FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Théodore Tressens, 11 juin 1873
Godin demande à Tressens de faire ce qu'il peut pour satisfaire les demandes de Quaintenne. Il lui indique qu'un logement dans un des angles de derrière du Familistère aurait été plus commode pour Quaintenne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 14 juin 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin désire connaître les relations entre Boucher et Paris : ils auraient eu un procès après que Boucher ait demandé à Paris de lui monter l'émaillage sur fonte et qu'il ait finalement débauché Mandler pour ce faire. Godin suggère à Amédée Moret d'aller demander à Paris des éclaircissements sur ce point. Il lui demande d'envoyer à Guise dès que possible les émaux récupérés auprès de Guilbert et Martin. Il l'avertit qu'il a à Versailles un certificat d'addition à déposer. Godin prie Amédée Moret de demander à Guilbert et Martin quel fondant il faudrait ajouter à leurs émaux pour les rendre plus fusible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Le Ray, 15 juin 1873
Godin répond à Le Ray, qui a fait acte de candidature à un emploi, qu'il ne lui semble pas posséder la pratique nécessaire et il lui retourne les pièces qu'il lui avait communiquées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 22 juin 1873
Godin annonce à Eugène André qu'il lui accorde 5 % des bénéfices nets faits à Laeken après paiement de 6 % au capital au titre de sa participation aux bénéfices.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Crevon, 26 juin 1873
Godin avertit Crevon de se préparer à voyager ; il lui demande d'aller à Guise et lui recommande de lui écrire ; il l'informe qu'une modification de son itinéraire va lui être proposée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 26 juin 1873
Godin demande à Denisart d'envoyer de sa part aux voyageurs de commerce l'état des villes qu'ils devront visiter et de les prier de lui faire leurs observations avant d'arrêter définitivement leur itinéraire. Il suggère de demander à Gripon s'il veut bien céder la Manche à Tisseron. Il annonce qu'il va écrire à Crevon pour lui dire de venir à Guise. Sur un contentieux avec la maison Guillaume. Sur un calorifère en fonte. Sur la révision des prix de main d'œuvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 1er juillet 1873
À l'occasion de la révision du canton de Guise, Godin invite le préfet et tous les membres du conseil de révision à dîner chez lui. Il précise qu'un appartement sera mis à sa disposition et trois chambres pour le sous-préfet de Vervins et les autres membres du conseil qu'il voudrait auprès de lui. Il ajoute qu'il serait heureux de se rendre à Guise pour l'accueillir le 11 juillet 1873, jour des opérations de révision dans le canton de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 5 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'informer Delorme que le préfet a répondu qu'il ne pouvait honorer son invitation car il s'était engagé auprès de Chenest, et qu'en conséquence il ne se rendra pas à Guise pour la révision.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 8 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'envoyer à Tisseron le projet de son itinéraire, qu'il lui avait déjà demandé d'envoyer le 25 juin dernier, qui lui confie toutes les villes du parcours de Gripon et d'autres sans prendre sur l'itinéraire de Darras, et comprend la ligne d'Évreux à Cherbourg en respectant la circonscription d'Amédée Moret. Godin demande à Denisart d'informer Novelli qu'il lui propose de voyager dans les Ardennes. Sur une avance demandée par Vuillamy. Sur les remises accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les voyages en Alsace-Lorraine opérés par l'usine de Belgique ou par l'usine de France suivant la facilité des transports par chemin de fer. Sur le chemin de fer dans l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 8 juillet 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Observations sur les documents établis par Grebel et transmis par Émile Godin : Godin ne souhaite pas soumettre aux juges des annotations visant notamment des personnes, mais ne s'oppose pas à ce qu'il les communique aux experts. Sur le brevet du moulage mécanique : sur la translation des wagons. Sur les évaluations à faire en vue de la licitation de la communauté Godin-Lemaire. Godin avertit Grebel que Quaintenne va occuper un emploi dans l'usine et peut-être remplir la fonction d'architecte de la ville de Guise : Quaintenne doit parler avec Grebel du projet des écoles de la ville ; Godin ne veut pas attendre l'architecte de Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 8 juillet 1873
