FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Macé, 18 avril 1870
Émile Godin envoie à Macé une liste d'adhésions aux principes de l'instruction publique gratuite et obligatoire d'habitants de la commune de Macquigny. Il confirme l'envoi par son père d'une liste d'adhésions de la ville de Guise.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 5 juin 1856
Esther Lemaire apprend que Godin et Émile ont passé la nuit de samedi à dimanche et le dimanche ensemble. Elle le félicite pour les progrès que mentionne son dernier bulletin scolaire. Elle lui signale que la Saint-Médard aura lieu dans 15 jours et le baptême du prince le 14 juin et non le 9 comme l'a écrit Émile. Elle lui apprend que Godin est à Paris jusque jeudi et qu'il l'emmènera à l'exposition agricole. Elle lui raconte que plusieurs animaux africains curieux sont arrivés au Jardin des plantes, envoyés par Delaporte, consul au Caire : deux fennecs, un guépard, un jaguar, un tigre royal et des oiseaux de proie, qu'elle regrette qu'Émile et Godin n'aient pas été voir dimanche. Elle lui écrit de demander à son père des enveloppes et des timbres postaux.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 11 avril 1856
Esther Lemaire envoie à Émile du sel de soude pour guérir ses poireaux [verrues]. Elle souhaite que son mal de dents soit guéri. Elle l'informe que messieurs Bureau et Guillon sont venus les voir et qu'ils sont repartis vendredi à midi ; elle a appris qu'Émile avait passé la soirée de dimanche chez Guillon. Elle l'informe que Godin se rétablit peu à peu avec l'arrivée d'un temps doux. Elle souhaite qu'Émile poursuive ses efforts dans ses études et qu'il passe de la 35e place à l'une des premières. Dans le post-scriptum elle l'informe qu'elle revient de l'enterrement de Constant Hamel, dit le singe, mort la veille au soir.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 16 mai 1856
Esther Lemaire regrette de ne pas être allée avec Godin à Paris pour les fêtes de la Pentecôte, d'autant qu'Émile lui apprend qu'il a une semaine de vacances. Elle lui donne des nouvelles de la chèvre, du chevreau et des cochons d'Inde, de sa grand-mère Lemaire et de sa marraine. Elle lui apprend que son père est toujours souffrant de la poitrine. Elle le félicite pour son bulletin scolaire, meilleur que l'avant-dernier. « Le cousin Moret de Brie-Comte-Robert que nous avons vu à l'Exposition ensemble est venu rester à Guise. Il est arrivé il y a eu lundi 8 jours avec sa femme et ses deux filles. Son fils, que tu as vu, viendra dans quelques mois. »

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 16 octobre 1854
Esther Lemaire explique à Émile qu'elle répond avec retard à sa lettre du 6 octobre 1854 car elle voulait attendre le retour de Godin, revenu de Paris un peu malade mardi soir, et qu'elle devait mettre au courant une nouvelle domestique [Fanie]. Elle lui donne des nouvelles de ses cochons d'Inde et de la chienne Debertrude. Elle lui indique qu'elle n'a pas de nouvelles d'Élise depuis qu'elle a quitté la maison, et que Fanie n'est pas mariée. Elle lui annonce qu'elle a retrouvé la cravate et le bas de son uniforme du collège Chaptal, que Godin lui ramènera à Paris. Elle l'encourage à bien travailler au collège.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 17 décembre 1851
Godin informe Émile qu'il enverra prochainement les modèles d'écriture faits par Bouleau, qu'il transmettra ses compliments à toute la famille à Esquéhéries et ses remerciements à la grand-mère Lemaire. Il lui fait part des compliments de son oncle Lefèvre, venu à Guise en l'absence de Godin alors en déplacement à Paris, et de sa tante Pommerose. Il lui donne des nouvelles du chien et des chats de la maison, et lui exprime sa satisfaction de le voir faire des progrès.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esher Lemaire à Émile Godin, 18 février 1854
Esther Lemaire constate avec chagrin qu'Émile semble, d'après sa lettre du 10 février 1854, perdre courage. Elle lui écrit qu'elle préfère ne rien dire plutôt que de lui adresser des reproches et regrette que les conseils de Godin à son fils n'aient servi à rien. Elle l'informe que Godin se rendra à Paris avec les premiers beaux jours.

