FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à monsieur Vallin, 9 septembre 1870
Émile Godin demande à Vallin s'il a reçu la lettre que son père lui a adressée le 1er septembre 1870 avec 10 F et lui envoie 15 F avec sa lettre. Il lui donne des nouvelles de la guerre dans l'Aisne : Laon est tombé aux mains des Prussiens, qui ont fait sauter la citadelle ; La Fère résiste ; les journaux de Paris ne parviennent plus à Guise ; le chemin de fer serait coupé à Chauny et à Compiègne. Émile Godin demande à Vallin de l'avertir en cas de changement d'adresse.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin au directeur de la sucrerie d'Origny, 5 mai 1873
Émile Godin écrit au directeur de la sucrerie d'Origny-Sainte-Benoîte après que ce dernier se soit vu refuser la visite de l'usine de Guise le samedi précédent. Émile Godin regrette de ne pas avoir été informé de la présence de son correspondant pour lui faire visiter en détail les ateliers de Guise comme celui-ci l'avait fait pour Émile Godin et monsieur Grebel à la sucrerie d'Origny l'hiver dernier ; Émile Godin demande à son correspondant les motifs qui lui furent donnés pour lui refuser la visite de l'usine et il espère pouvoir l'accueillir une prochaine fois.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Allyre Bureau, 3 octobre 1874
Émile Godin répond à monsieur Bureau pour lui indiquer que son père et lui-même le recevront avec grand plaisir à Guise ainsi que sa mère ; « trop d'agréables souvenirs sont gravés dans ma mémoire pour qu'il en soit autrement ».

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Macé, 18 avril 1870
Émile Godin envoie à Macé une liste d'adhésions aux principes de l'instruction publique gratuite et obligatoire d'habitants de la commune de Macquigny. Il confirme l'envoi par son père d'une liste d'adhésions de la ville de Guise.

Auteur·e : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 18 septembre 1858
Dolot avertit Godin que les deux caisses contenant outils et poulies destinées à monsieur Farineau ont été remises au chemin de fer le 15 septembre 1858. Sur la recherche auprès de l'administration postale d'une lettre adressée à Boinet et Guébin. Dolot signale à Godin que son fils Émile lui a adressé hier la copie d'une lettre de Pigé demandant une réponse à propos de générateurs. Dolot signale à Godin que la gare de Bohain a du mal à s'organiser pour le transport d'une quantité importante de marchandises ; il lui conseille d'y aller à son retour de Bruxelles. Il indique que les transports de coke sont suspendus et qu'il écrit à Frameries pour en connaître la cause. Il transmet ses salutations à madame Godin et à monsieur et madame Brullé. Dans le post-scriptum, Dolot donne des informations sur l'approvisionnement en fonte de l'usine de Guise : les bateaux Pinart se succèdent, il ne reste presque plus de fonte Cleveland et il a demandé un échantillon à Bolkow et Vaughan. Dans la marge de la feuille, Émile Godin indique à son père qu'il n'a rien à ajouter à la lettre de Dolot et il transmet ses compliments à monsieur et madame Brullé.

Auteur·e : Dolot ; Godin, Émile (1840-1888)
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 20 septembre 1858
Dolot communique à Godin l'offre de prix de la fonte Cleveland faite par Trystram et Crujeot : 13,90 F les 100 kg de fonte n° 1 supérieure et 13,25 F les 100 kg de fonte n° 1. Il précise que ces prix de la fonte Cleveland par l'intermédiaire de Trystram et Crujeot sont équivalents à ceux donnés directement par Bolkow et Vaughan. Dolot propose à Godin de régler une facture de Pinart avec un effet sur Allez frères. Il lui communique la copie d'un courrier de Pigé au sujet de l'essai d'un générateur. Il lui fait part de la bonne marche de la fabrication à l'usine de Guise et lui signale qu'il n'a pas de nouvelle de la lettre égarée. Émile Godin ajoute un mot à la lettre de Dolot à son père : il lui recommande d'écrire à Pigé s'il ne rentre pas prochainement à Guise ; il lui annonce que les gardes nationaux se relaient pour monter la garde à Guise, faute de soldats, et il conseille à son père de rester à Laeken s'il ne veut pas passer la nuit au fort [de Guise].