Godin annonce à Quaintenne que son fils Émile va le mettre en rapport avec Dequenne qu'il va remplacer à la surveillance des travaux de construction. Il l'informe qu'un architecte de Saint-Quentin devait à sa demande venir à Guise pour faire un projet d'aménagement de salles d'écoles pour la ville de Guise ; il demande à Quaintenne de s'entendre avec Alphonse Grebel, membre du conseil municipal et de la commission des travaux publics, et d'indiquer à Delorme, premier adjoint de Godin, qu'il va réaliser l'avant-projet de transformation des salles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 9 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 9 juillet 1873 et il lui fait part de ses réflexions sur les opérations d'expertise à la lecture de l'arrêt de la cour de Nancy. Godin expose le raisonnement à tenir sur la question de la validité de son brevet de 1862 pour l'application par voie sèche d'émaux opaques tamisés sur la fonte rougie ; il présente les arguments en faveur de son brevet et ceux qui pourraient lui être opposés et les questions que devra résoudre l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 12 juillet 1873
Alphonse Grebel a informé Godin que Delorme souhaite voir l'avant-projet de transformation des écuries en marché par Quaintenne : Godin lui adresse le document et ajoute que Quaintenne est un bon républicain et qu'il voudrait pouvoir lui faire une position à Guise. Sur les salles d'écoles de la ville de Guise : Godin suggère à Delorme qu'il ne faut pas compter sur le projet de Boutry de Saint-Quentin ; il lui demande d'aller visiter avec Quaintenne les salles de l'asile à transformer en salles d'école pour que ce dernier commence à en faire l'étude.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 17 juillet 1873
Godin explique à Tito Pagliardini qu'il veut saisir l'Assemblée nationale d'un projet de loi sur l'Instruction primaire et qu'il souhaite savoir ce qui se fait dans les pays voisins en la matière. Il lui demande de lui adresser un document officiel du gouvernement anglais qui répondrait aux questions du questionnaire joint à sa lettre. Godin soumet à Pagliardini le cas d'une Française née près de Guise bénéficiaire d'un legs du baron Louis Tennette, le château de Kelington, près d'Ashford et de Canterbury, devenue folle et morte dans la maison de Bethlem à Londres : les dernières nouvelles reçues par sa famille datent de 1821 : ses héritiers, des familles de pauvres ouvriers, veulent savoir ce qu'est devenue sa fortune ; l'abbaye de Sainte-Claire à Londres, jadis abbaye de Notre-Dame des Neiges, aurait des renseignements à fournir. Dans le post-scriptum, Godin précise que la Française s'appelait « Ane Margueritte Compère ». Le questionnaire joint à la lettre et copié sur les folios 1r à 7r comporte 22 questions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 20 juillet 1873
Godin s'étonne de ne pas avoir de nouvelle de Quaintenne pour l'aménagement de salles d'écoles dans les écoles de Guise. Il lui demande de se rapprocher de l'instituteur Maroqueaux pour visiter les écoles et les salles à aménager et il l'informe que Grebel et Minart pourront lui expliquer comment l'opération était entendue par la commission des travaux publics. Godin souhaite avoir, lorsqu'il reviendra à Guise dans 8 jours, un aperçu des dépenses et des travaux à faire pour l'aménagement de deux salles d'écoles ouvrant sur la cour des filles et de deux salles ouvrant sur la cour des garçons. Il ajoute qu'il voudrait que le projet de nivellement de la place des écoles de la ville pour l'écoulement des eaux soit exécuté. Le post-scriptum porte sur une table d'école commandée pour échantillon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard de Pompéry, 28 juillet 1873
Godin adresse deux pouvoirs à Édouard de Pompéry pour l'assemblée générale de la Société européo-américaine du Texas. Il lui explique qu'il était si fatigué qu'il n'a pas prolongé son séjour à Versailles jusqu'au 31 juillet pour assister à la réunion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ernest Leroux, 2 août 1873
Godin adresse à Leroux le numéro d'un journal contenant le récit de ce qui lui est arrivé au moment de l'entrée des Prussiens à Guise et il lui communique différents renseignements biographiques et une série de publications relatives à son élection au conseil général de l'Aisne. Des notes autobiographiques sont copiées à la suite de la lettre (folios 45r-48v), dans lesquelles Godin fait l'historique de ses mandats électoraux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 18 novembre 1873
