FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire de Guise, 10 mai 1865
Godin effectue une réclamation auprès du maire de Guise sur le montant des droits d'octroi appliqués à de la chaux vive qui lui sert de chaux à bâtir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au sous-préfet de Vervins, 25 octobre 1861
Suite à l'avis rendu par le directeur des contributions directes, Godin communique au sous-préfet le détail du nombre et des périodes d'inoccupation des logements du Familistère en vue d'obtenir une réduction d'impôt.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le receveur des contributions indirectes, 23 avril 1861
Godin demande une régularisation de la situation fiscale du Familistère. Il explique qu'il souhaite pourvoir aux approvisionnements en nourriture et en boisson de la population de la cité ouvrière qu'il a édifiée à Guise et précise que les boissons n'entrent pas dans le droit des débits de boisson mais dans celui de la consommation à domicile. « Il serait heureux suivant moi que l'ouvrier qui n'a pas la ressource d'acheter un tonneau de boisson pût s'en procurer ce qui est nécessaire à sa subsistance et à celle de sa famille au même prix que l'homme aisé. Cela permettrait à un peu de bien-être de pénétrer dans la famille de l'ouvrier auquel le surenchérissement de toute chose s'oppose. » Il ajoute qu'il va ouvrir une pension où les ouvriers pourront prendre leur repas et plus tard un estaminet à leur usage et il espère que l'administration l'aidera à ne pas enchérir les consommations courantes en ne taxant que les consommations superflues.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 5 mars 1861
Godin demande la révision de l'impôt frappant les fenêtres et les portes du Familistère. Il explique au préfet que toutes les habitations ne sont pas achevées et pas louées, et fait le compte de 118 ouvertures indûment imposées. Il demande en outre la révision de la catégorie dans laquelle sont placées les habitations du Familistère, les logements ne comportant qu'une à trois ouvertures. Godin précise qu'il se croit fondé dans sa réclamation car le gouvernement se montre favorable à l'assainissement et à l'amélioration des habitations ouvrières.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 9 février 1894
Réponse à une lettre d'Antoine Piponnier en date du 12 janvier 1894 sur le compte de Marie Moret au Familistère. Envoi à Piponnier de l'Almanach de la coopération. Beau temps à Nîmes. Réclamation au sujet des contributions dues à la mairie de Guise par Marie Moret pour les loyers qu'elle paie à la Société du Familistère : depuis 1890, elle ne paie plus de loyer pour les appartements du 3e étage de l'aile droite. Sur une échéance due à la Société du Familistère que M. Doyen se tient prêt à payer.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 15 janvier 1894
Réponse aux lettres d'Élise Pré en date des 3 et 6 janvier 1894. Sur le livre des dépenses d'Élise. Demande l'envoi des feuilles de contribution à leur réception. Sur la santé du mari d'Élise Pré. Compliments à M. Devillers et madame Roger. Compliments d'Auguste Fabre et de Sophie à Élise. Réception de l'envoi de Doyen pour Le Devoir

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur des contributions directes, 21 mars 1845
Godin conteste le montant du droit de patente qui lui est imposé. Description de la fonderie d'Esquéhéries, où sont employés deux mouleurs.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au sous-préfet de Vervins, 14 [janvier 1850]
Godin rappelle au sous-préfet de Vervins sa demande du 19 janvier 1849 de dégrèvement d'une partie des prestations auxquelles il est imposé depuis 3 ans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delacourt, 19 janvier 1849
Godin demande au sous-préfet de Vervins un dégrèvement de la taxe pour laquelle il est imposé au rôle des prestations de la ville de Guise : il emploie une domestique dans sa maison et non deux hommes ; des trois chevaux utilisés comme force motrice dans l'usine, un seul peut être attelé à un petit tombereau et emprunter les rues de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delacourt, 6 mars 1847
Godin informe le sous-préfet qu'il réside à Guise depuis le mois d'août 1846, qu'il a fait détruire à Esquéhéries toutes les constructions sur lesquelles il était imposé, et qu'en conséquence il ne devrait pas payer l'impôt qu'on lui réclame sur une maison qui n'existe pas.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au maire de Lesquielles-Saint-Germain, 31 mai 1893
La maison de Lesquielles étant désormais sans meuble, sans gardien et sans chien, Marie Moret demande à être exonérée de la contribution mobilière de 95,59 F et de la taxe municipale pour le chien de 8 F, impôts dus à la commune de Lesquielles pour 1894.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 30 mars 1893
