FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur de L'Évènement, 13 novembre 1875
Godin constate que le journal L'Événement avait publié dans son numéro du 13 novembre le nom de Godin au nombre des députés qui se seraient abstenus par calcul sur le vote sur le scrutin de liste. Godin demande à Edmond Magnier de rectifier l'erreur : il n'a pas été absent des séances de l'Assemblée et il a voté en faveur du scrutin de liste.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Tisserant. Godin prévient Tisserant qu'il ne veut pas engager Richon à diriger les opérations. Il explique à Tisserant qu'il a demandé 70 m² de surface pour exposer dans les classes 25 et 27 de l'Exposition universelle de 1878 et que Muller, ingénieur au 19 rue des Martyrs à Paris et président de la commission d'exposition de la classe 27, vient de lui apprendre qu'on ne lui accorde que 8 m². Godin demande à Tisserant de se rendre dans les bureaux de l'administration de l'Exposition universelle pour s'informer sur la place accordée à Boucher et Cie ; Godin soupçonne que Boucher et Cie a obtenu bien plus de surface que lui pour exposer les contrefaçons de ses produits. Godin annonce à Tisserant que, fort de ce renseignement, il pourra intervenir auprès de Krantz, son ancien collègue à l'Assemblée nationale. Godin demande à Tisserant de se renseigner également sur le sort réservé à sa demande d'exposer des tables d'école dans la classe n° 6 consacrée à l'enseignement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 décembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences d'émaillage faites par les experts qui, pense Godin, ont été non concluantes malgré les échantillons qu'il leur a fournis et doivent être cause du retard du dépôt de leur rapport. Godin précise qu'un ami de l'Assemblée nationale n'a pu obtenir de renseignements sur l'expertise de la part de Guignet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin complète sa lettre à Gaulier de la veille. Il lui indique qu'il n'espère rien de la chambre actuelle sur la question de l'organisation du suffrage universel, mais il espère que le journal Le Rappel va donner l'impulsion à l'idée d'une organisation rationnelle du suffrage universel. Il lui signale que le prochain numéro du Devoir, consacré à la paix et à l'arbitrage, ne publiera pas l'étude sur le suffrage que Gaulier l'a encouragé à faire. Il lui envoie l'étude et indique qu'elle paraîtra dans Le Devoir du 15 février 1885. Il l'invite à venir voir le Familistère avec Montargis.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin exprime à Naquet sa surprise qu'il n'ait pas reçu les numéros du journal Le Devoir contenant les articles sur le divorce, qui ont été adressés à la Chambre des députés à tous les membres de la commission sur le divorce. Dans le post-scriptum, il précise que les numéros du journal traitant du divorce sont les numéros 92, 93, 94 et 95.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 4 juillet 1875
Sur la rédaction d'un brevet d'invention pour une cuisinière. Sur la souscription de l'usine de Guise et celle de l'Assemblée nationale [pour les inondations du 23 juin 1875].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin informe Bovier-Lapierre qu'il lui a envoyé un numéro du journal Le Devoir contenant un projet de pétition destinée à remédier aux abus de la concurrence entre chefs d'industrie, qui s'accorde avec la proposition de loi qu'il a déposée à la Chambre des députés. Il lui demande comment promouvoir la pétition à la Chambre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Antoine Daniel Chevandier, 20 octobre 1875
Godin remercie Antoine Daniel Chevandier pour son appréciation de ses livres : « Combien je désirerais que vous pussiez avoir raison en disant que ceux qui ont compris doivent devenir des apôtres ! Mais il n'en est pas ainsi. Nous visons à une époque de dissolution pendant laquelle l'avenir se prépare, mais les esprits présents sont bien peu propres à recevoir la vérité. Dans tous les cas, je suis heureux de rencontrer dans un de mes collègues à l'Assemblée un homme convaincu, et je me propose bien de causer avec vous de mes vues d'avenir, car j'ai besoin de collaborateurs que jusqu'ici je n'ai pu rencontrer. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin presse Ringuier de répondre à sa demande des adresses des membres des commissions de la Chambre des députés qui pourraient recevoir sa brochure Mutualité nationale.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pardoux qu'il sera tenu compte dans le prochain numéro du « Désarmement » des observations de sa lettre du 2 février 1885. Sur le prix et la distribution des bulletins de la paix. Sur les pétitions [en faveur de la paix et de l'arbitrage].