FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à Jean-Baptiste André Godin, 3 décembre 1863
Émile Godin donne à son père des informations sur les nouveaux événements survenus à Guise. Madame Vigerie a appris la veille au soir qu'une nouvelle chanson avait été affichée dans la nuit précédente. Fayon a montré à madame Vigerie un exemplaire qui avait été collé sur sa boutique. Madame Vigerie, qui n'a pu en prendre copie, dit qu'il n'est pas question de Godin, mais de toute la famille Moret. Madame Ville a dit à Fayon que 20 personnes chantaient la chanson chez Pierre. Émile Godin estime que la chanson doit avoir 7 couplets. A. Villot a reçu un placard par la poste, qu'il n'a pas voulu confier à Émile par peur d'envenimer les choses. Émile explique qu'il n'a pas voulu laisser emporter par madame Lemaire une glace se trouvant dans l'appartement de sa mère. Il l'informe qu'un vent très fort a causé des dégâts dans l'usine. Il regrette que la population guisarde mette tant d'acharnement à diffuser des insultes. Il ajoute des informations relatives à Laloux, Charles, Esther Lemaire, son grand-père. Dans le post-scriptum, il annonce à son père que madame Vigerie vient de lui donner un exemplaire de la chanson chantée la veille chez Pierre et qu'on dit que c'est madame Carlier qui a reçu la chanson par la poste et l'a diffusée.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Macé, 18 avril 1870
Émile Godin envoie à Macé une liste d'adhésions aux principes de l'instruction publique gratuite et obligatoire d'habitants de la commune de Macquigny. Il confirme l'envoi par son père d'une liste d'adhésions de la ville de Guise.

Auteur·e : Godin, Émile (1840-1888)
Émile Godin à messieurs Aillot et Bréard, 5 janvier 1861
Godin confirme une commande verbale de madriers et planches de bois à livrer à Guise avant le 10 mars.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 13 mars 1856
Esther Lemaire adresse à Émile une lettre à remettre à Goubaux pour qu'il lui donne les 30 F. Elle donne à Émile les instructions et les horaires de train pour son voyage de Paris à Guise. Elle lui interdit de prendre le train de nuit et lui demande de prendre un billet de 1re classe. Elle souhaite qu'en arrivant à la gare du Nord, il réserve une place de Saint-Quentin à Guise auprès du bureau des messageries impériales. Elle lui signale qu'il fait un peu froid.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 25 octobre 1854
Esther Lemaire annonce à Émile qu'elle a retrouvé son jeu de patience et qu'elle vient de recevoir une petite caisse « dans laquelle je t'ai vu avec ton papa » et qu'elle en a été agréablement surprise. Elle l'informe que Godin est parti à Bruxelles dimanche, qu'il lui communiquera à son retour les dimensions de la machine qu'il avait demandées, et que sa marraine est venue passer quelques jours à Guise. Elle transmet à Émile les compliments de sa marraine et ceux de la grand-mère Lemaire.