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Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 19 mai 1856
Esther Lemaire demande à Émile de prendre soin de ses dents. Elle joint à sa lettre des enveloppes et des timbres mais pas de sel de chaux pour soigner ses poireaux. Elle le prie de transmettre ses compliments à Léonie, dont le père est venu la voir. Elle lui donne des nouvelles des cochons d'Inde, de la chèvre et du chevreau.

Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 26 mai [1856]
Esther Lemaire félicite son fils après réception de son bulletin scolaire. Elle l'informe que des cochons d'Inde sont nés et que son père ira à Paris bientôt.

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Auteur : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 29 avril 1856
Esther Lemaire informe Émile que Godin part le soir à Paris et qu'il pourra aller le voir jeudi à l'hôtel Voltaire ou lui demander de venir le chercher au collège Chaptal. Elle l'informe que sa marraine est venue hier et qu'elle et la grand-mère Lemaire se portent bien ; elle lui annonce qu'elle va semer sa luzerne et que Godin laisse pousser sa barbe. Elle note que les jardins de leur propriété à Guise ne sont pas encore beaux et qu'il fait encore trop froid pour que les graines poussent convenablement. Elle le félicite d'avoir gagné d'un coup 15 places dans le classement de sa classe. Elle lui signale qu'elle va semer des soleils comme l'année précédente et qu'elle a acheté à Clovis Doudon (?) une chèvre et son petit qu'Émile soignera pendant les vacances. Elle l'avertit enfin que son père lui apportera du chocolat, du pain d'épice et du sel de soude. Dans le post-scriptum, elle demande à Émile s'il a besoin de papier à lettres, d'enveloppes ou de timbres, et lui demande de présenter ses compliments à Wateau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à L. Hachette et Cie, 17 novembre 1862
Godin explique à Hachette et Cie qu'il a ouvert un asile pour les enfants des ouvriers de son usine, dont ils ont fourni le mobilier, et qu'il va ouvrir une école pour laquelle il veut acquérir un échantillon de matériel dont le détail figure sur deux pages. Il demande que sa commande soit expédiée à Marie Moret, qui veille sur l'asile et l'école, au Familistère, n° 22.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur V. Martin, 1er avril 1867
Godin accuse réception de la lettre de Martin du 29 mars 1867. Il lui fait observer qu'elle n'explique pas pourquoi il n'est pas venu à Guise. Il lui fait part de sa crainte de devoir l'attendre pour rien, lui qui semble devoir faire un voyage à Odessa. Il lui recommande la lecture de la brochure d'Auguste Oyon sur le Familistère, qu'il pourra trouver au 13, rue des Saints-Pères à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur V. Martin, 21 mars 1867
Sur les appointements de l'instituteur recherché par Godin. Godin demande à V. Martin, candidat à l'emploi, des renseignements sur ses aptitudes commerciales et des renseignements sur lui et sur sa situation familiale.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Poëtte, Alexandre Onésime ; Briquet, Charles Joseph (1816-)
Jean-Baptiste André Godin, Alexandre Onésime Poëtte et Charles Joseph Joubert au préfet de l'Aisne et aux membres du Conseil départemental de l'instruction publique, 29 octobre 1875
Demande d'autorisation de classes mixtes dans les écoles du Familistère déposée par Jean-Baptiste André Godin, Alexandre Onésime Poëtte, chef d'institution, et Charles Joseph Briquet qui a déposé sa déclaration de chef d'institution. La demande décrit les avantages de la mixité dans les classes des écoles du Familistère

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Périn qu'il va prendre des renseignements sur lui. Il lui demande s'il pense avoir les aptitudes à diriger un cours élémentaire ou un cours moyen selon les directives du dernier décret du gouvernement, bien qu'il ne soit pas élève des écoles normales. Il l'informe que les classes des écoles du Familistère sont mixtes et l'avise que les écoles du Familistère sont libres et que par conséquent l'engagement décennal ne peut s'y accomplir. Il lui demande s'il est libéré du service militaire.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Périn qu'en raison de la jeunesse de ce dernier, il ne sait s'il doit l'accepter pour occuper un emploi d'instituteur dans les écoles du Familistère qui comprennent 5 classes dirigées par 5 professeurs. Il lui demande toutefois de lui communiquer ses prétentions salariales compte tenu que le loyer, le chauffage et l'éclairage de son logement seraient à ses frais.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime, 4 décembre 1873
