FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 6 février 1888
Marie Moret annonce à Piponnier que le vote dans les écoles, initialement prévu pour le mois de janvier, devait avoir lieu demain. Elle l'informe que François Bernardot ne pourra y assister et elle demande à Piponnier de dire à celui-ci que la commission procédera au renouvellement de ses pouvoirs ultérieurement.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 17 février 1888
Marie Moret répond aux lettres de Neale des 21 janvier et 16 février 1888. Elle le remercie pour la résolution du comité exécutif du Central Board [de l'union coopérative britannique] relative à Godin. Sur son rôle de gérante de la Société du Familistère : il ne peut être que transitoire ; il faut un gérant actif doué de capacités industrielles ; elle ne peut être qu'une gérante fictive ; elle lui signale qu'il lira dans Le Devoir qu'elle a délégué une partie de ses pouvoirs de gérante à messieurs André, Dequenne et Pernin ; elle pense que le pacte social et les prescriptions testamentaires constituent un lien suffisamment fort pour maintenir l'œuvre. Elle remercie Neale pour ses articles sur Godin parus dans les Cooperative News et lui transmet les remerciements de Bernardot, dont Neale a reproduit une partie du discours [aux funérailles de Godin]. Elle lui demande de transmettre ses amitiés à Johnston qui lui a écrit le 20 janvier et à qui elle ne peut répondre en anglais au milieu des préoccupations qui l'accablent. Elle transmet à Neale le souvenir d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 26 février 1888
Sur la gérance de l'Association du Familistère. Marie Moret explique à Ganault qu'elle veut faire tout ce qui est en son pouvoir pour assurer la perpétuité de l'Association, que Godin et elle convenaient que le poste de gérante n'était pas fait pour elle, qu'elle a confiance comme Godin en Eugène André pour la direction industrielle et commerciale, et qu'un triumvirat à la gérance permettrait de contrebalancer les décisions d'André. Elle indique qu'André doit obtenir le titre d'associé, même dans le cas où la gérance n'était pas modifiée, car Dequenne ne veut pas de la gérance définitive et que Pernin ne peut ni ne doit l'occuper. Elle lui soumet une proposition de modification des statuts, entendue avec Tisserant, pour accorder à André le titre d'associé sans qu'il soit obligé d'habiter au Familistère, ce que lui interdit l'état de santé de sa femme. La modification (devenir associé après 25 ans de travail consécutif en faveur de l'Association) profiterait également à quelques vieux travailleurs comme le père Damien. Elle s'interroge sur la réaction possible à cette modification des « dissidents » Donneaud, Sekutowicz et Bernardot, raccommodés avec le nouveau régime, mais qui « n'en cherchent pas moins à me tirer aux jambes après m'avoir poussé à accepter la gérance ». Elle informe Ganault que Donneaud est entré à l'économat du Familistère, où ses débuts sont prometteurs, et que Sekutowicz et Bernardot ont conservé leurs fonctions précédentes, mais que les ouvriers trouvent qu'ils sont trop payés ; elle espère que les esprits se calmeront à leur sujet. Dans le post-scriptum, elle transmet le souvenir d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 29 février 1888
Marie Moret annonce à Ganault qu'elle envoie à Offroy et Cie des coupons de titres de rente pour en encaisser le montant et en créditer le compte de Godin. Sur la modification des statuts de l'Association du Familistère : Tisserant doit lui confirmer la légitimité de la modification de l'article relatif au titre d'associé ; elle le prévient qu'elle lui soumettra ainsi qu'à Tisserant le projet de lettre qu'elle va écrire à Vavasseur sur ce sujet. Elle l'informe que Bernardot est allé à Vervins et a vu Falaize à propos de la succession de Godin : elle a écrit à Falaize que seul Ganault, en qualité d'exécuteur testamentaire, a le pouvoir de lui donner des instructions sur la succession de Godin. Elle demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 25 février 1888 relative au mausolée de Godin. Sur le chantage exercé par Marcel Laporte : Marie Moret raconte à Ganault que Marcel Laporte, fils naturel prétendu d'Émile Godin, a demandé si une part lui avait été réservée dans le testament de Godin, qu'il est venu à Guise lui apporter une lettre de menaces en vue d'obtenir quelque