FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 23 février 1874
Godin avertit son fils Émile qu'Amédée Moret va lui envoyer les brochures promises par Ernest Leroux, qu'il lui demande de distribuer avec prudence. Godin demande à son fils Émile d'informer Antoine Pernin qu'une lettre à son sujet lui a été écrite par la maison Chevrier, Laurent et fils à Chalon-sur-Saône. Sur le compte d'Alfred Denisart, sur son jardin à céder en partie à Duplaquet et sur ses jalousies.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 15 mars 1874
Sur des essais d'émaux réalisés par Émile en relation avec l'expertise dans l'affaire Boucher et Cie : Godin fait des recommandations pour s'assurer des résultats des expériences en vue d'une contre-expertise. Le post-scriptum porte sur la caisse de retraite.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 mai 1874
Godin a reçu une lettre d'Alphonse Grebel l'informant que Duchateau et Rouchy ont été invités à supprimer leurs conduites de gaz : Godin estime que Duchateau est sous la pression de Maillet [maire de Guise] et il s'oppose à la suppression des conduites qu'il a passées à sa demande ; Godin exige que rien ne soit écrit à ce sujet et que l'on en parle le moins possible. Grebel a appris à Godin que la municipalité interdit tout bal public : il recommande de ne pas se mettre en contravention sous ce rapport, mais incite son fils Émile à continuer à organiser un bal de société dans le foyer du théâtre en veillant à ne laisser entrer que les personnes invitées ; « C'est un devoir pour nous de faire respecter nos libertés publiques, mais nous devons d'un autre côté ne pas donner à nos adversaires la satisfaction de nous mettre en défaut. » Godin demande à Émile de lui écrire si Maillet n'a pas répondu à l'offre qu'il a faite au bureau de bienfaisance. Il l'informe que Quaintenne lui a écrit qu'il allait partir du Familistère et se demande s'il faut encore employer ses services à l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 juin 1874
Godin annonce à son fils Émile que le jeudi suivant arrivera par la voiture de Bohain monsieur Chevrolat qui vient faire un essai à la direction du service alimentaire du Familistère. Il lui demande de prévenir Taupier qu'il en attend davantage que la cuisine : Chevrolat devra exercer une surveillance générale sur tous les services alimentaires, notamment de la boucherie. Il ajoute que Chevrolat sera accompagné par sa femme qui serai également employée au Familistère, que le couple serait nourri à la cuisine du Familistère, que Chevrolat toucherait 1 600 F d'appointements et sa femme 400 F. Il annonce enfin qu'il espère envoyer dans quelques jours un économe pour le Familistère. Dans le post-scriptum, il souhaite qu'on recommande à F. Cronier d'aider Chevrolat à faire ses débuts.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 juin 1874
Face aux taquineries de l'administration, Godin recommande à son fils de ne pas se préoccuper de l'Ordre moral et d'obéir scrupuleusement à la loi (« il nous faut les fatiguer par notre politesse et par notre sagesse ») sans pour autant céder à toutes les exigences. Il demande à Émile d'éviter toute contravention et de ne pas participer aux manifestations publiques des ouvriers de l'usine ou des habitants du Familistère. Godin avertit Émile qu'un monsieur Marion, candidat à la fonction d'économe, viendra peut-être le vendredi prochain visiter le Familistère. Sur une baisse du prix des marchandises des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur des dessus de buanderie à faire déposer par Grebel à Vervins. Sur la vente de boutons. Il souhaite qu'Émile dise à Taupier que les lavoirs du Familistère ne sont pas faits pour les étrangers. Sur la mauvaise tenue de la buvette de l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juin 1874
