FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 20 octobre 1896
Comme annoncé dans son télégramme, Marie Moret envoie à Pascaly de la part de la Société du Familistère : une lettre adressée à Pascaly, 2 reçus et un chèque de 545,85 F. Précise que le montant a été versé par la Société du Familistère sur le compte de Marie Moret pour Pascaly, que la Société du Familistère souhaite que Pascaly s'acquitte régulièrement des deux reçus envoyés, et qu'il leur accuse réception de cet envoi. Marie Moret annonce écrire la même chose pour Fabre. Remercie Pascaly des informations sur monsieur Crespin. Elle évoque des « pauvres turcos » dépeints par Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Molines père et fils, 20 octobre 1896
Annonce l'envoi d'un chèque de 790,15 F à Auguste Fabre.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 23 octobre 1896
Annonce l'arrivée d'une lettre chez Fabre. Fabre étant déjà parti de Nîmes, Marie Moret énonce le contenu de la lettre qui concerne Sophie Quet : elle lui demande de regarder chaque jour dans la boite aux lettres pour leur correspondance et l'envoi du règlement de son mois d'octobre si la famille Moret-Dallet n'est pas descendue à Nîmes d'ici la fin du mois. Jointe à cette lettre, une lettre de Jeanne et 3 enveloppes prêtes. Préviendra Sophie Quet de leur date d'arrivée à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 1er novembre 1896
Prévient Sophie Quest que la famille Moret-Dallet partira de Guise le 4 novembre 1896 et arrivera à Nîmes le 5 novembre vers 9 h 00 ou 10 h 00 si elle manque la correspondance à Tarascon. Fabre part de Paris ce jour [1er novembre 1896] ; Marie Moret lui adressera à Nîmes une lettre le priant de donner à Sophie de quoi préparer leur arrivée. Demande à Sophie d'acheter du miel pour le café, du charbon et du petit bois si nécessaire. L'adresse d'expédition des journaux auxquels la famille Moret-Dallet est abonnée a été changée, certains arriveront à Nîmes d'ici leur arrivée. Prévient de l'arrivée possible de deux commandes, l'une du Printemps, l'autre des Grands magasins du Louvre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à James Johnston, 7 novembre 1896
Marie Moret en retard dans sa correspondance avec Johnston : les préparatifs de son déplacement dans le midi de la France pour passer l'hiver lui ont pris tout son temps. Sur le paquet remis par Johnston à Fabre lors du congrès des coopérateurs à Paris, à l'intention de Marie Moret et contenant une lettre, un foulard et 6 imprimés dont un avec le portrait de Johnston ayant causé « le plus vif plaisir à toute la famille. » Sur la question de Johnston concernant l'existence d'entreprises similaires à celles de Leclaire ou de Godin à Paris : Marie Moret et Fabre en ont discuté et Fabre répondra lui-même à la question prochainement. Transmet les remerciements de Fabre pour les portraits de Robert Owen et les meilleurs souvenirs d'Émilie et Jeanne Dallet. Sur l'admiration du foulard par la famille Moret-Dallet et par Fabre : « nous félicitons vivement les auteurs de ce joli travail. » En post-scriptum, espère que Johnston a bien reçu de la Société du Familistère les documents demandés.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 8 novembre 1896
La famille Moret-Dallet arrivée à Nîmes jeudi 5 novembre 1896. Demande des nouvelles du Familistère. Inscriptions au registre des services gratuits du Devoir : Jules Prudhommeaux à Montluçon et Félix Dallet à Bordeaux. Envoi prochain des 310 exemplaires du numéro du Devoir de novembre 1896. Va presser l'exécution du numéro de décembre pour faire les expéditions avant Noël. Prie Buridant de demander à madame Louis des nouvelles d'un avis de réception et le remercie pour les différents envois.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 9 novembre 1896
Marie Moret déçue que Jules Prudhommeaux soit à Montluçon plutôt qu'à Nîmes, où elle l'imagine « travaillant parfois de concert avec nous », mais elle se réjouit de son travail de traduction de l'anglais. Informe avoir inscrit Prudhommeaux au registre des abonnés du Devoir à Montluçon et qu'il recevra bientôt le numéro d'octobre 1896. Fait savoir par Fabre que le service du Devoir continuera au 26, cours Morand à Lyon « où le Devoir a des lecteurs ». À propos d'un nouveau roman dans Le Devoir : Sans famille arrive à sa fin et Marie Moret sollicite Prudhommeaux sur le choix d'une œuvre, de préférence du domaine de la Société des gens de lettres avec qui elle a un accord ; elle aimerait mettre en avant la note spiritualiste, « faisant appel aux sentiments les plus élevés. » Presse « l'Amiral » [Auguste Fabre], qui prend une leçon d'anglais au moment où écrit Marie Moret, d'écrire à Prudhommeaux, et transmet les meilleurs souvenirs de « tout l'équipage. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 16 novembre 1896