Godin fait des observations sur la note remise par Grebel à Marie Moret : une profusion d'idées qui ont besoin d'expérimentation ; Godin n'est pas convaincu par la proposition de Grebel. Sur les contrefaçons de Huet : Godin demande à Grebel de réunir les éléments nécessaires, d'acheter des spécimens des mêmes objets comme cela a été fait pour les bacs à charbon de Sougland. Sur la fabrication de pompes pour Lecocq-Decroix : Godin regrette de ne pas disposer d'un contremaître capable d'organiser la fabrication de telles pompes et d'en imaginer une plus simple ; il n'est pas partisan d'un traité avec Lecocq-Decroix.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Christian, 20 novembre 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur la communication à Esther Lemaire des documents d'expertise de la valeur des biens de la communauté : Godin déplore que la demande soit faite tardivement ; il autorise la remise à Esther Lemaire des copies des documents qui se trouvent dans les mains de Christian mais il exige que le dossier lui-même ne doit pas être remis à ses adversaires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 12 décembre 1873
Sur les vernis des appareils : Godin explique à Delaruelle la différence entre le vernis ancien, brillant mais qui ne protège pas longtemps les appareils de la rouille dans les magasins des revendeurs, et le vernis actuel moins brillant mais davantage protecteur ; il suggère à Delaruelle de se rapprocher de Barbet pour mettre au point un vernis brillant et protecteur. Godin demande à Delaruelle, qui a travaillé pour des intendances militaires, si ces administrations emploient des comptables capables pouvant faire de bons employés dans l'industrie ; Godin lui confie qu'il n'a jusqu'ici pas prêté attention aux candidatures de militaires des intendances.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 16 décembre 1873
Godin remercie Quaintenne pour ses rapports d'inspection des écoles du Familistère et ses observations sur le matériel à acquérir pour l'enseignement du dessin. Godin recommande d'acheter pour les élèves des instruments bon marché plutôt que des instruments de grand prix. Godin regrette que Quaintenne ne lui donne pas de nouvelles des travaux à faire dans l'usine alors que l'état des travaux de la ville et de l'hospice lui sont connus par Jacques Philippe Delorme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 décembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences d'émaillage faites par les experts qui, pense Godin, ont été non concluantes malgré les échantillons qu'il leur a fournis et doivent être cause du retard du dépôt de leur rapport. Godin précise qu'un ami de l'Assemblée nationale n'a pu obtenir de renseignements sur l'expertise de la part de Guignet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 23 décembre 1873
Sur une expertise. Sur le torréfacteur Huet. Sur l'émaillage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Rémy Paradis, 10 janvier 1874
Godin demande à Louis Rémy Paradis, vice-président de la commission cantonale de Guise, de se concerter avec monsieur Lombois pour adresser avant le 20 janvier 1874 au préfet de l'Aisne le travail de la commission cantonale sur les dépenses à faire pour mettre en état de viabilité les chemins vicinaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 10 janvier 1874
Godin demande à Denisart de lui envoyer l'état des impôts directs et indirects que paie la manufacture de Guise, y compris les taxes d'octroi et des entrées en douane sur les matières : fonte, charbon, coke, sucre, café, chicorée, etc. Godin explique à Denisart qu'il veut établir combien un établissement comme le sien paie d'impôts de toute nature. En raison de l'importance du travail, Godin souhaite dans l'immédiat une approximation des montants et il recommande à Denisart de diviser le travail entre les membres de son personnel. Godin annonce à Denisart qu'il attend le résultat de l'inventaire pour arrêter les prix du tarif. Sur la réclamation de madame Plaideau d'une augmentation de 60 à 80 F par mois pour s'occuper des enfants Vérinos : Godin demande à Denisart si ces enfants pourraient être placés au Familistère dans des conditions plus avantageuses et il lui précise que Dequenne va faire en sorte que le travail de Paul Vérinos soit plus productif. Le post-scriptum de la lettre est relatif à Pétilleau et au budget de l'entreprise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 10 janvier 1874
Sur la réclamation de la clientèle désireuse que soit pratiqué" un trou dans le fond des cuisinières pour en nettoyer la suie : Godin suggère de construire une pelle à suie (dont le dessin est copié en fin de lettre), qui pourrait être livrée avec les cuisinières, et prie Delaruelle de s'entendre avec Barbet sur la question. Godin demande à Delaruelle de lui faire parvenir les observations qu'il a pu se faire au sujet des remises d'été et de fin d'année ; il lui signale que Darras les accueille favorablement et il lui signale qu'il se demande si ces remises entraîneront l'augmentation du tarif. Dans le post-scriptum, Godin annonce que Raimbaut est venu le voir et l'a informé que Gustave Leroy de Buenos Aires et sa femme ont été empoisonnés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 15 janvier 1874