Godin informe son fils Émile qu'il envoie à la gare de Bohain une caisse de livres et de papier à déposer dans la chambre du 3e au-dessus de son appartement, dont la cousine Moret détient la clé. Il l'autorise à congédier le père Masse et à couper la haie du clos Waret et il lui indique qu'il n'y a pas à s'occuper de la maison de la mère Honoré. Sur des dessins de buanderie et le brevet de nouvelles cuisinières. Sur le four d'émaillage : Godin demande à Émile de dire à Alphonse Grebel qu'Eugène André fait observer qu'un système analogue a été décrit dans différents ouvrages ; Godin mentionne deux numéros de périodiques, le Bulletin de la Société des anciens élèves des écoles d'arts et métiers de novembre 1873 et la Revue industrielle du 4 mars 1874.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 juin 1874
Émile Godin a signalé à son père que le manque de fonte va bientôt causer du chômage dans l'usine : Godin se plaint du gouvernement et demande à son fils de faire les approvisionnements nécessaires. Sur une augmentation à accorder à un employé : Godin demande à son fils de donner l'instruction à Taupier. Sur la distribution des produits : Godin souhaite que Delaruelle ne s'oppose pas à la deuxième tournée des voyageurs ; il veut que Delaruelle voit avec Guitard si ce dernier peut se charger de voyager dans tout le Midi avant de prendre un parti à propos de Carme. Godin autorise enfin Alphonse Grebel à payer à Lahure une facture relative à Guillaume Ernest Cresson.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 juillet 1874
Godin informe son fils Émile qu'il a choisi à l'essai monsieur de Rivière, qui a dirigé pour son compte des ateliers de céramique, pour diriger l'atelier d'émaillage, et que celui-ci doit arriver à Guise le mardi 7 juillet ; il lui demande de lui faire immédiatement fabriquer des couleurs pour juger de ses aptitudes et de l'installer s'il le veut dans les chambres occupées au Familistère par Pétilleau près de sa bibliothèque ; il lui demande également de prévenir monsieur Barbet de l'arrivée de monsieur de Rivière pour qu'il lui montre le travail de décoration des émaux, et de charger de Rivière de la surveillance de la cuisson des émaux. Il l'autorise à congédier le fils Quaintenne en prétextant que le travail manque. Il demande de quel Lefèvre Taupier parle en disant qu'il est nul. Il lui recommande d'éviter de congédier des employés qui pourraient être utiles, au magasin notamment. Godin avertit son fils qu'il ne doit pas provoquer de conflits avec la municipalité, et lui conseille de garder les eaux du jardin et de laisser passer les voitures. Il veut savoir si toutes les tables d'école prêtées à la ville ont été rendues. Godin annonce à Émile qu'Alphonse Grebel lui a parlé d'habitants du Familistère « mal famés » comme Maréchal et dont la « disparition » ferait plaisir. Dans le post-scriptum, il l'avertit qu'il joint une lettre à remettre à Delaruelle et il lui signale qu'il recherche toujours un directeur pour l'usine de Laeken.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 juillet 1874
Sur les enfants Vérinos : Godin recommande à son fils de les laisser revenir à l'école : « Ne nous faisons pas trop redresseurs de torts ». Sur un arrêté du maire : Godin invite son fils à ne pas s'en préoccuper, mais de veiller à ce qu'il soit demandé au représentant de l'administration ou de la police qui viendrait à l'usine ou au Familistère de faire sa demande par écrit pour pouvoir y répondre après l'avoir consulté.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juillet 1874
Godin avertit son fils Émile que des lettres adressées à Kate Stanton, qui est à Paris et sera à Guise dans quelques jours, peuvent arriver « chez M. Godin » [la lettre est de la main de Marie Moret]. Il reproche à Émile de ne pas lui donner des nouvelles de monsieur de Rivière. Il lui demande de conserver un article paru dans le journal Le Courrier de l'Aisne entre le 5 et le 10 juillet sur les écoles du Familistère. Il lui demande pourquoi le père Masse qui devait être congédié est toujours au Familistère. Il l'informe que sa deuxième brochure n'est pas encore publiée et qu'on peut attendre pour distribuer la France électorale. Il ne souhaite pas faire de changement à Laeken alors que l'employé capable en est parti. Sur un échantillon d'émail envoyé par Eugène André. Dans le post-scriptum, Godin signale à son fils qu'il ne s'oppose pas à la demande de congé de Quaintenne mais veut qu'il mette en ordre les dossiers des travaux qu'il a pu faire à Guise et les remettre à Alphonse Grebel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 décembre 1874