Sur la reprise des dissensions entre la ville et le Familistère que Marie Moret déplore « le triomphe des malentendus ». Questions sur la composition de la commission et les élections. À propos de la caisse de secours mutuels au Familistère : Marie Moret tient de Godin un exemplaire du règlement de l'usine de 1857, dont la rubrique « des secours » traite des avances faites aux ouvriers nécessiteux et d'une « caisse des amendes ». Ce document ne mentionne pas les cotisations des ouvriers mises en place dès 1865 au Familistère, avant la constitution des caisses de prévoyance en 1870. Pose plusieurs questions sur les cotisations des ouvriers : leur date d'introduction dans l'usine, leur taux, leur obligation. Demande si Piponnier pourrait se procurer le vieux règlement de l'usine ou de l'ancienne caisse de secours. Sur l'article consacré au Familistère dans le journal L'Illustration. En post-scriptum, informe de la bonne réception de l'objet envoyé par Piponnier et indique que la chaufferette réparée a fait l'admiration de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 17 novembre 1896
Sur plusieurs points concernant l'administration du Devoir : modification de l'adresse de Félix Dallet, information sur Antoniadès, envoi à Pascaly du journal Les États unis d’Europe, remise d'un exemplaire gratuit du Devoir de novembre 1896 à Alizart pour l'enregistrement. Marie Moret a reçu une lettre d'Isanie Ducruet : tout va bien. Marie Moret contente que Marie et Victoire Buridant se plaisent dans leur nouvel appartement. Post-scriptum au sujet de La Revue des femmes russes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 novembre 1896
Sur les deux articles de mauvaise qualité parus dans L'Illustration au sujet du Familistère : permet de comprendre comment la classe dirigeante, à qui le journal est adressé, est informée de la question sociale. Remercie Piponnier pour les informations au sujet des cotisations des ouvriers au fonds de secours mutuels. Sur la création de la caisse de secours en 1852, alimentée jusqu'en 1860 par les amendes et présidée par un comité de 6 délégués (nombre augmentant jusqu'à 18 en 1880). En parallèle, un comité chargé des réclamations fondu avec le comité de la caisse mutuelle de l'usine en un comité unique de 20 membres. À propos du comité des surveillants du travail et de leur élection : ont-elles toujours eu lieu ? Marie Moret en possession des résultats d'élection de 1869 mais les surveillants ont été en fonction dès 1863. Sur les charges et responsabilités matérielles des surveillants du travail qui déterminent leur élection. Élection inscrite dans le pacte statutaire par Godin, qui l'a jugée « pratique et bonne ». Marie Moret désireuse de discuter avec Aimé Quent à Guise ; si Piponnier vient à discuter avec lui, Marie Moret transmet son meilleur souvenir et ses remerciements anticipés à Aimé Quent pour son témoignage sur les surveillants du travail. Elle rédige une série de questions sur l'élection et les responsabilités des surveillants d'atelier. Au sujet de la Sainte-Catherine à Guise : espère que la fête a été belle et demande quel rôle a joué Antonia. Demande des nouvelles de la famille de Piponnier et donne des nouvelles météorologiques à Paris et à Nîmes. Sur les dissentiments municipaux qui divisent la ville et font craindre pour les élections. nouvelles du Familistère : madame Garbe qui doit « cultiver maintenant la faculté de réfléchir avant de parler » et le cas de madame Génot, moins grave que celui de madame Gardet. S'excuse pour la longueur de la lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 20 décembre 1896
Sur les élections municipales à Guise : constitution du conseil municipal et retrait de F. Bernardot. Les fantaisies de L'Illustration font douter Marie Moret de la crédibilité du journal : donne l'exemple d'un article sur les immeubles à 29 étages de New York où Marie Moret aimerait être. Remercie Piponnier du temps qu'il lui consacre pour ses recherches et est contente d'être fixée sur la date du paiement des salaires par sections. Marie Moret travaille en ce moment sur l'École sociétaire de la période d'avant 1840. Quelques considérations spirites de l'esprit de Marie Moret enfermé dans une « lourde chrysalide ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 21 décembre 1896
