FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (19) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Berteaux qu'il n'a pas reçu la communication qu'il a dit à Champury lui avoir adressée pour le journal Le Devoir. Il précise qu'il n'a rien reçu de lui depuis sa lettre du 20 novembre 1878. Il lui demande d'envoyer une copie de son travail.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux de recevoir l'expression de sympathie d'un membre du clergé de l'Église catholique. Il annonce à Berteaux qu'il lui envoie tous les numéros du journal Le Devoir. Il demande à Berteaux, qui se dit en communauté de pensée et de foi avec lui, de lui envoyer des articles pour le journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Berteaux qu'il va publier son article en première page du prochain numéro du journal Le Devoir. Il lui demande si l'article peut être signé « Un prêtre catholique » ou simplement « X ». Il lui demande également s'il peut faire précéder l'article d'une mention alléchante pour le lecteur : « Un prêtre catholique nous adresse l'article suivant auquel nous nous empressons de donner place dans nos colonnes. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, retenu par la session du Conseil général de l'Aisne, prie Poirson d'excuser le retard de sa réponse à ses lettres des 11 et 19 août 1878. Il l'assure que l'article dont il parle dans sa première lettre ne comporte rien contre Swedenborg ; la critique de Poirson porte sur la dernière phrase contre les dogmes, que Godin justifie en affirmant que « Le Devoir manquerait son but s'il ne savait grouper les idées diverses autour des grands principes de morale qui sont les nôtres ». À propos de la seconde lettre de Poirson : Godin indique qu'il est coupable en qualité d'auteur de l'article, mais qu'il ne voit pas pourquoi les Swedenborgiens en seraient offensés ; sur les « usages » selon Swedenborg.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Pruvot du 7 août 1878 en l'informant qu'il se trouvera à Étreux le mercredi prochain à 9 heures du matin.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pruvot de voir avant trois semaines les chevaux qu'il propose de vendre, faute de quoi il en achètera ailleurs.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin explique à monsieur Richard qu'il ne peut abandonner le sondage de Sardy sans savoir la nature de la roche sous le morceau d'acier bloqué au fond du trou. Il demande à Richard d'essayer de faire exploser une nouvelle cartouche de dynamite, même en l'absence de Henri de Hulster.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Richard de lui envoyer un échantillon de roche dès qu'il l'aura prélevé et de reprendre le travail de fonçage. Godin souhaite connaître quelle profondeur d'enfoncement Richard peut atteindre en 24 heures et les frais engagés pour ce travail. Il accuse réception de la caisse envoyée par Richard.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande des nouvelles du sondage et réclame des échantillons.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin envoie 700 F à Richard. Il s'interroge sur la possibilité de sauver le sondage. Il lui demande de renvoyer à Guise les fers à chevaux, utiles pour les nombreux chevaux de l'usine de Guise. Il souhaite obtenir des nouvelles plus fréquentes du sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richard d'employer de la dynamite pour la poursuite des travaux de sondage. Il lui annonce qu'il va écrire à Henri de Hulster à ce propos.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richard d'employer de la dynamite pour la poursuite des travaux de sondage. Il lui annonce qu'il va écrire à Henri de Hulster à ce propos.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Richard que Henri de Hulster ne peut se rendre à Sardy. Il fait des recommandations pour une opération de dynamitage du fond du trou de sondage de Sardy. Il demande des échantillons de sol.