Remerciements pour la lettre de Piponnier et l'état de son compte au Familistère. À propos d'une imposition de 6 F adressée à Marie Moret pour emploi de domestiques : Marie Moret n'a pas remplacé Roger depuis son départ, les Pré ne sont pas ses domestiques ; demande à Piponnier de faire la réclamation si les délais ne sont pas passés. Transmission d'une lettre d'Abel Pagès à François Dequenne. Demande des nouvelles de la famille de Piponnier. Sur le printemps à Nîmes, la santé des Moret-Dallet et leurs occupations.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaruelle, 16 janvier 1874
Sur l'inventaire des magasins de la manufacture. Sur les impôts payés par Godin en 1873. Sur la distribution des produits de la manufacture : Godin demande à Delaruelle s'il passera à Nancy à la suite de Crevon et l'invite à y revoir la clientèle. Sur les cuisinières n° 64 à 67 et les poêles à chaudière : Godin demande à Delaruelle de s'entendre avec monsieur Poulet pour changer les chaudières de ces appareils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 10 janvier 1874
Godin demande à Denisart de lui envoyer l'état des impôts directs et indirects que paie la manufacture de Guise, y compris les taxes d'octroi et des entrées en douane sur les matières : fonte, charbon, coke, sucre, café, chicorée, etc. Godin explique à Denisart qu'il veut établir combien un établissement comme le sien paie d'impôts de toute nature. En raison de l'importance du travail, Godin souhaite dans l'immédiat une approximation des montants et il recommande à Denisart de diviser le travail entre les membres de son personnel. Godin annonce à Denisart qu'il attend le résultat de l'inventaire pour arrêter les prix du tarif. Sur la réclamation de madame Plaideau d'une augmentation de 60 à 80 F par mois pour s'occuper des enfants Vérinos : Godin demande à Denisart si ces enfants pourraient être placés au Familistère dans des conditions plus avantageuses et il lui précise que Dequenne va faire en sorte que le travail de Paul Vérinos soit plus productif. Le post-scriptum de la lettre est relatif à Pétilleau et au budget de l'entreprise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 14 juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise. Godin annonce à Oudin-Leclère qu'il a perdu son procès contre la ville de Guise en justice de paix ; il fait un récapitulatif de l'affaire, qui concerne le prix de l'octroi pour la chaux de Tournai classée comme de la chaux hydraulique et non comme de la chaux vive, des arguments qu'il a fait valoir et des motifs du juge de paix. Godin demande à Oudin-Leclère d'examiner s'il doit payer les frais ou porter l'affaire devant le tribunal de Vervins.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 9 juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin indique à Cantagrel qu'il n'a pas besoin du tarif de l'octroi de Paris. Sur le pèlerinage au Familistère organisé par Cantagrel : il signale à Cantagrel qu'il est sans nouvelles d'Oyon et qu'il lui a écrit hôtel de La Havane, rue Saint-André-des-Arts à Paris ; il demande à Cantagrel de dire à Oyon que Souplet se joindra à la visite du Familistère ; il demande si Coignet se joindra à la visite ; il demande à Cantagrel d'envoyer la brochure d'Oyon à Pelletan ; il lui demande la durée de leur séjour et propose d'organiser quatre séances d'études des questions sociales : le Familistère du point de vue de la théorie de Fourier, exposé des faits acquis et des difficultés vaincues, nécessité du Familistère comme voie de progrès social, recherche des voies et moyens du succès du Familistère dans la voie de l'association des forces productives du capital, du travail et du talent. Sur l'emploi de chef comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin demande le renvoi des lettres des candidats dont Pernet-Vallier peut se passer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 1er juin 1865
Sur le pèlerinage au Familistère organisé par Cantagrel. Godin répond à la lettre de Cantagrel de la veille en lui faisant remarquer qu'il en demande trop en voulant que le « second Familistère » soit complètement habité [avant le pèlerinage d'amis au Familistère]. Il l'informe qu'il écrit à Oyon pour lui demander de se joindre au groupe d'amis venant étudier le Familistère. Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin explique à Cantagrel qu'il va faire un procès au maire de Guise et il lui demande de se renseigner sur le classement de la chaux vive et de la chaux hydraulique dans le tarif de l'octroi de la ville de Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 1er juin 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin explique à Oudin-Leclère qu'il ne va rien publier contre le maire de Guise mais souhaite se servir de l'audience du procès pour faire ressortir l'hostilité permanente du maire à son égard. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et le choix des notaires pour la liquidation. Sur l'opposition faite sur le salaire de Chimot : Godin explique que Chimot père gagne 60 F par mois mais qu'il a de grands enfants qui sont plus forts ouvriers que lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au maire du Cateau-Cambrésis, 29 mai 1865