Marie Moret et Émilie Dallet remercient Buridant pour ses envois. Refus d'échange avec La Coopération des idées. Annonce avoir signalé à l'Annuaire de la presse que Buridant a remplacé Doyen à la gérance du Devoir. Marie Moret souhaitait faire cadeau d'une poupée de type japonais à Marie Buridant mais le magasin a fermé ; elle lui envoie donc une image en recommandé. Sur l'état de santé de la fille Demolon. Demande à Buridant de donner 5 F pour les étrennes du facteur, de la part d'elle-même et d'Émilie Dallet. Remercie les dames Roger, Louis et Allart pour leur bon souvenir et espère que les élections municipales de Guise se sont achevées « dans le sens le plus propre à la paix des esprits ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 28 décembre 1896
Malgré son envie, Marie Moret ne peut plus écrire aussi souvent qu'avant à Flore Moret. Remercie Flore pour les lettres envoyées, auxquelles Jeanne et Émilie Dallet ont déjà répondu. Sur les occupations de la famille Moret-Dallet à Nîmes : Jeanne se perfectionne dans ses études, Émilie prépare une deuxième édition de La méthode et Marie prépare le nouveau numéro du Devoir. Sur les rêves de Marie Moret dans lesquels elle voit parfois Godin : « Je crois que dans le profond du sommeil, bien souvent nous sommes avec nos aimés disparus d'ici, sans que nous en ayons le souvenir en nous réveillant. » Marie Moret et Fabre présentent leurs vœux à Flore Moret pour la nouvelle année.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 29 décembre 1896
La famille Moret-Dallet et Fabre envoient leurs vœux de bonheur pour la nouvelle année à Piponnier et sa famille : Marie-Jeanne Dallet sensible au mot d'Antonia Piponnier ; Marie, Jeanne et Émilie embrassent madame Piponnier et espèrent qu'elle a reçu les fleurs peintes par Marie-Jeanne. Marie Moret remercie Piponnier pour les renseignements sur la banque Offroy et Cie. Piponnier en voyage à Laeken en janvier 1897. Marie Moret occupée à la correction des épreuves du journal Le Devoir de janvier 1897. Sur les élections municipales à Guise : Fabre du même avis que Piponnier sur les difficultés de la nouvelle municipalité à se soutenir. Analogie faite par Piponnier entre météorologie et politique ; Marie Moret fait référence aux immeubles de 29 étages [de New York].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 30 décembre 1896
Marie Moret contente d'avoir fait plaisir à Marie Buridant par son cadeau. La famille Moret-Dallet et Fabre envoient à Buridant et sa famille leurs vœux de bonheur pour la nouvelle année. Marie Moret, sa famille et Fabre compatissent à la douleur de madame Buridant. Remercie Buridant pour les nouvelles de mademoiselle Demolon, le mot concernant la facture, les divers envois. Au sujet des cartes de visite : demande à Buridant de lui faire un envoi tous les 3 jours à partir du 2 ou 3 janvier 1897. Suspendre le service du Devoir avec le journal Il Secolo et auprès d'Aimé Flamant. Quatre exemplaires du Devoir sont déposés à la mairie de Guise, il n'y a pas lieu d'inscrire également le maire dans les services du journal. Attend avant de prendre une décision concernant Le Saint-Quentinois. Refus d'échange de service du Devoir avec trois autres journaux et suppression du service avec La Revue mutualiste qui a cessé de paraitre. Demande l'envoi du nouveau numéro des Annales des sciences psychiques. À propos des élections municipales : « il semble que la ville est coupée en deux et que la marche des choses doit être à la fois difficile et précaire. » En post-scriptum, demande à Buridant de transmettre ses meilleurs vœux à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Isanie Ducruet, 3 janvier 1897
Marie Moret ayant mal à la main, elle n'a pu répondre plus tôt à Isanie Ducruet. Remercie Isanie de ses vœux de bonheur et de santé pour la nouvelle année et lui transmet les siens, de même qu'à Joseph et Maria. Réponse à la lettre d'Isanie de novembre 1896 : Isanie tentait de se figurer un Familistère à 10 étages, Marie Moret lui fait part de sa lecture d'un article sur les maisons à 29 étages de New York ; sur la difficulté de replacer les fonds des titres de la Société du Familistère. Réponse à la lettre d'Isanie de décembre 1896 : Marie Moret du même avis qu'Isanie concernant les élections municipales de Guise « c'est un vrai gâchis. » Sur les occupations de Fabre et de la famille Moret-Dallet à Nîmes : Marie-Jeanne se consacre à la musique et à la peinture, et Émilie aux écoles [du Familistère].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 3 janvier 1897
