Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur les pipes envoyées

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la santé - Lette - Huguette - Les petits-neveux - Vitali - Louise Roche - Lucien Trautmann

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Félicitations (naissance)

Collection : 1917
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Santés précaires de l'épistolier et de son épouse - Lulu (leur fille Lucie)

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La guerre à Paris - Louise et Georges Roche - Lucile Dugué - Le Feu et L'Enfer de Barbusse - Alain-Fournier - Recherche d'emploi du destinataire

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sur Besson, voir la partie DESCRIPTION de la lettre 191

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
« Suzanne Canard, [que Werth] épouse en 1922, n'est pas précisément une fille du peuple. Elle est issue d'une famille assez fortunée de la région de Tournus avec, dans la branche des de Rollepot, quelques militaires de haut rang. De dix ans sa cadette, l'ex‑mademoiselle Canard, sculptrice talentueuse, que Werth a rencontrée chez Victor Margueritte, a effectué ses humanités dans une école religieuse assez stricte où on lui contait que Voltaire dévorait ses excréments. Ce qui eut pour effet, à défaut de la dégoûter des Lumières, selon Claude Werth, de la rendre anticléricale. Léon Werth ne parlera d'elle que dans Déposition, sur un ton qui montre l'amour et l'admiration qu'il lui portait. »
[Heuré (Gilles), L'Insoumis Léon Werth (1878‑1955), Viviane Hamy, 2006, p. 143]
N. B. : Suzanne Canard est née le 25 juin 1888 à Tournus. Le mariage a lieu le 19 août 1922. (Renseignements dus à l'amabilité du fils, le docteur Claude Werth, qui naîtra en 1925 et exercera la médecine en tant que généraliste à Issoudun).


Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la maladie - Rédaction laborieuse de L'Atelier de Marie-Claire - Clavel soldat - Werth - Lette - Huguette - Projets de vacances à la mer - Louise Roche - Vitali - Georges Marielle

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Rétractation de Marguerite Audoux quant à la signature d'une pétition

Collection : 1919
Auteur : Harry, Myriam
Archives Marguerite Audoux

Première lauréate du Prix Vie heureuse (en 1904) avec La Conquête de Jérusalem (la vie, romancée, de son propre père), Myriam Harry (1869‑1958) représente ainsi un jalon dans l'histoire du féminisme (ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle soit elle‑même féministe), en tant que représentante du tout nouveau Prix littéraire, réponse au « Pas de femmes parmi nous » de Rosny aîné, alors président du Goncourt. Myriam Harry est née à Jérusalem d'un israélite russe et d'une doctoresse allemande (luthérienne). Elle a une jeunesse cosmopolite (Londres, Berlin, Paris, les Indes, la Tunisie). Si elle écrit sous le pseudonyme de Siona, on pourrait penser que c'est en fervente sioniste. En réalité, c'est tout simplement parce qu'elle est née sur le Mont Sion.

Citons, de Myriam Harry, un extrait de « Souvenirs du Femina », article inclus dans une brochure de 1954 pour le cinquantenaire du prix [Louis Lanoizelée, dans son Charles‑Louis Philippe (Plaisir du bibliophile, 1953, p. 80‑81) mentionne déjà ce même fantaisiste passage comme figurant dans La Revue de Paris. Il s'agit donc, pour la brochure en question, de la reprise d'un article déjà édité]. On comprend que c'est à l'occasion du Prix 1910 que les deux femmes ont fait connaissance :