Godin répond au télégramme de son fils Émile. Sur l'affaire de Rivière. Godin indique à son fils qu'il convient de payer monsieur de Rivière 350 F pour le mois passé mais sans indemnité car le temps lui est laissé de se replacer. Godin pense que de Rivière sentira lui-même qu'il ne peut plus rester dans la maison eu égard à sa conduite, et qu'il est probablement soudoyé par une autre maison pour qu'il se conduise comme il le fait.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 décembre 1874
Sur l'organisation du travail dans l'usine : Eugène André propose de modifier les horaires de travail des ouvriers de l'usine ; Godin doute que les ouvriers veuillent faire des séances de 5 heures de travail sans repos et il souhaite que la proposition soit soumise au comité des ouvriers. Sur la caisse de secours : Godin souhaite que les mesures à prendre soient décidées en accord avec les ouvriers ; il estime qu'il va falloir restreindre la nature des secours dont il est fait abus et pense que la situation s'améliorera à partir du moment où des ouvriers seront renvoyés et que davantage de travail sera confié à ceux qui resteront. Sur l'affaire de Rivière : Godin avertit que de Rivière est malintentionné ; il préconise de consulter son avoué pour lui signifier qu'il ne peut prétendre à aucun frais de déplacement. Il lui retourne une lettre de Lemercier à qui il lui demande de payer un solde de 13,80 F. Sur une lettre d'Émile envoyée à Aubertin. Godin recommande qu'Eugène André essaie d'obtenir à l'amiable avec de Rivière les informations sur les préparations de couleurs des émaux. Godin autorise son fils à envoyer une somme à Hourdequin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1874
Godin communique à son fils Émile une lettre de David Tisseron sur le tarif de la manufacture. Sur une remise fixe de 10 %. Sur un tarif spécial à faire sur les boutons et les articles de quincaillerie et d'émaillage pour faire une concurrence sérieuse à Boucher et Cie. Sur l'itinéraire de Tisseron et des voyageurs : Godin recommande à son fils et à Eugène André de se mettre en garde contre la rivalité des voyageurs entre eux et d'éviter de les laisser discuter des itinéraires ; Godin souhaite qu'Eugène André et Delaruelle arrêtent les itinéraires avant la venue des voyageurs à l'usine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 décembre 1874
Godin envoie à son fils trois tableaux à faire remplir par monsieur Liénard, dans la perspective de faire une étude sur l'industrie en France sous le rapport des transports en général. Il l'informe qu'il a hâte qu'arrivent les prochaines vacances pour lui faire part d'une invention « qui me trotte par la tête » sur un moyen de fusion permettant d'obtenir toujours de la fonte grise, même à partir de fonte blanche, afin de mener des expériences en toute discrétion. Il indique qu'il faut se préoccuper de congédier des ouvriers et de se préoccuper également des ouvriers qui ont quitté autrefois l'usine pour aller travailler ailleurs. Il signale à son fils qu'il ne veut engager aucune polémique avec le Journal de l'Aisne au sujet des articles écrits à son sujet. Il lui demande de mettre à sa disposition à son arrivée la carte des hauts-fourneaux français ainsi que la grande carte géologique de la France. Dans le post-scriptum, Godin demande à son fils le prix des foyers économiques qui lui ont été envoyés à Versailles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 décembre 1874