Marie Moret a fait envoyer à Juliette Cros un ouvrage sur le costume féminin en anglais. Le reste de la lettre est illisible.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 7 janvier 1897
Échange de vœux pour la nouvelle année entre les familles Prudhommeaux et Moret-Dallet. Informe avoir transmis les commissions à Émilie Dallet et Auguste Fabre et avoir pris note du roman conseillé pour Le Devoir, Geneviève de Lamartine. Remercie Prudhommeaux pour sa promesse de lui indiquer d'autres références. Sur H. Babut, ami de Prudhommeaux, dont la famille est abonnée au Devoir, mais qui est lui-même mal renseigné sur le fondateur du Familistère. Marie Moret évoque une traduction d'un livre de Noyes et invite Prudhommeaux à pousser Fabre à l'écriture d'un manuel d'économie sociale à l'usage des jeunes gens : « L'étude que vous faites de l'anglais s'ajoute à tout ce que vous possédez déjà pour faire de vous le collaborateur précieux en une pareille œuvre » Sur l'agrégation de Prudhommeaux et l'intérêt de sa poursuite en doctorat pour son avenir, l'obligeant à des travaux nouveaux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Prudhommeaux, 11 janvier 1897
Marie Moret touchée de la lettre de Prudhommeaux du 8 janvier 1897 et confuse de la brièveté et de la maladresse de la sienne du 7 janvier 1897. Explique sa phrase « Je comprends bien comment vous êtes emporté dans une autre voie » : Marie Moret parlait de l'engagement de Prudhommeaux dans des travaux concernant le doctorat, et non d'un changement de filière. Marie Moret et Fabre comprennent le choix d'Edgar Quinet et de l'économie sociale comme sujet de thèse et conseillent à Prudhommeaux de s'« emparer de la langue anglaise ». Sur le désir de Fabre et de Marie Moret de voir Prudhommeaux occuper une chaire à Nîmes. Fabre parti à la bibliothèque pour répondre à la lettre de Prudhommeaux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 24 janvier 1897
Départ de Fabre de Nîmes pour rejoindre Juliette Cros dont une personne proche vient de décéder. La famille Moret-Dallet présente ses condoléances à madame Boudet et toute la famille de Juliette Cros.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Louis Colomb, 29 janvier 1897
Passe commande de 1 250 kg de charbon à livrer en matinée au 14, rue Bourdaloue à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 29 janvier 1897
Prévient Flore Moret qu'elle enverra le lendemain, en recommandé, 50 F pour le Bureau de bienfaisance de Guise qui fait face à des charges exceptionnelles à cause de la Maison Chenest. Demande à Flore Moret de remettre l'argent à monsieur Catrin pour le Bureau. Donne des nouvelles : Fabre revenu de chez Juliette Cros, le beau temps et la bonne santé de tous.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 30 janvier 1897
Envoie 50 F pour le Bureau de bienfaisance de la ville de Guise que Flore Moret doit remettre à Catrin ou Devillers. Remercie Flore pour son entremise. Tout va bien à Nîmes : la famille Moret-Dallet l'embrasse et Fabre lui présente ses hommages sympathiques et respectueux. En post-scriptum, rassure Flore Moret : si elle ne peut remettre l'argent à quelqu'un, Marie Moret s'arrangera. Informe qu'elle reçoit une lettre de Roger à ce même sujet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 30 janvier 1897
Accuse réception des divers envois de Buridant et le remercie. Difficultés de communication avec Antoniadès en Turquie : les lettres passent mais peut-être pas les journaux. Sur un oubli commis par l'imprimerie Veuve Laporte dans le précédent numéro du Devoir, que Buridant a remarqué. Accorde 3,3 % de remise au prix des livres demandés par Leymarie. Suppression du service d'échange du Devoir avec Le Jardin. Donnera bientôt à Buridant une nouvelle liste de lecteurs à qui envoyer Le Devoir. Suppression de monsieur Besnard du registre des abonnés. Sur le relevé de compte de Marie Moret aux économats du Familistère : monsieur Bocheux peut-il le transmettre à Buridant ou faut-il contacter monsieur Alizart ? En post-scriptum, Marie Moret demande à Buridant de lui communiquer le nombre restant d'exemplaires des numéros du Devoir de janvier à octobre 1896, et de janvier 1897.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 7 février 1897
