FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jean-Baptiste André Godin, 15 mai 1876
Propositions pour une prière que Godin est en train de rédiger. Marie Moret lui donne des nouvelles diverses.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jean-Baptiste André Godin, 24 janvier 1881
Marie Moret souhaite mettre au clair sa comptabilité et ses versements à la caisse du Familistère.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jean-Baptiste André Godin, 9 avril 1885
Marie Moret déclare « offrir » 71 % des certificats d'inscription d'épargne en vente, dont le prix, s'ils lui sont alloués, sera prélevé sur son compte de dépôt à la Société du Familistère.

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Auteur : Riche-Gardon, Luc-Pierre (1811-1885)
Luc-Pierre Riche-Gardon à Jean-Baptiste André Godin, 12 juin 1873
Luc-Pierre Riche-Gardon évoque un sujet traité dans les colonnes du journal La Bonne nouvelle du XIXe siècle dans le numéro de mars et avril ; les "conditions premières de l'essort harmonique des familles dans chaque commune libre, comme devant précéder toute association intégrale". Il joint un numéro du journal ainsi qu'une table de concordance placée au verso de sa couverture.

Auteur : Riche-Gardon, Luc-Pierre (1811-1885)
Luc-Pierre Riche-Gardon à Jean-Baptiste André Godin, 13 mars 1875
Luc-Pierre Riche-Gardon évoque le soutien actif de Godin à "l'oeuvre illusoire du Texas". Il indique avoir remis ses titres personnels à Cantagrel et interroge son correspondant sur les représentations renouvelées par "nos amis de différentes provinces près des législateurs républicains depuis 1873". Riche-Gardon partage ses convictions inspirées du fouriérisme. Dans ce qui semble être un post scriptum, il indique rester "à Paris jusqu'à samedi prochain".

Auteur : Sabran, Véran (vers 1811-1874)
Véran Sabran à Jean-Baptiste André Godin, 24 juillet 1874
En voyage à Nîmes, Véran Sabran envoie à Godin une procuration afin d'être représenté à la Société du Texas dont une réunion se tiendra le 29 juillet. Il indique avoir recours à l'aide de monsieur Meynier de Salinelles, résidant rue de l'Aspic, à Nîmes, pour que sa procuration parvienne à la Société du Texas. Plusieurs noms sont cités, mais demeurent difficilement lisibles.

Auteurs : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 septembre 1858
Dolot avertit Godin que les deux caisses contenant outils et poulies destinées à monsieur Farineau ont été remises au chemin de fer le 15 septembre 1858. Sur la recherche auprès de l'administration postale d'une lettre adressée à Boinet et Guébin. Dolot signale à Godin que son fils Émile lui a adressé hier la copie d'une lettre de Pigé demandant une réponse à propos de générateurs. Dolot signale à Godin que la gare de Bohain a du mal à s'organiser pour le transport d'une quantité importante de marchandises ; il lui conseille d'y aller à son retour de Bruxelles. Il indique que les transports de coke sont suspendus et qu'il écrit à Frameries pour en connaître la cause. Il transmet ses salutations à madame Godin et à monsieur et madame Brullé. Dans le post-scriptum, Dolot donne des informations sur l'approvisionnement en fonte de l'usine de Guise : les bateaux Pinart se succèdent, il ne reste presque plus de fonte Cleveland et il a demandé un échantillon à Bolkow et Vaughan. Dans la marge de la feuille, Émile Godin indique à son père qu'il n'a rien à ajouter à la lettre de Dolot et il transmet ses compliments à monsieur et madame Brullé.