chose ainsi qu'un article de lui contre Godin refusé par le Nouvelliste et qu'il a écrit une nouvelle lettre de menaces à son retour à Alger ; elle demande à Ganault comment empêcher le chantage exercé par Laporte ; elle rapporte que la veuve d'Émile Godin aurait proposé 1 000 ou 2 000 F à Laporte pour récupérer des lettres par lesquelles Émile lui aurait promis 10 000 F ; elle précise que Laporte est employé à la compagnie du chemin de fer Paris, Lyon, Méditerranée et se demande s'il faut saisir le procureur de la République ou avertir son employeur. Elle transmet à Ganault le souvenir d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri La Fontaine, 13 janvier 1892
Acceptation de l'échange entre Le Devoir et la Revue sociale et politique. Envoi des douze numéros de l'année précédente. Précisions sur les adresses d'envoi et de réception.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ernesto Teodoro Moneta, 27 janvier 1892
Sur un article paru dans Le Devoir de janvier 1892 au sujet des positions de l'Union lombarde. Doit refuser une proposition de soutien financier de Moneta et explique que ses ressources financières ne lui permettent pas d'aider les causes défendues par Godin (paix, féminisme, mouvement ouvrier, etc.). Sur l'administration et l'édition du Devoir, la gestion de la Société du Familistère de Guise et la Société de paix du Familistère dont Marie Moret est membre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Tripier, 21 février 1892
Remerciements pour l'envoi d'un livre. Marie Moret revient sur la qualité de directrice du Familistère que Jules Trépier lui attribue : M. Dequenne est le directeur de la Société du Familistère tandis qu'elle ne s'occupe que de l'administration et gestion du journal Le Devoir. Elle explique que Le Devoir est complètement distinct de la Société du Familistère et de la Société pour la paix et l'arbitrage fondée par Godin.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles Doerflinger, 27 février 1892
Accuse réception du mandat poste pour le réabonnement au journal Le Devoir et envoi des numéros de janvier et février 1892. Elle se réjouit du retour de M. Doerflinger dans sa famille et des nouvelles du mouvement coopératif.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ugo Rabbeno, 11 avril 1892
Accuse réception du livre et de la lettre. Transmet le dernier numéro du journal Le Devoir en complément des livres envoyés par Bernardot à Rabbeno.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles Doerflinger, 1er juin 1892
Informe de l'état de santé et des occupations de Bernardot. N'a pas de temps pour le voir car occupée par l'édition et l'administration du journal Le Devoir. Ne saurait répondre à ses questions ses questions sur l'habitation au Familistère et l'admission dans l'Association. Elle le renvoie au dernier numéro du Devoir pour les réponses aux questions concernant le Congrès de la Fédération des sociétés féministes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Owen Greening, 8 juillet 1892
Le remercie de l'invitation des coopérateurs anglais à venir en Angleterre et des pensées sympathiques à l'égard de Godin. Ne pouvant voyager, Bernardot ira représenter le Familistère. Au sujet de l'invitation de l'Harmonie du Familistère à Londres par Broomhall : lui recommande de contacter Dequenne car elle ne s'occupe pas de ces questions administratives.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Roger et Laporte, 18 octobre 1892
Retourne les épreuves des articles « syndicats profes. » et les discours de Bernardot à insérer dans le journal <em>Le Devoir</em>. Demande à ce qu'ils lui retournent les épreuves corrigées et la couverture.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 2 novembre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet sur la côte Atlantique, du 30 octobre au 5 novembre 1892. Informe que l'expédition des 340 exemplaires du journal Le Devoir ne devrait pas tarder ; le prie d'en donner 5 à Bernardot. A reçu la demande de réabonnement de madame Villeneuve pour son mari à Villecomte par Is-sur-Tilles. Sur la répartition des exemplaires aux abonnés de Guise et de Laeken.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 12 novembre 1892
Sur l'expédition du journal Le Devoir, l'échange avec Le Flambeau. Demande à ce qu'il adresse l'Almanach de la Question sociale à Pascaly. Sur les nouveaux abonnements à enregistrer et la comptabilité entre Marie et Doyen.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 17 novembre 1892