Godin avertit son fils Émile qu'il va recevoir de Hachette et Cie deux cartes de France destinées à des études spéciales. Il lui demande d'établir sur papier blanc une carte qui contiendrait seulement les fleuves et les rivières ayant leur source en France, d'indiquer dessus des altitudes d'après les cartes qu'il va recevoir. Il joint un croquis pour décrire ce qu'il désire et donne des indications pour l'établissement de la carte. Sur le renvoi des ouvriers : il lui demande d'éviter de renvoyer les ouvriers qu'il mentionne en premiers, de renvoyer d'abord ceux qui ont quitté l'usine à différentes époques et de faire le choix des mauvais ouvriers. Il ne veut pas que les congés donnés aux ouvriers aient une apparence de concurrence commerciale. Il explique que s'il faut mettre à nouveau la journée de travail à 8 ou à 10 heures pour tous les habitants du Familistère, il faudra renvoyer davantage d'ouvriers que ce qu'Émile indique. Il explique aussi qu'il n'a pas envoyé Nugues à Guise car les renseignements qu'il a obtenus sur lui ne l'ont pas satisfait. Il invite son fils à faire son possible pour trouver des solutions aux observations faites par le Comité du Familistère. Il ajoute que la carte qu'il lui demande d'établir pourrait être faite par Clovis Lecaille et lui demande de s'entendre avec Alphonse Grebel à ce propos. Dans le post-scriptum, Godin annonce à son fils qu'il lui transmet une lettre destinée à Alphonse Grebel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 décembre 1874
Sur une carte des fleuves et rivières à établir. Godin envoie une petite carte à son fils et lui donne de nouvelles recommandations pour établir la carte qu'il désire. Sur l'évaluation financière du Familistère et de l'usine. Dans le post-scriptum, Godin prie son fils de dire à Eugène André qu'il n'a pas trouvé mieux que Nugues pour l'emploi de chef de comptabilité, qu'il n'est pas satisfait par sa candidature, mais qu'il est prêt à l'accepter ; il l'invite à demander à Chatelais s'il a dans les papiers de l'Assemblée un gros rapport de Ducarre sur l'état de l'industrie houillère en France.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 18 janvier 1875
Godin demande à son fils de ne pas s'occuper de la maison Hubert, qui est hypothéquée par un acte du notaire Gauchet et non du notaire Borgnon. Il lui demande également de ne pas se préoccuper des avertissements de Maillet [maire de Guise] au sujet des représentations théâtrales, et l'informe qu'il va écrire à ce propos au préfet. Sur l'alimentation en gaz de Waret : Godin juge qu'il est inutile d'exciter l'administration municipale contre le Familistère à ce sujet. Il prie son fils d'informer Grebel que la maladie de Cresson est seule cause du retard pour le recours en cassation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 janvier 1875
Sur l'octroi : Godin estime qu'il ne devrait pas avoir à s'occuper de ces bagatelles. Sur une carte géographique. Sur un appareil à air chaud. Godin demande à son fils de communiquer à Chatelais une liste d'adresses.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 février 1875
Sur un nouveau système de cubilot : Godin reproche à son fils Émile d'avoir commencé à exécuter un cubilot sans en avoir fait l'étude ; il le prie d'arrêter les travaux et de demander à Pernin de faire les plans et dessins du système ; il fait des observations sur le foyer à charbon du cubilot et joint un croquis à sa lettre. Sur le placement de fonds en Angleterre : Godin fait observer à Émile que l'avènement de la République pourra lui inspirer plus de confiance dans l'avenir. Il lui demande de donner satisfaction à Delaruelle pour un jardin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 février 1875
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin félicite Émile d'avoir été voir les notaires de Nevers. Il lui demande de faire la même chose dans les autres villes qu'il visitera. Il lui rappelle qu'il cherche une propriété de 400 à 500 hectares près d'une voie de chemin de fer et d'un canal. Il lui recommande de s'informer sur l'approvisionnement en charbon, en coke et en fonte. Il lui demande de s'informer si la raison de la fermeture des hauts-fourneaux de la Nièvre est l'épuisement des minerais et s'il en va de même dans le Cher. Il souhaite qu'Émile se renseigne sur la situation des propriétés dont on lui parlera : Godin avance que la propriété de 484 hectares au sud de Nevers devrait être située à la jonction de l'Allier et de la Loire, près du fleuve et près du chemin de fer qui passe à la Guerche sur l'autre rive de l'Allier.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 février 1875