Sur le rapport journalier de l'enseignement dispensé dans les écoles du Familistère : Godin veut que le rapport, établi par les élèves les plus capables ou par lui-même, soit détaillé ; il s'oppose à des rapports hebdomadaires identiques les uns aux autres. Godin estime que Poëtte met de la mauvaise volonté à suivre ses indications. Il le prévient que cela ne saurait durer.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 9 décembre 1873
Sur les rapports de Poëtte sur son activité dans les écoles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 9 mars 1874
Godin demande à Poëtte de le renseigner sur l'éducation religieuse des enfants des écoles du Familistère, étant données les dispositions que devraient prendre l'administration à leur égard : ce qu'ils savent du catéchisme, la façon dont ils l'apprennent, quand et comment ils se rendent à l'église, quelles réponses ils sont capables de faire aux questions de morale pratiques. Godin demande à Poëtte ce qu'il pense de la lettre que lui a écrite l'inspecteur d'académie et comment il pourra s'entendre avec le curé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 11 mars 1873
Godin répond à une lettre de Poëtte adressée à Marie Moret. Sur une hache en silex découverte dans la vallée de l'Oise : Godin demande à Poëtte d'en faire l'acquisition auprès de son propriétaire. Godin n'est pas favorable à ce que monsieur Martin donne les cours de dessin dans les écoles ; il propose à Poëtte de demander à Alphonse Grebel si monsieur Marcou peut venir l'enseigner. Sur les dimensions des tables des écoles : Godin avertit Poëtte qu'il attend de recevoir un livre sur le sujet avant de confirmer les mesures à Dequenne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 15 janvier 1868
Monsieur Calisti a informé Poëtte que Godin avait besoin d'un instituteur au Familistère. Godin l'invite à prendre ses fonctions. Il lui indique que ses appointements seront de 100 francs par mois et que les employés se logent et se nourrissent à leur convenance et à leurs frais.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 25 janvier 1868
Godin informe Poëtte que monsieur Hincellin ne quittera le Familistère qu'au 1er mars et qu'ainsi son entrée en fonction pourrait être différée, mais Godin lui réitère sa proposition de l'employer autrement en attendant son départ. Il ajoute qu'Hincellin doit aller voir monsieur Calisti et que cet entretien pourrait précipiter son départ.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Onésime Poëtte, 29 novembre 1873
Pour donner suite à la lettre de Poëtte du 24 novembre 1873, Godin l'informe qu'il va demander à Denisart, Quaintenne et Tressens d'inspecter les écoles pour évaluer le savoir des élèves. Godin demande à Poëtte que ses rapports hebdomadaires reflètent la réalité des leçons dispensées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 6 décembre 1873
Sur la demande d'augmentation de monsieur Crevon : Godin trouve justifiée par le renchérissement de la vie sa demande de 2 F par jour de voyage et de 1 F par ville visitée ; il demande à Denisart de faire de cette réclamation une règle commune à tous les voyageurs en titre des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur monsieur Carme : Godin souhaite être fixé sur son compte ; il veut que Delaruelle demande à un bon client son opinion sur Carme. Sur les voyages de Darras et de Crevon. Godin est favorable à confier la tournée de Grippon à monsieur Lassérée en attendant que Tisseron acquiert de l'expérience. Godin souhaite que Delaruelle demande à Guitard d'organiser ses tournées avec davantage de villes. Il explique à Denisart que les réponses à ses questions sur les boutons et les remises sont subordonnées aux résultats du procès avec Boucher et Cie. Godin l'informe qu'il va écrire à Mitelette et qu'il a reçu ses deux rapports sur l'inspection des écoles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Muzeau qu'il peut lui offrir la direction d'une classe des écoles du Familistère aux appointements qu'il souhaite. Il lui communique des informations sur les écoles : 5 classes mixtes de 35 à 40 élèves ayant chacune son professeur ; programme de toutes les classes concerté entre les maîtres. Il lui demande de venir immédiatement et propose de lui allouer la somme de 250 F pour ses frais de déplacement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 9 avril 1854