À propos d'un bal organisé au Familistère le soir du 7 février 1897 pour venir en aide aux ouvriers sans travail de la filature Chenest à Guise ; la famille a envoyé de l'argent au bureau de bienfaisance de la ville. Remerciements adressés à Alfred Bocheux pour l'envoi du relevé de son compte au Familistère. Demande à Buridant des exemplaires du Devoir d'août à octobre 1896. Signale le changement d'adresse de Henri Babut, qui bénéficie du service gratuit du Devoir : remplacer M. Henri Babut, 1, rue Bourdaloue à Nîmes (Gard) par M. Henri Babut, pasteur, à Landouzy-la-Ville (Aisne). Informe Buridant que les exemplaires du numéro de février 1897 ont été expédiés de Nîmes et que le nom du gérant n'a pas été oublié. Informe Buridant que le petit-fils d'Auguste Fabre, âgé de 5 ans, est décédé. Marie Moret travaille sur la vie de Godin en 1848. Compliments à mesdames Roger, Louis et Allart.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 13 février 1897
Réponse à la lettre de Flore Moret en date du 1er février 1897 : s'excuse pour sa réponse tardive car ses matinées sont occupées au travail sur les documents biographiques de Godin, et elle traite la correspondance urgente en début d'après-midi avant d'aller marcher un peu. Beau temps à Nîmes : le feu n'est allumé que le soir. Nouvelles de la famille : Marie-Jeanne Dallet et Auguste Fabre se consacrent à la photographie ; Émilie Dallet prépare la deuxième édition de sa méthode de lecture et copie des pages pour Marie Moret ; Marie-Jeanne prend une leçon de peinture dans le salon au moment où Marie Moret écrit ; Auguste Fabre adresse ses hommages à Flore Moret. Remise faite par Flore Moret à monsieur Catrin de la part de Marie Moret. À propos du tissage dans le nord de la France : le journal Le Temps indique que cette industrie n'y est pas florissante en ce moment ; Marie Moret déplore que les ouvriers tisseurs de Guise aient de la peine à retrouver du travail ; espère que le neveu de Flore Moret, employé aux écritures, ait conservé son travail. Transmet ses salutations à monsieur Devillers et à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 14 février 1897
Réponse à la lettre de Buridant en date du 12 février 1897. Diverses questions relatives au journal Le Devoir : poursuivre l'échange avec le journal L'Église de l'avenir mais supprimer le nom de Charles Humann ; en attente du dernier numéro de La Revue féministe, paru il y a dix jours selon Jules Pascaly ; en attente aussi du dernier numéro de la Revue des femmes russes devenue la Revue des femmes russes et françaises. Sur la situation des ouvriers de la filature Chenest à Guise : espoir que celle-ci soit reprise. Fabre à nouveau en deuil : décès subit de sa belle-mère [madame Boudet], une personne très âgée, le 13 septembre 1897. Vœux de prompt rétablissement transmis à madame Roger, souffrante, et salutations transmises à mesdames Allart et Louis.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, les 22 et 23 février 1897
Nouvelles de la famille Moret-Dallet : Marie-Jeanne Dallet et Auguste Fabre « se sont mis à la photographie » ; envoi prochain de spécimens de leurs travaux ; Auguste Fabre, qui a perdu son fils il y a un an, vient de perdre son petit-fils et sa belle-mère : « L'énigme de nos apparitions et disparitions terrestres ne cesse de se rappeler à chacun de nous. » Questions à son « cher collaborateur » relatives aux recherches historiques de Marie Moret pour mettre en relation l'activité sociale et l'activité industrielle de Godin : nombre de travailleurs occupés chaque année entre 1849 et 1855 ; nombre de modèles en 1851, en 1853 et en 1880. Lettre poursuivie le 23 février 1897. Marie Moret a rêvé de Piponnier et des tracas que ses recherches sont susceptibles de lui causer. Envoi de photographies de Marie-Jeanne Dallet et Auguste Fabre : photographie d'un portrait demi-nature de Godin peint il y a deux ans par un artiste de Nîmes, que Marie Moret a déjà montré à Piponnier au Familistère ; une vue générale de « La fontaine, promenade publique de Nîmes, partie du bas seulement » ; un aperçu de la partie haute de la promenade avec une allée qui passe par la « grotte ». Projet de parler de photographie avec Piponnier. Demande des nouvelles de la famille Piponnier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Babut, 27 février 1897
À propos de la thèse d'Henri Babut, que le père de ce dernier a communiquée à Marie Moret : sur le sens du mot amour (« Aimer, au sens le plus élevé du mot, c'est se dévouer au bien de la plus grande généralité des êtres. ») ; sur la mort ; citations du texte de la thèse ; exemple de Jésus-Christ. Cérémonie de consécration d'Henri Babut au ministère pastoral par son père le 5 mars 1897.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 5 mars 1897