Auteurs : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 septembre 1858
Dolot communique à Godin l'offre de prix de la fonte Cleveland faite par Trystram et Crujeot : 13,90 F les 100 kg de fonte n° 1 supérieure et 13,25 F les 100 kg de fonte n° 1. Il précise que ces prix de la fonte Cleveland par l'intermédiaire de Trystram et Crujeot sont équivalents à ceux donnés directement par Bolkow et Vaughan. Dolot propose à Godin de régler une facture de Pinart avec un effet sur Allez frères. Il lui communique la copie d'un courrier de Pigé au sujet de l'essai d'un générateur. Il lui fait part de la bonne marche de la fabrication à l'usine de Guise et lui signale qu'il n'a pas de nouvelle de la lettre égarée. Émile Godin ajoute un mot à la lettre de Dolot à son père : il lui recommande d'écrire à Pigé s'il ne rentre pas prochainement à Guise ; il lui annonce que les gardes nationaux se relaient pour monter la garde à Guise, faute de soldats, et il conseille à son père de rester à Laeken s'il ne veut pas passer la nuit au fort [de Guise].

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 mars 1859
Dolot annonce à Godin qu'il a terminé l'affaire Damonville et que le notaire de Melun lui adressera sous huit jours les pièces nécessaires. Il informe Godin qu'il n'a pas rencontré monsieur Bridon à Paris et précise que sa présence était facultative pour les acquisitions dont Godin avait chargé celui-ci. Dolot informe également que monsieur Allez n'avait pas d'information à fournir sur le crédit de Godin chez lui, que celui-ci lui a donné un échantillon d'un émail admirable et qu'il a proposé de faire venir à l'usine de Guise l'ouvrier qui le lui a fourni, un ouvrier qui travaillait chez Rogeat frères, habite Morez dans le Jura et s'est adressé à Allez pour trouver un emploi d'émailleur dans une manufacture.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 juillet 1859
Dolot envoie à Godin quatre traites sur Paris d'une valeur totale de 2 000 F destinées à Brullé. Il annonce à Godin que l'inspection du garde-mines a eu lieu le matin même et que ce dernier a paru étonné que le générateur ne marche pas encore. Dolot informe Godin qu'il a reçu une réponse de Trystram et Crujeot et qu'il en a communiqué un extrait au batelier Decoster ; il donne copie à Godin des renseignements fournis par Trystram et Crujeot sur la fourniture de bois de construction et sur la fonte de Cleveland qui devrait compléter l'expédition. Dolot demande à Godin s'il a donné des instructions pour une scie circulaire. Il indique qu'il a reçu des réponses pour les fermes des bâtiments mais qu'elles ne contiennent pas de dessin, aussi Dolot pense-t-il que Godin trouvera mieux à Paris. Dans la marge du folio, Dolot annonce à Godin que le père de Guerdoux a été trouvé asphyxié hier au coin d'une borne et que Merriaux, l'un des mouleurs de l'usine de Guise, s'est noyé en prenant un bain après son repas.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 19 juillet 1859
Dolot confirme à Godin sa lettre de la veille contenant quatre effets sur Paris d'un montant de 2 000 F pour les besoins de l'usine de Belgique. Il avertit Godin qu'une construction entreprise par Medaets est arrêtée au niveau du 1er étage car ni Émile Godin ni monsieur André n'ont pu lui indiquer les bois destinés aux poutrelles. Dolot conseille à Godin de faire transporter par chemin de fer les bois que doit fournir Trystram et Crujeot en raison du prochain chômage de la navigation. Il explique à Godin que plusieurs ouvriers belges de l'usine de Guise ayant été débauchés par R. Bes sans que leur livret soit en règle, Émile Godin voulait que Dolot écrive une lettre de rappel à ce dernier ; Dolot demande l'assentiment de Godin avant d'écrire la lettre. Dolot avertit Godin que son fils Émile veut obliger des ouvriers de l'usine à travailler aux constructions ; Dolot pense que ce serait une cause de désorganisation des ateliers. Il demande enfin à Godin s'il doit attendre son retour pour déclarer les briques et la chaux. Dans le post-scriptum, Dolot indique à Godin que Pinart a annoncé qu'ils reprendront leurs expéditions après le chômage de la navigation, mais ne comptent pas faire de rabais.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 12 août 1859
Dolot avertit Godin que des caisses de modèles sont parties le matin de Guise. Sur des traites de Bolkow et Vaughan transmises à monsieur Oppermann, dont l'une comprend une commission de banque que Godin ne veut pas payer. Il accuse réception du brouillon d'une circulaire rédigée par Godin et qu'il fait imprimer ; Dolot indique qu'il en a donné communication à messieurs Poirier et Georges et à monsieur Telliez.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 31 octobre 1859
Dolot donne à Godin des nouvelles de la mise en marche des cubilots de la nouvelle fonderie de Guise : tout fonctionne parfaitement, sauf la pompe alimentaire qui ne donne pas d'eau lorsque la chaudière est en pression ; il fait des observations sur la montée en pression de la vapeur ; 11 000 kg de fonte ont été fondus avec la même quantité de combustible que pour les autres fusions ; la fusion a commencé à 4 h 30 et était terminée à 5 h 30.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 2 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a remis à monsieur André la lettre qu'il a reçue de lui le matin même, et qu'André a fait à Ménard les recommandations pour qu'une charpente soit établie comme il le désire. Dolot communique à Godin des renseignements sur la marche de la nouvelle fonderie ; il fait des observations sur la montée en pression de la vapeur. Dolot signale à Godin que les commandes de marchandises arrivent en foule et qu'il est difficile d'y répondre étant donné le manque de voituriers.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 3 novembre 1859
Dolot fournit à Godin des informations sur la marche de la nouvelle fonderie : la pompe alimentaire n'a pas fonctionné et n'a pas permis d'envoyer de la vapeur à la grande machine ; le retour de Godin est attendu pour remédier aux problèmes. Il signale à Godin que le bateau de fonte Pinart est en déchargement à Vadencourt, et que le coke ne manque pas. Il l'informe que Telliez est parti la veille pour effectuer une tournée d'un mois en commençant à Lille et en terminant dans les Ardennes.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 6 novembre 1859
Dolot fait part à Godin des difficultés d'expédition des marchandises qu'il s'efforce de surmonter en faisant appel à Amédée [Moret] en remplacement de monsieur Lemaire et en faisant expédier par la gare de Bohain pour soulager celle de Saint-Quentin, encombrée à cause de la fin de la foire. Il évoque également les problèmes survenus à la nouvelle fonderie ; il juge qu'elle a été mise en marche à un moment inopportun ; il indique que Jacques Nicolas Moret va tenter de colmater les fuites des bouilleurs avec des pommes de terre. « Quoique j'espère peu dans la juste appréciation de mon zèle, croyez Monsieur qu'il ne s'amoindrit pas et agréez je vous prie l'expression de mes sentiments distingués. »