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Richard de lui adresser par chemin de fer un échantillon de pierre qu'il aura récupéré au fond du trou de sondage de Sardy après l'explosion de la dynamite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin reproche à Richard d'avoir fait des dépenses sans l'en avertir, et il regrette que les opérations aient duré 6 mois au lieu de 3 semaines et qu'elles aient entraîné environ 9 000 F de dépenses. Il l'avertit qu'il a transféré sa demande de certificat à de Hulster dans la mesure où il a travaillé pour le compte de ce dernier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à monsieur Richard d'arrêter le travail et d'attendre son arrivée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Richon qu'il va pouvoir lui remettre le matériel lui appartenant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention de Rousseau sur la conduite de son fils Jules dans les écoles du Familistère, privé de récompenses en septembre 1878 pour cause d'insubordination. Godin explique à Rousseau qu'à la dernière rentrée scolaire, il avait averti les élèves qu'ils ou elles pourraient être privé·es de récompenses et même interdit·es d'entrer à l'usine du Familistère en cas de mauvais comportement en classe, mais que Jules a continué à se montrer insoumis et insolent. Godin avertit Rousseau que son fils se verra refuser l'entrée à l'usine s'il ne montre pas désormais une conduite exemplaire ; il lui demande d'exercer sur lui son autorité paternelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le spiritisme. Dans sa lettre du 30 décembre 1878, Streiff sollicite Godin pour contribuer à la propagande du spiritisme. Godin lui fait observer qu'il a la lourde tâche de s'occuper de la théorie des devoirs sociaux des êtres humains et de leur application. À propos des commentaires de Streiff sur un article du journal Le Devoir : Godin précise que l'État ne doit pas se mettre à la place des citoyens mais que l'État c'est la société, et que celle-ci a des devoirs à remplir envers les citoyens ; il ajoute qu'en disant que les principes généraux de la morale supérieure sont connus, il voulait dire qu'ils ne sont pas mis en pratique ; Godin indique à Streiff que l'enseignement religieux n'est pas ce qu'il voudrait qu'il soit au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tresca qu'il pourra se rendre chez lui le vendredi ou le samedi prochains.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Vaubert quel est le prix du cheval qu'il a à vendre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond avec retard à Verdier qu'aucun médecin étranger ne peut exercer en France sans une autorisation spéciale du ministre de l'Instruction publique, mais qu'il ne pense pas qu'il en aille de même pour les vétérinaires ; il lui indique qu'il faut s'adresser au ministre de l'Instruction publique pour suivre des cours de médecine ou de droit.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Wargnier a interrogé Godin sur les appointements qu'il pourrait obtenir : Godin lui répond qu'en raison de l'état des affaires, il n'a pas besoin actuellement d'un nouvel employé, que c'est seulement pour l'avenir qu'il peut envisager de lui confier un emploi et que c'est à lui de proposer le montant des appointements auquel il aspire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Wargnier qu'il ne donne pas suite pour le moment à sa demande d'emploi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à Wargnier de venir à Guise pour qu'il puisse évaluer ses capacités industrielles ou discuter des services qu'il pourrait lui rendre pour l'Exposition universelle de 1878. Il lui indique qu'il le dédommagera. Godin invite Wargnier, avant de venir à Guise, à aller voir Alphonse Grebel, ingénieur de son usine actuellement à Paris (hôtel de Flandres rue Cujas) pour installer les produits de la manufacture à l'Exposition universelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Wargnier a renouvelé une demande d'emploi : Godin lui demande des références et souhaite savoir s'il a des aptitudes pour surveiller l'exécution d'appareils de chauffage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit la banque que son fils Émile, dont la signature figure au bas du folio, retirera le jeudi suivant la somme de 100 000 F en billets de banque.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à son ancien collègue d'échanger le journal Le Devoir avec le Nouveau journal dont Duprat est un des fondateurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de deux médaillons envoyés par Galbrunner. Godin indique à Galbrunner que ses amis ont jugé que le médaillon avec son effigie de trois-quarts est très éloigné de la vérité, et que celui à son effigie de profil présente une certaine ressemblance phrénologique sans cependant que le visage soit ressemblant. Godin lui annonce qu'il ne peut tirer aucun parti des médaillons et lui demande s'il doit les lui renvoyer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Galbrunner qu'il lui renvoie deux médaillons à son effigie. Il précise à Galbrunner qu'il ne doit pas interpréter avec exagération ce qu'il lui a écrit sur le manque de ressemblance de son effigie de profil.