Sur des expériences de fabrication de fonte grise conduites par Émile Godin. Sur les bénéfices de la manufacture et le tarif des marchandises.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 1er mars 1875
Sur la situation comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire et du Familistère. Godin juge que les résultats qu'on lui présente n'ont jamais été aussi peu clairs et il estime qu'il est urgent de trouver un chef de comptabilité habile. Il demande une série de renseignements sur les résultats d'inventaire. Dans le post-scriptum, Godin demande à son fils si Chevrolat a été remplacé au restaurant et lui demande d'en parler à François Dequenne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 mars 1875
Godin demande à son fils de s'entendre avec la commission pour l'installation de Tasserit à titre provisoire. Il lui recommande de laisser faire en toutes choses la commission et de lui faire part de ses observations sans intervenir dans les services. Sur la reprise des affaires : Godin pense qu'il faut encore attendre pour connaître l'évolution des affaires et qu'il ne faut pas augmenter la production de l'usine. Sur l'inventaire établi par Eugène André : Godin relève une erreur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mars 1875
Godin recommande d'augmenter de 7,5 % les prix du tarif des marchandises de la manufacture et lui communique le modèle d'une lettre aux voyageurs de commerce (copiée sur le folio 58r) ; il demande à Émile d'avertir Delaruelle qu'il faut informer les marchands de cette augmentation avant de leur expédier la marchandise. Godin estime que le capital va produire au moins 6 % d'intérêts. Il indique qu'il n'y a pas de danger de perdre ce qui a été payé à Hourdequin pour les albums de la manufacture. Sur le restaurant du Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mars 1875
Godin demande à son fils Émile d'avertir les voyageurs de commerce de prendre le plus grand soin d'ajouter sur les commandes qu'ils envoient à l'usine la mention « aux conditions du tarif de mars 1875 ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 6 mars 1875
Godin informe son fils Émile de l'arrivée à Guise d'Émile Lefèvre, jeune homme de l'École supérieure de commerce, qu'il a engagé ; il lui explique que Lefèvre va dans un premier temps observer la fabrication et qu'il lui fixera un emploi après le retour à Guise d'Eugène André ; il le prie de demander à Delaruelle de donner à Lefèvre les albums et tarifs de la manufacture. Sur un ouvrage relatif aux mines. Sur les expériences d'Émile Godin pour la réduction du minerai de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 7 mars 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à son fils d'informer Pernin qu'il a l'intention de faire prochainement des recherches de minerai de fer et des sondages pour découvrir de la houille dans la Nièvre ; il souhaite savoir si Pernin connaît des entrepreneurs de sondages dans l'Allier ou la Haute-Loire et il voudrait connaître son avis sur le devis de 17 000 F pour l'outillage d'un forage. Godin désire enfin que Pernin l'informe des travaux du moulage mécanique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 mars 1875
Sur des expériences à faire avec un cubilot, confiées à Émile Godin et à Alphonse Grebel : Godin donne des instructions et demande que les préparatifs soient faits à son retour à Guise aux prochaines vacances. Sur l'enlèvement de graviers par Gaspart : Godin demande à son fils Émile qu'un procès-verbal soit dressé et de s'entendre à ce sujet avec monsieur Richer. Sur une terre abîmée des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin suppose qu'Alphonse Grebel et Alfred Denisart ont dû faire des réclamations auprès de l'administration qui n'ont pas abouti. Sur les chemins de fer : Godin juge que la question ne sera résolue que par une loi qu'il vient de faire admettre à une commission extra-parlementaire et qui sera discutée quand sera formé le nouveau gouvernement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 mars 1875