Sur le jardin d'Émilie ; point sur la comptabilité de Doyen concernant les avances pour Le Devoir que Marie et Doyen doivent actualiser sur cette base. Envoi le mandat poste pour l'abonnement de monsieur Villeneuve. Sur la préparation du prochain numéro du Devoir qui ne devra pas être en retard et sur les timbres et enveloppes prêts à être envoyés pour la correspondance en lien avec son édition. Sur ce que Doyen a bien fait de donner à Bernardot et Piponnier et sur l'absence de réponse de Bernardot. Sur l'échange du Devoir avec Le Glaneur, le reçu de la mairie, de l'Évangile social, sur la nouvelle lettre d'Élise.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 18 novembre 1892
Accuse réception de la lettre de Doyen qui répond à plusieurs questions de la lettre de Moret en date du 17 novembre 1892. Exaspération sur le temps mis par Baré à l'impression de la seconde édition du livre de Bernardot. Sur plusieurs sujets : leur comptabilité, M. Tarbouriech, M. Marchand, Le Temps, le reçu de la mairie et les ouvrages reçus.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 6 décembre 1892
Ne comprend pas la lenteur d'expédition du journal Le Devoir et va en parler à Roger et Laporte. Le remercie pour l'envoi de plusieurs documents, les comptes du Devoir et le prie de remercier Piponnier pour la modification suggérée suggérée par lettre du 1er décembre. Sur un vol commis au Familistère, l'effraction d'un coffre-fort. Sur la présence de Marcel Laporte dans les environs. Demande de lui transmettre également les salutations de Fabre. Qu'a-t-il prévu de faire pour M. Tarbouriech ? Sur la lenteur de la réédition du livre de Bernardot. Le prie d'envoyer des ouvrages à Roger et Laporte.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 13 décembre 1892
Les 320 exemplaires du numéro du journal Le Devoir sont partis le 20 décembre de Nîmes. Le prie de procéder à leur expédition dès réception. Le remercie de son travail sur l'état des assurances. Au sujet des nouvelles rubriques sur les mutuelles. A pris note des avancées sur plusieurs points : le reçu de la mairie, l'envoi des ouvrages à Roger et Laporte et la lettre de voiture. Sur l'avancement lent de la réédition du livre de Bernardot : des pages perdues à l'imprimerie.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 27 mars 1896
Marie Moret et Émilie Dallet remercient madame Buridant pour ses bons soins. Marie Moret remercie Buridant pour les divers envois. Doit étudier L'institut des arts industriels pour un potentiel échange avec Le Devoir. Réception par Buridant des 110 exemplaires du Devoir de mars 1896 : en donner gracieusement à Bernardot s'il en demande quelques exemplaires. Au sujet de la sonnerie électrique défectueuse [de l'appartement de Marie Moret] : s'adresser à monsieur Gilbert, ouvrier qui travaille dans les ateliers de l'usine dirigés par Louis-Victor Colin. Demande à Buridant de lui faire état de leur compte prochainement. A pris note de l'encaissement de Van Marken. Décès de Jules Pré, délivré de ses souffrances.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à James Johnston, 25 août 1896
Remercie James Johnston pour la photographie de Robert Owen mais il est trop tard pour qu'elle figure dans la brochure de Fabre « Un socialiste pratique : Robert Owen », dont Marie Moret lui en envoie un exemplaire. Sur le décès de Miss Martyn qui « nous avait laissé le plus pur, le plus charmant souvenir. » Informe qu'elle transmettra à Fabre, « très versé dans ces questions », la demande de Johnston concernant l'existence à Paris d'entreprises similaires à celles de Leclaire ou du Familistère. Marie Moret a rappelé à l'Association coopérative du Familistère la demande de James Johnston. Remercie Johnston de sa proposition d'envoi d'un journal anglais mais en reçoit déjà à titre d'échange avec Le Devoir. Souhaite un bon voyage à Lisbonne et Madrid à Johnston et à sa fille.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 20 décembre 1896