« Marguerite Audoux présente Marie‑Claire, en même temps que Péguy avec Le Mystère de la Charité, dont il avait vainement espéré le prix Goncourt.
C'est sous la présidence de Mme Alphonse Daudet, dans ses beaux salons de la rue de Bellechasse, sous les regards des portraits de Renoir, si mélancoliques, des Sisley, si clairs, des Manet, flamboyants, et des rutilantes études de Besnard, rapportées des Indes.
Je crois que je regardais beaucoup plus les tableaux que je n'écoutais les discussions. On soupçonnait Marguerite Audoux de ne pas avoir écrit son livre toute seule… Avait‑elle été pastourelle ? était‑ce une pauvre couturière ? Vivait‑elle avec… et patati et patata. Je ne savais rien d'elle, mais j'aimais son roman, et lorsqu'elle emporta nos suffrages, j'étais heureuse d'aller lui porter moi‑même la bonne nouvelle. Je ne la trouvai pas chez elle, mais mon mari alla la chercher pour déjeuner chez nous quelques jours plus tard. C'était une petite personne d'agréable tournure, enjouée, «naturellement naturelle» selon l'expression de Jules Lemaître, parlant avec aisance, clarté, pittoresque et très capable d'avoir écrit Marie‑Claire. Comment en avait‑elle eu l'idée ?
- Charles‑Louis Philippe me l'avait donnée. Il habitait une petite chambre mansardée au quatrième étage, qui voisinait avec celle où, venue à Paris pour chercher du travail, j'étais échouée en plein chômage. Lui, métrait les terrasses des cafés à cent francs par mois, et faisait un peu de journalisme (et, malicieuse, elle ajoute) : il rêvait de métrer les paratonnerres… Je lui racontais mes moutons. «Il faut écrire cela ! Je vous corrigerai.» En attendant il fallait vivre. Nous étions si pauvres que nous n'avions qu'une paire de bottines à nous deux, donnée à Philippe par Gustave Geoffroy, pour lequel le cordonnier les avait faites trop courtes. Elles sont beaucoup trop longues pour son pied. Et pour le mien, donc ! Vous souvenez‑vous combien l'hiver était glacial ? On ne pouvait pas sortir en savates. Il les mettait l'après‑midi pour aller à l'Hôtel de Ville, et moi le matin pour mes courses. Je les attachais à mes chevilles avec des ficelles. Pour descendre cela allait. Mais pour remonter !... la partie vide fléchissait sur les marches. J'essayais de monter de biais en sautillant de marche en marche, comme ça… mais je tombais sur les genoux. Alors je me suis retournée et je grimpais à reculons. C'est long quatre étages ! Avec un seau à charbon à une main et un cabas de pommes de terre dans l'autre. Je n'en finissais pas et les gens dans l'escalier se tordaient. Ils m'appelaient «l'écrevisse».
Et le rire de Marguerite Audoux sonne clair comme un rire de source.
- Heureusement cela n'a pas duré. Un matin, en ouvrant ma porte, je vois une ravissante petite paire à douze boutons. Je n'ai jamais su à qui je les devais. »

Louis Lanoizelée (Ibid.) commente ainsi : « Madame Harry a beaucoup d'imagination. Il est certain que jamais Marguerite Audoux ne lui a dit de semblables racontars. »

On rappellera en effet que Marguerite Audoux est déjà depuis une vingtaine d'années à Paris quand elle fait la connaissance de Philippe par le truchement de Michel Yell. Elle ne vient donc pas de monter à Paris, et elle n'a d'ailleurs, si l'on excepte Vincennes et la rue de Lagny, jamais quitté le quartier Montparnasse. C'est en réalité depuis longtemps qu'elle emplit ses petits cahiers. Yell les découvre après 1900 (la future romancière arrive dans la capitale en 1881), qui en parle à Philippe, lequel s'enthousiasme. L'auteur de Bubu est bien le promoteur, mais non l'instigateur de Marie‑Claire.

Cela rectifié, il faut également se méfier de la romancière qui, elle aussi, « a beaucoup d'imagination ». D'où sans doute ces autres articles (où souvent, comme dans cette prosopopée, on lui prête la parole) qui se contredisent. Dans la lettre 32 à Giraudoux, fait non moins curieux, elle le remercie de sa préface qu'elle trouve parfaite (« Vous avez dit exactement ce qu'il fallait dire »), alors que cette présentation s'égare parfois dans des considérations discutables [« [E]lle songea alors, pour gagner sa vie, à écrire. » (Préface de la prépublication de Marie‑Claire dans La Grande Revue de Jacques Rouché, 14e année, n° 9, 10 mai 1910, p. 14‑15 – p. 14 pour ce passage ‑)].

Ce que dit Myriam Harry elle‑même, en revanche, est tout à fait exact, en particulier les propos des dames du Fémina. Le 25 novembre 1910, Alain‑Fournier écrivait à Péguy : « [U]ne des dames de la Vie heureuse répand le bruit imbécile que ce n'est pas Marguerite Audoux qui a fait son livre. Et les dix‑neuf autres dindes en sont tout effarouchées. » (Alain‑Fournier – Charles Péguy, Correspondance 1910‑1914, Fayard, 1973, p. 30). Tout en laissant à Alain‑Fournier la responsabilité de ses formules, on ne peut donc que constater que ces affabulations ont bien été (et sont encore) proférées.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la santé - Le Maroc - Lette - Huguette