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 3 décembre 1863
Émile Godin donne à son père des informations sur les nouveaux événements survenus à Guise. Madame Vigerie a appris la veille au soir qu'une nouvelle chanson avait été affichée dans la nuit précédente. Fayon a montré à madame Vigerie un exemplaire qui avait été collé sur sa boutique. Madame Vigerie, qui n'a pu en prendre copie, dit qu'il n'est pas question de Godin, mais de toute la famille Moret. Madame Ville a dit à Fayon que 20 personnes chantaient la chanson chez Pierre. Émile Godin estime que la chanson doit avoir 7 couplets. A. Villot a reçu un placard par la poste, qu'il n'a pas voulu confier à Émile par peur d'envenimer les choses. Émile explique qu'il n'a pas voulu laisser emporter par madame Lemaire une glace se trouvant dans l'appartement de sa mère. Il l'informe qu'un vent très fort a causé des dégâts dans l'usine. Il regrette que la population guisarde mette tant d'acharnement à diffuser des insultes. Il ajoute des informations relatives à Laloux, Charles, Esther Lemaire, son grand-père. Dans le post-scriptum, il annonce à son père que madame Vigerie vient de lui donner un exemplaire de la chanson chantée la veille chez Pierre et qu'on dit que c'est madame Carlier qui a reçu la chanson par la poste et l'a diffusée.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 5 décembre 1863
Émile Godin demande à Cantagrel pourquoi il est sans nouvelles de son père, parti de Guise le 1er décembre. Il demande à Cantagrel de dire à Godin qu'un bateau de fonte est arrivé lundi. Il lui donne des nouvelles de son grand-père et lui annonce que Vigerie lui a dit qu'un nouveau placard en forme de décret avait paru. Il décrit l'essai qui a été fait de la fonte, juge qu'elle est de bonne qualité et indique qu'il fait décharger le bateau.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à messieurs Aillot et Bréard, 5 janvier 1861
Godin confirme une commande verbale de madriers et planches de bois à livrer à Guise avant le 10 mars.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Richard Dewailly, 1er mars 1861
Émile Godin demande à Dewailly de lui réserver 90 poutrelles ayant au moins 8,30 m de long et de les charger sur un bateau avec celles qu'il a poinçonnées DC quand Vendroux l'en avertira.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Pinart et Cie, 2 mars 1861
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin doute que la fonte livrée par un second bateau diffère de la première, de mauvaise qualité. Il avertit Pinart et Cie que si l'essai qu'il va en faire n'est pas concluant, il nommera des experts.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Lefevre et Cie, 2 mars 1861
Godin demande à Lefevre et Cie s'il peut construire une presse à composter avec laquelle il pourrait imprimer des petits cartons. La lettre présente deux croquis du recto et du verso d'un modèle du carton avec le texte à imprimer : « bon pour 1 franc entre les mains des personnes attachées à l'usine Godin-Lemaire » au recto, et « valable pour 1 franc en marchandises au familistère 2 mars 1861 » au verso.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Marbais, 11 avril 1863
Émile Godin informe François Marbais qu'il pourra venir à Guise dans douze jours. Il lui fixe les conditions de rémunération du travail de maçonnerie : 0,20 F par heure et 2 F le mètre cube pour les murs des façades antérieures ; paiement uniquement du prix de l'heure en cas d'obligation de démolir pour malfaçon ; les murs intérieurs payés entièrement aux pièces à 2,75 F le mètre cube.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à monsieur Léonard, 1er mai 1863
Godin précise à Léonard qu'il veut confier les murs extérieurs aux bons ouvriers et que les murs intérieurs sont payés aux pièces uniquement au prix de 2,25 F le mètre cube et que ces derniers peuvent être faits par les bons ouvriers ou par les tous les maçons du pays.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à messieurs Berghmans et François Van Leedal, 16 mai 1863
Godin informe ses correspondants que plusieurs bandes de maçons, environ 40 ouvriers, travaillent aux constructions depuis un mois et qu'il les paient : pour les façades à 0,20 F l'heure, soit 2,40 F les 12 heures, plus 2,25 F par mètre cube de maçonnerie ; pour les murs intérieurs à 2,75 le mètre cube. Il leur demande de venir à 7 ou 8 bons maçons parlant français.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Royaux et Beghin, 18 mai 1863
Émile Godin demande à Royaux et Beghin de lui communiquer le prix des pannes de premier choix, à joint serré par-dessus, à livrer au port de Longchamps avant la fin du mois d'août.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre d'injures reçue par « son cousin Moret » et provenant de Paris. Il évoque la santé de son grand-père et transmet ses civilités au couple Cantagrel.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 25 décembre 1863
Émile Godin envoie à son père une lettre qui lui « prouvera que l'homme qui l'a écrite est un peu trop lourd ». Il lui donne des nouvelles de la santé de son grand-père.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 13 février 1865
Émile Godin informe Alexandre Barthélemy Godin que son père part en voyage pour plusieurs jours, qu'il ne devait pas se rendre à Étreux mais qu'il devait envoyer du papier timbré.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à monsieur Joudrain, 1er mars 1865
Sur la fondation d'une maison de vente des marchandises Godin-Lemaire à Paris. Émile Godin répond pour son père, parti à Paris, à la lettre que Joudrain a écrite à Jacquet le 22 février 1865. Émile Godin établit les conditions administratives et financières de la fondation et du fonctionnement d'une maison de vente dirigée par Joudrain aidé par sa femme.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 1er mars 1865
Émile Godin annonce à son père qu'il a retrouvé la copie de la lettre de monsieur Joudrain, qu'il a autorisé Nozal à rentrer et l'a envoyé auprès du cousin Moret. Il demande à son père, en séjour à Paris, de bien vouloir aller au siège du journal La Presse afin d'y trouver 16 gravures de la Révolution française ainsi qu'un planisphère Babinet. Il transmet enfin ses bons souvenirs au couple Cantagrel et à leur enfant, ainsi que ses civilités à madame Vigerie, à sa famille et à « Andrée ».