Sur une lettre d'un commandant. Sur l'expérience du cubilot à gaz. Sur Darras. Godin accuse réception d'une carte géologique de la Nièvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Sur le tarif des marchandises de la manufacture. Sur le transport de marchandises par chemin de fer : Godin rappelle qu'il faut s'efforcer de faire arriver et expédier par Marle et de s'entendre avec la Compagnie du chemin de fer du Nord à ce sujet, et éviter de se servir de la gare de Bohain à cause des taxes appliquées aux transports sur la route déclassée de Guise à Bohain. Sur la journée de travail à l'usine de Guise : Godin estime qu'il serait possible d'ajouter une heure à la journée si le volume des marchandises diminuait dans les magasins, mais il pense qu'il n'est pas possible de maintenir tous les emplois dans une période aussi difficile ; il lui demande d'aviser sur ce qu'il convient de faire avec Eugène André et François Dequenne. Godin retourne à son fils Émile une lettre qui lui a été renvoyée par Bazin ; il demande à ce que le télégraphe soit réservé aux cas d'urgence et recommande de prendre des habitudes d'économie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Godin informe son fils Émile que ses collègues du Loir-et-Cher à l'Assemblée nationale lui ont demandé d'exposer les produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande si un client à Blois pourrait se charger de l'installation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 avril 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin annonce à son fils Émile qu'il a besoin de Chamolle à Corbigny pour commencer les travaux de sondage dans la vallée de l'Anguison près de Corbigny, mais qu'il est sans nouvelles de l'expédition de l'appareil de sondage de Delaroche. Il rappelle qu'il avait demandé d'arrêter l'appareil en gare de Bohain pour préparer le matériel complémentaire. Il lui annonce qu'il écrit à Delaroche pour envoyer le matériel en toute urgence à Bohain et lui demande de le renvoyer ensuite à la gare de Clamecy pour le faire transporter à Corbigny par le messager Maloigne à l'adresse de Germain Boussard. Il demande à Émile de remettre à Chamolle les titres du Texas et une somme de 500 F. Il accuse réception de la lettre d'Émile du 23 avril et de l'article de Chatelais, qu'il ne juge pas nécessaire. Il décrit à Émile la géologie du sol qu'il se prépare à faire forer par Chamolle.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 avril 1875
Godin informe son fils Émile qu'il a demandé à Antoine Pernin d'avancer l'exécution de tout le matériel de moulage mécanique et il lui demande de ne pas s'opposer aux commandes que Pernin voudra faire au-dehors. Il autorise Émile à faire faire des journées de 11 heures aux ouvriers s'ils le demandent. Il lui recommande de ne pas s'occuper de l'abattoir [de Guise] et de ne pas se préoccuper des cancans. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : Godin souhaite que Chamolle arrive bientôt et il veut savoir à quoi s'en tenir pour l'appareil de sondage ; il informe son fils qu'il a découvert un terrain houiller au sommet d'une montagne mais n'a rien trouvé dans les vallées de la Nièvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin annonce à son fils Émile que Chamolle est arrivé. Il l'informe que Delaroche a promis d'envoyer le matériel le 4 mai et il lui demande que celui-ci soit étudié à Bohain, pour que les pièces en fer et en fonte puissent être reproduites. Il l'avise qu'il a l'intention de commencer trois sondages à la fois et qu'il lui faudrait alors plusieurs appareils. Il prie Émile de demander à Pernin d'étudier la question. Sur l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures "Godin" : Godin demande à Émile s'il a des nouvelles de Colombet. Il lui signale qu'il a reçu les 500 F dans sa lettre du 28 avril, que Chamolle lui a remis les titres du Texas et qu'il a retourné à Bruxelles, signée, une lettre de change qu'il lui avait adressée le 27 avril.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin accuse réception de la lettre de son fils Émile du 1er mai, du plan de l'appareil de sondage et de la lettre d'Émile à Delaroche. Sur la reproduction d'éléments de l'outillage de sondage. Godin informe son fils qu'il forera à plus de 100 mètres et qu'il compte que Delaroche lui envoie davantage de tringles. Sur l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire : Godin demande à son fils et à Eugène André de montrer tout le mécanisme de la comptabilité à Colombet. Il l'avise enfin qu'il lui envoie un télégramme pour lui demander de l'argent.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 mai 1875
