Archives Marguerite Audoux

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Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Signatures d'exemplaires

Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Cette lettre de Léon Denis (sur lequel on ne possède aucun renseignement autre que ce qui transparaît dans sa correspondance), ainsi que les deux suivantes (276 et 277) s'inscrivent dans le courrier des lecteurs.


Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Annnonce d'une réponse

Collection : 1920
Auteur : Denis, Léon
Archives Marguerite Audoux
Arguments en faveur de sa future œuvre - Propos badins et amicaux, notamment sur l'argent

Collection : 1920
Auteur : Fournier, Albanie
Archives Marguerite Audoux
Remerciements pour L'Atelier de Marie-Claire - Alain-Fournier - Critique mitigée du livre reçu

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur la restitution de deux manuscrits de L'Atelier à Fasquelle - Suzanne - Questions de santé

Collection : 1920
Auteur : Viollis, Jean
Archives Marguerite Audoux
Jean Viollis (1877-1932) est le pseudonyme d'Henri Ardenne de Tizac. Né dans une famille issue de la noblesse du Rouergue, il monte à Paris après avoir entrepris des études de droit et de lettres. C'est là qu'il entre, en 1902, dans la fonction publique, comme chef‑adjoint du cabinet de Joseph Chomié, ministre de l'Instruction Publique et des Beaux‑Arts. En 1905, il est nommé conservateur au Musée d'art asiatique Cernuschi. Il est deux fois en lice pour le Goncourt. La première fois, en 1908, il échoue de peu, présenté par Jules Renard pour Monsieur le Principal (cinq voix sur dix au deuxième tour, mais la voix du Président l'emporte et c'est Miomandre qui est lauréat). La seconde fois, en 1913, il est tout de suite éliminé, avant une lutte interminable entre Léon Werth et Alain-Fournier. (C'est un outsider proposé par Lucien Descaves, Marc Elder, qui l'emporte au onzième tour avec Le Peuple de la mer).
Notons que Jean Viollis est un ami de longue date de l'auteur de Bubu de Montparnasse. Son nom apparaît parfois dans les lettres de Charles‑Louis Philippe à Emma Mc Kenty. Viollis a donné un article sur Philippe dans Vers et Prose, n° 20, mars 1910, p. 44‑48.
Sur Jean Viollis, voir le P.S. de la lettre 71

Andrée Viollis (1870‑1950), née Andrée Jacquet de la Verryère, seconde épouse du précédent, a donc pris comme pseudonyme (et nom de famille) celui‑là même de son mari. Journaliste célèbre de l'époque, elle est plusieurs fois aux côtés de Léon Werth dans ses luttes antifascistes et anticolonialistes : il a écrit Cochinchine en 1926 ; elle écrit Indochine SOS en 1935. Elle y dénonce notamment la torture arbitraire exercée par des légionnaires. Andrée Viollis conclut son avant‑propos en écrivant : « On m'a [...] reproché de faire œuvre antifrançaise en publiant au grand jour les erreurs et les scandales dont l'Indochine est le théâtre. Je viens de dire les hésitations et les scrupules qui m'ont longtemps retenue. Si cependant on persiste encore à estimer que c'est desservir la France que de servir la vérité, j'accepte volontiers le blâme. » Elle rédige aussi des articles sur notre romancière : « Marguerite Audoux conte la merveilleuse histoire de Marie‑Claire », in Les Nouvelles littéraires, 1926 ; et « Marguerite Audoux », in Le Petit Parisien, 21 janvier 1929.
Voir Renoult, Anne, Andrée Viollis, une femme journaliste, Presses de l'Université d'Angers, 2004 [Prix Mnémosyne 2003]

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Parution et envoi de L'Atelier - Monsieur Madeleine - Question du titre - Lette - Venue d'un autre enfant - Paul