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Poste au Maroc pour Lelièvre ? - Annonce du départ pour La Haie-Fouassière - Amaigrissement de quinze kilos - Lucile Dugué - Louise et Georges Roche - Lette - Huguette

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Description des bombardements parisiens - Propos sur la santé

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la maladie - Louise et Georges Roche - Clavel soldat de Werth - Le Feu de Barbusse - La "vente Mirbeau" - Georges Marielle - Marinetti - Huguette - Lette

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Fin laborieuse de L'Atelier de Marie-Claire - Prépublication et publication - Clavel soldat de Werth et Civilisation de Duhamel - Huguette

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Correction des épreuves de L'Atelier de Marie-Claire - Marcel Ray - Paul d'Aubuisson - Demande de traduction espagnole

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de révision par un lecteur de ses deux manuscrits

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Prépublication et publication de L'Atelier de Marie-Claire - Question du titre - Paul d'Aubuisson - Le père Madeleine - Lette - Huguette

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Questions de santé - Prépublication de L'Atelier de Marie-Claire

Collection : 1920
Auteur : Fabre, Émile
Archives Marguerite Audoux

Né à Metz le 24 mars 1869 et mort le 25 septembre 1955, Émile fabre, fils d'un régisseur de théâtre, monte à Paris pour devenir, en tant qu'auteur (révélé par Antoine), l'un des principaux représentants du courant réaliste. Il administre la Comédie française de 1913 à 1936 et, en 1916, fonde le fameux Théâtre aux armées, dont la première représentation, le 9 février 1916, a lieu dans une grange de la région de Beauvais avec Béatrix Dussane, Henry Mayer et Julia bartet (dont on avait parlé en février 1911, puisqu'elle jouait à la Comédie française dans Après moi d'Henri Bernstein, la pièce qui suscita des manifestations de l'Action française et vingt‑sept arrestations avant d'être retirée de l'affiche). On notera deux galas de soutien pour ce Théâtre aux armées : le premier le 27 décembre 1916 à l'Opéra comique (Saint‑Saëns y dirige sa Marche héroïque et Gabriel Signoret et Antoine se produisent dans un acte écrit par Tristan Bernard) ; le second en janvier 1917 – on y joue Pour le front, et Réjane interprète La Victoire en chantant. Voir Mémoires du XXe siècle, Bordas, tome deuxième (1910‑1919), 1991, p. 219 (sur cette même page, une gravure montre des actrices en costume donnant des fleurs aux soldats).

Collection : 1920
Auteur : Fournier, Albanie
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour L'Atelier de Marie-Claire - Alain-Fournier - Critique mitigée du livre reçu

Collection : 1920
Auteur : Viollis, Jean
Archives Marguerite Audoux
Jean Viollis (1877-1932) est le pseudonyme d'Henri Ardenne de Tizac. Né dans une famille issue de la noblesse du Rouergue, il monte à Paris après avoir entrepris des études de droit et de lettres. C'est là qu'il entre, en 1902, dans la fonction publique, comme chef‑adjoint du cabinet de Joseph Chomié, ministre de l'Instruction Publique et des Beaux‑Arts. En 1905, il est nommé conservateur au Musée d'art asiatique Cernuschi. Il est deux fois en lice pour le Goncourt. La première fois, en 1908, il échoue de peu, présenté par Jules Renard pour Monsieur le Principal (cinq voix sur dix au deuxième tour, mais la voix du Président l'emporte et c'est Miomandre qui est lauréat). La seconde fois, en 1913, il est tout de suite éliminé, avant une lutte interminable entre Léon Werth et Alain-Fournier. (C'est un outsider proposé par Lucien Descaves, Marc Elder, qui l'emporte au onzième tour avec Le Peuple de la mer).
Notons que Jean Viollis est un ami de longue date de l'auteur de Bubu de Montparnasse. Son nom apparaît parfois dans les lettres de Charles‑Louis Philippe à Emma Mc Kenty. Viollis a donné un article sur Philippe dans Vers et Prose, n° 20, mars 1910, p. 44‑48.
Sur Jean Viollis, voir le P.S. de la lettre 71