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 27 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a versé 7 999,60 F à de Dordolot frères pour la fonte livrée à l'usine de Laeken et qu'il leur a demandé les factures correspondantes. Sur une procédure de contestation d'une exigence de la Compagnie du chemin de fer du Nord relative aux indemnités dues en cas de retard, illégale au regard du Code du commerce : Dolot est allé à Saint-Quentin s'en entretenir avec monsieur Lemonnier et monsieur Mornard ; il a fait une demande d'indemnité de 255 F pour le retard causé aux voituriers par le refus de la gare et son dérangement ; Dolot indique à Godin que le commissaire administratif suggère d'écrire au préfet. Il annonce à Godin qu'il a reçu des lettres de Telliez sur ses placements en Belgique. Il évoque le paiement d'une facture de messieurs Vandenberleke de Lille, que Dolot juge de mauvaise foi.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a oublié de signalé dans sa lettre du 27 novembre 1859 que des retenues d'un montant total de 28 F sur la quinzaine des ouvriers belges Pierre Renard et Vanhaesendonck sont à payer à leurs ayants droit à Laeken.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 14 décembre 1859
Dolot informe Godin que l'ouvrier Pierre Renard a laissé en compte 10,11 F, à payer à Laeken à ses ayants droit. Il lui annonce qu'il est en train d'établir le compte de monsieur Georges.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 décembre 1859
Sur une affaire de probable faillite de monsieur Damonville, débiteur à l'égard des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, à propos de laquelle Dolot est allé consulter Delabarre. Dolot communique à Godin le compte détaillé de monsieur Georges et attend ses instructions pour le créditer. Il signale à Godin que les commandes avaient repris avec le froid mais que le dégel a commencé. Dans le post-scriptum, Dolot demande à Godin de se prononcer sur un projet professionnel qui le concerne.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 21 janvier 1860
Dolot communique à Godin une note sur les retenues des quinzaines de Moerenhout et Vanhaesendonck, d'un montant total de 15 F, à payer à Laeken à leurs ayants droit. À propos des voyageurs Telliez et Poirier : Dolot ne veut pas les laisser partir sans les « dessins » des appareils ; les dessins des cuisinières sont prêts à imprimer ; Dolot demande à Godin ses intentions pour l'impression du tarif et s'il ne souhaite pas cette année l'imprimer au dos de lithographies.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 22 janvier 1860
Dolot demande à Godin de bien vouloir faire passer 60 F par bon postal à la femme de l'ouvrier maçon belge Moulard, madame Marie-Françoise Bodainghem épouse Moulard à Céroux.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 16 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot rectifie une erreur comptable qui a échappé à Brullé et à Godin. Dolot demande à Godin de valider l'impression des « tarifs-lithographies ». Il lui demande également s'il peut envoyer à monsieur Marie le dessin de la petite cuisinière que monsieur Poirier réclame.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 février 1860
Sur les comptes de l'usine de Laeken. Dolot informe Godin que monsieur Poirier partira de Paris le lendemain et que ce dernier envoie une commission pour 134 cuisinières placées auprès de monsieur Séguin. Dolot donne copie des renseignements communiqués par Poirier sur un monsieur Jacob, homme d'affaires, résidant au 47, rue de Paris à Belleville, dont la réputation semble bonne.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 30 avril 1860
Dolot annonce à Godin qu'il a crédité de 322,60 F le compte de l'usine de Belgique, somme à verser aux ayants droit des ouvriers belges Jean-Joseph Moulard (à sa femme à Céroux), Jean-Joseph Villain (à sa femme, rue Vigneron à Ransart), Édouard Frapez (à remettre à Louis Piette).

