 28 mai 1861
Godin annonce à Gavet qu'il accepte sans discuter les prétentions de ce dernier à 2 400 F d'émoluments pour entrer dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, et qu'il attend son arrivée. Godin lui propose de venir passer quelques jours à Guise avant son installation avec sa famille pour confirmer leur entente. Il demande à Gavet s'il y a en Champagne des ouvriers mouleurs qui seraient prêts à venir à Guise ; il lui indique qu'il a besoin de 100 nouveaux mouleurs dans ses ateliers.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Étanne fils, 11 juin 1862
Godin informe Étanne que sa candidature à l'emploi de direction de l'outillage de l'usine de Guise n'a pas été retenue et que la direction de l'usine de Laeken n'est pas dans ses aptitudes. Il lui indique qu'il ne s'oppose pas à une visite d'Étanne à Guise, mais sans engagement de sa part.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur F. Minot, 1er août 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin annonce à Minot qu'il fait partie des trois candidats parmi lesquels il doit faire un choix. Il lui demande de lui exposer quelle part il compte prendre dans chacune de ses fonctions, qui comprennent le contrôle et le redressement de la comptabilité de son usine belge, la surveillance et la division des fonctions des employés de bureau de l'usine de Guise, le contrôle de toutes les opérations des bureaux de la même usine, ainsi que l'organisation définitive de la comptabilité du Familistère « et des moyens à introduire pour la sûreté de toutes les opérations dans les achats et ventes variées qui s'y font de façon à me présenter tous les mois un rapport avec tableaux synoptiques de la situation ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur F. Minot, 4 septembre 1861
Sur l'offre d'emploi de comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin répond à deux lettres de Minot des 21 et 25 août 1861. Il lui explique que le retard de sa réponse est dû au fait que l'un des candidats est venu à Guise et qu'il a été choisi pour occuper l'emploi auquel Minot prétendait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fourdinois, 1er décembre 1862
Godin demande des renseignements sur la capacité de sculpteur et le caractère de G. Thiébaut, au 31 chaussée du Maine, qu'il a occupé autrefois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fournier, 16 juin 1856
Godin annonce à Fournier qu'il ne retient pas sa candidature à l'emploi d'agent comptable et commercial des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, car ses aptitudes dans les affaires commerciales ne sont pas avérées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Franck, 11 juin 1862
Godin répond à une offre de services de Frank en lui disant qu'il n'a pris aucune résolution à l'égard de sa proposition et en l'invitant à venir en discuter avec lui à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Fréminet, 5 octobre 1861
Godin demande à Fréminet des renseignements sur Laval-Brasseur, qui a cessé ses affaires à Sedan.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gaillard, 30 juillet 1861
Godin annonce à Gaillard que sa candidature a peu de chances d'être retenue bien que le choix d'un candidat ne soit pas encore arrêté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gallouin, 18 mai 1861
Godin demande à son correspondant des renseignements sur E. G. Gravet demeurant au fourneau de Joinville, vraisemblablement candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin assure son correspondant de sa discrétion. Au bas du folio se trouve la mention « aussi à MM Pertat et Sauvage », qui indique que la même lettre a été adressée à ce correspondant, quincaillier à Joinville.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godet, 12 février 1862
Godin explique à Godet que Maillet lui demande d'augmenter à 300 F le chiffre de 250 F qu'il avait offert pour faciliter l'arrivée à Guise d'un chef de musique avec en contrepartie l'obligation de donner aux musiciens et élèves de son établissement deux leçons par semaine et d'y faire une répétition générale, ainsi que de transposer la musique d'abonnement de 24 morceaux par an. La somme de 300 F engage Godin à souhaiter qu'un compromis soit établi entre lui et le chef de musique.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godin, 21 février 1858
Godin demande à son cousin des renseignements sur la réputation de l'horticulteur Berthin, faubourg de Montreuil à Versailles, et sur les plants qu'il veut acheter à ce dernier.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 3 novembre 1856
Sur l'achat d'un cheval par Godin. Godin demande à Gosse si le cheval dont il lui a parlé est digne d'être acheté avant de se déplacer pour le voir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 5 juin 1857
Godin invite son cousin Gosse à venir le voir avec sa famille le jeudi 15 janvier 1857, jour de la Saint-Médard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 11 novembre 1859
Godin répond tardivement à la lettre de Gosse, car il se trouvait à Bruxelles. Il le prie de remettre à Jacques Collery une lettre l'autorisant à entrer en possession de la maison vendue par sa belle-mère

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, 31 août 1859
Godin répond à une lettre de son cousin Gosse relative à l'achat de la maison de sa belle-mère en l'informant que celle-ci n'y est pas opposée, mais que la difficulté est la résiliation d'un bail de location avec Bevenot. Godin pose à Gosse une série de questions sur l'usage que Bevenot a fait des constructions et des terrains.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur G. Thiébault, 1er décembre 1862
Godin répond à la lettre du 12 novembre 1862 de G. Thiébault, candidat à l'emploi de sculpteur dans l'usine de Guise des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui explique que la fonction est l'exécution et la direction de la sculpture des modèles de moulage de la fonte de fer, qu'un atelier de sculpture existe depuis longtemps dans l'usine où le travail dure 11 à 12 heures par jour comme dans les autres ateliers. Il ajoute qu'il a besoin d'un artiste pour tirer parti du nouveau procédé d'émaillage de la fonte à l'imitation du marbre ou de la porcelaine, comme il peut le voir sur les produits exposés chez Allez frères.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 6 mars 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin répond à une lettre de Guérin du 28 février 1858 relative au prix de vente du terrain qu'il possède à Guise près de l'usine des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rappelle à Guérin que dans les négociations antérieures, le terrain réputé contenir 5 hectares et demi avait été proposé à 42 000 F, soit 7 600 F l'hectare, un prix excessif. La superficie réelle du terrain étant de 4 hectares 98 ares, près d'un hectare ayant déjà été vendu, Godin propose une somme de 35 000 F, soit près de 10 000 F au-dessus de sa valeur vénale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 10 février 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin rappelle à Guérin qu'un intermédiaire était entré en contact avec lui à sa demande il y a deux ans pour l'achat de la prairie, mais qu'il n'avait pas donné suite à l'offre faite, d'un prix jugé excessif ; il lui explique qu'il a depuis acquis un terrain de 5 hectares sur lesquels il a édifié des constructions industrielles, et qu'il a eu la pensée d'entrer directement en relation avec lui pour examiner à nouveau l'affaire. Il souhaite acquérir la prairie à un prix raisonnable compte tenu des travaux de remblai à y faire d'un montant de 80 à 100 00 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guérin, 13 mars 1858
Sur l'achat d'une prairie à Guise. Godin répond à une lettre de Guérin du 10 mars 1858 qui semble évoquer des offres financières concurrentes à la sienne d'un montant supérieur. Godin ne souhaite pas renchérir sur l'offre qu'il a faite et met un terme aux négociations avec Guérin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Guin Grégoire, 21 octobre 1861
Godin avertit Grégoire Guin qu'il a moins besoin d'un garçon de cuisine que d'un cuisinier. Il lui explique que le service de la cuisine est fait par les femmes de l'établissement et qu'il pourrait trouver une place s'il savait découper subtilement les viandes et s'il pouvait faire la cuisine en même temps que le service.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur G. Vaslet, 5 octobre 1860
Godin demande à Vaslet s'il a les compétences pour exercer la direction du travail de la fonderie, quelle est son expérience, quelle est sa situation personnelle et quel est le montant des appointements qu'il prétend obtenir.
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