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Bachy du 25 mars 1886 lui annonçant que le comité électoral de Saint-Quentin l'a désigné comme candidat aux prochaines élections législatives. Il le remercie, « mais dans l'intérêt même de la cause que vous défendez, j'ai la conviction de rendre plus de services à l'avenir de la démocratie en restant à mes études sociales et politiques qu'en allant à la Chambre grossir le nombre des impuissants ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'édition de l'ouvrage Le gouvernement.... Godin avertit Ghio et Guillaumin et Cie qu'ils vont recevoir 100 exemplaires de Mutualité nationale et de Le gouvernement. Il leur signale qu'il pense distribuer la brochure à la Chambre des députés.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin adresse à Limousin la brochure Mutualité nationale qu'il compte distribuer à la Chambre des députés pour attirer l'attention publique sur la nécessité de concevoir un projet plus large que les propositions de loi sur les caisses de secours mutuels et de retraites pour la vieillesse qui lui paraissent dérisoires. Il lui annonce l'envoi de son volume Le gouvernement... dans lequel les questions sont étudiées du point de vue plus général des droits réels de l'être humain. Godin demande à Limousin de lui donner une liste d'adresses des publicistes à qui il pourrait envoyer Mutualité nationale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin a appris par Turquet que Fouquet et Villain font partie de la commission sur le chemin de fer du Cateau à Saint-Erme. Godin explique à Fouquet que le gouvernement avait eu l'idée de ce tracé dès 1857 et qu'une convention avait été passée par l'État avec la Compagnie du chemin de fer du Nord pour relier Soissons à la frontière belge en rejoignant la ligne du Nord entre Busigny et Landrecies. Godin cite les termes de la convention ; il indique que la Compagnie du Nord obtint de reporter la ligne d'Aulnoye à Hirson, laissant Guise déshéritée. Il poursuit en informant Fouquet que la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes a repris le projet et que l'État a refusé le décret d'utilité publique, considérant que la ligne était d'intérêt général et non local. Godin cite la réponse faite par le ministre des Travaux publics de Larcy aux questions posées à ce sujet, réponse publiée dans le journal officiel du 18 décembre 1873. Il explique que sous le ministère de Caillaux, le département de l'Aisne a été dépouillé de toutes les concessions faites en 1872-1873, car il n'était pas représenté par des députés cléricaux, bonapartistes ou monarchistes, mais par les républicains Godin et Turquet. Godin envoie deux cartes de lignes ferroviaires à Fouquet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Kaltenheuser, 12 décembre 1875
Godin demande à Kaltenheuser à quel titre monsieur Le Moine l'a accompagné lorsqu'il est venu lui soumettre des dessins de modèle. Il lui explique que Le Moine lui avait proposé de placer les produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, mais qu'il n'avait pas fourni ses références. Il demande à Kaltenheuser de fabriquer des spécimens d'après les dessins, qu'il ira voir à Paris s'ils sont achevés avant la séparation de l'Assemblée nationale ou qu'il lui demande d'expédier à Guise dans le cas contraire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Potvin, 19 décembre 1872
Godin a appris par son ami Demeur que Charles Potvin désirait visiter le Familistère. Godin informe Potvin que l'Assemblée nationale entre en vacances, qu'il va se trouver à Guise pendant 10 jours et il lui propose de venir durant cette période et de séjourner au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les brevets d'invention. Godin explique à Alavoine que les brevets d'invention sont une affaire législative qui ne regarde pas le conseil général, qu'il est possible de présenter un projet de loi mais que le moment est mal choisi pour le faire car les députés sont préoccupés de la question d'asseoir les institutions républicaines. Il veut cependant bien en discuter avec lui à titre d'étude. Il précise qu'il n'a pas le temps de se rendre à Bohain, qu'il va s'absenter quelques jours mais qu'il sera de retour à Guise le jeudi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Barodet pour les renseignements qu'il lui a adressés le 24 février 1883 sur les hospices de Lyon. Il lui retourne la lettre de Boussin du 22 février 1883. Il lui annonce qu'il va publier un ouvrage intitulé Le gouvernement : ce qu'il a été, ce qu'il doit être et le vrai socialisme en action qui s'occupe d'économie sociale et dont il a extrait une brochure de 100 pages sur l'organisation nationale des assurances mutuelles, qui comprend une proposition de loi qu'il veut envoyer sous forme de pétition à la Chambre des députés. Il lui demande de lui adresser la liste imprimée des adresses des députés en marquant d'un signe ceux à qui il pourrait utilement envoyer la brochure.