Godin demande à André de réviser sa proposition de remise plus forte sur la première affaire que sur les suivantes. Sur les dangers des remises de début d'année : l'affluence de commande est susceptible de causer une pénurie de marchandises ; il le prévient des inconvénients des variations du montant des remises de début d'année, à la différence des remises de fin d'année, moins irrégulière. Il l'invite à aligner son système de remise sur celui de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Massol, 7 février 1874
Sur Béraud, comptable : Godin informe Massol, après que Delbruck lui ait signalé son intérêt pour Béraud, que ce dernier lui avait semblé « affaissé, peut-être sous le coup des événements », mais qu'il recevra volontiers des renseignements sur lui ; il demande à Massol si Béraud ne se serait pas abandonné à la boisson ; il suggère que ce ne serait pas rendre service à Béraud que de le faire venir à Guise sans qu'il ait les qualités d'un bon comptable et les aptitudes commerciales nécessaires. Il demande à Massol de faire savoir à Delbruck qu'il ne l'oublie pas.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 février 1874
Godin informe Émile qu'il ne faut pas accepter les propositions comme celle de monsieur Berlinguet et qu'il fait respecter les règles communes à tous les marchands. Il lui annonce qu'il a répondu à Amédée Moret sur l'affaire avec la maison Jouin et Cie. Il autorise à livrer dès maintenant aux clients les marchandises constituant la remise de fin d'année, dans la mesure où beaucoup de marchandises se trouvent actuellement dans les magasins. Sur une réponse à Vison. Sur un changement dans les heures de repas et de travail : obtenir l'assentiment des ateliers. Sur l'éclairage de la ville de Guise par Chenest. Sur le conseil donné aux voyageurs d'annoncer de fortes baisses, attribué à Delaruelle. Godin approuve l'augmentation des appointements de Dequenne à 300 F par mois et l'augmentation de 25 F par mois des appointements de Lesne ; il suggère à Émile d'annoncer à Lesne qu'un autre que lui doit prendre la place d'Alfred Denisart en qualité de chef de la comptabilité. Sur le tarif. Godin souhaite qu'Émile dise à Denisart qu'il s'occupera lui-même de la répartition concernant le personnel ; il demande que le compte de Denisart lui soit soumis en détail afin de savoir s'il est possible de lui faire cadeau d'un album avant son départ ; il demande à Émile s'il s'est entendu avec Denisart au sujet de ses jalousies. Dans le post-scriptum, Godin demande à Émile quel est le prix de location des logements de Denisart, de Grebel et de Pernin ; il indique que le logement de Denisart est demandé par plusieurs personnes et qu'il compte l'attribuer au plus offrant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 11 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin informe Delorme que le gouvernement n'a pas laissé hier la possibilité de poser à la tribune de l'Assemblée nationale la question concernant les maires dont la situation est irrégulière, et qu'il a écrit au préfet de l'Aisne que les instructions de monsieur le sous-préfet étaient contraires à la loi, et qu'il resterait maire de Guise jusqu'à ce que le gouvernement ait procédé à son remplacement. Il demande à Delorme de veiller à l'apurement des comptes de leur gestion et de mandater tout ce qu'il sera possible pour éviter aux personnes ayant travaillé pour eux des démêlés avec la nouvelle administration. Il lui demande également de prendre avec lui une copie des budgets et autres documents financiers de la ville, si besoin avec l'aide d'Alfred Denisart.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 12 février 1874
Sur l'affaire Jouin et Cie. Godin informe Amédée Moret qu'il a reçu une nouvelle lettre de l'usine de Guise relative à la commande de Jouin et Cie pour Gustave Leroy de Buenos Aires indiquant que ce dernier a modifié sa demande, mais aussi une lettre de Buenos Aires lui confirmant la demande initiale. Godin juge qu'il y a un malentendu d'autant plus regrettable qu'une grande partie de la commande initiale est déjà mise en caisse. Il demande à Amédée Moret d'aller voir Jouin et Cie pour avoir l'explication de cette divergence et voir aussi monsieur Raimbaut, agent de la maison de Buenos Aires, pour lui faire part de la situation. Godin ajoute que la maison de Buenos Aires lui a indiqué qu'elle pouvait lui envoyer directement une remise sur banque pour obtenir sa commande.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Joseph-François-Marie Pouliquen, 19 février 1874