Auteur·e : André, Eugène (1836-)
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Sur le tarif de 1874 des Fonderies et manufactures du Familistère. Eugène André accuse réception des lettres de Godin des 18 et 19 juin 1874. Il lui explique qu'il n'est pas possible de réduire les prix du tarif de 1874. Il lui promet d'examiner le lendemain l'affaire d'Obrador. Il lui annonce qu'il diffère son retour à Guise car il n'y a pas de logement vacant à sa convenance au Familistère ou en ville et qu'il retourne à Laeken.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à C. J. Van Gennip, 13 mars 1863
Godin avertit Van Gennip qu'il doit changer les conditions des affaires que son usine de Laeken fait avec lui. Il l'informe qu'il traitera uniquement les affaires que Van Gennip prendra à son compte au prix du nouveau tarif, et qu'il cesse de lui verser 100 florins pour sa représentation aux Pays-Bas des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant que sa famille est originaire des environs de Guise, qu'il y a un grand nombre de Godin en France, mais qu'il ne connaît pas le lien de parenté qui peut exister entre eux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Toinon et Cie d'envoyer les clichés de son livre à Comte, ou les mettre à sa disposition chez eux rue du Dragon, pour que ce dernier puisse les retoucher et les nettoyer pour les garder en bon état de conservation. Il leur demande de lui communiquer l'état de son compte et le nombre de volumes qu'ils ont livrés aux adresses qu'il leur a indiquées. Il souhaite connaître l'état d'avancement du brochage des 24 exemplaires de la petite édition destinés à Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur M. Conte, 28 octobre 1872
Jean-Baptiste André Godin répond à monsieur Conte au sujet de son fils qui prétend à un emploi à l'usine du Familistère. Godin ne donne pas suite à la demande de celui-ci et expose les motifs de sa décision : Godin avait accepté de donner un emploi de voyageur de commerce au jeune homme alors que celui-ci lui avait dissimulé des renseignements ; il lui a accordé des appointements pendant les quatre mois d'études qu'il a suivies au sein de l'usine du Familistère ; le jeune homme a commencé à voyager pendant que Godin se trouvait à Versailles ; Godin a eu connaissance que ses frais de voyage, 20 F par jour, excédaient les frais des autres voyageurs de la manufacture, aussi l'a-t-il congédié. Godin fait le compte des effets que le jeune homme a laissé chez monsieur Berns, d'une moindre valeur que ce qu'indique monsieur Conte.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Adolphe Sabran, 2 avril 1848
Godin demande à Adolphe Sabran de faire savoir aux ouvriers de Bernot qu'il viendra leur présenter le programme arrêté par la commission des travailleurs de Guise en vue des élections législatives, et d'avertir également les habitants des communes voisines où il prévoit de se rendre également.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les concessions de chemins de fer du département de l'Aisne pour lesquelles le gouvernement a refusé le décret d'utilité publique. Godin explique que le département du Nord a obtenu un projet de loi pour la concession définitive du chemin de fer de Lens à Armentières et de Valenciennes au Cateau à la Compagnie du chemin de fer du Nord, mais que le gouvernement a refusé l'exécution par une compagnie locale du prolongement de la ligne du Cateau à Saint-Erme en passant par Wassigny, Guise, Sains, Marle et Sissonne sous prétexte qu'il s'agit d'une ligne d'intérêt général de premier ordre. Il ajoute que la ligne est passée sous silence dans le projet de loi actuel, que le conseil d'arrondissement de Laon souhaite que les députés de l'Aisne fassent que la ligne soit comprise dans le projet de concession à la Compagnie du Nord, et que le gouvernement a promis au Département du Nord qu'il obligerait la Compagnie du Nord à réaliser toutes leurs lignes d'intérêt local. Godin demande à Leroux ce qu'il fait à ce sujet auprès du gouvernement et en particulier auprès de Waddington, ministre, président du conseil général de l'Aisne et père de la loi de 1871.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Pétilleau que les vacances [de l'Assemblée nationale] approchent et l'invite à se rendre à Guise où il se trouvera lui-même.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Barthélemy Godin, 18 janvier 1865