Andrée Viollis (1870‑1950), née Andrée Jacquet de la Verryère, seconde épouse du précédent, a donc pris comme pseudonyme (et nom de famille) celui‑là même de son mari. Journaliste célèbre de l'époque, elle est plusieurs fois aux côtés de Léon Werth dans ses luttes antifascistes et anticolonialistes : il a écrit Cochinchine en 1926 ; elle écrit Indochine SOS en 1935. Elle y dénonce notamment la torture arbitraire exercée par des légionnaires. Andrée Viollis conclut son avant‑propos en écrivant : « On m'a [...] reproché de faire œuvre antifrançaise en publiant au grand jour les erreurs et les scandales dont l'Indochine est le théâtre. Je viens de dire les hésitations et les scrupules qui m'ont longtemps retenue. Si cependant on persiste encore à estimer que c'est desservir la France que de servir la vérité, j'accepte volontiers le blâme. » Elle rédige aussi des articles sur notre romancière : « Marguerite Audoux conte la merveilleuse histoire de Marie‑Claire », in Les Nouvelles littéraires, 1926 ; et « Marguerite Audoux », in Le Petit Parisien, 21 janvier 1929.
Voir Renoult, Anne, Andrée Viollis, une femme journaliste, Presses de l'Université d'Angers, 2004 [Prix Mnémosyne 2003]

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Parution et envoi de L'Atelier - Monsieur Madeleine - Question du titre - Lette - Venue d'un autre enfant - Paul

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur la restitution de deux manuscrits de L'Atelier à Fasquelle - Suzanne - Questions de santé

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de restitution d'une page manuscrite

Collection : 1920
Auteur : Lapaire, Hugues
Archives Marguerite Audoux
Natif de Sancoins, comme Marguerite Audoux, Hugues Lapaire (1869‑1967) a d'autres points communs avec la romancière : à cinq ans, il est orphelin de père et de mère, et doit aller habiter, avec sa sœur aveugle, chez les grands‑parents maternels à la « maison au perron » (titre d'une œuvre autobiographique), sise faubourg de Nevers (aujourd'hui rue Maurice‑Lucas), la même rue que celle où Marguerite Audoux vécut ses premières années. Rétif à l'institution scolaire, il claque la porte du lycée, mais s'inscrit néanmoins dans une boîte à bachot qui lui permet d'avoir son diplôme et de suivre en Sorbonne des études de lettres égayées par une vie estudiantine mouvementée. On retrouve le fervent régionaliste aussi bien chez l'écrivain que chez le journaliste, qui n'hésite d'ailleurs pas – et ses écrits sur Marguerite Audoux le prouvent – à instiller sa propre fantaisie dans la réalité des faits.

Notons en effet qu'Hugues Lapaire est l'auteur d'un article paru dans Le Berrichon de Paris du 16 septembre 1912. Ces lignes seront réutilisées, pour la partie consacrée à la romancière, dans les Portraits berrichons précités. La page 220 laisse apparaître les deux mêmes erreurs que dans l'article : Francis Jourdain devient Frantz Jourdain (le père du premier), et, à propos de la fin de l'épisode solognot, l'éviction de la ferme de Berrué (à cause de l'idylle entre Henry Dejoulx et la bergère) est ainsi transformée : « Elle est mince et très délicate, aussi les braves gens chez qui elle se trouve en condition ne peuvent la garder. Elle retourne à l'Hôpital, où elle reste jusqu'à dix‑huit ans, époque où elle vient à Paris. » Dans les pages suivantes, d'autres évocations trahissent la veine poétique du journaliste qui relate les affres de la création allant jusqu'à la tentation du suicide (p. 221), ou encore (p. 225) un dialogue peu vraisemblable, dans le fond et la forme, avec André Gide :
« Le maharajah de la Nouvelle Revue française a daigné gravir ses six étages ! ce personnage lui parut gonflé de prétention. Il lui dit sur un ton assez désagréable :
‑ Vous avez de la chance que l'on vous fasse passer par le grand escalier !
‑ Vous eussiez préféré, monsieur, lui répondit‑elle, que je prisse l'escalier de service ? Je ne suis pas assez reluisante à vos yeux, sans doute, pour me permettre le même chemin que vous ? Si cela vous offusque, tant pis ! Toute fille du peuple que je suis, je prends le grand escalier ! »


Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Annnonce d'une réponse

Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Cette lettre de Léon Denis (sur lequel on ne possède aucun renseignement autre que ce qui transparaît dans sa correspondance), ainsi que les deux suivantes (276 et 277) s'inscrivent dans le courrier des lecteurs.


Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Arguments en faveur de sa future œuvre - Propos badins et amicaux, notamment sur l'argent

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Signatures d'exemplaires

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Carte postale amicale

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Huguette et Jacques Lelièvre - Paul d'Aubuisson - 8e mille et réception de L'Atelier de Marie-Claire - Lettre d'Émile Fabre - Rouché

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Fille d'institutrice, Marcelle Chasteau, qui deviendra Marcelle Tinayre (1870-1948), commence à composer des vers en alexandrins à l'âge de neuf ans. Dans sa quinzième année, elle envoie un petit poème à Victor Hugo, qui la convie avenue d'Eylau et lui dit : « Vos vers sont charmants et vous aussi. Vous avez beaucoup de talent[1]. » Puis elle poursuit des études qui la mènent au baccalauréat (le jour de l'oral du premier bac, elle est la seule de son sexe). À dix-neuf ans, elle se marie avec le graveur Julien Tinayre, qui la déçoit rapidement. En 1893, La Vie populaire et Le Monde illustré font paraître ses premières nouvelles signées d'un pseudonyme masculin, Gilbert Doré. Puis c'est dans La Fronde de Marguerite Durand qu'elle continue, en 1897, de publier d'autres récits brefs. La même année, Juliette Adam, directrice de La Nouvelle Revue, confie le manuscrit du premier roman, Avant l'amour, de nouveau proposé sous une signature masculine, à Alphonse Daudet, qui donne son verdict : « Ce jeune homme a de l'inexpérience, mais un grand don de romancier et beaucoup de talent, publiez le livre. ». Il le sera au Mercure de France. De nombreux autres suivront, qui rejoindront le propos féministe des conférences données dans les locaux de La Fronde, et dont la thématique est proche de celle de Marguerite Audoux : la grande affaire est le rôle joué par la femme dans le mariage, dont Marcelle Tinayre dénonce l'hypocrisie. Le début de La Rebelle peut résumer son sentiment sur la question : « Je ne peux pas vivre sans bonheur. Et la volupté du sacrifice ne me suffit pas… Je ne suis pas une sainte ; je ne suis pas une héroïne : je suis une femme, très femme… » Un autre passage annonce La Vagabonde de Colette : « être seule, ne dépendre que de moi, élever mon fils et me moquer du reste ! C'est presque le bonheur… » Profession de foi qui pourrait être également revendiquée par l'auteur de Marie‑Claire, mère adoptive, parmi d'autres, de son cher Paul d'Aubuisson. Quand Marguerite Audoux envoie L'Atelier de Marie‑Claire à Marcelle Tinayre, en 1920, celle‑ci ne peut qu'être sensible aux sinistres paroles du non moins sinistre Clément, le neveu de la patronne de l'atelier : « ‑ Je vois bien que vous ne m'aimez pas. Mais qu'est‑ce que cela fait ? Vous m'aimerez quand nous serons mariés. / Je voulus lui répondre, mais il tenait son visage si près du mien qu'il me semblait qu'il n'y aurait pas assez de place pour mes paroles. Son souffle me donnait chaud aux joues, et sa main était très lourde à mon épaule[2]. » L'auteur de La Maison du péché dut aussi compatir à l'effroi de l'héroïne qui, une trentaine de pages plus loin, fait ce cauchemar : « Cette nuit‑là, je rêvai que Clément m'avait fait monter sur le siège d'une toute petite charrette, où il n'y avait de place que pour un seul. J'étais si serrée entre lui et la ridelle que j'en perdais le souffle. Clément ne se doutait de rien. Il tenait les guides à pleines mains et lançait hardiment le cheval sur un chemin tout encombré de bois coupé. La voiture restait d'aplomb et la bête bien tenue ne trébuchait pas, mais voilà qu'au tournant d'un petit pont, le chemin se fermait brusquement en cul‑de‑sac, et avant que Clément ait pu arrêter son cheval, il s'abattait lourdement et la charrette culbutait[3]. » La charrette à une place qui culbute, quelle meilleure allégorie du mariage pour les deux femmes ? Même si pour l'une cette institution représente un échec, et pour l'autre une pathétique impossibilité.
En 1933, Marcelle Tinayre prend la direction de La Nouvelle Revue féminine, à laquelle s'associent notamment Gabrielle Réval [voir la lettre 353], François Mauriac, Maurice Lavedan et Fernand Gregh [voir la note 9 de la lettre 76].
La correspondance privée de Marcelle Tinayre ne pourra être compulsée aux Archives de la Corrèze qu'en 2048.
[1] Tinayre (Marcelle), Mémoires d'enfance et d'adolescence, manuscrit inédit dactylographié par son fils Noël, et repris par Nadine Brissard, t. 1, p. 66.
[2] Audoux (Marguerite), L'Atelier de Marie‑Claire (1920), Grasset, Les Cahiers Rouges, 1987, p. 129.
[3] Ibid., p. 164‑165.