Sur le tarif d'octroi de la ville de Guise : Godin demande au maire dans quelle catégorie la chaux de Tournai est classée dans le tarif d'octroi du Cateau-Cambrésis.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dégieux, 29 mai 1865
Sur l'emploi de chef comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remercie son correspondant pour les renseignements communiqués sur Denisart. Sur le tarif d'octroi de la ville de Guise : Godin demande à son correspondant dans quelle catégorie la chaux de Tournai est classée dans le tarif d'octroi de La Fère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 29 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : l'information communiquée par Souplet sur le tarif d'octroi de la chaux de Tournai à Saint-Quentin confirme à Godin que le maire de Guise commet un interprétation arbitraire et malveillante à son égard ; il voudrait obtenir une déclaration de la mairie sur la classification des chaux dans leur tarif d'octroi. Sur le Familistère : il lui confirme qu'Auguste Oyon a assisté à des discussions sur le Familistère rue des Saints-Pères, « mais on en a causé comme les aveugles parlent des couleurs sans avoir même lu la brochure qui répondait aux objections faites ». Sur le pèlerinage au Familistère organisé par Cantagrel : il l'informe qu'un groupe de 8 hommes sérieux va faire le voyage de Paris au Familistère ; il lui demande s'il veut venir y passer deux ou trois jours avec eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 26 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise. Godin demande à Souplet si le tarif de l'octroi de la ville de Saint-Quentin établit une différence entre la chaux vive et la chaux hydraulique et dans quelle catégorie est placée la chaux de Tournai. Il lui explique que le maire de Guise taxe la chaux de Tournai à 25 centimes l'hectolitre comme une chaux hydraulique au lieu de 5 centimes l'hectolitre, tarif pour la chaux vive.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 23 mai 1865
Sur le départ de Vigerie. Godin explique à Oudin-Leclère que Vigerie, qui est poursuivi, lui a annoncé son prochain départ et qu'il cherche déjà à lui trouver un successeur ; que l'assignation qui lui a été faite sur les appointements de Vigerie sera de courte durée. Il lui signale que Vigerie a prélevé deux mois d'appointements d'avance et lui demande quoi faire pour en obtenir le remboursement. Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise : Godin explique à Oudin-Leclère qu'il intente un procès pour contester devoir payer le tarif de la chaux hydraulique pour de la chaux vive, qu'il va perdre ce procès, mais qu'il veut à cette occasion publier un petit exposé énumérant les refus que lui oppose la ville de Guise depuis qu'il s'y trouve : il demande conseil à Oudin-Leclère sur cette publication ; il lui précise qu'il est conseiller municipal et veut s'opposer à une interprétation arbitraire du tarif de l'octroi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 18 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise sur la chaux vive et la chaux hydraulique. Godin répond à la lettre du maire du 18 mai 1865 : « Vous me parlez de "l'esprit de justice (dont personne ne doute) que vous apportez à la solution des questions qui intéressent vos administrés". Je regrette bien vivement que cet esprit vous ait toujours fait voir d'une façon contraire aux propositions que j'ai pu vous faire et aux demandes que je vous ai adressées [...] » Godin ne se satisfait pas de la réponse du maire, considère que la question est d'intérêt général et demande au maire de la soumettre au conseil municipal, dont lui-même fait partie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au percepteur des contributions, 3 juin 1896