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin rappelle à son correspondant que des organes de presse ont exprimé l'opinion que les chambres des députés et des sénateurs devaient quitter la politique stérile et examiner les questions qui intéressent les classes ouvrières, et au premier chef la question de l'extinction du paupérisme. Il explique que les projets de loi alors soumis aux chambres sont insuffisants. Il faut, pense Godin, s'intéresser aux travailleurs dépourvus de moyens d'existence, et il prétend que la proposition contenue dans la brochure Mutualité nationale, inspirée par 20 ans d'expérience, peut mettre fin à la misère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin a appris par les journaux que le dossier du chemin de fer du Cateau à Laon est devant la Commission de la Chambre des députés. Godin demande à Lesguillier de le tenir au courant de l'affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à son correspondant une étude intitulée La réforme électorale adressée aux parlementaires français en mai 1884, qui introduit de nouvelles études publiées dans le journal Le Devoir. Sur le suffrage universel par bulletin de liste nationale et renouvellement partiel annuel.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Turquet a demandé à Godin l'état de l'opinion publique sur le refus du budget [par les parlementaires républicains]. Godin estime que les personnes ayant l'intelligence des affaires comprennent que c'est le seul moyen pour contraindre le pouvoir à tenir compte de la volonté du peuple, mais qu'il faudrait publier un manifeste à la nation pour expliquer aux classes ouvrières les motifs du refus. Il pense que le public éprouve du dégoût et de l'indignation à l'égard du pouvoir, mais dans le calme : « Ce que tout le monde attend de la Chambre, c'est qu'elle maintienne haut et ferme les prérogatives parlementaires et les droits du suffrage universel. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Turquet qu'il ne peut lui donner l'autorisation qu'il demande et qu'il ne souhaite pas être à nouveau maire de Guise. Il pense que monsieur Delorme est le plus à même d'administrer la commune et indique que monsieur Devillers, en tête de la liste, refuse toute fonction. Il annonce à Turquet qu'il en parlera avec eux dans la soirée. Il estime que Delorme et Devillers pourraient être maire et premier adjoint et que monsieur Pouillard pourrait être deuxième adjoint. Sur la pétition relative au chemin de fer de Le Cateau à Saint-Erme : Godin avertit Turquet qu'il lui a envoyé, ainsi qu'à tous ses collègues de la Chambre des députés sauf Godelle, des exemplaires de la pétition avec la carte du tracé. Il lui demande de faire signer ses collègues sur un exemplaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Edmond Turquet, 26 mars 1876
Godin demande à Turquet de bien vouloir percevoir pour lui les indemnités qui lui reviennent de l'Assemblée nationale. Il lui rappelle sa lettre précédente sur les députés de l'Aisne et les chemins de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe de Pompéry que la session du conseil général de l'Aisne est achevée, qu'il va séjourner à Versailles avant la réouverture de l'Assemblée nationale et qu'il peut venir le rencontrer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Larue, 31 janvier 1873
Godin informe Larue qu'il se trouvera à Vervins le 11 février 1873.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Édouard Raoux, 11 juillet 1873
Godin remercie Raoux pour l'envoi de documents et de l'ouvrage du docteur Farhner. Il lui demande combien il lui doit et s'il a bien reçu les 4 volumes de Solutions sociales. Il lui explique qu'il souhaite déposer à l'Assemblée nationale un projet de loi sur l'instruction primaire et qu'il voudrait l'étayer de documents sur le sujet dans les pays voisins. Il lui demande de lui retourner un questionnaire sur ce qui se fait en la matière dans les cantons suisses.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Neale pour son attention à l'accord qui pourrait être passé avec Charles Portway. Il lui adresse son livre Le gouvernement... et la brochure Mutualité nationale, qu'il veut distribuer à la Chambre des députés. Il lui signale qu'on lui a adressé le numéro du journal Le Devoir qui lui manquait. Sur la publication dans The Cooperative news de la traduction du devoir d'un des élèves des écoles du Familistère. Il se réjouit de la visite de Neale au Familistère au cours de l'été.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 10 décembre 1875
Godin renvoie son fils Émile à la lecture des journaux sur les questions politiques qui l'inquiètent. Sur une défaite possible de la droite à l'Assemblée le soir même. Sur un modèle fait par Alphonse Grebel autorisé par Godin et les rivalités qui paralysent l'action utile. Il lui annonce que Graillot, le nouveau comptable, ne pourra aller à l'usine qu'au début de janvier. Godin informe son fils que tous les députés du Nord et la commission semblent résolus à combattre le projet du gouvernement sur le chemin de fer de Valenciennes à Saint-Erme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 11 décembre 1875