Sur les élections municipales à Guise : constitution du conseil municipal et retrait de F. Bernardot. Les fantaisies de L'Illustration font douter Marie Moret de la crédibilité du journal : donne l'exemple d'un article sur les immeubles à 29 étages de New York où Marie Moret aimerait être. Remercie Piponnier du temps qu'il lui consacre pour ses recherches et est contente d'être fixée sur la date du paiement des salaires par sections. Marie Moret travaille en ce moment sur l'École sociétaire de la période d'avant 1840. Quelques considérations spirites de l'esprit de Marie Moret enfermé dans une « lourde chrysalide ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 19 avril 1897
Remercie Buridant pour ses lettres des 12 et 17 avril 1897 et ses envois. Émilie Dallet a écrit à Buridant à propos de son jardin. Diverses questions touchant au Devoir : arrêt d'abonnement de Manuel Navarro ; remercie Buridant pour les informations sur la fête du Travail et en attente de la liste des récompenses exceptionnelles ; succession d'événements au Familistère ; départ d'Albert Louis du Familistère : cesser de lui donner Le Devoir ; départ de François Bernardot du Familistère : lui donner le numéro d'avril du journal puis lui envoyer au titre des services gratuits au 3, place de la République à Nantes. Sur l'indisponibilité de monsieur Rousselle et la charge supplémentaire de travail que doit assumer Buridant. Transmettre son meilleur souvenir à la famille Rousselle et à mesdames Roger, Louis et Allart.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à William Franklin Willoughby, 8 août 1895
Réponse à une lettre de Willoughby du 19 juillet 1895. Réponse détaillée différée en raison de l'absence de François Bernardot « que vous avez vu ici » et qui complètera le tableau envoyé par Willoughby. Marie Moret ne pourra pas communiquer à son correspondant tous les comptes rendus des assemblées générales de l'Association coopérative du capital et du travail depuis 1880, mais tous les chiffres figurent dans l'ouvrage de Bernardot sur le Familistère. Promet l'envoi du numéro de novembre 1895 du journal du Devoir avec le compte rendu de la prochaine assemblée générale.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 octobre 1895
Marie Moret indique à Antoine Piponnier qu'Émile Laporte lui a dit avoir adressé le manuscrit et les épreuves du compte rendu de l'assemblée générale de l'Association du Familistère à François Bernardot. Marie Moret expose à Piponnier une synthèse de ses recherches sur l'historique des récompenses versées au profit du travail à l'occasion de la fête du Travail du Familistère depuis 1867, et elle sollicite son concours pour compléter les informations qui lui font défaut. Elle définit trois périodes : de 1867 à 1875, 2000 F sont alloués aux travailleurs, à l'organisation d'un banquet ou aux familles nécessiteuses ; de 1876 à 1880, répartition de dividendes ; à partir de 1880, 2 % des bénéfices sont mis à disposition du conseil de gérance pour récompenser des services exceptionnels.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 8 février 1896
Réponse à la lettre d'Antoine Piponnier du 30 janvier 1896. Piponnier et son fils Marcel à Armentières la semaine dernière : Marie Moret a souhaité qu'ils aient beau temps. Sur le modèle n° 2 des titres de participation aux bénéfices pour 1877-1879 délivrés à environ 600 travailleurs, mentionné dans une conférence de Godin : Marie Moret demande à Piponnier de faire des recherches complémentaires dans les archives de l'Association du Familistère. Transmet les amitiés de Jules Pascaly dont elle a reçu des nouvelles. Sur diverses nouvelles communiquées par Piponnier : la question des caisses de retraite ; le bon combat de François Bernardot ; sur la description de Laeken qui a fait frissonner Fabre : « Oui, c'est un triste séjour. Il faut pouvoir s'y oublier dans le travail. » ; sur « ce pauvre » monsieur Dury, ennemi de l'Association ; agression de monsieur Carlier à la chapelle Notre-Dame de la Salette [à Proix, Aisne], dont l'auteur est resté inconnu : que fait la police, se demande Marie Moret. Remercie Piponnier pour l'extrait de son compte au Familistère que Buridant lui a envoyé. Annonce à Piponnier l'envoi d'un exemplaire de l'Almanach de la coopération française.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 10 novembre 1892
Au sujet de l'inscription de monsieur Ch. Christophe de Gand (Belgique) au registre des services gratuits étrangers ; de l'expédition du Devoir. Demande de nouvelles du livre de Bernardot : peut-il lui transmettre les épreuves de la biographie de Godin ainsi qu'un album des produits de la Société du Familistère ?

