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FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (1) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur en chef de La Phalange, 17 avril 1843
Godin demande l'envoi, à lui-même ou à monsieur Lhermitte avec qui il partage un abonnement à La Phalange, d'un appel et de deux brochures que mentionne le numéro du 12 avril 1843 du journal à propos de la transformation de La Phalange.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 3 juillet 1843
Souscription d'une valeur de 250 F au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange en journal quotidien, au nom de Godin et à celui de Lhermitte. Sur la diffusion du journal ; Godin suggère l'envoi d'un numéro de La Phalange à monsieur Michaud de Prisches, dont l'abonnement au Siècle pourrait ne pas être renouvelé.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Phalange, 30 avril 1843
Souscription au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange en journal quotidien. Sur le titre du journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Considerant, 16 août 1843
Sur l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Michaud de Prisches. Récit de l'abandon d'un nouveau-né à Bergues, manifestation de la misère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants et directeurs de La Démocratie pacifique, [29 novembre 1843]
Sur la souscription de 250 F au capital de la société formée pour la transformation de La Phalange, envoyée le 3 juillet 1843 et dont Godin n'a pas reçu l'avis de réception. Sur les abonnements de Lhermitte, « mon collaborateur », et de Michaud de Prisches à La Phalange et à La Démocratie pacifique.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 4 novembre 1843
Sur la réalisation de la doctrine phalanstérienne et sa propagande.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 13 octobre 1843
Sur la doctrine phalanstérienne : Godin encourage son cousin à étudier l'œuvre de Charles Fourier et évoque la transformation de La Phalange en journal quotidien, La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Allard, 14 janvier 1844
À propos d'une critique par La Démocratie pacifique de lettres de Gustave de Beaumont parues dans Le Siècle, journal lu par Allard. Sur l'École sociétaire, qui s'est vouée au triomphe de la science sociale en vue de « l'extinction de toutes les souffrances de la société » et de la « conciliation de tous les intérêts ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 12 janvier 1844
A propos de l'abonnement à La Démocratie pacifique. Sur les conditions d'existence des tisserands et des ouvriers du bois de la région du Nouvion-en-Thiérache (Aisne).

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique, 26 janvier 1844
À la suite de la publication dans La Démocratie pacifique du 12 janvier 1844 d'un article reprenant, mais de manière incomplète, les informations communiquées par Godin sur les conditions d'existence des ouvriers tisserands, celui-ci complète sa description pour donner la matière d'un nouvel article dans le journal et ainsi donner aux lecteurs une idée plus exacte de la réalité. Le post-scriptum de la lettre est relatif à l'adresse d'expédition de La Démocratie pacifique à Godin et au réabonnement au journal de Lhermitte à Esquéhéries.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérant directeur de La Démocratie pacifique, 2 mars 1844
Sur une confusion relative au réabonnement souscrit par Godin au nom de Lhermitte à La Démocratie pacifique : le journal est toujours adressé à Godin malgré sa réclamation précédente, et la négligence n'est pas de son fait mais du fait des bureaux du journal.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérant directeur de La Démocratie pacifique, 6 février 1844
Sur une confusion relative au réabonnement de Lhermitte à La Démocratie pacifique. Sur la souscription au capital [de la Société pour la transformation de La Phalange en journal quotidien] : le montant nécessaire n'étant pas atteint, Godin envoie une somme de 125 F dont il pourra retirer les coupons d'actions à Paris lors d'un prochain voyage pour l'exposition des produits de l'industrie. Godin ajoute que la suppression de l'épigraphe de la Démocratie pacifique étonne les lecteurs.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérant directeur de La Démocratie pacifique, 5 avril 1844