Godin informe Allyre Bureau qu'il ne peut se rendre à Paris pour les vacances de Pâques ; il lui demande d'accompagner Émile jeudi matin à la gare de chemin de fer du Nord, et précise qu'Émile retirera 20 F à l'économat du collège pour payer son billet. Godin explique à Allyre Bureau qu'il est satisfait des progrès scolaires d'Émile : il a obtenu 53 points (classé 30e de la classe), puis 60 points (classé 17e) et enfin 97 points (classé 1er). Godin confie à Bureau que devant ces résultats, il va différer ce qu'il comptait faire. Il souhaite que Bureau lui envoie la brochure de Victor Considerant et il adresse ses compliments à madame Bureau.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 13 octobre 1853
Godin informe Allyre Bureau qu'il a conduit Émile au collège Chaptal à Paris il y a quelques jours et qu'il n'a pas eu l'occasion de le voir. Godin souhaiterait que madame Bureau puisse continuer à accorder à Émile des moments de distraction. Godin demande à Allyre Bureau de s'occuper d'Émile à Paris, propose de le dédommager pour cela, et l'informe qu'il l'a désigné en tant que personne référente à l'économat du collège Chaptal.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 22 décembre 1852
Godin envoie 99 F à Allyre Bureau, montant de cotisation à la rente de l'École sociétaire. Il lui indique qu'il pensait recevoir une lettre de lui au sujet de l'affaire de Condé[sur-Vesgre] dont ils ont parlé. À propos d'Émile Godin : Godin n'a pas à se plaindre de la maison de monsieur Reynier [Régnier], mais l'enseignement qui y est dispensé ne répond pas à ses attentes ; Godin voudrait que son fils apprenne l'anglais et même l'allemand, et les sciences exactes appliquées aux arts chimiques et mécaniques ; Godin demande à Bureau s'il se trouve parmi les écoles et collèges de Paris un établissement où l'on puisse soustraire un enfant aux conditions du programme des études ; il remercie madame Bureau des soins prodigués à son fils.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, entre le 22 juin et le 22 octobre 1851
Godin informe Allyre Bureau qu'il se rendra à Paris dans quelques jours et qu'il prévoit d'y mener son fils pour le laisser dans le pensionnat dont Bureau lui avait parlé. Godin s'en remet à Bureau et ne crois pas utile de voir auparavant le pensionnat.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 20 février 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin communique à Delpech la copie d'une dépêche liée à l'Exposition universelle de Londres de 1862. Il lui signale qu'il attend la lettre de Demeur qui doit lui servir contre sa femme. Il l'informe qu'il ne peut séparer les dépenses de la fondation du Familistère de la comptabilité générale de l'usine et que Marie Moret comme tous les locataires du Familistère paie ses loyers sur son salaire d'inspectrice de l'éducation, mais que celui-ci lui est versé directement par Godin sans donner lieu à des écritures.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Delpech qu'il lui a expédié par chemin de fer quatre tables d'école pour servir de modèles et lui a envoyé la facture correspondante de 118 F. Il précise les modifications qu'il ferait s'il construisait à nouveau les tables. Il recommande à Delpech de s'assurer du nombre d'élèves par taille pour faire fabriquer le nombre désiré de tables. Il ajoute qu'il ne lui a pas envoyé le modèle de la table pour les élèves de de 1,45 à 1,55 m. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : Godin adresse un chèque de 42 000 F à Delpech pour l'enregistrement ; il lui demande le montant de ses honoraires et lui signale qu'il fait la même demande à Goblet, car il pense que l'affaire est bientôt terminée. La copie de la lettre est suivie (folio 296r) de la copie de la facture de quatre tables d'écoles livrées à « M. Delpech, adjoint au maire de la ville d'Amiens ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 24 février 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin décrit la bibliothèque de Marie Moret dans le cabinet de travail où elle et lui mènent un travail commun d'études, prétexte du procès intenté par sa femme. Godin justifie que les émoluments perçus par Marie Moret n'ont pas donné lieu à des écritures et qu'elle a la propriété des meubles qui sont chez elle. Godin joint à sa lettre la copie d'une lettre de Vigerie qui est l'objet d'interrogations sur la chronologie d'événements liés à l'affaire ; il justifie des dépenses faites à Londres ; il justifie le recrutement aux côtés de Marie Moret d'une responsable de l'asile choisie par Marie Pape-Carpantier ; il communique la copie du compte des frais de maison qui, d'après lui, montrent que sa femme s'est constitué un pécule avant la demande en séparation. Godin est d'accord avec Favre pour aller le voir à Paris. Il annonce à Delpech qu'il va faire faire une copie des dépenses de famille à Laeken, et qu'il écrit à Oudin-Leclère au sujet de la plainte de sa femme.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 18 juin 1875
Sur des brevets de cuisinières. Godin se plaint que Larue ne s'occupe pas de ses affaires à Vervins : il n'a pas sollicité Cresson dans l'affaire de licitation, Esther Lemaire se fait toujours attendre et il ne répond pas à ses lettres. Sur l'affaire de la haie mitoyenne avec la propriété de Lefèvre père. Sur des taquineries de la mairie de Guise. Sur l'éducation des jeunes travailleurs de l'usine. Sur les caisses du Familistère : Godin ne veut pas qu'elles tournent au profit des invalides et des vieillards du dehors.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut s'assurer de la détermination de Rétout à s'installer au Familistère. Il lui demande s'il a le sens des affaires, s'il est un homme d'initiative et d'organisation. Godin incite Rétout à passer des intentions aux faits. Il lui renouvelle sa demande d'entrevue, au Familistère ou à Paris

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ambroise Rétout, 10 avril 1885
À propos du recrutement d'un enseignant qui ne pourra pas se réaliser, le personnel étant déjà au grand complet dans tous les services de l'association, et sur le manque d'activité des affaires industrielles.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Rétout a adressé à Godin le 9 octobre sa candidature à un emploi d'enseignant dans les écoles du Familistère. Godin l'avertit qu'il cherche non seulement un bon professeur mais aussi quelqu'un capable de diriger et d'organiser l'institution. Il souhaiterait que l'association puisse ouvrir une institution secondaire ou un pensionnat pouvant rivaliser avec l'enseignement clérical. Il demande à Rétout son sentiment sur la question et le prie de lui communiquer ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin fait observer à Rétout que sa lettre du 14 octobre 1881 n'est pas signée, alors qu'un directeur d'école ne doit pas oublier de faire ce qu'il faut. Godin annonce à Rétout qu'il trouvera sa place dans l'association du Familistère s'il ne met pas comme condition absolue à sa venue d'avoir la direction complète de l'instruction et de l'enfance. Il demande à Rétout s'il peut envisager d'occuper une autre fonction que celle de professeur ou de chef d'institution : collaborateur du journal Le Devoir ou son secrétaire pour mettre en ordre ses manuscrits. Il l'invite à venir au Familistère pour en discuter avec lui.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin regrette que Rétout ne puisse trouver le temps pour venir à Guise et découvrir l'association du Familistère ; il lui donne cependant les informations utiles à son voyage en train. À propos des appointements attachés à la fonction de direction des écoles du Familistère. Sur un adjoint [à la fonction de secrétaire] pouvant remplir le rôle de copiste : « Ce qui pourra être le moins agréable pour vous sera de me déchiffrer ; ma rédaction est souvent laborieuse et surchargée. » Sur les émoluments d'une femme pouvant travailler avec Rétout pour l'association du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 9 décembre 1873