Jean-Baptiste André Godin répond à une lettre recommandée de son frère lui reprochant que ses ouvriers partent travailler à Guise. Godin lui fait observer que depuis longtemps des ouvriers de Guise sont partis chez lui à Étreux, mais que des salaires plus élevés à Guise les attirent et que la solution est d'élever les salaires à Étreux. Il lui signale qu'une difficulté plus grande va surgir, c'est la baisse des prix des marchandises en raison de la concurrence. « Le passé rend l'avenir difficile » : Godin lui rappelle qu'il a cherché à l'associer à son entreprise mais que son frère a « préféré l'indépendance d'une triste concurrence ». Il ajoute que la menace d'une liquidation de sa fonderie par son frère ne le regarde pas. « Je ne professe le dédain pour personne, mais j'ai un certain mépris pour certains actes qui sans doute ont toujours été parfaitement justes à tes yeux. » Godin se refuse à lui donner des conseils ou à lui faire des propositions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Beretti, 12 janvier 1873
Godin répond à la lettre de Beretti du 27 octobre 1873. Il s'étonne que Beretti ait pris ses renseignements à de mauvaises sources alors qu'il se trouvait à Guise. Godin conteste le fait qu'il y ait eu des grèves dans son établissement et qu'il fait en sorte que les ouvriers puissent exprimer chaque jour leurs prétentions et leurs besoins pour éviter que les difficultés s'accumulent. Il lui indique que le marchand russe qui en 1858 est resté son débiteur dans les affaires faites avec lui est Besson, mécanicien, « grande Melchansky au coin de Novoi Péréoulk, maison Karaloff à Saint Pétersbourg ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 4 septembre 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin communique à Brullé un modèle d'écritures comptables. Il lui annonce qu'il a réussi à persuader des ouvriers de ses ateliers Guise à aller travailler à Forest en voyageant à leurs frais, ce que l'arrivée du chemin de fer à Guise facilitera, en espérant qu'ainsi Brullé devra engager moins d'apprentis de Bruxelles à des conditions onéreuses. Sur les intérêts dus par Cador pour une somme de 4 000 F qu'il a empruntée. Godin signale à Brullé qu'il quitte Guise pendant quelques jours, transmet ses civilités à madame Brullé et demande l'état des cuisinières et cheminées qui se trouvent en magasin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 février 1859
Sur un accident grave dont un Baptiste, venu de Belgique à Guise a été la victime : Baptiste a reçu un coup de fouet sur les deux yeux par le fait d'une maladresse du conducteur de la diligence de Landrecies ; il a été soigné par Godin et par un médecin ; il voit de ses deux yeux et se rétablit, mais ne veut pas que sa famille soit informée de l'accident ; Baptiste rentrera bientôt en Belgique. Godin avertit Brullé qu'il va lui expédier 4 ou 5 caisses de modèles, des meules et du sable moulu : « Nous ferons le reste à Laeken. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 janvier 1858
Godin annonce à Brullé qu'il n'a pu confier à quelqu'un des matières à émailler pour les emporter à Forest car la voiture de Landrecies n'a pas voulu les charger. Il lui indique que rien se s'oppose à son voyage à Bruxelles sinon le froid, et il lui demande de lui arranger une réunion avec quelqu'un pour l'achat du terrain du nouvel établissement industriel. Godin donne à Brullé les détails de la composition d'un émail et de la façon de le préparer. Sur le nouvel établissement à fonder en Belgique : « Le chiffre de la vente que vous avez fait cette année n'a-t-il pas un peu mis en vous d'hésitation dans ce que doit être l'acquisition à faire pour l'établissement définitif à fonder en Belgique ? Quant à moi, mes réflexions me conduisent à penser que la vente de mes produits qui doit chaque année gagner en Belgique n'en a pas moins à passer par des développements si lents et voici pourquoi. La Belgique est un pays de fabrication de fourneaux, depuis longtemps en est pourvu, et ce n'est que remplacer [...] au nous avons à [...] en concurrence des fabricants en tôle qui feront encore leurs efforts pour nous [...] Cela fait que je me demande si, eu égard au développement probable de notre affaire, l'usine Story ne vous paraît pas une bonne affaire. » Godin adresse ses vœux de bonne année au couple Brullé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 6 septembre 1855