Collection : 1921
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Huguette Garnier, romancière et journaliste au Journal, est une amie de Marguerite Audoux. La rencontre s'est peut-être produite après la sortie de L'Atelier de Marie-Claire. Ses romans, avec envois, se trouvent dans la bibliothèque de la couturière des lettres au Musée Marguerite-Audoux de Sainte-Montaine : Le Coeur et la robe, Ferenczi, 1922 ("A la bonne Marguerite Audoux que j'aime, sa blonde Huguette Garnier") ; Quand nous étions deux..., Ferenczi et fils, 1923 ("A Marguerite Audoux avec l'affection de sa blonde Huguette Garnier") ; La Braconnière, Flammarion, 1927 ("A Marguerite Audoux, sa sœur Huguette Garnier") ; La Maison des Amants, La Nouvelle Revue critique, 1927 ("A ma douce et chère Maguerite Audoux, avec toute la tendresse de sa blonde Huguette Garnier"). Voir aussi la lettre 299 d'Alice Mirbeau à Marguerite Audoux du 11 avril 1923 ("Je vous aurais écrit les jours prochains pour vous demander si Mme Hugugette Garnier n'estpas de vos amies.")


Collection : 1921
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Alain-Fournier - Proposition d'une visite

Collection : 1921
Auteur : Hauman, Germaine
Archives Marguerite Audoux
Cette lettre, qui concerne Léon Denis, prolonge et éclaire les lettres 275, 276 et 277 de ce dernier à la romancière.

Collection : 1921
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir les lettres 181 et 182 de Georges Marielle à Marguerite Audoux, et en particulier la partie DESCRIPTION de la lettre 181


Collection : 1921
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Projet de gagner les Ardennes

Collection : 1921
Auteur : Rolland, Romain
Archives Marguerite Audoux
Réponse à la lettre 279 (mise au point par rapport à certanes affirmations) - Invitation pour le surlendemain

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Dans son aimable missive du 9 septembre 1994, où il nous joint copie des six lettres d'Émile Guillaumin, David Roe nous renseigne ainsi :

« Les archives Émile Guillaumin conservent cinq lettres de la romancière, ou plus exactement, trois lettres de deux ou trois pages[1], deux cartes postales[2] et une carte de visite non datée. Les lettres de Guillaumin semblent perdues.
Si les lettres, datées entre 1920 et 1922, semblent fixer les rapports entre les deux écrivains du peuple fermement dans l'après‑guerre, deux des cartes témoignent d'un contact épistolaire bien antérieur.
On sait d'après le livre de Guillaumin sur Philippe[3] que celui‑ci avant sa mort lui avait parlé de Marguerite et ses premiers écrits. En juin 1910, Guillaumin évoquait assez longuement pour Charles Bruneau[4] sa lecture de Marie‑Claire, qui venait de paraître en feuilleton dans La Grande Revue, à laquelle lui aussi collabora. Il trouvait la troisième partie «un peu moins naturelle» que les autres, et louait surtout, dans la forme, «cette façon d'évoquer les choses sans les dire tout à fait.» Il disait avoir connu «depuis longtemps certains épisodes de l'œuvre par le pauvre Charles‑Louis Philippe», mais s'étonnait un peu de ses «grandes qualités de conteuse», ayant vu chez Mme Philippe une lettre d'elle «quelconque et bourrée de fautes d'orthographe[5]». »
[1] Lettres 278, 286 et 291
[2] Lettres 174 et 333
[3] Guillaumin, Émile, Charles‑Louis Philippe, mon ami, Grasset, 1942
[4] Voir Cent dix‑neuf Lettres d'émile Guillaumin (dont 73 inédites) (1894‑1951), éditées par Roger Mathé, Klincksieck, 1969, p. 86‑89 (lettre 27, du 22 juin 1910, de Guillaumin à Charles Bruneau).
[5] Ibid., p. 88.