Godin informe son fils Émile qu'une institutrice viendra prochainement au Familistère pour tenir la classe des filles. Il lui demande de lui réserver les chambres occupées auparavant par Chatelais et de s'entendre avec le comité d'administration du Familistère pour y faire la propreté nécessaire et pourvoir à son ameublement. Sur un succès de la gauche et la division des partis de droite à l'Assemblée. Le premier point du post-scriptum porte sur le calcul par Émile du prix de revient des marchandises produites dans un nouvel établissement : un établissement aux portes de Paris serait celui qui produirait aux conditions les moins économiques, compte non tenu de l'économie de transport ; « Mais avec l'établissement de Guise dans le nord de la France, il est de plus en plus apparent pour moi que pour s'assurer le marché du Midi, il conviendrait de porter un établissement nouveau au moins sur les confins du départ de la Nièvre, ce qui peut permettre de desservir la ligne de Marseille et la Suisse avec économie. » Le deuxième point du post-scriptum porte sur la visite par Pernin d'un haut-fourneau de construction nouvelle. Le troisième point du post-scriptum est relatif à l'envoi par François de La richesse au service du peuple à monsieur Cacheux avec la mention « Envoi de M. Godin, député de l'Aisne ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Godin informe son fils Émile que ses collègues du Loir-et-Cher à l'Assemblée nationale lui ont demandé d'exposer les produits des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il lui demande si un client à Blois pourrait se charger de l'installation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 17 mai 1875
Alphonse Grebel a appris à Godin que son fils Émile était à nouveau victime d'une persécution politique par le parquet. Godin estime que la loi de l'Empire concernée pourrait permettre aux juges de le condamner. Il informe son fils qu'il a pris pour avocat son collègue de l'Assemblée nationale Étienne Lamy qui a demandé au tribunal une remise d'une quinzaine.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Ernest Flacon du 30 septembre 1885 en l'informant qu'il ne peut consentir à accepter un mandat de député dans les conditions actuelles de nomination de la Chambre.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ernest Leroux, 2 août 1873
Godin adresse à Leroux le numéro d'un journal contenant le récit de ce qui lui est arrivé au moment de l'entrée des Prussiens à Guise et il lui communique différents renseignements biographiques et une série de publications relatives à son élection au conseil général de l'Aisne. Des notes autobiographiques sont copiées à la suite de la lettre (folios 45r-48v), dans lesquelles Godin fait l'historique de ses mandats électoraux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le suffrage universel en Belgique, en Angleterre, aux Pays-Bas et dans les pays scandinaves. Godin explique à Lesigne qu'il poursuit depuis le 26 septembre 1886 dans Le Devoir l'étude qu'il a soumise en mai 1884 aux députés français. Il espère le soutien de Lesigne pour une propagande européenne en faveur du suffrage universel et la réforme du régime parlementaire en France. Il lui demande s'il voudrait être le rédacteur du journal Le Devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Galloy du 30 novembre 1886. Il lui envoie la série des dix études sociales et les trois derniers numéros du journal Le Devoir, et il lui annonce l'envoi du numéro du 19 décembre du journal. Sur la fédération des chambres syndicales : Godin pense qu'il ne faut pas actuellement inciter les ouvriers à constituer des syndicats car ils risquent d'être congédiés par les chefs d'industrie. Sur une pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin informe Galloy qu'il envisage de déposer à la Chambre des députés une pétition signée par les ouvriers et les patrons relative à la loi sur les syndicats, pour réclamer la garantie d'un minimum salarial dans chaque branche d'industrie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 29 juillet 1875
Godin envoie le bon à tirer de la dernière feuille corrigée de son nouvel ouvrage. Sur le papier utilisé pour l'impression : Godin demande à Heutte et Cie de veiller à ce que le poids de chaque volume ne dépasse pas 75 grammes ; il préconise d'acheter du papier de 11 kg la rame. Il rappelle qu'il souhaite disposer des exemplaires sur papier supérieur avant la séparation de l'Assemblée nationale bien que cela lui semble désormais compromis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frank Wayland Smith, 10 juin 1876
Godin rappelle à Wayland Smith qu'il avait répondu au mois d'août 1874 à la lettre qu'il avait écrite à John Humphrey Noyes. Il lui explique qu'il n'a pas poursuivi cette correspondance en raison de son mandat de député à l'Assemblée nationale. Il l'avertit qu'il va le questionner sur le mariage, les rapports des sexes et la famille. Il expose au préalable le principe selon lequel les théories sociales doivent suivre les lois divines. Il développe ses interrogations sur le mariage oneidien et sur la reproduction des êtres humains. Godin se montre défavorable au contrôle des naissances ; il observe que la natalité est insuffisante à Oneida et satisfaisante au Familistère ; il en conclut que de ce point de vue, Oneida dépend de l'extérieur et que la communauté ne considère pas la propagation de l'espèce comme son devoir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gaston Ganault, 2 avril 1873