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 mars 1865
Émile Godin informe son père qu'il va lui expédier à Paris une lettre de monsieur Vigerie contenant un travail qui lui avait été demandé avant son départ pour Paris. Il lui signale qu'il pleut de façon continue à Guise et que l'Oise commence à sortir de son lit. Il l'informe enfin qu'il a demandé à monsieur Cornil de livrer de la fonte à Bohain-en-Vermandois car il est sans nouvelles des bateaux. Dans le post-scriptum, il signale le passage de la lettre de Vigerie sur le besoin d'argent de celui-ci.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 3 mars 1865
Émile Godin demande à Cantagrel de bien vouloir traduire une lettre écrite en espagnol. Il présente ses compliments à la famille Cantagrel.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 16 mars 1865
Émile, ne sachant si son père est encore en sa compagnie à Paris, l'informe qu'un accident déplorable a eu lieu à l'usine de Guise le matin à 7 h 30 : une meule s'est brisée en trois, le meuleur Viéville a été tué sur le coup et Dacheux a été blessé grièvement. Émile Godin a prévenu le brigadier de gendarmerie et le commissaire de police. Il informe Cantagrel que l'enterrement de Viéville aura lieu le samedi à 10 h 00, et que selon Vigerie, le rapport du commissaire est conforme aux faits. Il ajoute que « 1 000 cancans se font dans Guise ». Dans le post-scriptum, Émile Godin signale qu'un incendie est survenu la nuit précédente dans le pavillon de monsieur Wateau et que les pompiers du Familistère étaient les premiers sur les lieux.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 4 avril 1865
Émile informe Godin qu'il a reçu de son oncle onze photographies de Bertaux, mais que le dessinateur n'a pu les reproduire avec une gravure sur zinc. Il lui envoie les photographies pour les reproduire en gravure par Furcy au 20, rue de Bréa. Il signale que le temps à Guise est admirable. Il transmet ses amitiés à la famille Cantagrel

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 30 septembre 1865
Godin demande à Noirot de lui envoyer en papier d'affaire les candidatures parvenues au bureau de L'Association. Il l'informe que la fête de l'Enfance a été splendide et que 2 à 3 000 personnes ont assisté à la distribution des récompenses et au bal et à la fête de nuit. La suite de la lettre est rédigée et signée par Émile Godin, qui demande à Noirot d'envoyer une brochure d'Oyon à monsieur Duprez, directeur-gérant de l'usine métallurgique de Marcinelle près de Charleroi en Belgique.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 28 avril 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique à son père une lettre d'Oudin-Leclère qu'il voulait remettre à Borgnon (qui se trouve en fait à Paris avec son père). Il annonce à son père qu'il écrit à Oudin-Leclère pour l'avertir que la réponse de son père et de Borgnon sera différée.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 avril 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin avertit Oudin-Leclère que son père est à Paris et que le notaire Borgnon est absent de Guise, et qu'il a envoyé sa lettre à son père.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Louis Oudin-Leclère, 7 mai 1866
Godin accuse réception du billet d'Oudin-Leclère du 4 mai 1866 et il lui demande d'établir un rapport à communiquer aux juges, l'affaire étant en délibéré.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Charles Duprez, 25 octobre 1866
Émile Godin regrette de ne pouvoir envoyer à Duprez de meilleures photographies du Familistère car il n'existe pas de photographe habile à Guise. Il lui envoie trois des moins laides avec son portrait photographique et souhaite obtenir celui de Duprez et celui de sa femme à son prochain voyage. Il lui annonce l'envoi d'un rouleau contenant « une douzaine des plus beaux morceaux que je possède ». Dans le post-scriptum, il remercie Duprez de lui avoir envoyé des grives.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste Godin, 12 décembre 1866