Émile a informé Godin que Rosalie Morel, l'amie d'Édouard de Pompéry, va arriver à Guise le 5 ou le 6 mai. Il l'informe qu'elle vient visiter le Familistère dans tous ses détails, en particulier les écoles, mais qu'il ne sera pas de retour à temps pour l'accompagner en raison des sondages. Il lui demande de l'aider dans sa visite et de rappeler aux professeurs les recommandations qui lui ont été faites pour lui montrer ce qui pouvait l'intéresser. Il le prie enfin de remettre une lettre jointe à François Dequenne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 17 mai 1875
Alphonse Grebel a appris à Godin que son fils Émile était à nouveau victime d'une persécution politique par le parquet. Godin estime que la loi de l'Empire concernée pourrait permettre aux juges de le condamner. Il informe son fils qu'il a pris pour avocat son collègue de l'Assemblée nationale Étienne Lamy qui a demandé au tribunal une remise d'une quinzaine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur les droits d'entrée en France du matériel de sondage et son expédition dans la Nièvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur les droits d'entrée en France du matériel de sondage. Sur un procès : Godin pense qu'il n'est pas possible d'éviter une condamnation ; l'affaire est remise au 2 juin ; il recommande à son fils de déclarer au tribunal qu'il ne pensait pas se mettre en contravention en distribuant des brochures aux ouvriers. Sur des documents demandés sur l'usine de Guise « par le chemin de fer ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 29 mai 1875
Sur le concours de Vitry. Sur une réclamation d'une compagnie de chemin de fer. Sur les conditions offertes par les banquiers : Godin avertit son fils que les banques qui offrent les meilleures conditions sont souvent celles qui offrent le moins de garanties ; il propose de retirer une partie des fonds de la banque Delloye de Bruxelles et d'ouvrir un compte dans une autre banque de la ville. Il recommande de profiter de la baisse de la fonte pour en acheter une grande quantité. Il préconise d'avoir à l'usine un employé pour faire les voyages quand Émile ne le peut pas. Il annonce qu'il ne veut pas de titres au porteur dans le Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 31 mai 1875
Sur le nouveau cubilot de l'usine de Guise : Godin fait des observations sur son fonctionnement ; il remet à son fils Émile une lettre destinée à Antoine Pernin. Sur la reprise des affaires : Godin demande à Émile s'il ne faut pas allonger la journée de travail des ouvriers pour ne pas manquer de marchandises l'hiver suivant. Sur l'embauche de l'ouvrier Paul Louis : Godin aimerait mieux améliorer la situation des ouvriers déjà au travail plutôt qu'en embaucher de nouveaux ; il pense que si Paul Louis devait être accepté un jour, ce serait à l'atelier de montage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 4 juin 1875
Godin demande à son fils de remettre une lettre jointe à Eugène André. Sur le nouveau cubilot de l'usine de Guise : Godin fait des observations sur la réduction de la quantité de coke utilisée pour son fonctionnement. Dans le post-scriptum, il signale à Émile qu'il joint à sa lettre une lettre destinée à Chatelais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 juin 1875
Godin informe son fils Émile que l'élection du conseiller général du canton de Wassigny aura lieu le dimanche suivant et que les députés de l'Aisne soutiennent Maréchal comme candidat républicain et veulent écarter le bonapartiste Godelle. Il demande si Émile peut trouver des employés ou des ouvriers de l'usine qui pourraient donner un concours à la candidature de Maréchal à Étreux, Hannapes, Vénérolles, Mennevret, Tupigny et Verly, et il l'avertit que ce concours est difficile car il consiste à influencer les électeurs sans l'aide de circulaires ou de bulletins. Il lui demande d'informer Eugène André qu'il a envoyé le pouvoir à Delloye à Bruxelles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 30 juin 1875