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la réalisation d'un médaillon à l'effigie de Godin. Godin avertit Galbrunner qu'il ne pourra lui envoyer son portrait photographique qu'au cours de la semaine prochaine, et qu'il devra faire sans celui-ci l'esquisse de son médaillon. Il lui demande de lui fixer le prix du plâtre pour le cas où il ne pourrait se décider à faire faire le camée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale à Nice qu'il a envoyé les pièces qu'il lui avait confiées à Turquet au 11 route de la Révolte à Neuilly. Il l'informe que la majorité des électeurs s'est reportée sur le conseiller général et les conseillers d'arrondissement républicains « dans l'élection Turquet ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin autorise Doyen à venir visiter le Familistère et son usine, visite à l'occasion de laquelle ils pourront discuter de l'emploi qui lui conviendrait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Doyen du 20 février 1878 demandant à venir habiter au Familistère et à obtenir un emploi pour lui et ses enfants. Godin lui explique que la crise du 16 mai rend la chose difficile, que pour habiter au Familistère, il faut être capable d'un travail productif, qu'on ne fait pas d'ébénisterie dans l'usine et que le modelage s'y fait d'une manière particulière que son fils ne connaît peut-être pas. Godin demande à Doyen s'il est comptable, quels appointements il demanderait et s'il peut lui fournir des références. Il lui retourne une lettre de Leymarie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pierre-Étienne Carret s'il peut lui envoyer des documents imprimés sur l'association mutuelle à propos de laquelle il lui a écrit.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin, retenu par la session du Conseil général de l'Aisne et ayant des difficultés à lire l'écriture de Courtépée, s'excuse du retard de sa réponse. Il l'informe qu'il a renvoyé à Fauvety l'article qu'il lui avait envoyé avec ses observations. Il l'avertit qu'il ne partage pas ses vues sur la rémunération du capital et sur les limites qu'il pose à la justice ; il lui annonce qu'il reviendra dans Le Devoir sur le quatrième facteur de richesse de Courtépée, lui n'en admettant que trois qui doivent déterminer les bases sociales de la répartition de la richesse dans la société. Godin discute des mérites des êtres humains : « S'en remettre aux apparences sociales pour apprécier l'importance du droit et de la justice de nos semblables, de leur valeur et de leur mérite, autrement que par leurs actions, cela me paraît être une dangereuse erreur. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin suppose que Courtépée a été surpris de lire dans le journal Le Devoir l'article sur les frères de Caluire dont il lui avait parlé. Godin se dit tout aussi surpris et lui explique que l'article est une initiative de Champury, et que s'il a eu à souffrir de la partialité de la magistrature, il ne se permettrait toutefois pas de discuter d'une réforme sur le ton qu'a pris en la circonstance, surtout à propos d'une lettre qui lui était toute personnelle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Leymarie qu'il est toujours dans l'attente des objets de la Gymnastique des sens. Il lui demande s'il n'a pas reçu de nouveaux abonnements au journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leymarie que Constantin Delhez, qui dit être en relations avec ce dernier, lui a écrit une lettre relative à la gymnastique des sens. Godin demande à Leymarie d'acheter pour lui la cassette de 55 F et la brochure explicative, s'il pense que la méthode puisse être utile aux écoles du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Leymarie que le 30 mars 1878, le directeur de la Sûreté générale a informé le député de l'Aisne Edmond Turquet que le préfet de police allait délivrer un arrêté autorisant la Société d'études psychologiques.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Leymarie de lui avoir fait connaître l'œuvre de Crookes et il lui renvoie l'ouvrage de ce dernier avec sa traduction. Il lui indique qu'il peut attendre que l'ouvrage soit publié en français pour l'acquérir, mais qu'il préfèrerait obtenir le volume annoncé par Crookes dans son ouvrage de 1874. Il lui demande si ce dernier ouvrage a été publié en anglais et dans ce cas s'il peut le lui procurer. Godin remercie également Leymarie de l'informer quand monsieur Monck se trouvera à Paris. Il lui transmet les compliments de sa famille.