Godin annonce que Gordien, mouleur à l'usine de Guise, partira le dimanche suivant pour Forest. Il lui demande de lui confier la réalisation l'un des deux modèles [de calorifères] et les châssis d'une cheminée. Il précise que Gordien sera payé au prix de Guise et qu'il voyage à ses frais. Il prévient que si même Margry ne réussit pas parfaitement le moulage, il faudra confier les deux modèles à Gordien. Godin prévoit d'envoyer d'autres mouleurs pour mouler tous les jours pour doubler la production. Il remet à Brullé les extraits de lettres évoquées dans un mémoire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 août 1855
Godin informe Brullé qu'il a renoncé pour des motifs de moralité à envoyer un voyageur de commerce dans la partie française de la Belgique, mais qu'il a accepté l'offre de service de monsieur Bocquet de Guise qui se rendra à Forest le samedi suivant. Il précise que Bocquet sera payé pour ses voyages 6 F par jour et 0,10 F par kilomètre parcouru, et qu'il recevra 3 % du montant de ses placements jusque 500 F et 1 % au-dessus de 500 F. Il lui communique une note concernant l'émaillage et l'avertit que Bocquet lui amènera les petits modèles qu'il demande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 11 mars 1861
Sur le procès Story. Godin explique à Brullé que les experts ont accepté le principe d'un dédommagement pour compenser la perte d'une prise d'eau sur le canal, mais leur évaluation du coût de la création d'un puits artésien ne correspond pas au volume d'eau que la prise d'eau était capable de donner. Godin conteste plusieurs points de l'expertise : que l'alimentation en eau est interrompue quand le canal est mis à sec ; qu'un volume de 58 m3 par jour suffit à alimenter une machine à condensation de 16 chevaux, alors que Godin calcule qu'une telle machine consomme 126 m3 pour 12 heures de travail et que la prise d'eau sur le canal est capable de fournir 324 m3 en 12 heures. Godin demande à Brullé d'obtenir un devis pour un puits artésien fournissant 27 m3 d'eau à l'heure et lui recommande de ne pas demander moins de 15 000 F d'indemnité. Godin établit six sujets de contestation du rapport d'expertise que Demeur devra faire valoir dans sa plaidoirie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juillet 1857
Godin annonce à Brullé que l'examen de l'inventaire de l'usine de Forest est achevé et qu'il va se rendre à Forest avec monsieur Dolot pour mettre l'inventaire de Forest en conformité avec celui de Guise. Sur la fondation d'un nouvel établissement à Bruxelles. Brullé a écrit le 17 juin 1857 à Godin qu'il avait le choix entre les terrains d'Allard, de Hullens ou de Story. La propriété de Story coûte 150 000 F, s'étend sur quatre hectares et comprend 10 bâtiments. Godin demande à Brullé de s'assurer qu'il pourrait installer une fonderie sur cette propriété. Il autorise Brullé à proposer 100 000 F pour son acquisition, sous prétexte que les bâtiments ne sont pas adaptés à une fonderie et sont à démolir. Godin juge qu'il serait facile de s'installer sur ce terrain et que la communication avec Bruxelles est bonne. Godin indique à Brullé qu'il négocierait lui-même avec Allard si l'offre faite à Story était rejetée. Il demande à Brullé de se renseigner sur les intentions de monsieur Valentyns avant son arrivée. Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin demande à Brullé s'il est satisfait de la fonte des Hauts-fourneaux de Hourpes que lui livre monsieur Boulanger et lui communique une lettre de monsieur de Dorlodot à laquelle il a négligé de répondre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juillet 1860
À la demande de Brullé, Godin lui envoie un pouvoir utile dans l'affaire Story. Le pouvoir qui autorise Brullé à représenter Godin dans les affaires civiles et commerciales en Belgique, daté du 13 juillet 1860, est copié sous la signature de Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 13 juin 1855