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 mai 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Trystram et Crujeot qui fait une offre de vente de fonte. Dolot signale à Godin que Bolkow et Vaughan de Middlesbrough ont fait une offre de 535 shillings la tonne de fonte Cleveland n° 1. Il avertit Godin que l'usine de Guise manquera de produits cette année si les commandes continuent à affluer et si le nombre d'ouvriers n'augmente pas. Il indique enfin qu'il n'a pas de nouvelles des lithographies.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 7 mai 1860
Dolot communique à Godin une nouvelle lettre de Trystram et Crujeot et annonce qu'il crédite l'usine de Belgique de 100 F à verser par celle-ci aux familles des ouvriers belges Michel Verhaegen et Vancampenhout. Dolot demande à Godin s'il doit expédier la cuisinière vendue par monsieur Camatte à Trystram et Crujeot.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 4 août 1860
Dolot communique à Godin une lettre de Bolkow et Vaughan de Middlesbrough pour leur faire réponse et l'avertit que Jacques-Nicolas Moret lui a signalé qu'il n'y a plus de fonte Cleveland à Guise. Il lui rappelle que monsieur Vendroux, commissionnaire en douane à Calais, est chargé de la réception de la fonte de Bolkow et Vaughan. Sur la pénurie de marchandises à l'usine de Guise : Dolot rappelle à Godin sa lettre du 4 mai 1860 indiquant qu'une désorganisation des ateliers allait produire une pénurie, mais lui explique qu'il ne pensait pas qu'elle surviendrait aussi vite et sur les modèles nouveaux comme le lui a signalé monsieur Lemaire ; il incite Godin à donner des ordres fermes pour que la fabrication permette de répondre aux commandes : « Si je me permets ces quelques observations, c'est que mes intérêts aussi bien que les vôtres souffriront d'un semblable état de choses et qu'il me serait extrêmement désagréable d'avoir une rétribution inférieure à celle de l'année dernière après le surcroît de travail et les relations aussi pénibles qui m'auront été imposées cette année. » Le post-scriptum est relatif à la fourniture de meules par Essig ou par Picard.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 3 décembre 1863
Émile Godin donne à son père des informations sur les nouveaux événements survenus à Guise. Madame Vigerie a appris la veille au soir qu'une nouvelle chanson avait été affichée dans la nuit précédente. Fayon a montré à madame Vigerie un exemplaire qui avait été collé sur sa boutique. Madame Vigerie, qui n'a pu en prendre copie, dit qu'il n'est pas question de Godin, mais de toute la famille Moret. Madame Ville a dit à Fayon que 20 personnes chantaient la chanson chez Pierre. Émile Godin estime que la chanson doit avoir 7 couplets. A. Villot a reçu un placard par la poste, qu'il n'a pas voulu confier à Émile par peur d'envenimer les choses. Émile explique qu'il n'a pas voulu laisser emporter par madame Lemaire une glace se trouvant dans l'appartement de sa mère. Il l'informe qu'un vent très fort a causé des dégâts dans l'usine. Il regrette que la population guisarde mette tant d'acharnement à diffuser des insultes. Il ajoute des informations relatives à Laloux, Charles, Esther Lemaire, son grand-père. Dans le post-scriptum, il annonce à son père que madame Vigerie vient de lui donner un exemplaire de la chanson chantée la veille chez Pierre et qu'on dit que c'est madame Carlier qui a reçu la chanson par la poste et l'a diffusée.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre d'injures reçue par « son cousin Moret » et provenant de Paris. Il évoque la santé de son grand-père et transmet ses civilités au couple Cantagrel.