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Leymarie du 15 janvier 1878 lui rapportant des appréciations faites sur lui et sur le Familistère. Godin est satisfait de voir l'intérêt que porte le dernier numéro de la revue de Leymarie au Familistère et au livre Solutions sociales. Leymarie lui dit qu'il vend beaucoup d'exemplaires de cet ouvrage : Godin demande s'il les a pris chez Guillaumin et Cie ; il lui propose de lui en livrer s'il en fait une vente importante. Godin annonce à Leymarie qu'il va publier un journal intitulé Le Devoir : il lui demande de lui communiquer une copie de sa liste d'abonnés. Il l'assure qu'il a bien fait de les compter, lui et Marie Moret, parmi les membres de la future Société d'études psychologiques.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Leymarie a écrit à Godin au sujet d'un comptable, Paul Gillard. Godin répond qu'il ne lui paraît pas possible de lui offrir un emploi en raison de l'importance considérable de ses appointements (18 000 F), bien davantage que son actuel chef de comptabilité (4 800 F). Il l'informe qu'il recevra avec plaisir la visite de Constantin Delhez. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin autorise Leymarie à prélever sur le montant des abonnements au journal Le Devoir qu'il perçoit pour lui, deux fois 25 F pour sa cotisation et celle de Marie Moret en qualité de membres de la Société d'études psychologiques. Dans le post-scriptum, il remercie Leymarie pour l'envoi du livre L'esprit consolateur, et il lui demande de lui adresser L'étude sur les phénomènes spiritualistes, traduction française de l'ouvrage de Crookes, en vente dans sa librairie.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Pierre-Gaétan Leymarie désire poursuivre ses articles sur le Familistère et demande à Godin s'il peut mentionner le nom de Marie Moret : Godin ne s'y oppose pas, mais préfèrerait que son nom et celui de Marie Moret soient passés sous silence. Godin espère que Leymarie a retrouvé la liberté de ses deux jambes et que ses amis spirituels ne continueront pas à lui témoigner leur attention sous les formes qu'il lui a indiquées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin indique à Leymarie qu'il n'est pas en mesure d'intervenir pour favoriser l'ouverture de la Société d'études psychologiques, mais qu'il peut écrire au député de sa circonscription [Edmond Turquet], sans toutefois avoir beaucoup d'espoir dans le résultat de cette démarche. Il l'informe qu'il peut céder les exemplaires du livre Solutions sociales coûtant 5 F avec 40 % de remise, le transport étant à sa charge. Il lui demande de vérifier s'il est plus avantageux pour lui qu'il se fournisse auprès de lui plutôt que chez Guillaumin et Cie en fonction de la quantité demandée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tourasse qu'il ne peut lui indiquer une histoire à l'usage des écoles. Il lui explique que l'article du journal Le Devoir avait justement pour but de stimuler les auteurs à écrire une telle histoire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de René Girard du 9 septembre relative à la publication d'articles sur la question religieuse dans le journal Le Devoir. Godin prévient Girard qu'il n'y consentirait que « sous toute réserve de coupures, de modifications et même de rejet » car il veut que la rédaction du journal reste étrangère aux polémiques violentes ou acerbes : « S'attachant aux principes du juste et du vrai, elle doit surtout combattre le mal en montrant ce qui est bien et en exposant ce qui est à faire plutôt qu'en critiquant ce qui a été fait. » Pour cette raison, explique Godin, les vers de Girard envoyés à Champury n'ont pas été publiés. Il précise qu'au Familistère n'ont, jusqu'à présent, logé que les sociétaires ouvriers et employés de l'établissement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Goblet qu'il va porter en appel devant la cour d'Amiens son affaire de compte avec Esther Lemaire qui a été jugée en première instance. Il lui demande s'il veut bien se charger de l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Gillet-Vital un chèque d'un montant de 40 F correspondant aux souscriptions recueillies pour le centenaire de la mort de Voltaire ainsi que la liste des souscripteurs.

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