Réponse à la lettre de Piponnier en date du 2 mars 1897. Sur les essais photographiques de Marie-Jeanne Dallet et d'Auguste Fabre : les deux vues des jardins de La Fontaine ont été réalisées avec l'aide du professionnel qui les a initiés à la photographie ; la vue du portrait de Godin est entièrement d'eux, plaque et épreuve. À propos de fleurs peintes à l'huile envoyées par Marie-Jeanne Dallet à Antonia Piponnier : Marie Moret ne trouve pas trace d'un accusé de réception de la part d'Antoine Piponnier. Remercie Piponnier pour les documents envoyés : demande de confier à Henri Buridant le dossier sur le Texas, qui lui en fera l'envoi ; Marie Moret ne s'en servira peut-être pas pour les « Documents biographiques » de Godin : « Mais il faut toujours que je commence par m'assimiler tous les documents qu'il m'est possible de rassembler sur les faits qui se présentent, sauf, ensuite, à les écarter ou les utiliser selon qu'ils se rattachent ou non à mon plan. » Réunion de la famille Piponnier à Armentières. Remercie Piponnier pour ses mots touchant les deuils de Fabre et de sa fille.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 7 mars 1897
Félicite Bernardot pour son premier article sur Godin paru dans le numéro de mars 1897 du journal The Avenue et félicite la traductrice « car le style est à la fois substantiel, simple et clair ; trois qualités que j'ai vues réunies plus souvent chez les américains que chez les anglais ». Marie Moret a ouvert dans le numéro de février 1897 du Devoir un « nouveau sillon » pour la « Biographie complète » de Godin ; vie de Godin de 1840 à 1852 : « Sa figure grandit de plus en plus dans ma pensée, à mesure que je le saisis dans les années où je ne vivais pas à côté de lui et qui me le révèlent sous des aspects qui complètent ceux sous lesquels je l'ai connu. » Travail accompli pour « quelques rares penseurs du moment présent convaincus que l'économie sociale ne se constituera vraiment à l'état de science qu'en employant le procédé scientifique : la vérification expérimentale. C'est pourquoi en cette matière, échecs et succès, tout doit être relevé ». Demande des nouvelles de la famille de Bernardot. Informe Bernardot : qu'Émilie Dallet a bien reçu sa lettre du 27 février 1897 et la photographie de Paul Bernardot ; que Jeanne a bien reçu la lettre de Madeleine Bernardot et qu'elle promet d'envoyer une photographie du portrait de Godin. Remercie Bernardot pour le mot adressé à Auguste Fabre à l'occasion du décès de son petit-fils, un an après le décès de son fils ; le faire part de décès de son petit-fils a été adressé de Tarn-et-Garonne à Bernardot par la mère de l'enfant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 21 mars 1897
Communique à madame Louis deux lettres destinées à messieurs Picot-Delorme et Bernier, relatives à l'enlèvement de meubles de l'appartement de Marie Moret au Familistère : une chaise longue (à sortir par le 2e étage), une table de nuit et l'horloge de la cuisine. Demande à madame Louis de s'entendre avec Buridant pour permettre à messieurs Picot-Delorme et Bernier d'accéder à l'appartement. Marie Moret a rêvé de la mère de madame Louis : elle la rencontrait, lui serrait la main ; elle était toute gaie : Transmet les salutations d'Auguste Fabre et demande de transmettre ses salutations à madame Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 31 mars 1897
Communique à madame Louis deux lettres destinées à messieurs Bernier et Picot, relatives à des meubles de l'appartement de Marie Moret au Familistère : Marie Moret accepte le prix de Bernier pour la réparation de l'horloge ; en attente du prix de Picot pour la garniture de la chaise longue pour laquelle elle ne veut pas faire de dépenses exagérées. Proposition de madame Louis de faire nettoyer les appartements de Marie Moret et d'Émilie Dallet avant leur retour : confier les rideaux de l'appartement de Marie Moret à laver à madame Tasserit et non à mademoiselle Gauchet ; demander à monsieur Pourrier de les dépendre ; le brossage des autres rideaux représente un gros travail pour lequel madame Louis devrait avoir de l'aide. Remercie la mère de madame Louis pour le mot qu'elle lui a écrit ; demande des nouvelles de Césaire Louis et de leur enfant. Transmet ses salutations à madame Roger et à Élise Pré. S'entendre avec Buridant pour la question du nettoyage de l'appartement.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 19 avril 1897