Marie Moret remercie Pouliquen pour des partitions de musique qu'il voudra bien envoyer. Elle explique que la collection de partitions du Familistère est minime et qu'y est suivie la méthode Wilhem, faute de professeurs pour la méthode Chevé, et ajoute que les écoles bénéficient du talent de certains employés de l'usine. Elle remercie Pouliquen pour son envoi des chants d'Eugène Nus qui ont été mis en usage dans les écoles. Elle lui demande de faire l'envoi des morceaux de musique à Émile Godin à Guise : « c'est lui qui en l'absence de son père et en la mienne se charge de l'inspection générale des écoles ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Kate Stanton, 9 mars 1874
Godin répond à une lettre de Kate Stanton du 15 février 1874. Il lui explique qu'il n'est pas sûr de pouvoir se trouver à Guise cet été pour la recevoir, en raison des travaux législatifs et des embarras que la réaction cléricale lui crée pour les écoles du Familistère et leur enseignement. Il lui confie qu'il n'a pu encore réaliser l'association du travail et du capital au Familistère : « Vous ne verriez donc à Guise dans le Familistère et dans la manufacture qu'une administration dirigeant sous le principe d'autorité commun à toutes les entreprises actuelles, ce que j'aurais voulu voir diriger par le concours des volontés de toutes les personnes qui y participent » Godin signale cependant qu'il existe à Guise des hôtels près du Familistère, qu'il pourra donner les instructions pour la renseigner et qu'il s'efforcera de la rencontrer à cette occasion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin Jules Nitelet, 12 mars 1874
Nitelet a écrit le 8 mars 1874 à Godin pour lui demander une entrevue. Il lui annonce qu'il sera à Guise dans une quinzaine de jours et qu'il pourra l'y retrouver.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 20 mars 1874
Godin demande à André de lui envoyer à Guise plusieurs ouvrages : l'Histoire des 25 premières années des chemins de fer, le Traité des dépenses d'exploitation et trois petites brochures sur les questions financières. Sur l'usine de Laeken : Godin est satisfait que les affaires se portent bien ; il lui demande de bien apprécier le mérite du personnel dans l'attribution de gratifications ; sur l'intérêt variable de la gratification d'André et le capital de l'usine de Laeken. Godin observe qu'il n'a reçu que deux des trois brochures annoncées.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 20 mars 1874
Godin annonce à Denisart qu'il va rentrer à Guise où il espère retrouver l'engagement des employés et qu'il lui enverra aussitôt la gratification qui lui revient. Il l'informe qu'il avait donné à Émile Godin des instructions sur la cession d'une partie de son jardin à Duplaquet et sur les éventuels produits restant sur le sol, ainsi que sur la valeur de reprise de ses jalousies.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 24 mars 1874
Godin informe Cresson que monsieur Barral quitte l'usine après avoir fait exécuter plus de cent pièces d'émail qui lui ont donné satisfaction et l'ont laissé convaincu du droit de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Poupin, 26 mars 1874
Godin demande à Victor Poupin quels sont les frais d'édition d'une brochure semblable à L'histoire de la messe. Il lui demande à quelles conditions il se chargerait de suivre les travaux d'impression et de façonnage. Il lui annonce qu'il peut proposer une brochure intitulée La richesse au service du peuple et une autre intitulée Les socialistes modernes et leurs projets de réforme. Il lui demande d'adresser sa réponse à Guise où il va rester quelque temps.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 31 mars 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Cresson qu'il va recevoir la visite de Barral pour s'entendre avec lui du jour de sa visite à Guise. Godin voudrait avoir l'avis de Cresson sur ce que Grebel lui a écrit au sujet des recherches faites dans la correspondance pour établir la nouveauté du produit.