Sur la direction de l'usine Godin-Lemaire de Bruxelles. Godin annonce à Brullé qu'il envoie à Valenciennes une caisse de 52 kg de verre pour qu'elle soit livrée à Bruxelles. Il l'informe qu'il vient d'écrire à Adan et cite sa lettre à ce dernier du 13 juin 1855 qui autorise Brullé à recevoir des sommes en échange de valeurs à recouvrer en Belgique ou en Hollande ou contre des mandats sur Godin-Lemaire ou sur Allez à Paris. Godin souhaite envoyer à Bruxelles un modèle de cheminée avec sa série de châssis [pour la faire fabriquer à Forest], mais demande à Brullé de se concerter avec Van Elewyck pour connaître les droits d'entrée de ces objets en Belgique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 14 juillet [1858]
Godin s'excuse de ne pas avoir répondu plus tôt à la lettre de madame Brullé du 5 juillet 1858 relative à des cerises et à l'ouverture d'un compte « jardin » ou, mieux selon Godin, « récoltes et loyers ». Sur l'installation de l'usine de Laeken : Godin demande à Brullé s'il a commencé l'installation des machines et s'il a besoin de conseils pour les dispositions des ateliers ; il souhaite avoir un nouveau calque du plan des constructions car il a égaré celui que Brullé lui avait confié. Dans le post-scriptum, Godin indique à Brullé qu'il avait pensé à envoyer son fils Émile à Bruxelles, « mais il s'ennuie maintenant aussitôt qu'il n'est pas à Guise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 août 1860
Godin remet 2 979,46 F à Brullé, à créditer sur son compte particulier. Il l'avertit qu'il se rend à Paris et ne sera pas de retour à Guise le 22 août et qu'il est inutile qu'il y vienne avant cette date. Il informe Brullé que monsieur Camatte est en voyage, qu'il passera par Maubeuge et se rendra ensuite directement à Bruxelles. Godin fait observer à Brullé, qui remarque que certains modèles se vendent peu, qu'il faut mieux réguler le tarif de l'usine belge.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 15 septembre 1856
Godin envoie à Brullé la facture des marchandises qu'il a demandées. Il recommande de veiller à la solvabilité des nouveaux clients visités par monsieur Bocquet. Godin lui indique qu'il ne voit pas d'inconvénient à ce que Brullé passe quelques jours à Guise pendant les fêtes de Bruxelles et qu'il le recevra avec plaisir.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 septembre 1856
Godin explique à Brullé qu'il était absent quand on a répondu pour lui à sa lettre du 12 septembre et qu'on lui a indiqué qu'il le recevrait avec plaisir à Guise. Il lui communique les renseignements pour voyager jusqu'à Guise : départ à 12 h 13 de Charleroi, arrivée à Landrecies pour la correspondance avec la voiture allant à Guise. Il transmet ses sentiments cordiaux à monsieur et madame Brullé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 22 juin 1860
Godin transmet à Brullé les prix de revient de l'usine de Guise qui doivent être appliqués à Laeken, qui jouit par ailleurs de l'avantage d'acheter moins cher les matières premières, fonte, fer, tôles, charbons. Il précise à Brullé le prix des modèles en fonte, en fer ou en cuivre. Il lui communique le coût de 10 tonnes de fonte livrées à Laeken par De Dorlodot frères ; il lui demande si l'usine de Guise doit payer la facture et, dans ce cas, de lui indiquer le coût de la cuisinière livrée à De Dorlodot frères, pour le soustraire au paiement. Il lui signale qu'il va commencer à fabriquer le modèle pour Besson de Saint-Pétersbourg. Godin demande à Brullé de conserver pour Moerenhout l'argent destiné initialement à sa femme et d'envoyer un mandat postal de 70 F à madame Moulard à Céroux-Mousty.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 25 octobre 1856
Godin juge que les terrains que Brullé lui conseille d'acheter à Bruxelles sont très chers par comparaison avec les trois hectares qu'il vient d'acheter 18 000 F aux Hospices de Guise autour de son usine. Il signale à Brullé qu'il est déjà passé près du pont de Laeken et qu'on lui a alors signalé que la chaussée était inondée lors de fortes inondations. Toutefois Godin reconnaît que la largeur du terrain permettrait des constructions suffisantes. Godin ne veut pas transférer les ateliers dans la précipitation, car il faudrait encore construire un magasin à Bruxelles ou en faire un en planches à Forest pour entreposer les marchandises : « Il faut cette fois pour fonder un établissement de toutes pièces se donner le