Marie Moret signale à Piponnier deux articles du numéro d'avril 1897 du Devoir : l'article p. 204-205 sur le but social de la comptabilité selon Godin et « M. de Rochas et la vie future ». Demande à Piponnier si les récompenses exceptionnelles seront nombreuses à la prochaine fête du Travail. Sur une série d'incidents au Familistère, qui doivent y provoquer des discussions nombreuses. Sur les mesures que devraient comporter les statuts pour le classement des membres de l'Association dans les différentes catégories. Remerciements pour la lettre écrite par Piponnier au milieu de lourdes occupations, « si vive, si alerte et si bien documentée qu'elle nous a transportées comme par magie au Familistère même ». L'histoire en cours de l'Association du Familistère méritera d'être rapportée comme ce fut fait pour les essais sociaux aux États-Unis ou comme Marie Moret le fait dans Le Devoir pour les travaux de Godin, « parce que sur ce terrain nouveau, il faut éclairer la marche pour ceux qui suivront ». Sur la famille de Piponnier : études de Marcel, Robert et Antonia, à l'École de ménage.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 1er mai 1897
Accuse réception de la lettre de Buridant du 29 avril 1897. Marie Moret a remboursé à Émilie Dallet les 125 F que Buridant a perçu pour elle, aussi les dépenses à venir pour Le Devoir sont-elles couvertes. Diverses questions relatives au Devoir : versement de 3 dollars de monsieur Morrill de Vineland, que doit encaisser Offroy et Cie ; le nom de Martin Reymond biffé du registre des abonnés ; information de Buridant sur les récompenses exceptionnelles à distribuer à la fête du Travail, dont Marie Moret regrette le faible nombre ; la totalité du tirage du numéro de mai 1897 du journal sera expédié à Guise, sauf 4 exemplaires ; « le peu qui est à dire en ce moment touchant la fête du Travail » paraîtra dans le numéro de juin dont Marie Moret livrera les manuscrits à l'imprimeur avant son départ de Nîmes. Faute de temps, Marie Moret n'a pas répondu à la lettre de madame Louis du 5 avril 1897 : les appartements de Marie Moret et d'Émilie Dallet sont probablement remis en état. Compliments adressés à mesdames Louis, Roger, Allart et à la famille Rousselle. Dans le post-scriptum, demande à Buridant de lui écrire comment s'est déroulée la fête du Travail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 16 mai 1897
Informe Flore Moret de son arrivée à Guise samedi [22 mai 1897]. Justifie la brièveté de sa lettre par le travail de correspondance et de relecture d'épreuves qu'elle doit encore faire. Compliments d'Auguste Fabre et d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 mai 1897
Prévient Flore Moret de son arrivée à Guise samedi prochain [22 mai 1897] à 6 h 35 du soir, comme le fait Émilie Dallet dans une lettre jointe, et l'invite à souper le même soir. Signale qu'elle écrit à monsieur Marchand pour le transport en omnibus. « Au revoir, à bientôt, ma chère Flore s'il plaît à Dieu ! » Compliments de Fabre transmis par Émilie Dallet dans sa lettre à Flore Moret.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 13 juin 1897
Préparation du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir : renvoi d'épreuves et en attente d'autres épreuves ; envoi du manuscrit des « Documents biographiques » ; Auguste Fabre remettra son manuscrit sur « Le Féminisme » directement à l'imprimerie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 14 juin 1897
Préparation du numéro de juillet 1897 du journal Le Devoir : sur les épreuves du numéro ; en attente des épreuves de l'article de Fabre sur « Le Féminisme ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 19 juin 1897
Accuse réception des épreuves du tiré à part des « Documents biographiques » et du tiré à part du « Féminisme ». Fabre demande de ne plus imprimer le tiré à part de « Féminisme » sans avoir envoyé l'épreuve à Marie Moret. Demande les épreuves des articles « Documents biographiques » et « Féminisme » du Devoir de juillet 1897. Matières envoyées par Pascaly : lui adresser l'épreuve de la « Chronique parlementaire » ; adresser à Marie Moret la totalité des épreuves et des manuscrits. Envoi du sommaire du numéro de juillet 1897 ; ne manque plus à ce numéro que le « Mouvement des assurances » et « L'État-civil » ; absence d'article sur la paix.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 4 juillet 1897
Réponse à la lettre de Sophie Quet du 2 juillet 1897 : Marie Moret contente de la bonne entente de Sophie Quet avec le facteur ; Marie Moret en accord avec le projet de Sophie Quet d'aller voir son père ; lui demande de saluer mademoiselle Delon. Informe Sophie Quet qu'Auguste Fabre est bien arrivé au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Venet-Baudeville, 5 juillet 1897