Godin demande communication des statuts de la Société de Cîteaux évoquée dans un article de La Démocratie pacifique du 3 avril 1844. Il explique à son correspondant qu'il voudrait lui parler à Paris d'un nouvel instrument aratoire qui pourrait être essayé à Cîteaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 27 août 1844
Sur le renouvellement d'un abonnement au journal [La Démocratie pacifique], l'abonnement de Lhermitte à La Phalange, et la souscription d'un second abonnement à La Phalange.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 5 mai 1844
Godin répond à une lettre de son correspondant et l'informe qu'il doit retarder son voyage à Paris. Sur la colonie sociétaire de Cîteaux. Godin propose de contribuer au capital de la société : « Si la foi et la volonté suffisaient à son avenir, je croirai pouvoir être fort utile, mais les capitaux sont les premiers nécessaires et la fortune n'est pas mon partage. Malgré cela je vous remettrai un pouvoir pour une action quand je saurai où la placer pour le bien de l'œuvre [...] ». « Lorsque les ouvrages de Fourrier (sic) me tombèrent sous la main, j'étais à organiser une fabrication à laquelle il ne manqua dès lors pour ma satisfaction que d'être une œuvre d'avenir mais forcé de réaliser des bénéfices je continuai. Maintenant Cîteaux est venu réveiller en moi le désir de poursuivre l'idée d'une machine destinée à faucher mécaniquement. Cette machine où plutôt ce récolteur conduit par un homme et mue (sic) par deux chevaux pourra suivant mes prévisions faire en moyenne le travail de dix-huit personnes. Si comme je l'imagine Cîteaux possède désormais un atelier de mécanique, sans doute que l'exécution de toutes les machines destinées à l'agriculture y sera au premier rang comme moyen de faire engrener les travaux industriels avec les travaux agricoles ; s'il en est ainsi ce récolteur entrerait avec avantage dans son exploitation ; je me croirai heureux d'avoir pu aider à la prospérité de l'association. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 13 janvier 1845
Godin rappelle à ses correspondants qu'il a souscrit un abonnement à La Phalange au nom de Lhermitte et que le 27 août 1844, il a souscrit un second abonnement à ce journal. Il envoie 60 F pour le paiement des abonnements de Lhermitte à La Phalange et à La Démocratie pacifique et de monsieur Gosse à Prisches (Nord) à La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique, 27 février 1845
Godin informe ses correspondants qu'à la suite de l'appel de La Démocratie pacifique, il a ouvert une souscription pour la médaille d'Eugène Sue. Il envoie 9 F et commande plusieurs ouvrages qu'un représentant de Godin retirera à Paris dans les bureaux du journal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gosse, vers le 20 mars 1845
Jean-Baptiste André Godin informe son cousin Gosse qu'il ira le voir à l'occasion du lundi de Pâques le 24 [mars 1845] et qu'il sera porteur de la souscription pour la médaille d'Eugène Sue.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à l'École sociétaire, 11 août 1845
Réponse de Godin à une lettre de l'École sociétaire qui lui fait « triste impression ». Historique de la participation de Godin au financement de l'École sociétaire. Godin constate que l'École peine à réunir des fonds ; il promet une nouvelle contribution de 500 F : « comptez-y d'autant mieux que je n'ai guère l'espoir de voir l'École échapper au naufrage qui la menace ». Dans le post-scriptum, il annonce une contribution de 150 F de la part de Lhermitte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 10 juin 1845
Godin adresse à ses correspondants trois souscriptions au capital d'une société. Godin demande à consulter les plans, devis et études du phalanstère à édifier pour y contribuer dans les domaines de la caminologie et des appareils de cuisine. Il annonce qu'il déposera à Paris une souscription pour la médaille d'Eugène Sue et pourra retirer à cette occasion les coupons d'actions souscrites.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 décembre 1845
Jean-Baptiste André Godin demande pourquoi sa lettre du 8 décembre est restée sans réponse. Il indique être suffisamment pourvu d'almanachs et souscrit un abonnement de 6 mois au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique au prix de 3 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 8 décembre 1845