Collection : 1920
Auteur : Lapaire, Hugues
Archives Marguerite Audoux
Natif de Sancoins, comme Marguerite Audoux, Hugues Lapaire (1869‑1967) a d'autres points communs avec la romancière : à cinq ans, il est orphelin de père et de mère, et doit aller habiter, avec sa sœur aveugle, chez les grands‑parents maternels à la « maison au perron » (titre d'une œuvre autobiographique), sise faubourg de Nevers (aujourd'hui rue Maurice‑Lucas), la même rue que celle où Marguerite Audoux vécut ses premières années. Rétif à l'institution scolaire, il claque la porte du lycée, mais s'inscrit néanmoins dans une boîte à bachot qui lui permet d'avoir son diplôme et de suivre en Sorbonne des études de lettres égayées par une vie estudiantine mouvementée. On retrouve le fervent régionaliste aussi bien chez l'écrivain que chez le journaliste, qui n'hésite d'ailleurs pas – et ses écrits sur Marguerite Audoux le prouvent – à instiller sa propre fantaisie dans la réalité des faits.

Notons en effet qu'Hugues Lapaire est l'auteur d'un article paru dans Le Berrichon de Paris du 16 septembre 1912. Ces lignes seront réutilisées, pour la partie consacrée à la romancière, dans les Portraits berrichons précités. La page 220 laisse apparaître les deux mêmes erreurs que dans l'article : Francis Jourdain devient Frantz Jourdain (le père du premier), et, à propos de la fin de l'épisode solognot, l'éviction de la ferme de Berrué (à cause de l'idylle entre Henry Dejoulx et la bergère) est ainsi transformée : « Elle est mince et très délicate, aussi les braves gens chez qui elle se trouve en condition ne peuvent la garder. Elle retourne à l'Hôpital, où elle reste jusqu'à dix‑huit ans, époque où elle vient à Paris. » Dans les pages suivantes, d'autres évocations trahissent la veine poétique du journaliste qui relate les affres de la création allant jusqu'à la tentation du suicide (p. 221), ou encore (p. 225) un dialogue peu vraisemblable, dans le fond et la forme, avec André Gide :
« Le maharajah de la Nouvelle Revue française a daigné gravir ses six étages ! ce personnage lui parut gonflé de prétention. Il lui dit sur un ton assez désagréable :
‑ Vous avez de la chance que l'on vous fasse passer par le grand escalier !
‑ Vous eussiez préféré, monsieur, lui répondit‑elle, que je prisse l'escalier de service ? Je ne suis pas assez reluisante à vos yeux, sans doute, pour me permettre le même chemin que vous ? Si cela vous offusque, tant pis ! Toute fille du peuple que je suis, je prends le grand escalier ! »


Collection : 1920
Auteur : Fabre, Émile
Archives Marguerite Audoux

Né à Metz le 24 mars 1869 et mort le 25 septembre 1955, Émile fabre, fils d'un régisseur de théâtre, monte à Paris pour devenir, en tant qu'auteur (révélé par Antoine), l'un des principaux représentants du courant réaliste. Il administre la Comédie française de 1913 à 1936 et, en 1916, fonde le fameux Théâtre aux armées, dont la première représentation, le 9 février 1916, a lieu dans une grange de la région de Beauvais avec Béatrix Dussane, Henry Mayer et Julia bartet (dont on avait parlé en février 1911, puisqu'elle jouait à la Comédie française dans Après moi d'Henri Bernstein, la pièce qui suscita des manifestations de l'Action française et vingt‑sept arrestations avant d'être retirée de l'affiche). On notera deux galas de soutien pour ce Théâtre aux armées : le premier le 27 décembre 1916 à l'Opéra comique (Saint‑Saëns y dirige sa Marche héroïque et Gabriel Signoret et Antoine se produisent dans un acte écrit par Tristan Bernard) ; le second en janvier 1917 – on y joue Pour le front, et Réjane interprète La Victoire en chantant. Voir Mémoires du XXe siècle, Bordas, tome deuxième (1910‑1919), 1991, p. 219 (sur cette même page, une gravure montre des actrices en costume donnant des fleurs aux soldats).