temps de la réflexion pour bien faire les choses et être nanti de tous les renseignements possibles. » Godin souhaite pouvoir choisir entre plusieurs sites et comparer les prétentions des vendeurs. Il confirme à Brullé que les terrains entre la chaussée et la fabrique Konig ne sont pas à vendre. Godin signale à Brullé que la Société de Hourpes lui fait toujours espérer de la fonte. Godin attire l'attention de Brullé sur la nécessité de créer le nouvel établissement à proximité des populations ouvrières. Il signale enfin à Brullé qu'il accorde 80 F à Van Elewick pour participation à ses frais de déménagement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 27 mars 1858
Godin adresse à Brullé le relevé du compte des intérêts de ce dernier qui est créditeur de 12 266,45 F à la date du 31 janvier 1858. Sur l'inventaire de l'usine de Forest et l'emploi d'une machine à vapeur ; Godin annonce qu'il viendra à Bruxelles en compagnie du constructeur qui est en train d'installer une nouvelle machine à Guise. Godin accuse réception d'une facture de l'usine de Forest d'un montant de 50,60 F pour fourniture de bière et de plantes. Il avertit Brullé qu'il recevra la semaine prochaine le modèle d'une cuisinière, du verre et d'autres choses, avec la facture de boules de cuivre. Il lui indique qu'il pense faire bientôt livrer à Anvers des fontes anglaises au prix de 12 F les 100 kg, hors frais d'entrée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 mars 1856
Godin annonce à Brullé qu'il lui expédie par le chemin de fer une caisse contenant des poêles et 8 kg de vernis. Il explique que sa mauvaise santé l'a empêché de faire plus tôt cet envoi. Il l'avertit qu'il va lui expédier dans quelques jours le modèle de la cuisinière dont la mise au point s'achève et également des tables de cheminées et des tables de cuisinières « à en-tête de Guise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 octobre 1856
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire communiquent à Brullé la copie d'une lettre à Godin du 24 octobre 1856 du directeur spécial des Hauts-fourneaux de Hourpes, à qui Godin a commandé 25 tonnes de fonte au prix de 16,55 F les 100 kg, livrées à l'usine de Forest : la fabrication de fonte a repris à Hourpes ; ils ont obtenu de la fonte n° 2, mais n'auront pas de fonte n° 1 pour le moment ; un premier chargement de fonte est expédié à Forest.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 28 octobre 1858
Godin explique à Brullé que le brouillard était aussi épais à son arrivée à Guise qu'il l'était à Laeken. Godin communique à Brullé les dimensions du châssis pour mouler un bac à eau de soude et celles du moule à briquettes. Il fournit des détails sur la construction du châssis du moule du bac à eau de soude qu'il accompagne d'un croquis de la pièce en perspective. Godin transmet ses amitiés à madame Brullé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 août 1859
Godin regrette qu'Alexandre Brullé ne lui communique pas d'observations sur le placement des produits de l'usine de Laeken. Il lui annonce qu'il a demandé à monsieur Georges de se rendre en Belgique, dès qu'il arrivera à Valenciennes, dans 6 à 8 jours. Godin demande à Brullé d'adresser à Georges un itinéraire et propose de lui envoyer également monsieur Telliez, qui pourrait se charger de la vallée de la Sambre et passer à Charleroi, Namur et Liège. Godin demande à Brullé d'envoyer rapidement à Guise, où Telliez se trouvera dans quelques jours, des instructions sur la clientèle à visiter. Dans le post-scriptum, Godin explique à Brullé qu'il a demandé à monsieur Georges de poursuivre ses voyages mais qu'il ne compte pas l'employer l'année prochaine, avec l'espoir de trouver un voyageur plus habile.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 30 juin 1856