À propos d'une circulaire du 16 août mentionnée dans la « Petite correspondance » [de La Démocratie pacifique]. Godin demande l'envoi des titres correspondants aux souscriptions qu'il a déposées à Paris et qu'Allyre Bureau avait promis d'envoyer chez monsieur Doloi à Saint-Quentin. Godin demande qu'on lui adresse des almanachs, et il envoie 8 F pour l'abonnement au numéro de quinzaine [de La Démocratie pacifique] de messieurs Gosse à Prisches, Viéville-Charlemagne à Esquéhéries et Élisée Drucbert rue du Palais-de-justice à Saint-Quentin. Godin reproche à ses correspondants la publication du feuilleton du dernier numéro de quinzaine de la Démocratie pacifique : « On ne devrait pas en infliger de pareils à La Démocratie pacifique ; douze grandes colonnes de papier noircies ! Rien n'a pu rester dans la mémoire de ce que je me suis efforcé d'y lire que la couleur. »

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 12 janvier 1846
Godin demande que monsieur Gosse de Prisches (Nord), nouveau sympathisant phalanstérien, soit inscrit dans la série du dévouement au nombre des actionnaires de La Démocratie pacifique pour la somme de 100 F ; il demande à ce que le titre soit envoyé chez lui et non à Prisches ou chez Doloi à Saint-Quentin. Sur la rente de l'École sociétaire : Godin et Lhermitte versent deux cents francs ; encouragements de Godin. Godin envoie 9 F pour deux abonnements au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique aux noms de Pierre Vaudois à Prisches par Landrecies (Nord) et de Salandre-Dessons à Sains-Richaumont par Guise (Aisne). Sur le titre de monsieur Moricourt-Viéville.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 19 mars 1846
Godin envoie 16 F [dont l'emploi est indiqué à la fin du brouillon de la lettre sur le cahier ARCH-FAM-2021-0-0815]. Sur une pétition lancée par la Démocratie pacifique. Godin évoque la difficulté du libraire de Guise d'obtenir des livres de la Librairie sociétaire, que le Comptoir central de la librairie n'expédie plus.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 21 février 1846
Godin confie à Lhermitte, qui se rend à Paris, sa lettre et ses notes sur les conditions d'existence des ouvriers de la région, comme demandé dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique. Il envoie 33 F pour le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifique et de La Phalange.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 29 avril 1846
Envoi d'un mandat de 61 F pour l'abonnement de Lhermitte d'Esquéhéries à La Démocratie pacifique et à La Phalange, l'abonnement de Caron fils d'Esquéhéries au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique et la contribution de lui-même et de Lhermitte à la rente de l'École sociétaire. Godin indique qu'il compte bientôt aller à Paris. Il fait remarquer que certains abonnés au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique en jugent la lecture trop sérieuse, pas assez amusante et ne renouvelleront pas leur abonnement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 29 avril 1846
Envoi de 6 F pour un abonnement au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique. À propos de deux portraits de Charles Fourier que Véran Sabran, après une visite à Esquéhéries, a promis de faire parvenir à Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 27 novembre 1846
Godin écrit au sujet d'une question de contrefaçon par un concurrent des produits de sa fabrication fondée sur trois brevets de 1840, 1844 et 1846, en indiquant que ce problème personnel n'est pas indifférent à la cause phalanstérienne. Il informe ses correspondants que son concurrent pourrait faire venir de Paris les ingénieurs Chevalier et Migné et leur demande s'il connaissent parmi les phalanstériens de Paris des personnes ayant des connaissances théoriques et pratiques en caminologie qui pourraient intervenir en qualité d'experts dans cette affaire. Il précise que le tribunal désignera les experts le 2 décembre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 1er novembre 1846
L'état de santé de Godin ne lui permet pas de se rendre à Paris. Il envoie 108 F pour des abonnements à La Démocratie pacifique et au numéro de huitaine de la Démocratie pacifique pour lui-même à Guise et pour messieurs Drucbert à l'hôtel Saint-Nicolas à Saint-Quentin et Lécolier, et pour le versement à la rente de l'École sociétaire à son nom et à celui de Lhermitte. Godin commande une douzaine d'almanachs et fait des observations sur la vente de livres par l'École sociétaire : les libraires bénéficient d'une remise de 25 %, il leur achète les livres publiés par l'École avec une réduction de 15 %, alors que lui-même ne bénéficie pas d'avantage lorsqu'il achète directement à la Libraire sociétaire 50 ou 100 F de livres qu'il distribue en partie gratuitement ; Godin envisage de fonder une librairie à Guise. Godin demande des nouvelles de l'École car il ne peut plus lire La Démocratie pacifique depuis deux mois. Observation sur le versement de la rente de l'École sociétaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Constant Cavenne, 7 septembre 1846