Collection : 1922
Auteur : Naudin, Bernard
Archives Marguerite Audoux

Né le 11 novembre 1876 à Châteauroux, Bernard Naudin entre à dix-sept ans aux Beaux‑Arts de Paris dans l'atelier de Bonnat, puis est exposé aux Indépendants (l'un des tableaux, La Charge de Valmy, se trouve à la mairie de Châteauroux ; d'autres œuvres se trouvent au Musée Bertrand, dans la même ville). En 1904, Naudin abandonne la peinture pour se consacrer au dessin à la plume et à la gravure à l'eau‑forte. Il se plaît ainsi à illustrer livres et revues (Le Cri de Paris, L'Assiette au beurre), et, en particulier, le numéro spécial des Primaires d'août 1922, consacré à Marguerite Audoux, qui motive la présente lettre. Naudin, musicien lui‑même, a aussi essayé de rendre plastiquement des impressions musicales (par exemple, dans sa Sonata Appassionata). Il meurt le 7 mars 1946 à Noisy‑le‑Grand.
Notons qu'en 1980, à l'instigation de François Escoube, une exposition est organisée à la mairie du 1er arrondissement de Paris, par le Cercle amical du Berry, sur Bernard Naudin, Marguerite Audoux, Jean Baffier, Hugues Lapaire et le peintre Raoul Adam. Des lettres de notre corpus, prêtées par Paul d'Aubuisson, y sont présentées, dont cette lettre 290 à Marguerite Audoux. Sur la couverture du catalogue, figure un autoportrait de Naudin (1937).


Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour l'article - Atermoiement de Fargue

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Préparation du numéro spécial des Primaires consacré à la romancière

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Écrivain de la glèbe, comme Antonin Dusserre, Émile Guillaumin (1873-1951) évoque la vie rurale de façon réaliste, notamment avec La Vie d'un simple. Il dépasse cependant le régionalisme pour accéder à un véritable humanisme – ce en quoi il rejoint Marguerite Audoux. Les premiers contacts entre les deux écrivains sont épistolaires. Si l'on s'en tient à l'article de Guillaumin du 11 décembre 1937 écrit pour Les Nouvelles Littéraires (« Première et dernière visite à Marguerite Audoux »), il entendit d'abord parler d'elle en 1908 par Charles‑Louis Philippe ; puis il lui rendit visite en 1928, et enfin en mai 1936. Il admire la romancière, qu'il considère, bien au‑dessus de lui, comme un pur artiste. Nous reproduisons ici l'article laudatif qu'il écrit sur Le Chaland de la Reine :