Godin annonce à Brullé qu'il n'est plus malade, qu'il reprend des forces, mais que les affaires à l'usine de Guise l'obligent à différer son voyage à Bruxelles. Sur la direction de l'usine de Forest. Godin reproche à Brullé de ne pas lui communiquer les informations sur les mesures de précaution qu'il doit prendre sur le placement des produits ou sur les voyages commerciaux à accomplir ; Brullé n'a pas répondu à la proposition de Godin d'embaucher un voyageur de commerce pour la Belgique et Godin pense que madame Brullé aurait pu écrire pour lui ; Brullé ne renseigne pas Godin sur la marche de la fabrication à Forest. Il envoie à Brullé la facture des poêles expédiés à Bruxelles, lui donne des indications sur leur vente, et sur les modèles de cuisinières. Le post-scriptum porte sur l'inventaire de l'usine de Forest et sur une lettre envoyée par Brullé à Hambourg.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 2 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin remercie Alexandre Chaseray pour sa lettre qu'il communique à Odilon Barrot. Il l'informe des progrès de la candidature d'Odilon Barrot dans les cantons de Wassigny et de Guise et lui demande s'il peut utiliser sa lettre auprès des électeurs et s'il s'est entendu avec Matton de Vervins. Il lui fait part des démarches de lui-même à Sains et de monsieur Lefèvre à La Capelle. Il lui demande de lui communiquer les noms des personnes qui peuvent aider le comité électoral et lui indique qu'il a écrit à Cardot du Fay à Tenailles et à Loth d'Hirson. Il incite Chaseray à écrire à Odilon Barrot, dont la candidature devrait être annoncée publiquement dans quelques jours.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Delamarre, 29 mars 1867
Godin apprend par une lettre de François Humbert que Delamarre a l'intention de venir au Familistère pour en cultiver les jardins mais qu'il a le désir de visiter la propriété avant de s'engager et qu'il souhaiterait être défrayé du voyage. Godin lui accorde 30 F et il lui donne les indications utiles à son transport.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Dethou, 20 décembre 1874
Sur l'acquisition d'une propriété dans le centre de la France. Godin demande à Dethou des informations sur la géologie du bassin de la Seine, particulièrement sur la nature des terrains traversés par l'Yonne et par le Loing. Il lui demande également si l'on peut trouver dans l'Yonne ou dans le Loiret une grande propriété traversée par le chemin de fer et à proximité d'un canal, sur laquelle il pourrait fonder un deuxième établissement. Il lui envoie le livre qu'il vient de publier. Il lui signale qu'il rentre à Guise, où Dethou peut lui adresser sa réponse, pour les vacances du jour de l'an.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Laterrade, 20 mars 1863
Sur l'ouverture à la circulation publique de la rue du Familistère. Godin rappelle à Laterrade que celui-ci était venu à Guise pour lui demander d'ouvrir la rue du Familistère à la circulation publique pendant les travaux de construction du pont de la ville de Guise. Godin est surpris d'apprendre que le conseil municipal de Guise regrettait de devoir participer au financement d'un pont de service au motif que l'administration des ponts et chaussées n'a pu s'entendre avec lui. Godin explique à Laterrade que le fait qu'ils ne soient pas d'accord sur l'indemnité proposée pour l'abandon de la voie à la circulation publique ne signifie pas qu'ils ne peuvent trouver une entente.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 11 mars 1873
Godin répond à une lettre de Poëtte adressée à Marie Moret. Sur une hache en silex découverte dans la vallée de l'Oise : Godin demande à Poëtte d'en faire l'acquisition auprès de son propriétaire. Godin n'est pas favorable à ce que monsieur Martin donne les cours de dessin dans les écoles ; il propose à Poëtte de demander à Alphonse Grebel si monsieur Marcou peut venir l'enseigner. Sur les dimensions des tables des écoles : Godin avertit Poëtte qu'il attend de recevoir un livre sur le sujet avant de confirmer les mesures à Dequenne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 1er avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant que la contre-expertise est acceptée par Barral, de Luynes et Péligot, et que Barral est déjà venu faire des expériences d'émaillage à Guise et a conclu que la description de son brevet était suffisante. Godin informe Tisserant que les trois experts viendront à Guise mardi 7 avril 1874 pour procéder à de nouvelles expériences, et que Cresson devrait les accompagner. Godin lui demande s'il veut se joindre à eux. Il l'avertit que Cresson a pensé faire sommation à Boucher et aux trois premiers experts d'assister aux expériences. Sur le caractère de nouveauté du procédé d'émaillage