Godin explique à Ganault qu'il souhaite prendre la parole dans les discussions de la loi sur l'instruction primaire qu'Ernoul a inscrite à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale à la rentrée, mais qu'il a oublié son dossier à Versailles et ne peut l'étudier. Il le prie de lui envoyer la documentation relative à la loi.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Ganault qu'il a écrit à Lesguillier, directeur des chemins de fer de l'État, et à Latrade, administrateur des chemins de fer de l'État et président de la commission des chemins de fer de la Chambre des députés, au sujet de la ligne de Guise au Cateau, et qu'ils ne lui ont pas encore répondu. Il lui indique qu'il n'a personne sur qui compter à Paris pour aller les voir. Il est inquiet de la composition du dossier soumis à la Commission des chemins de fer de la Chambre des députés. Il demande si Ganault ne pourrait pas aller à Paris pour le tenir au courant et l'y appeler si nécessaire. Il ajoute que Lesguillier lui a confié qu'il jouerait bien un tour à Menche de Loisne dans cette affaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Ganault qu'il a reçu une lettre de Latrade l'informant que le rapporteur de la commission des chemins de fer de la Chambre des députés avait été nommé et lui demandant s'il voulait être entendu par la commission. Il l'avertit qu'il se rendra mardi matin à Paris et qu'il descendra au Grand hôtel de la place du Palais-Royal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Brialou que ce dernier n'a pas reçus les numéros du journal Le Devoir et les études sociales qu'il a envoyés à ses collègues de la Chambre des députés car il ne possède pas son adresse. Il lui demande de la lui communiquer ainsi que celle d'autres députés parmi lesquels Achard et Pichon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond avec retard à une lettre de Stenger. Il lui apprend qu'il n'est pas l'expéditeur de l'exemplaire de Solutions sociales qu'il détient. Godin affirme qu'il est heureux que le journal de Stenger obtienne du succès, et il voudrait qu'il prenne la place du Journal de l'Aisne, qui est opposé à Godin mais n'a pu l'empêcher d'arriver au conseil général et à l'Assemblée nationale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 10 mars 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson que Boucher fait des démarches auprès de la Chambre syndicale de la quincaillerie pour obtenir un certificat attestant qu'il a été le premier à livrer au commerce des boutons de fonte émaillée, qu'il en a parlé à Charles Dietz-Monnin, son collègue à l'Assemblée nationale et président de cette chambre syndicale, qui lui a suggéré de faire à son tour une demande de certificat de manière à ce qu'il ne soit donné suite ni à l'une ni à l'autre. Godin soumet à Cresson le projet de demande de certificat.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la mutualité nationale. Godin explique à Escoffier qu'il a l'intention de soumettre à la Chambre des députés une proposition de loi sur la mutualité nationale qui vise l'extinction du paupérisme, présentée dans la brochure qu'il lui adresse avec son courrier. Il soumet son projet à son examen.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Deynaud a appris à Godin que Maret avait l'intention de visiter le Familistère. Godin félicite Maret et se réjouit de faire sa connaissance après l'initiative qu'il a prise dans son groupe parlementaire et à la Chambre des députés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Destrem de lui confirmer que lui, Frédéric Passy et Virginie Griess-Traut ont signé le projet de pétition à la Chambre des députés relative aux résolutions prises à la Conférence de Berlin sur le bassin du Congo.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la proposition de loi relative à la Caisse nationale de retraite pour la vieillesse. Il explique à Maze que le journal Le Devoir développe l'idée depuis 4 ans et qu'il lui adresse depuis quelque temps les numéros du journal à la Chambre des députés. Il recommande à son attention les numéros des 15 et 22 (sic) janvier 1882.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une pétition en faveur d'un minimum salarial. Godin annonce à Maze qu'il lui a fait envoyer le numéro du journal Le Devoir contenant le projet de pétition aux chambres après réception de sa lettre du 18 janvier 1887. Godin espère l'appui de Maze pour la pétition. Sur la collaboration de Godin à une revue. Godin envoie à Maze l'étude sociale Le Familistère. Il recevra avec plaisir la visite de Maze au Familistère pour lui donner des informations sur les institutions de prévoyance. Il lui envoie le dernier numéro du Devoir qui contient l'article « Les questions sociales aux États-Unis ».
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