Marie Moret demande à Émile Venet-Baudeville d'aller le voir le 7 juillet 1897, s'il fait beau, à Lesquielles-Saint-Germain pour s'entendre avec lui sur des travaux à faire dans sa maison ; elle veut profiter de la présence d'un de ses amis [Auguste Fabre] pour prendre les décisions à ce sujet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 9 juillet 1897
Confirme son envoi en recommandé du 8 juillet 1897 d'un chèque de 197 F. Envoi par recommandé des « pages Godin » à composer pour le numéro d'août 1897 du Devoir ; demande aussi de composer le dernier article d'Auguste Fabre sur le féminisme ; les épreuves seront corrigées par Fabre et Moret à Guise : demande l'envoi en recommandé pour éviter la perte des manuscrits. En attente d'une nouvelle feuille d'épreuve du tiré à part « Le Féminisme ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 10 juillet 1897
En attente d'une nouvelle feuille d'épreuve du tiré à part de « Le Féminisme ». Selon la lettre de veuve Laporte du 6 juillet 1897, la cession de l'imprimerie doit avoir lieu dans un mois. Demande à être informée spécialement par madame Laporte sur la situation de l'imprimerie afin de ne pas être prise au dépourvu pour la fabrication du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 14 juillet 1897
Renvoie l'épreuve du tiré à part de « Le Féminisme » avec le bon à tirer. Transmet ses meilleurs sentiments et ceux d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet et d'Auguste Fabre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 21 juillet 1897
Préparation du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir : en attente des épreuves d'articles, dont celui sur le féminisme, qu'Auguste Fabre doit pouvoir vérifier pendant son séjour à Guise, et qui sont nécessaires pour estimer l'espace disponible dans le numéro.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Babut, 21 juillet 1897
À propos du service régulier du journal Le Devoir à Montauban.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 24 juillet 1897
À propos du numéro d'août 1897 du journal Le Devoir : Marie Moret a reçu hier soir le manuscrit des articles de Pascaly, « Chronique parlementaire » et « Faits politiques et sociaux » ; Auguste Fabre est d'avis d'abréger les « Faits politiques et sociaux » pour ne conserver que « Soleure et Perth » [les comptes rendus des congrès coopératifs de Soleure et Perth] ; en attente des épreuves des pages « Godin » et « Féminisme » pour déterminer la suite du contenu du numéro. Projet de sortie de Marie Moret « for photographies » en raison du beau temps. Envoi d'un chèque de 300 F à Pascaly. Moret et Fabre signalent à Pascaly les articles du Journal de Genève : sur l'« Électricité », sur la « République coopérative » de Debs aux États-Unis et sur le congrès coopératif suisse. Reçoit le manuscrit des pages sur la paix : Marie Moret choisira une ou deux pages et gardera le reste pour le mois prochain. Elle donne un premier état du chemin de fer du numéro de septembre 1897. Marie Moret indique à Pascaly que sa lettre a été interrompue par la visite d'Antoine Piponnier, par celle d'Alizart, venu parler photographie, et enfin par la sortie avec Fabre et Marie-Jeanne Dallet (« John »). À propos de Rouanet. Recommande à Pascaly l'asa foetida pour le mal de gorge. Informe Pascaly que Fabre a envoyé à Jules Prudhommeaux une lettre de Babut.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Sophie Quet, 26 juillet 1897
Demande à Sophie Quet si elle est rentrée de son séjour dans sa famille et si elle peut lui envoyer ses appointements du mois de juillet 1897.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 26 juillet 1897
Réception des épreuves attendues, qui occuperont 29 pages dans le numéro d'août 1897 du Devoir ; annonce l'envoi de l'article suivant sur la coopération pour qu'il soit composé. Demande l'achèvement de la brochure sur le féminisme : Auguste Fabre va prolonger son séjour au Familistère pour mettre au point la mise en page et la couverture. Sur la cession de l'imprimerie Veuve Laporte : question administrative relative à l'article VII-3 de la loi sur la presse ; annonce qu'elle va cesser ses relations avec l'imprimerie Veuve Laporte après l'achèvement du numéro d'août 1897 et qu'elle souhaite achever le tiré à part des « Documents biographiques ».
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