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 1er avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant que la contre-expertise est acceptée par Barral, de Luynes et Péligot, et que Barral est déjà venu faire des expériences d'émaillage à Guise et a conclu que la description de son brevet était suffisante. Godin informe Tisserant que les trois experts viendront à Guise mardi 7 avril 1874 pour procéder à de nouvelles expériences, et que Cresson devrait les accompagner. Godin lui demande s'il veut se joindre à eux. Il l'avertit que Cresson a pensé faire sommation à Boucher et aux trois premiers experts d'assister aux expériences. Sur le caractère de nouveauté du procédé d'émaillage des émaux opaques sur la fonte, contesté de façon incompréhensible par les premiers experts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 2 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Barral qu'il lui envoie le jour même 20 plaques de fonte et d'autres le lendemain. Godin lui rappelle une série de précautions techniques à prendre pour accomplir à nouveau les expériences faites à Guise. Sur les premiers experts : Cresson semble hésiter à venir à Guise s'ils sont convoqués ; Godin demande à Barral de s'entendre avec ce dernier sur ce qu'il convient de faire. Sur des expériences avec les émaux de Soyer-Lévy menées par Émile Godin pour compléter celles de Barral.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson qu'il croit qu'il est important qu'il assiste aux expériences qui vont avoir lieu à Guise jeudi et vendredi prochains. Il lui indique que sa voiture le prendra avec Barral et Péligot à la gare de Saint-Quentin le jeudi à 10 heures du matin. Il lui remet un chèque de 3 000 F sur la Caisse commerciale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Barral qu'il pense qu'il est important qu'il assiste aux débats devant la cour de Nancy. Il souhaite discuter avec lui de cela et des frais d'impression des pièces du procès et notamment de son contre-rapport. Il lui remet 500 F et il l'informe qu'il a écrit à Cresson pour lui annoncer qu'il l'attend à Guise avec lui le jeudi suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Graux, 22 avril 1874
Godin demande à son collègue Louis Graux de lui adresser le rapport intitulé « Enquête sur les stations de Lesquielles-Saint-Germain et Guise » qui a été distribué lors de la dernière session du conseil général de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur l'expertise. Godin est désappointé : après que Tisserant lui ait assuré à Versailles que les experts recevraient ses pièces avant le 21 juillet, il a appris d'eux vendredi qu'ils n'avaient reçu que les pièces de Boucher. Le notaire Mercier lui a appris que les experts n'avaient rien reçu : l'un d'entre eux n'avait pas prêté serment car il se trouvait encore à Vienne. Sur la présentation des produits de la manufacture à Guise ou à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Renaux, 7 août 1873
Godin recommande à Renaux de venir à Guise trouver un logement et il lui accorde le délai de trois semaines qu'il demande pour prendre ses fonctions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Pernin, 7 août 1873
Godin annonce à Antoine Pernin qu'il l'attend au Familistère et qu'il souhaite lui parler de sa fonction avant que celui-ci quitte Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Deregnaucourt, Camille Margaine et Achille Testelin, 13 août 1873
Godin signale à ses destinataires un article du journal Le Bien public relatif aux prérogatives que les lois confèrent aux conseils généraux de concéder des lignes de chemins de fer d'intérêt local et à l'abus d'interprétation par le Conseil d'État des lois du 12 juillet 1865 et du 10 août 1871. Il leur adresse une carte de la ligne de chemin de fer entre Reims et Lille et attire leur intention sur l'intérêt d'un accord entre les conseils généraux de l'Aisne, du Nord et de la Marne pour demander au gouvernement l'exécution des concessions. Godin leur demande si leur département peut se prononcer en faveur de la ligne. Il leur signale qu'il se trouvera à Guise jusqu'au dimanche suivant, puis à Laon pour la session du conseil général de l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie ses notes sur la visite des experts à Fumay après celle qu'ils ont faite à Guise. Il l'informe qu'il lui renvoie deux lettres qui lui sont destinées, dont l'une porte sur des pommes de terre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 5 octobre 1873
Godin demande au préfet de l'Aisne si le dossier relatif à la concession de chemins de fer faite à la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et Nord central a été transmis au ministre. Godin estime que le retard mis à régulariser cette concession va être la source d'une difficulté pour l'implantation de la gare de Guise qui ne pourra être faite d'un commun accord entre la Compagnie du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin et la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes, alors que les travaux de la voie de Saint-Quentin à Guise vont bientôt arriver à Guise. Il demande au préfet si la commission désignée par le conseil général de l'Aisne peut aller voir le ministre des Travaux publics.

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