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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre qui lui « prouvera que l'homme qui l'a écrite est un peu trop lourd ». Il lui donne des nouvelles de la santé de son grand-père.

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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 1er mars 1865
Émile Godin annonce à son père qu'il a retrouvé la copie de la lettre de monsieur Joudrain, qu'il a autorisé Nozal à rentrer et l'a envoyé auprès du cousin Moret. Il demande à son père, en séjour à Paris, de bien vouloir aller au siège du journal La Presse afin d'y trouver 16 gravures de la Révolution française ainsi qu'un planisphère Babinet. Il transmet enfin ses bons souvenirs au couple Cantagrel et à leur enfant, ainsi que ses civilités à madame Vigerie, à sa famille et à « Andrée ».

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 mars 1865
Émile Godin informe son père qu'il va lui expédier à Paris une lettre de monsieur Vigerie contenant un travail qui lui avait été demandé avant son départ pour Paris. Il lui signale qu'il pleut de façon continue à Guise et que l'Oise commence à sortir de son lit. Il l'informe enfin qu'il a demandé à monsieur Cornil de livrer de la fonte à Bohain-en-Vermandois car il est sans nouvelles des bateaux. Dans le post-scriptum, il signale le passage de la lettre de Vigerie sur le besoin d'argent de celui-ci.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 4 avril 1865
Émile informe Godin qu'il a reçu de son oncle onze photographies de Bertaux, mais que le dessinateur n'a pu les reproduire avec une gravure sur zinc. Il lui envoie les photographies pour les reproduire en gravure par Furcy au 20, rue de Bréa. Il signale que le temps à Guise est admirable. Il transmet ses amitiés à la famille Cantagrel

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 28 avril 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique à son père une lettre d'Oudin-Leclère qu'il voulait remettre à Borgnon (qui se trouve en fait à Paris avec son père). Il annonce à son père qu'il écrit à Oudin-Leclère pour l'avertir que la réponse de son père et de Borgnon sera différée.