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Neale que Bernardot va se rendre dans le Cumberland en passant par Manchester le 17 ou 18 mars 1883 : il a demandé à Bernardot d'aller le voir pour lui porter des nouvelles du Familistère et recueillir des renseignements utiles à son voyage. Il lui transmet ses amitiés et celles de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Morisseau qu'après en avoir discuté avec François Bernardot, il consent à l'accepter en qualité de dessinateur dans la Société du Familistère avec une rémunération de 200 F par mois. Il l'avertit qu'il doute qu'il ait les qualités d'un contremaître, condition pour se créer une situation d'avenir.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des lettres de Tisserant des 13 et 14 juin 1884. Il lui annonce que Bernardot a répondu à sa lettre relative à Boucher et qu'il lui retourne une lettre de Pouillet. Sur la modification des statuts de la Société du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Amédée Moret que François Bernardot va se rendre à Paris pour étudier la fabrication de suspensions d'éclairage, fabrication à laquelle se livre la manufacture du Familistère, et pour étudier aussi les causes de la baisse des affaires à Paris. Il lui demande de l'aider dans ses démarches.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pouillet que François Bernardot, conseiller de gérance, passera demain chez lui pour retirer le dossier que Godin a oublié d'emporter.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Bernardot, de retour d'Angleterre, a fait part à Godin du désir de Greening d'avoir une vue du Familistère du côté des jardins, désir confirmé par une lettre de Neale. Il lui explique qu'il n'a plus d'exemplaires de la photographie qu'il a vue chez lui, qui mesure 42 sur 17 cm, et il lui propose d'en faire faire un nouveau tirage de 24 x 17 cm. Il lui envoie le catalogue anglais des produits de l'usine du Familistère qu'il a demandé à Bernardot. Il lui confirme qu'il lui adresse régulièrement Le Devoir depuis le 22 février 1885, et lui signale que le journal a mentionné le compte rendu de sa visite du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Henri Vogelweith qu'il se rendra chez lui à Saint-Quentin le lendemain, à la suite de la visite que lui a faite Bernardot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Bell Brothers du 3 mai 1886. Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère, à la suite du voyage de Bernardot et de Sekutowicz.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures du Familistère de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au maire de Guise de publier les bans de son mariage avec Marie Moret, écrivain. Il lui demande de dire à François Bernardot s'il est nécessaire de produire les actes de décès de leurs pères et mères.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne à Destrem le projet de pétition au président de la République, revêtu de sa signature et de celle de Bernardot, vice-président de la Société de paix et d'arbitrage du Familistère.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret demande à Falaize de s'adresser à Ganault, exécuteur testamentaire de Godin, pour les questions qu'il a posées à Bernardot, relatives à la succession de Godin. Elle le remercie pour sa lettre du 11 février 1888.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Informe qu'elle a envoyé une lettre à Baré et a grondé Doyen pour remettre en ordre le service du Devoir. Sur le contenu, l'organisation et l'impression du Devoir. Explique qu'elle voit le moins de monde possible pour éviter les cancans et parce qu'elle trouve ça ennuyeux. Joint les rosaces réalisées par John [Marie-Jeanne Dallet] pour que Titi [probablement le chat de Pascaly] puisse les admirer.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Sur l'organisation et le contenu du numéro des prochains numéros du Devoir. Sur la venue de Mephisto et sa rencontre avec Bernardot.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Ne retourne pas s'installer à Lesquielles car il fait trop froid. Sur le contenu des prochains numéros du Devoir. Prête le livre de Pascaly à Bernardot puis Doyen. S'inquiète du danger imminent de la guerre et évoque la possibilité de partir en Suisse ou à La Rochelle. Espère que Pascaly les informera d'un réel danger en avance. John [Marie-Jeanne Dallet] est ravie de l'enthousiasme de Titi [probablement le chat de Pascaly], suite à son cadeau.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception de sa lettre qui est transmise à Bernardot. Remercie pour l'envoi d'une brochure mais n'a pas reçu la deuxième. Accuse réception du compte-rendu du Congrès de Genève qui apparaîtra dans Le Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Informe madame Griess-Traut qu'elle peut directement se procurer l'ouvrage Kiriquette auprès de Bernardot. Marie Moret heureuse d'avoir pu publier quelques lignes de madame Griess-Traut dans Le Devoir mais doit refuser la proposition de publication de l'article joint à sa lettre du 22 janvier 1898 par manque de place.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Réponse à une lettre de Gustave Brocher par l'envoi d'imprimés. Indique à Gustave Brocher que François Bernardot a quitté le Familistère il y a deux ans pour fonder une maison d'industrie à Nantes et qu'il pourra obtenir davantage de renseignements auprès de Louis-Victor Colin, administrateur-gérant de la Société du Familistère depuis un an.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant de ses envois et d'avoir donné les étrennes au facteur, et elle se réjouit que le livre offert à Marie Buridant lui soit bien parvenu. Elle demande des nouvelles de madame Buridant, souffrante d'un rhume. Plusieurs sujets concernant le service du Devoir : envoi du mandat postal de madame Dubos-Foy pour son réabonnement ; rappel de l'envoi du compte du journal ; changement d'adresse de monsieur Bernardot à Nantes ; demande d'envoi du « Mouvement des assurances » et de l'« État-civil ». Marie Moret demande des nouvelles du Familistère et de Félicie Gauchet.
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