Godin demande à Amédée Moret d'aller visiter des établissements d'éducation professionnelle à Paris et dans sa banlieue pour y placer un jeune homme de 14 ans. Il mentionne une école professionnelle fondée par la Ville de Paris boulevard de La Villette comprenant 12 élèves.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe monsieur Brochard qu'à la crèche du Familistère, les enfants sont couchés d'une manière qui permet d'éviter les inconvénients de la méthode des feutres absorbants décrits dans sa brochure L'art d'élever les enfants. Godin décrit les berceaux du Familistère, leur matelas et leur entretien. Il lui envoie la brochure sur le Familistère où il est question du mode de coucher des enfants. Godin souhaite que ses indications sur le mode de coucher les enfants puissent être portées à la connaissance des familles. Il joint à sa lettre des timbres postaux d'une valeur de 16 F pour un abonnement d'un an à son journal La jeune mère et 10 F pour 50 exemplaires de sa brochure L'art d'élever les enfants, à adresser à Marie Moret au Familistère de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Ringuier que le Familistère a besoin de professeurs dans la force de l'âge formés aux méthodes nouvelles alors que la personne est un maître qui a l'âge de la retraite.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Adolphe Hourdequin, 1er juillet 1874
Godin envoie à Hourdequin un article sur des faits qui intéressent la ville de Guise. Il lui laisse entendre que la publication doit être anonyme. Le texte de l'article est copié à la suite de la lettre (folios 204r, 205v) : il porte sur les difficultés que l'administration départementale cause aux écoles du Familistère et décrit leur fonctionnement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 11 octobre 1865
Godin invite Savardan à venir au Familistère. Il répond aux remarques faites par Savardan sur la dénomination des classes de l'éducation au Familistère. Sur le berceau de la nourricerie du Familistère et l'usage du son pour matelas. À propos d'Alphonse Latron : Godin n'est pas favorable à sa venue.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Savardan, 17 octobre 1865
Sur le berceau de la nourricerie du Familistère et l'usage du son pour matelas. Godin décrit l'expérience du berceau du Familistère. Il revient sur la dénomination des classes de l'enfance. Sur Alphonse Latron : Godin confirme à Savardan qu'il serait spécialement engagé à l'égard de Latron, qui, pour venir au Familistère, devrait faire un voyage onéreux et ne disposerait de ressources que celles qu'il pourrait lui offrir ; le Familistère n'est pas un lieu de refuge.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benoist et Cie, 23 novembre 1875
Godin informe Benoist et Fourmestraux qu'il est toujours à la recherche d'un instituteur pour les écoles du Familistère aux appointements de 200 F par mois et d'ajointes aux appointements de 100 à 125 F par mois. Il précise qu'il pourrait donner la direction des écoles à une femme si elle pouvait diriger la 1re classe.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Benoist et Fourmestraux s'ils peuvent lui proposer un instituteur à 200 F d'appointements par mois et une institutrice à 100 à 125 F d'appointements par mois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benoist et Fourmestraux, 7 septembre 1875
Godin explique à Benoist et Fourmestraux qu'il ne fait pas une condition absolue de recruter un instituteur marié à une institutrice, voire simplement marié, même s'il serait satisfait que le mari et la femme prennent ensemble la direction des écoles. Il précise que les appointements des adjointes du chef d'institution sont de 700 à 800 F, pour donner une référence pour les appointements de l'institutrice épouse de l'instituteur.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Benoist et Fourmestraux, 8 septembre 1875
Godin indique à Benoist et Fourmestraux qu'il préférerait un homme de 30 à un homme de 50 ou 59 ans pour occuper la fonction d'instituteur en chef du Familistère, considérant qu'il doit tenir la première classe de l'établissement qui comprend 50 élèves.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Benoist et Fourmestraux : Antoine Sibran ne lui a pas écrit ; Godin pense voir monsieur Guibert et mademoiselle Legrène mercredi prochain à Paris.
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