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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste Godin, 12 décembre 1866
Émile Godin adresse à son père une lettre provenant de Liverpool : « Ci-joint une lettre de Liverpool. Aussitôt votre réponse, je leur écrirai pour leur dire la quantité que vous désirez. À moins que vous ne voulussiez écrire directement de Paris, votre lettre ne serait pas au copie de lettres d'affaires. » Il évoque un rendez-vous d'une personne non nommée avec son père à son hôtel. Il demande à son père de rapporter des mandarines rouges que Marie Moret a appréciées, ainsi que des dattes, et qu'il les trouvera à droite de la porte de l'hôtel. Il prie son père de demander à François Cantagrel l'adresse de son marchand de vin pour acheter 50 ou 100 bouteilles de vin de Lunel, préférable au vin du Rhin. Il indique qu'il pleut continuellement depuis 24 heures. Il adresse ses compliments au couple Cantagrel.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin adresse à son père une lettre des experts. Il cite la lettre par laquelle les experts annulent la séance d'expertise à Charleville et fixent la réunion le même jour 5 août 1869 à l'arsenal de Metz rue d'Asfeld. Émile informe son père qu'Ed. Thiébault lui demande rendez-vous à Charleville le 4 août à 8h30 du soir et qu'il lui a écrit de se rendre à l'hôtel du Lion d'argent ou de lui écrire à Metz pour prendre rendez-vous.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin communique à son père une lettre des experts. Il l'informe qu'Edmond Thiébault a écrit qu'il se trouve à l'hôtel du Lion d'argent à Charleville et qu'il demande rendez-vous le 4 août à 8 h 30 du soir.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier fait part à Godin d'une irrégularité comptable qu'il a constatée dans la Caisse de secours mutuels. Il l'informe qu'il en a rendu compte à Émile Godin et qu'il fait la recherche de l'origine de cette irrégularité : « Il y a là une grande incurie dans la surveillance et la direction. »

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Auteur : Taupier, J.
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Taupier envoie à Godin un travail intitulé « Étude des prix et conditions du nouveau tarif de 1874. Appréciation », daté du 17 mars 1874, copié à la suite de la lettre.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier dénonce à Godin les activités commerciales de madame Quignon, au n° 193 au 1er étage du « nouveau Familistère », qui se prévaut d'une autorisation de Godin, vend chez elle des articles d'épicerie et fait concurrence aux services alimentaires du Familistère. Taupier ajoute que l'exemple de Quignon est contagieux : monsieur Sénateur, au n° 205 au 2e étage du « nouveau familistère », vend des petits fagots ; Renneville fils, au n° 253 au 3e étage du « familistère neuf », vend du bouillon ; monsieur Choquenet, au n° 85, 3e étage du « vieux familistère », vend du bouillon et tient à manger. Taupier précise qu'il a rendu compte de son enquête à Émile Godin et il demande à Godin quelle conduite il doit suivre sur le sujet. Taupier informe Godin que le lavoir est totalement en exploitation. Il lui transmet des rapports sur les écoles et sur la nourricerie.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier assure Godin que les ordres donnés dans sa lettre du 22 mai 1874 [à propos des activités commerciales abusives de certains habitants du Familistère] sont respectés. Taupier donne à Godin des éléments complémentaires à son étude sur le tarif de 1874 des Fonderies et manufactures du Familistère. Il lui transmet un rapport sur la buanderie du Familistère, intitulé « Lavoir nouveau » et daté du 26 mai 1874, copié à la suite de la lettre.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin que le chef de cuisine a été installé à ses fourneaux. Sur l'installation d'une buvette dans l'usine du Familistère de Guise : Taupier pense qu'une buvette aurait pour effet d'empêcher l'entrée d'alcool en fraude dans l'usine. Taupier demande à Godin s'il doit prendre des mesures pour empêcher les personnes extérieures au Familistère d'accéder au lavoir. Il lui indique que les distributions de pain et de viande aux nécessiteux sont faites dans les meilleurs règles et que l'administration générale du Familistère fonctionne de façon satisfaisante.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin que le caviste Gente a donné sa démission pour être garçon de brasserie à Saint-Quentin. Il propose à Godin de recruter à sa place Bruno Hulot, qui a travaillé cinq ans au Familistère, qui en est parti il y a deux ans, et qui demande 125 F d'appointements par mois. Taupier est satisfait du chef de cuisine, Chevrolat. Il indique que l'administration générale fonctionne mais que les affaires sont calmes.