« A propos du Chaland de la Reine

Au mois de septembre 1909, Charles‑Louis Philippe, en vacances à Cérilly, m'annonçait un prochain livre révélateur :
«C'est l'œuvre d'une femme du peuple, de bonne heure orpheline et dont la vie fut pénible. Ancienne ouvrière d'usine, elle est maintenant couturière. Je la connais depuis longtemps : née à Sancoins, elle est presque notre compatriote[1]. Ce fut une surprise pourtant que de l'entendre, un jour de l'autre hiver, me lire des pages de ses souvenirs d'enfance. Elle sait tout juste l'orthographe et se tire mal de la ponctuation, mais elle est, d'instinct, une merveilleuse artiste. Nous en reparlerons…»
Nous ne devions pas en reparler, hélas ! Nous ne devions pas nous revoir. Trois mois après, Philippe, à trente quatre ans, disparaissait dans la nuit éternelle…
Dans le N° à lui consacré par la Nouvelle Revue française le 15 février 1910, Marguerite Audoux, avec infiniment de tact, évoquait des épisodes de leurs rapports anciens. Elle était pour lui la bonne camarade, la vieille amie, la sûre confidente. Telle carte, qu'il lui adressait de sa petite ville en 1907, est charmante de bonhomie affectueuse, de chaude sympathie[2]… Il la tenait au courant de ses travaux. Il ne lui cachait rien de ses aventures sentimentales, ni de ses déboires. Lorsqu'il allait à la campagne, les dimanches d'été, avec quelques familiers, il tenait à ce qu'elle fût de la partie : ‑ cette recluse, toute la semaine courbée sur l'humble tâche, dans la mansarde étroite, avait besoin de faire provision d'air salubre et de contempler des horizons vastes !
Certes, le contact fréquent de l'écrivain au grand cœur et de ses amis dut avoir une grosse influence sur la vocation tardive de l'ouvrière.
Ces pages de gratitude et de douceur attendrie sont les premières que je connus d'elle. Quelques mois après, La Grande Revue publiait Marie‑Claire. Et Les Cahiers nivernais offraient à leurs quatre cents abonnés le régal du Chaland de la Reine. Paul Cornu, directeur, leur disait dans une présentation sobre et sûre qu'ils allaient goûter le charme de cette langue si aisée, si claire, de cette imagination si fraîche – et qu'ils penseraient à la couturière pour se persuader une fois de plus que les richesses du cœur et de l'esprit ne sont le privilège d'aucune caste sociale.
Neuf récits se trouvaient réunis en ce mince recueil. Choses vues, impressions et souvenirs. La vie n'est pas compliquée ; les grands drames demeurent exceptionnels où interviennent le poignard et le revolver. Mais chacun poursuit son rêve auquel s'opposent les rêves des autres – ou leurs appétits.
L'observation chez Marguerite Audoux s'exprime en touches légères, d'un relief saisissant, sur un fond toujours un peu mystérieux et flou.
Un enfant vivait à Paris, près du canal St‑Martin, et l'intérêt de ses jours se concentrait sur le chargement, le déchargement et le défilé des bateaux. Orphelin, le voici transporté dans les Ardennes, chez une tante revêche où il serait très malheureux s'il n'y avait encore, à quelque distance, un canal. Il s'échappe toujours par là, regarde les chalands passer – et, croyant avoir découvert un jour celui de la reine, il meurt de son excès d'imagination…
Le soir de l'enterrement de leur oncle, deux jeunes filles, les deux sœurs, seules dans l'appartement, nerveuses et troublées s'affolent d'un jeu d'ombres, d'un bruit de chute inexpliqué. Mais d'instinct, elles se mentent l'une à l'autre pour se rassurer…
C'est très délicat, très juste de ton, très beau…
Les scènes d'hôpital ne sont pas de qualité moindre – qu'il s'agisse de la vieille mère qui ne veut pas se laisser opérer ou de Catiche l'enfant sauvage, qui résiste aux « autorités » mais subit doucement l'influence de la petite Yvonne, sa voisine de lit, mourant d'une maladie de cœur.
De plus haute classe peut‑être est « L'Incendie », avec ses notations descriptives d'une objectivité puissante, le « comportement » des locataires du sixième devant le danger imminent, la réaction quand il n'est plus rien à craindre. C'est un tableau d'humanité à nu où l'émotion parfois poignante se tempère d'un sourire amusé, d'un sourire de condescendance à l'égard des ridicules et des faiblesses de chacun…
L'embarquement des poulains dans l'île offre la même valeur descriptive, les mêmes qualités émotives : c'est un chef‑d'œuvre de « rendu » baigné de poésie, de tendresse.
Tandis que « Mère et fille » présente un tableau de psychologie familiale d'une intensité peu commune.
*
* *
À cause du Chaland de la Reine, nous étions quelques‑uns, à l'automne de 1910, qui tenions Marguerite Audoux pour une artiste d'une rare originalité, d'un charme profond, d'un goût très sûr. Et le coup de foudre de Marie‑Claire – que fit plus retentissant l'heureuse présentation de Mirbeau – ne pouvait nous surprendre.
Douze ans après, nous sommes quelques‑uns encore à nous étonner qu'aucun éditeur n'ait publié à nouveau Le Chaland.
Mais les contes, paraît‑il, ne se vendent pas. Et qu'importe alors que demeurent ignorées des pages vibrantes d'humanité, des tableautins délicieux, de purs joyaux ?

Émile GUILLAUMIN »

(Les Primaires, 3e série, n° 8, août 1922, p. 322‑324).


[1] Rappelons qu'Émile Guillaumin est d'Ygrande, dans l'Allier, à treize kilomètres au sud‑est de Cérilly. Au nord de ces deux petites villes, Sancoins, dans le Cher, est à vingt‑huit kilomètres de Cérilly, et à trente‑quatre d'Ygrande. Les trois romanciers sont donc bien des « compatriotes ».
[2] Lettre 3


Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Préparation du numéro spécial des Primaires consacré à la romancière - Paul d'Aubuisson - Projet d'un recueil de contes

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Voir la partie DESCRIPTION de la lettre 286

Collection : 1922
Auteur : Audoux, Marguerite
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Collection : 1922
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Alitée - Invitation à venir la voir

Collection : 1922
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Chat à donner - Paul d'Aubuisson

Collection : 1923
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