Envoie le solde de ses contributions pour l'année 1896 et informe le percepteur qu'elle est portée par erreur comme demeurant à Nîmes sur l'une de ses feuilles de contributions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Rignault deux feuilles d'impositions qui lui ont été adressées de Corbigny. Il le prie de remettre à qui de droit celle qui concerne un terrain dont il n'est plus propriétaire et de demander au propriétaire de l'hôtel de la Poste qui jouit du petit enclos de Corbigny de lui verser le loyer annuel de 5 F de 1877 et de 1878. Godin voudrait que le terrain soit vendu aux enchères. Sur le paiement par monsieur Benoit des baraques du sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Rignault deux feuilles d'impositions qui lui ont été adressées de Corbigny. Il le prie de remettre à qui de droit celle qui concerne un terrain dont il n'est plus propriétaire et de demander au propriétaire de l'hôtel de la Poste qui jouit du deuxième terrain de payer l'impôt. Sur le paiement par monsieur Benoit des baraques du sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Moricourt une feuille de contribution à solder pour son compte.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique à Edmond Turquet la copie d'une lettre qu'il adresse au ministre des Finances au sujet de vignettes. Il demande à Turquet d'appuyer sa demande.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin expose au ministre les difficultés que l'Association coopérative du capital et du travail a connues pour déposer à temps sa déclaration d'enregistrement, refusée par le receveur de l'enregistrement. Il demande au ministre sa compréhension et son indulgence.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les obligations fiscales de l'Association coopérative du capital et du travail déduites de l'étude des statuts dans Mutualité sociale. Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon : Godin s'attend à ce que le conseil général accepte le passage en tunnel sous le château-fort de Guise.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 17 avril 1894
Sur les contributions dues par Marie Moret. À propos des « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin » : demande d'informations sur le prêt hypothécaire de trois millions de francs à la Société du Familistère. Décès de monsieur Gabry. Retour de la famille Moret-Dallet à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Catineau a écrit à Godin le 10 septembre 1881 sur le capital nécessaire à la construction d'habitations unitaires. Le capital doit remplir ses devoirs à l'égard des travailleurs, lui répond Godin : « Un Familistère sans association avec l'industrie n'a guère de raison d'être ». Il lui indique que, suivant le bilan de l'association à paraître dans le journal Le Devoir, le rendement de la partie locative du Familistère a été de 80 000 F, soit plus de 5 %. Godin pense que si l'État construisait des habitations unitaires pour ses ouvriers, il devrait également financer leur protection sociale et la fondation d'écoles comme il le fait pour les communes. Godin explique que le Familistère prélève sur ses bénéfices pour remplir son devoir social, mais il estime que l'État devrait en prendre une part à sa charge : « L'association du Familistère est écrasée d'impôts et l'État ne lui rend rien. »

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin signale au sous-préfet que la taxe pour 1888 concernant un homme logé dans le bien personnel de sa femme à Lesquielles, avec laquelle il est marié sous le régime de la séparation de biens, est due par cette dernière.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Courtépée du 5 juillet 1883 relative aux impôts et au paupérisme. Sur un manuscrit de Courtépée : Godin exprime ses doutes sur la publication du texte dans le journal Le Devoir.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une réunion avec Barault. Godin demande à Bonnemère de lui communiquer des informations sur les impôts pesant sur le travail et sur la fiscalité sur les produits en circulation dans le pays avant la Révolution française, « en vue d'arriver à cette démonstration que plus nous reculons en arrière, plus nous voyons l'impôt peser sur les choses nécessaires à la vie et apporter les plus grandes entraves au travail et aux échanges, qu'au contraire, plus le monde avance dans la voie de la liberté et de la justice, plus l'impôt [épargne] le travail et les échanges pour se prélever sur le superflu en même temps que les barrières commerciales s'abaissent de toute part ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ballue qu'il a traité dans le journal Le Devoir de la question de l'hérédité de l'État. Il attire son attention sur le numéro des 1er et 8 juillet 1883 dans lesquels il examine les conséquences du droit d'hérédité de l'État sur la réforme des impôts.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Fauvety de lui avoir communiqué le résultat de l'examen qu'il a fait avec Destrem des ressources budgétaires procurées par l'hérédité de l'État. Il lui fait remarquer que Destrem est insuffisamment informé, le renvoie à la lecture du prochain numéro du journal Le Devoir et justifie le chiffre avancé dans celui-ci de 2 666 millions. À propos de la question du logement : Godin explique à Fauvety que la question de l'hérédité de l'État lui semble plus pressante. Il lui indique qu'il envoie quelques numéros du Devoir à Destrem.