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de restitution d'une page manuscrite

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Correction des épreuves de L'Atelier de Marie-Claire - Marcel Ray - Paul d'Aubuisson - Demande de traduction espagnole

Collection : 1920
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Demande de révision par un lecteur de ses deux manuscrits

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Prépublication et publication de L'Atelier de Marie-Claire - Question du titre - Paul d'Aubuisson - Le père Madeleine - Lette - Huguette

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Fin laborieuse de L'Atelier de Marie-Claire - Prépublication et publication - Clavel soldat de Werth et Civilisation de Duhamel - Huguette

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Questions de santé - Prépublication de L'Atelier de Marie-Claire

Collection : 1919
Auteur : Harry, Myriam
Archives Marguerite Audoux

Première lauréate du Prix Vie heureuse (en 1904) avec La Conquête de Jérusalem (la vie, romancée, de son propre père), Myriam Harry (1869‑1958) représente ainsi un jalon dans l'histoire du féminisme (ce qui ne signifie pas pour autant qu'elle soit elle‑même féministe), en tant que représentante du tout nouveau Prix littéraire, réponse au « Pas de femmes parmi nous » de Rosny aîné, alors président du Goncourt. Myriam Harry est née à Jérusalem d'un israélite russe et d'une doctoresse allemande (luthérienne). Elle a une jeunesse cosmopolite (Londres, Berlin, Paris, les Indes, la Tunisie). Si elle écrit sous le pseudonyme de Siona, on pourrait penser que c'est en fervente sioniste. En réalité, c'est tout simplement parce qu'elle est née sur le Mont Sion.

Citons, de Myriam Harry, un extrait de « Souvenirs du Femina », article inclus dans une brochure de 1954 pour le cinquantenaire du prix [Louis Lanoizelée, dans son Charles‑Louis Philippe (Plaisir du bibliophile, 1953, p. 80‑81) mentionne déjà ce même fantaisiste passage comme figurant dans La Revue de Paris. Il s'agit donc, pour la brochure en question, de la reprise d'un article déjà édité]. On comprend que c'est à l'occasion du Prix 1910 que les deux femmes ont fait connaissance :

« Marguerite Audoux présente Marie‑Claire, en même temps que Péguy avec Le Mystère de la Charité, dont il avait vainement espéré le prix Goncourt.
C'est sous la présidence de Mme Alphonse Daudet, dans ses beaux salons de la rue de Bellechasse, sous les regards des portraits de Renoir, si mélancoliques, des Sisley, si clairs, des Manet, flamboyants, et des rutilantes études de Besnard, rapportées des Indes.
Je crois que je regardais beaucoup plus les tableaux que je n'écoutais les discussions. On soupçonnait Marguerite Audoux de ne pas avoir écrit son livre toute seule… Avait‑elle été pastourelle ? était‑ce une pauvre couturière ? Vivait‑elle avec… et patati et patata. Je ne savais rien d'elle, mais j'aimais son roman, et lorsqu'elle emporta nos suffrages, j'étais heureuse d'aller lui porter moi‑même la bonne nouvelle. Je ne la trouvai pas chez elle, mais mon mari alla la chercher pour déjeuner chez nous quelques jours plus tard. C'était une petite personne d'agréable tournure, enjouée, «naturellement naturelle» selon l'expression de Jules Lemaître, parlant avec aisance, clarté, pittoresque et très capable d'avoir écrit Marie‑Claire. Comment en avait‑elle eu l'idée ?
- Charles‑Louis Philippe me l'avait donnée. Il habitait une petite chambre mansardée au quatrième étage, qui voisinait avec celle où, venue à Paris pour chercher du travail, j'étais échouée en plein chômage. Lui, métrait les terrasses des cafés à cent francs par mois, et faisait un peu de journalisme (et, malicieuse, elle ajoute) : il rêvait de métrer les paratonnerres… Je lui racontais mes moutons. «Il faut écrire cela ! Je vous corrigerai.» En attendant il fallait vivre. Nous étions si pauvres que nous n'avions qu'une paire de bottines à nous deux, donnée à Philippe par Gustave Geoffroy, pour lequel le cordonnier les avait faites trop courtes. Elles sont beaucoup trop longues pour son pied. Et pour le mien, donc ! Vous souvenez‑vous combien l'hiver était glacial ? On ne pouvait pas sortir en savates. Il les mettait l'après‑midi pour aller à l'Hôtel de Ville, et moi le matin pour mes courses. Je les attachais à mes chevilles avec des ficelles. Pour descendre cela allait. Mais pour remonter !... la partie vide fléchissait sur les marches. J'essayais de monter de biais en sautillant de marche en marche, comme ça… mais je tombais sur les genoux. Alors je me suis retournée et je grimpais à reculons. C'est long quatre étages ! Avec un seau à charbon à une main et un cabas de pommes de terre dans l'autre. Je n'en finissais pas et les gens dans l'escalier se tordaient. Ils m'appelaient «l'écrevisse».
Et le rire de Marguerite Audoux sonne clair comme un rire de source.
- Heureusement cela n'a pas duré. Un matin, en ouvrant ma porte, je vois une ravissante petite paire à douze boutons. Je n'ai jamais su à qui je les devais. »