Émile Godin adresse à son père une lettre provenant de Liverpool : « Ci-joint une lettre de Liverpool. Aussitôt votre réponse, je leur écrirai pour leur dire la quantité que vous désirez. À moins que vous ne voulussiez écrire directement de Paris, votre lettre ne serait pas au copie de lettres d'affaires. » Il évoque un rendez-vous d'une personne non nommée avec son père à son hôtel. Il demande à son père de rapporter des mandarines rouges que Marie Moret a appréciées, ainsi que des dattes, et qu'il les trouvera à droite de la porte de l'hôtel. Il prie son père de demander à François Cantagrel l'adresse de son marchand de vin pour acheter 50 ou 100 bouteilles de vin de Lunel, préférable au vin du Rhin. Il indique qu'il pleut continuellement depuis 24 heures. Il adresse ses compliments au couple Cantagrel.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alphonse Delpech, 15 juillet 1867
Émile Godin explique à Delpech qu'il n'a pas communiqué sa lettre à son père, malade depuis 8 jours. Il demande à Delpech d'en informer Jules Favre.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Alphonse Delpech, 20 juillet 1867
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Émile Godin communique à Delpech une lettre du notaire Borgnon rendant compte de sa démarche auprès d'Esther Lemaire. Il lui demande de consulter Jules Favre avant de lui dire ce qu'il doit faire. Sur des versements de pension alimentaire depuis le jugement du 22 juillet 1864. Il demande à Delpech d'en informer Lecoq de Boisbaudran. La copie de la lettre de Borgnon du 20 juillet 1867, manuscrite à la plume, se trouve sur le folio 494ter ; la lettre est adressée à « Mon cher maître » : Borgnon a proposé à Esther Lemaire, par l'intermédiaire du notaire Gauchet, de recevoir une pension alimentaire de 15 000 F par an, mais s'est aperçu que le versement devait cesser avec l'instance en séparation de corps du 23 mars 1865.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 20 juillet 1867
Émile Godin regrette de n'avoir pas pu aller voir François Cantagrel dans sa « solitude » de Fontenay-aux-Roses, pendant les jours qu'il a passés à Paris. Il lui explique qu'à son retour de Paris le 12 juillet, il a trouvé son père très malade en proie à de grandes souffrances névralgiques. Il transmet son souvenir à madame Cantagrel.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 23 juillet 1867
À propos d'une médaille et de plaques émaillées à présenter aux visiteurs de l'Exposition universelle. Émile Godin informe Cantagrel que son père se porte mieux grâce au beau temps et à un traitement hydrothérapique.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 26 juillet 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin demande à Cantagrel d'aller voir Émile Barrault, 33 boulevard Saint-Martin à Paris, pour reprendre le dossier qui lui avait été confié par son père, et le confier à une autre personne afin d'obtenir la nullité d'un certificat d'addition. Il lui communique une lettre de Lecoq de Boisbaudran qui mentionne les adresses de deux personnes. Dans le post-scriptum, il informe Cantagrel que son père est d'une grande faiblesse.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à François Cantagrel, 28 juillet 1867
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin indique à Cantagrel que son père pense qu'il ferait bien d'aller voir messieurs Perpigna et Cavé pour savoir s'il peut leur confier le dossier. Il ajoute que son père connaît Desnos et qu'on peut trouver facilement des personnes aussi capables que lui. Il l'informe que la santé de son père se rétablit et transmet ses civilités à madame Cantagrel.