des émaux opaques sur la fonte, contesté de façon incompréhensible par les premiers experts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 9 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin accuse réception de la lettre de Tisserant du 9 juillet 1873 et il lui fait part de ses réflexions sur les opérations d'expertise à la lecture de l'arrêt de la cour de Nancy. Godin expose le raisonnement à tenir sur la question de la validité de son brevet de 1862 pour l'application par voie sèche d'émaux opaques tamisés sur la fonte rougie ; il présente les arguments en faveur de son brevet et ceux qui pourraient lui être opposés et les questions que devra résoudre l'expertise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 11 décembre 1872
Godin indique à Tisserant qu'il a vu Guillaume Ernest Cresson et il l'informe que des produits de son usine seront transportés à Nancy quand il le jugera utile pour les présenter à la cour.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du télégramme de Tisserant. Godin prévient Tisserant qu'il ne veut pas engager Richon à diriger les opérations. Il explique à Tisserant qu'il a demandé 70 m² de surface pour exposer dans les classes 25 et 27 de l'Exposition universelle de 1878 et que Muller, ingénieur au 19 rue des Martyrs à Paris et président de la commission d'exposition de la classe 27, vient de lui apprendre qu'on ne lui accorde que 8 m². Godin demande à Tisserant de se rendre dans les bureaux de l'administration de l'Exposition universelle pour s'informer sur la place accordée à Boucher et Cie ; Godin soupçonne que Boucher et Cie a obtenu bien plus de surface que lui pour exposer les contrefaçons de ses produits. Godin annonce à Tisserant que, fort de ce renseignement, il pourra intervenir auprès de Krantz, son ancien collègue à l'Assemblée nationale. Godin demande à Tisserant de se renseigner également sur le sort réservé à sa demande d'exposer des tables d'école dans la classe n° 6 consacrée à l'enseignement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 20 décembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur des expériences d'émaillage faites par les experts qui, pense Godin, ont été non concluantes malgré les échantillons qu'il leur a fournis et doivent être cause du retard du dépôt de leur rapport. Godin précise qu'un ami de l'Assemblée nationale n'a pu obtenir de renseignements sur l'expertise de la part de Guignet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 25 février 1873
Godin annonce à Tisserant qu'il a reçu sa lettre à Guise et qu'il repart le lendemain à Versailles. Il l'informe qu'il avertit Cresson de son intention de se trouver à Paris du samedi au lundi suivants. Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin répond à plusieurs questions de Tisserant sur les brevets pour l'émaillage de la fonte et l'usage fait par Boucher et Cie de l'application des émaux opaques par voie sèche, qu'il a le premier mis en œuvre. Godin précise que son brevet de 1852 avait pour objet la vitrification incolore de la fonte pour prévenir sa rouille et que son brevet de 1862 permet l'émaillage polychrome de la fonte pour donner aux appareils un caractère luxueux. Godin indique à Tisserant que les appareils présentés à la cour feront voir les résultats obtenus par les différents procédés.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 juillet 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Sur l'expertise. Godin est désappointé : après que Tisserant lui ait assuré à Versailles que les experts recevraient ses pièces avant le 21 juillet, il a appris d'eux vendredi qu'ils n'avaient reçu que les pièces de Boucher. Le notaire Mercier lui a appris que les experts n'avaient rien reçu : l'un d'entre eux n'avait pas prêté serment car il se trouvait encore à Vienne. Sur la présentation des produits de la manufacture à Guise ou à Paris.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Tisserant, 28 septembre 1873
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin annonce à Tisserant qu'il lui envoie ses notes sur la visite des experts à Fumay après celle qu'ils ont faite à Guise. Il l'informe qu'il lui renvoie deux lettres qui lui sont destinées, dont l'une porte sur des pommes de terre.
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