Louis Lanoizelée (Ibid.) commente ainsi : « Madame Harry a beaucoup d'imagination. Il est certain que jamais Marguerite Audoux ne lui a dit de semblables racontars. »

On rappellera en effet que Marguerite Audoux est déjà depuis une vingtaine d'années à Paris quand elle fait la connaissance de Philippe par le truchement de Michel Yell. Elle ne vient donc pas de monter à Paris, et elle n'a d'ailleurs, si l'on excepte Vincennes et la rue de Lagny, jamais quitté le quartier Montparnasse. C'est en réalité depuis longtemps qu'elle emplit ses petits cahiers. Yell les découvre après 1900 (la future romancière arrive dans la capitale en 1881), qui en parle à Philippe, lequel s'enthousiasme. L'auteur de Bubu est bien le promoteur, mais non l'instigateur de Marie‑Claire.

Cela rectifié, il faut également se méfier de la romancière qui, elle aussi, « a beaucoup d'imagination ». D'où sans doute ces autres articles (où souvent, comme dans cette prosopopée, on lui prête la parole) qui se contredisent. Dans la lettre 32 à Giraudoux, fait non moins curieux, elle le remercie de sa préface qu'elle trouve parfaite (« Vous avez dit exactement ce qu'il fallait dire »), alors que cette présentation s'égare parfois dans des considérations discutables [« [E]lle songea alors, pour gagner sa vie, à écrire. » (Préface de la prépublication de Marie‑Claire dans La Grande Revue de Jacques Rouché, 14e année, n° 9, 10 mai 1910, p. 14‑15 – p. 14 pour ce passage ‑)].

Ce que dit Myriam Harry elle‑même, en revanche, est tout à fait exact, en particulier les propos des dames du Fémina. Le 25 novembre 1910, Alain‑Fournier écrivait à Péguy : « [U]ne des dames de la Vie heureuse répand le bruit imbécile que ce n'est pas Marguerite Audoux qui a fait son livre. Et les dix‑neuf autres dindes en sont tout effarouchées. » (Alain‑Fournier – Charles Péguy, Correspondance 1910‑1914, Fayard, 1973, p. 30). Tout en laissant à Alain‑Fournier la responsabilité de ses formules, on ne peut donc que constater que ces affabulations ont bien été (et sont encore) proférées.

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Description des bombardements parisiens - Propos sur la santé

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Poste au Maroc pour Lelièvre ? - Annonce du départ pour La Haie-Fouassière - Amaigrissement de quinze kilos - Lucile Dugué - Louise et Georges Roche - Lette - Huguette

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la santé - Le Maroc - Lette - Huguette

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Rétractation de Marguerite Audoux quant à la signature d'une pétition

Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la maladie - Rédaction laborieuse de L'Atelier de Marie-Claire - Clavel soldat - Werth - Lette - Huguette - Projets de vacances à la mer - Louise Roche - Vitali - Georges Marielle