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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Charles Duprez, 29 décembre 1865
Sur la prise d'un brevet en France et en Belgique. Le post-scriptum est relatif à la fourniture de fonte.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Charles Duprez, 2 janvier 1866
Sur la prise d'un brevet en France, en Belgique et en Angleterre, et un magnifique procédé de coulage.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Charles Duprez, 3 mai 1867
Émile Godin informe Charles Duprez que le conseil du Familistère a décidé de repousser la fête du Travail du Familistère qui devait avoir lieu le deuxième ou troisième dimanche de mai, en raison de la cessation des affaires et de l'arrêt du travail. Il espère que la santé de la petite fille de Duprez continue à s'améliorer et il transmet son souvenir à madame Duprez.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 2 août 1867
Godin explique au préfet de l'Aisne que sa santé ne lui permet pas d'honorer ses obligations envers la Commission d'étude des chemins de fer et la Commission de l'Exposition universelle. Il précise qu'il avait commencé une étude des locomotives routières qu'il a été contraint d'abandonner et qu'il fait rédiger sa lettre par son fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Malézieux, 2 août 1867
Godin accuse réception de la circulaire du 27 juillet 1867 relative aux missions des membres de la Commission départementale pour l'étude de l'Exposition universelle. Godin explique qu'il avait commencé ses études lorsqu'il tomba malade, et que son état de faiblesse ne lui permet toujours pas de satisfaire à ses obligations, au point où il a demandé à son fils de prendre la plume à sa place.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 5 août 1867
Godin transmet à Oudin-Leclère les pièces de deux affaires appelées au tribunal de Vervins. Sur le détournement de fonds commis par Lasserez. Godin résume l'affaire. Lasserez a détourné des fonds dans les bureaux de la manufacture ; avant d'être emprisonné à Vervins, il a cherché à enlever de la chambre meublée qu'il occupait au Familistère les meubles et effets achetés avec le produit de son vol ; Godin s'y est opposé. Il demande à Oudin-Leclère ce qu'il doit faire. La deuxième affaire est relative à une livraison de marchandises d'une maison de Colmar qui n'ont pas été commandées et qui n'ont pas été retirées de la gare de chemin de fer. La maison de Colmar a assigné Godin au tribunal de Vervins.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 24 avril 1868
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Godin explique à Cantagrel qu'il a passé la semaine précédente à Paris où il a étudié l'affaire avec Emmanuel Arago, et qu'il a vu Coré avec lequel il n'a pas pu s'entendre sur le plan financier pour terminer l'affaire, ses prétentions étant exorbitantes. Le post-scriptum de la lettre est rédigé et signé par Émile Godin : Émile Godin précise que son père lui a écrit tardivement car son cousin Moret était tombé gravement malade à la suite d'une attaque d'apoplexie ; il transmet son souvenir à madame Cantagrel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur du Journal de Saint-Quentin, 14 juin 1868
Sur le projet de voie de chemin de fer de Guise à Bohain. Godin répond à un appel du journal aux partisans du tracé de Guise à Bohain. Il rappelle au journal que le Journal de l'Aisne a publié en 1867 plusieurs lettres sur le sujet. Il indique qu'il écrit du chemin de fer à l'occasion d'un changement de convoi. Il met en valeur l'avantage d'un chemin de fer desservant Guise pour l'industrie, pour son approvisionnement en matières premières et pour la distribution de ses produits. Il décrit les avantages du tracé de Guise à Bohain sur celui de Guise à Saint-Quentin par Séry-les-Mézières ou par Ribemont pour relier Guise à la ligne du chemin de fer du Nord : le tracé de Guise à Bohain est deux fois plus court ; les usines et sucreries du canton de Guise s'approvisionnent en matières premières en Angleterre, dans le Nord et le Pas-de-Calais et en Belgique transportées via Bohain ; le coût du tronçon de Guise à Bohain serait deux fois moindre que celui de Guise à Saint-Quentin par Ribemont.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin au Journal de l'Aisne, 14 juin 1868
Émile Godin transmet au Journal de l'Aisne la copie d'une lettre que son père a écrite au Journal de Saint-Quentin en réponse à un article paru le 12 juin 1868 et qui complète celles que le Journal de l'Aisne a publiées en 1867.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Edmond Thiébault, 2 août 1869
Émile Godin prévient Thiébault que son père se trouve à Charleville à l'hôtel du Lion d'argent ; il lui recommande de lui écrire à Metz au Grand hôtel de Metz pour qu'il lui fixe un rendez-vous à son retour à Charleville.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin adresse à son père une lettre des experts. Il cite la lettre par laquelle les experts annulent la séance d'expertise à Charleville et fixent la réunion le même jour 5 août 1869 à l'arsenal de Metz rue d'Asfeld. Émile informe son père qu'Ed. Thiébault lui demande rendez-vous à Charleville le 4 août à 8h30 du soir et qu'il lui a écrit de se rendre à l'hôtel du Lion d'argent ou de lui écrire à Metz pour prendre rendez-vous.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 2 août 1869
Sur le procès opposant Godin à Corneau frères. Émile Godin communique à son père une lettre des experts. Il l'informe qu'Edmond Thiébault a écrit qu'il se trouve à l'hôtel du Lion d'argent à Charleville et qu'il demande rendez-vous le 4 août à 8 h 30 du soir.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Eugène André, 29 janvier 1875
Sur le père de Godin. Sur la bière de monsieur Drucbert (?). Godin informe André qu'il envoie à Laeken le chèque qu'il a signé.
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