À propos d'une séance de magnétisme administrée à madame Avet le 6 septembre : observations sur la méthode pour réduire les souffrances de la patiente.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Martin, 29 novembre 1846
Ne pouvant se rendre à Sains[-Richaumont], Godin écrit à monsieur Martin sur l'indication de monsieur Brasseur pour l'aider dans la propagande des idées phalanstériennes. Godin informe Martin qu'il tient à sa disposition des almanachs et une brochure, et l'invite à le visiter à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 20 décembre 1846
Godin remercie ses correspondants pour leur réponse à sa lettre [du 27 novembre 1846] qui l'informe que monsieur Barral propose de l'assister en tant qu'expert. Il les informe que « notre ami » Godon suit l'affaire au tribunal de Laon. Il demande l'envoi d'une douzaine d'almanachs et indique qu'il a déposé des affiches envoyées par ses correspondants dans une librairie de Guise. Sur un abonnement du « Cercle » de Guise à La Démocratie pacifique. Godin envoie 80 F pour son abonnement à La Démocratie pacifique, le paiement d'almanachs et d'une Grammaire de J. Blanc, et un versement à la rente de l'École sociétaire. Godin s'interroge sur les reçus de ses versements à la rente.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 21 mars 1847
Godin demande que son nom soit inscrit sur la liste des participants au banquet du 7 avril 1847 [commémorant la naissance de Charles Fourier] : « [J']irai cette année participer à cette fête et y communier avec vous dans l'espoir de la prochaine rédemption sociale. »

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 28 février 1847
Godin propose à ses correspondants de publier en feuilleton dans La Démocratie pacifique une nouvelle qu'il a écrite. Godin envoie 6 F pour le renouvellement de son abonnement à La Phalange, à adresser à Guise désormais et non plus à Lhermitte à Esquéhéries, et pour le versement de Godin père à la rente de l'École sociétaire. Il leur signale les numéros de La Démocratie pacifique qui ne lui sont pas parvenus.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, vers le 29 septembre 1847
Sur une erreur d'adresse d'envoi de La Démocratie pacifique. Godin a demandé au facteur de remettre le numéro au Cercle de Guise. Godin envoie 6 F pour un abonnement de monsieur Dourlet, contremaître de fabrique à Guise, au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 24 juillet 1847
Godin envoie 147,50 F pour les abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et les versements à la rente de l'École sociétaire de lui-même, de Gosse à Prisches (Nord) et de Lhermitte à Esquéhéries. Il signale que Gosse, qui bénéficiait d'un abonnement annuel à La Démocratie pacifique n'a reçu le journal que pendant trois mois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 31 octobre 1847
Godin répond à une demande de précisions sur les connaissances théoriques nécessaires et les appointements liés à l'emploi de direction industrielle que Godin cherche à pourvoir parue dans la « Petite correspondance » de La Démocratie pacifique du 28 octobre 1847. Il fait un rapide historique de sa manufacture, et précise qu'une condition indispensable du succès est qu'il puisse se consacrer à la création de nouveaux modèles mais qu'il est absorbé par les questions commerciales, surtout depuis le départ de son frère. Il explique ce qu'il attend du candidat au poste de direction industrielle et indique le montant des appointements auxquels il pourrait prétendre. Godin assure que le service que lui rend La Démocratie pacifique bénéfice également à la cause phalanstérienne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à ses correspondants qu'il leur a envoyé une annonce pour le recrutement d'un voyageur de commerce qui n'a paru qu'une seule fois, sans résultat, dans le numéro du 11 avril 1847 de La Démocratie pacifique : « Je me suis dit si le nombre des insertions est la mesure du dévouement, je suis au nombre des dévoués méconnus. » Godin souhaite que soit à nouveau publiée une annonce au titre de l'entraide entre phalanstériens, non seulement pour un voyageur de commerce mais aussi pour la direction sous sa surveillance d'un établissement employant 50 ouvriers à fondre le fer et le cuivre et à l'ajustage des pièces d'appareils de chauffage. Godin envoie 30 F et demande l'envoi d'un traité de phrénologie et des almanachs, ainsi que des reçus des versements à la rente de l'École sociétaire par lui-même et Lhermitte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 10 novembre 1847