Sur la fabrication à Guise d'un cylindre de pompe pour l'usine de Belgique : Godin reproche à son fils Émile de ne pas laisser à André le soin de diriger l'usine de Laeken ; il recommande de produire en Belgique. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : il signale que la poulie et la tringle du matériel de sondage ne sont pas arrivés à Sardy. Il souhaite savoir si Eugène André s'occupe de remettre les voyageurs en tournée. Il demande à Émile de faire constater un enlèvement de cailloux qui cause un préjudice au Familistère. Dans le post-scriptum, il demande à Émile de remettre 200 F à titre de prime à monsieur Paquerot et 100 F à madame Paquerot.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 1er juillet 1875
Godin a été informé du résultat des souscriptions du Familistère pour les inondés. Il incite Émile à élever sa souscription à la somme de 50 F. Il lui demande de remettre la lettre jointe [lettre de Godin à Alphonse Grebel du 1er juillet 1875] à Alphonse Grebel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 8 juillet 1875
Godin demande à son fils Émile de remettre une lettre à François Dequenne. Sur une souscription de la ville de Guise [pour les victimes des inondations du 23 juin 1875] : Godin fait observer que celle du Familistère a été faite et qu'il n'y a pas lieu de s'occuper de celle de la ville.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 juillet 1875
Sur l'emploi des capitaux reposant en banque : Godin avait préconisé d'en employer une partie à l'achat de fonte mais ne voit rien venir ; il demande en outre à son fils Émile s'il est en mesure de se procurer de la fonte hématite. Godin souhaite qu'Émile puisse confier à d'autres les tâches qu'il ne peut accomplir lui-même et il souhaite qu'on puisse s'approvisionner à l'avance de la fonte nécessaire sans avoir à la faire transporter par chemin de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 14 juillet 1875
Godin fait répondre aux musiciens du Familistère qu'il est hors de question de reporter une fête du Familistère à cause d'une fête se déroulant à l'extérieur. Godin accorde l'augmentation de 10 F par mois demandée par Poëtte à condition qu'il paie le loyer de l'appartement qu'il demande. Il souhaite qu'Émile augmente de 5 F les appointements de madame Dirson au bambinat. Il lui demande de ne pas distribuer les brochures La France électorale et de se concerter avec Eugène André et Colombet pour savoir si le nombre d'employés dans les bureaux est suffisant. Il lui retourne un reçu de Wateau sur lequel manque un timbre. Sur un versement de Cantagrel à la Caisse commerciale. Il le prévient qu'il va recevoir des livres de la Librairie Armand Le Chevalier. Le post-scriptum est relatif à l'emploi par Eugène André du jeune Lefèvre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 20 juillet 1875
Godin autorise son fils Émile à régler la maison Piat. Sur la pompe à incendie de Laeken : Godin demande qu'on se renseigne sur un achat en Belgique. Il souhaite qu'on prenne d'autres employés que Noirot et Dupont qui ne lui inspirent pas confiance. Sur un livre rouge sur lequel se trouve la répartition des employés. Sur un oubli dans la comptabilité, souhaité par Godin. Godin accuse réception des journaux et imprimés envoyés par Kate Stanton. Il autorise son fils à signaler à Poëtte qu'il doit y avoir plus d'exactitude dans la rentrée des classes. Sur l'envoi de livres par la Librairie Armand Le Chevalier : Godin demande quels livres sont incomplets.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 juillet 1875
Godin indique à son fils Émile qu'il n'y a rien à payer à la municipalité de Guise tant que Maillet sera maire ; il lui demande de rendre le reçu à Noiret en lui disant qu'il distribue lui-même ce qu'il a à donner aux pauvres. Sur un monsieur Rousselle. Il demande à Émile de remettre à André la lettre jointe.
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