Auteur : André, Eugène (1836-)
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Sur le tarif de 1874 des Fonderies et manufactures du Familistère. Eugène André accuse réception des lettres de Godin des 18 et 19 juin 1874. Il lui explique qu'il n'est pas possible de réduire les prix du tarif de 1874. Il lui promet d'examiner le lendemain l'affaire d'Obrador. Il lui annonce qu'il diffère son retour à Guise car il n'y a pas de logement vacant à sa convenance au Familistère ou en ville et qu'il retourne à Laeken.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin qu'il a commencé l'inventaire général du Familistère. Sur le chef de cuisine, sur le lavoir et sur l'approvisionnement en pain. Taupier informe Godin qu'il a fait établir une carte de France de la clientèle de la manufacture à l'usage des voyageurs de commerce. Sur une réduction du nombre d'employés dans les bureaux et une proposition d'augmentation de deux d'entre eux.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier informe Godin qu'Eugène André lui a communiqué la lettre qu'il lui a écrite le 22 juin 1874, relative à l'étude des prix de revient de la manufacture, qui a été copiée dans son « Copie de lettres particulier ». Il explique à Godin, chiffres à l'appui, qu'une diminution des prix du tarif de 1874 est possible, bien qu'André pense le contraire et malgré l'augmentation provisoire du prix de la fonte en raison des grèves en Angleterre.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à une lettre de Godin transmise par son fils Émile. Sur la maison Leroy et Cie à Buenos Aires et sa caution en France, la maison Quesnel frères et Cie du Havre, que le Comptoir d'escompte juge solvable. Sur l'augmentation des employés Moyat et Goyenval. Taupier propose à Godin de licencier les employés Lefebvre et Quaintenne. Sur le chef de cuisine Chevrolat, chargé de la surveillance de tout le service d'alimentation. Sur la fabrication de boutons. Sur la déclaration au juge de paix de mesdames Paquerot et Dirson. Sur une commande de La Ménagère transmise par Amédée Moret.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 5 juillet 1874. Il lui communique un travail fait par Grangeon. Il alerte Godin sur la personne de Rodolphe Grangeon : bon employé mais faisant la noce quand l'envie lui en prend, avec un penchant pour l'absinthe ; envoyé par un ami diriger une maison de commerce à New York, il a causé des pertes financières et a eu des relations avec la femme de son ami ; Delacourt se souvient que Grangeon résidait rue Condorcet à Paris et indique que le frère de Grangeon est employé aux chemins de fer des Charentes, rue de Châteaudun. Sur la retenue d'un dixième appliquée aux salaires des apprentis : Taupier se plaint de l'ingérence de Grebel dans ses fonctions.

Auteur : Taupier, J.
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Taupier répond à la lettre de Godin du 10 juillet 1874. Il l'assure qu'il est étranger à tout esprit de cabale et qu'il ne subit aucune influence dans la mesure où il vit entièrement avec ses enfants en dehors du travail. Sur une femme surnommée "Grande Taïs" ou Dame Lecrinier, qui aurait été employée comme laveuse par Taupier, dont Godin a été averti de la présence par son fils Émile : Taupier se défend de la connaître. Sur les amendes pour manquement aux écoles et le paiement des cours, en particulier du cours de dessin. Sur l'écoulement des « rossignols » du magasin des étoffes.
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