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
« Suzanne Canard, [que Werth] épouse en 1922, n'est pas précisément une fille du peuple. Elle est issue d'une famille assez fortunée de la région de Tournus avec, dans la branche des de Rollepot, quelques militaires de haut rang. De dix ans sa cadette, l'ex‑mademoiselle Canard, sculptrice talentueuse, que Werth a rencontrée chez Victor Margueritte, a effectué ses humanités dans une école religieuse assez stricte où on lui contait que Voltaire dévorait ses excréments. Ce qui eut pour effet, à défaut de la dégoûter des Lumières, selon Claude Werth, de la rendre anticléricale. Léon Werth ne parlera d'elle que dans Déposition, sur un ton qui montre l'amour et l'admiration qu'il lui portait. »
[Heuré (Gilles), L'Insoumis Léon Werth (1878‑1955), Viviane Hamy, 2006, p. 143]
N. B. : Suzanne Canard est née le 25 juin 1888 à Tournus. Le mariage a lieu le 19 août 1922. (Renseignements dus à l'amabilité du fils, le docteur Claude Werth, qui naîtra en 1925 et exercera la médecine en tant que généraliste à Issoudun).


Collection : 1919
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la maladie - Louise et Georges Roche - Clavel soldat de Werth - Le Feu de Barbusse - La "vente Mirbeau" - Georges Marielle - Marinetti - Huguette - Lette

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Félicitations (naissance)

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La guerre à Paris - Louise et Georges Roche - Lucile Dugué - Le Feu et L'Enfer de Barbusse - Alain-Fournier - Recherche d'emploi du destinataire

Collection : 1918
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Pèlerinage à Fontenay-aux-Roses - Fermina Marquez - Fargue - Enfantines - L'Atelier de Marie-Claire

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur les pipes envoyées

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux

Sur Besson, voir la partie DESCRIPTION de la lettre 191

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Propos sur la santé - Lette - Huguette - Les petits-neveux - Vitali - Louise Roche - Lucien Trautmann

Collection : 1917
Auteur : Jourdain, Francis
Archives Marguerite Audoux
Santés précaires de l'épistolier et de son épouse - Lulu (leur fille Lucie)

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
René Dugué tué - Lucile Dugué - Proos sur la santé - Photos

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Envoi d'un Marie-Claire - Mirbeau déprimé et affaibli par la guerre - Louise Roche - Lucile Dugué

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Élisabeth Lelièvre (née Dollorenzi), épouse de Jacques Lelièvre, est désignée, dans l'abondante correspondance au mari, par son diminutif Lette.

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Lette - Louise Roche

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
George Besson - Octave Mirbeau très malade - Docteur Albert Robin - Alice Mirbeau - Louise et Georges Roche - Lucile et René Dugué - Lette

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Numéro du secteur d'Antoine Lelièvre

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Entremise pour la recherche d'une place de commis-greffier - Alice Mirbeau - Mort d'Octave Mirbeau

Collection : 1917
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Entremise pour une recherche d'emploi - Francis Jourdain - Article de Lelièvre à placer - Octave et Alice Mirbeau - Louise Roche - Lucile Dugué - Vitali

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Ambrières - L'Atelier de Marie-Claire - Georges Roche - Louise Roche - Eugène Fasquelle

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Sur l'échange de cartes des correspondants - Lette - Georges et Louise Roche - René et Lucile Dugué - Propos su la santé

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Octave Mirbeau - Propos sur la santé - Eugène Fasquelle - Léon Werth - George Besson

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Traduction italienne de Marie-Claire - Propos sur la guerre

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Hospitalisation de Georges Roche à Sillé-le-Guillaume

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Georges Roche brancardier - René Dugué - Octave Mirbeau - Les frères Werth

Collection : 1916
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Octave Mirbeau affaibli - Lette - Difficulté à écrire - Louise et Georges Roche - René Dugué

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Francis Jourdain - Vitali

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Tricot pour Georges Roche - Lelièvre soldat - Octave et Alice Mirbeau - Lette - Mort de Paul Cornu - Werth - Louise Roche

Collection : 1915
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
La Valserine - Voeux de Nouvel An - Alain-Fournier

Collection : 1914
Auteur : Audoux, Marguerite
Archives Marguerite Audoux
Mise au point sur les relations entre les deux écrivains
Formats de sortie

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