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse aux députés membres de la commission de la réforme de l'assiette de l'impôt sa brochure Mutualité nationale contre la misère qui traite du droit d'hérédité de l'État. Il les informe qu'il leur a également fait adresser le journal Le Devoir dans lequel il étudie les impôts en général : il attire leur attention sur le numéro du 24 juin 1883 et sur ceux qui suivront.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à son correspondant, membre de la commission sur la réforme de l'assiette de l'impôt, la brochure Mutualité nationale qui comprend une proposition sur la suppression de l'impôt par l'hérédité de l'État sur les successions en ligne collatérale.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Giard de la veille. Il le remercie pour sa proposition de loi sur l'hérédité de l'État qu'il a reçue alors qu'il s'était absenté 15 jours. Godin rédige un plaidoyer en faveur de l'hérédité de l'État. Il compare la loi sur l'hérédité de l'État à la loi sur le divorce que Naquet a fait triompher.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie son livre Le gouvernement... et sa brochure Mutualité nationale à Dethou, qui a promis de les lire. Il remercie Dethou de lui avoir communiqué la liste des membres de la commission sur la réforme de l'assiette de l'impôt, dont Ballue, Boysset, Bisseuil et Bischoffsheim.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Boysset, en sa qualité de membre de la commission sur la réforme de l'assiette de l'impôt, sa brochure Mutualité nationale, qui comprend une proposition sur la suppression de l'impôt par le moyen de l'hérédité de l'État sur les successions en ligne collatérale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin observe que la proposition de Ballue sur la réforme de l'assiette de l'impôt concorde avec la proposition qu'il fait dans la section « suppression de l'impôt » de sa brochure Mutualité nationale. Il suggère à Ballue d'aborder la question de la mutualité nationale contre la misère après celle de la réforme de l'impôt.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les droits dus d'un rachat et d'une délégation de rente enregistrés chez le notaire Carré le 1er décembre 1885. Godin conteste le montant de la réclamation sur ce rachat de rente réalisé pour éviter la faillite de sa sœur, décédée peu de temps après.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les droits dus sur un rachat et sur une délégation de rente enregistrés chez le notaire Carré le 1er décembre 1885. Godin conteste le montant de la réclamation sur ce rachat de rente réalisé pour éviter la faillite de sa sœur, décédée peu de temps après.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Envoie un mandat postal de 59,60 F pour solder les 4 premiers mois de ses contributions de l'année 1898.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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À la suite de la réception d'un deuxième avis de monsieur Dubois en date du 22 mars 1900, Marie Moret informe Henri Buridant qu'elle a déjà envoyé le 23 mars 1900 un mandat postal de 90,25 F pour régler ses impôts. Plusieurs points concernant le service du Devoir : envoi du numéro de novembre 1899 à Simpkin, Marshall et Cie au 32, Pater Noster Row à Londres, à la demande de monsieur Terquem ; envoi d'un deuxième exemplaire du numéro de février 1900 à monsieur Vast à Amiens ; envois des numéros demandés par Léon Quent, dont elle demande l'adresse à Paris, et madame Franqueville qui s'est gracieusement prêtée à des photographies de son domicile [au Familistère]. Elle annonce écrire à Eugénie Louis pour la préparation de ses appartements au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret envoie un mandat poste de 90,25 F au percepteur des contributions de Guise pour solder la moitié de ses contributions de l'année 1900 et joint une enveloppe pour le retour du coupon de quittance.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remercie Henri Buridant pour sa lettre du 5 avril 1901 et l'envoi de documents, dont Les idées du coopérateur Cohadon. Elle lui demande de refuser la revue L'Humanité. Elle l'informe qu'elle a envoyé la moitié de ses contributions au percepteur de Guise. Elle l'informe qu'elle écrit à monsieur Pardoux pour lui dire que le journal Le Devoir est servi régulièrement à la bibliothèque de Clermont-Ferrand, où il peut le consulter, et demande à Buridant d'effacer Pardoux du registre des abonné·es au Devoir. Elle traite des comptes du Devoir. Elle indique à Buridant que la fille et le gendre d'Auguste Fabre sont actuellement auprès de lui à Nîmes, et qu'il fait beau sans chaleur excessive. Dans le post-scriptum, elle remercie Buridant pour les nouvelles de la « pauvre famille Maréchal », et lui signale la nouvelle adresse de monsieur Cros, professeur de physique à Castelsarrasin.
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