Godin évoque une proposition que lui fait La Démocratie pacifique à travers sa « Petite correspondance ». Il commande des ouvrages pour un montant de 39 F, et leur demande d'ajouter éventuellement « ce que vous croirez de plus nécessaire pour une ville neuve à l'idée sociétaire ». Il indique qu'il déposera les livres chez « l'ancien libraire du comptoir » et demande s'il pourra lui accorder une remise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 23 décembre 1847
Godin envoie 103 F, auxquels s'ajoutent 14 F versés par Véran Sabran à La Démocratie pacifique ; il renouvelle plusieurs abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et réalise des versements à la rente de l'École sociétaire en son nom et aux noms de Gosse, dont la nouvelle adresse est au Petit-Fayt près d'Avesnes dans le Nord, et de Véran Sabran. Godin communique l'adresse de son dépositaire à Paris à l'intention de Véran Sabran.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 2 février 1848
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin rappelle à Cantagrel qu'il avait saisi l'année précédente La Démocratie pacifique de la question d'un procès en contrefaçon. Il explique à Cantagrel qu'un expert a rédigé pour son adversaire un rapport qui est le fruit de l'ignorance et de la mauvaise foi, qu'il a demandé à leur ami commun monsieur Curé de Fargniers de rédiger un rapport démontrant les erreurs de cette expertise, et qu'il compte se rendre à Paris pour soumettre le travail de Curé à une personnalité pouvant faire autorité en la matière auprès du tribunal. Il demande si Cantagrel peut lui présenter quelqu'un, mentionne le nom de Boquillon, bibliothécaire du conservatoire [des arts et métiers], et précise que les appareils qu'il fabrique sont visibles dans son dépôt à Paris. Godin évoque son étude sur la suppression des cheminées d'un phalanstère et son roman, promis l'année précédente mais retardés par le procès.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 9 mars 1848
Godin fait parvenir à ses correspondants un travail de monsieur Cavenne, phalanstérien de Leschelle. Il souscrit un abonnement de trois mois à La Démocratie pacifique au nom de Jacques-Nicolas Moret de Brie-Comte-Robert et envoie un mandat de 8 F à cet effet. Godin communique à ses correspondants ses réflexions sur la situation politique dans le pays : les socialistes à Paris se trompent sur le sentiment de la population ; le peuple des campagnes n'est pas enthousiaste de la révolution et de l'idée de son émancipation prochaine, il est abandonné à lui-même et a faim ; les riches, autrefois apôtres du progrès social sont atterrés et craignent l'explosion des ressentiments du peuple ; Godin s'interroge sur le résultat des élections prochaines, étant donné l'opposition des intérêts des bourgeois et des travailleurs ; les notabilités de Guise se méfient du peuple, aussi Godin songe-t-il à être candidat aux élections par le moyen d'une circulaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 8 mars 1848
Godin répond à une lettre de Jacques-Nicolas Moret. Il évoque les événements de février 1848, auxquels il a participé à Paris, qui « vont peut-être entraîner la transformation sociale et réaliser le bonheur pour tous sur la terre ». Godin exprime le regret que son cousin n'ait pas étudié la doctrine phalanstérienne et il lui recommande la lecture de L'organisation du travail de Mathieu Briancourt et du Nouveau monde industriel et sociétaire de Charles Fourier. Il l'assure qu'il est capable de comprendre les œuvres du Maître qu'on peut se procurer à la Librairie phalanstérienne au 25, quai Voltaire à Paris. Godin annonce à Moret qu'il souscrit pour lui un abonnement à La Démocratie pacifique : « Courage, peut-être serez-vous un des travailleurs qui vont être appelés à édifier le palais de l'avenir. » Il transmet le souvenir de son épouse [Esther Lemaire].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 14 mars 1848
Godin informe ses correspondants qu'il vient d'écrire à Glatigny et Godon de Laon et à Curé de Fagniers pour leur proposer de s'unir afin de s'adjoindre un journal, par exemple Le Courrier de Saint-Quentin, pour diffuser leurs idées auprès des travailleurs en distribuant gratuitement le journal dans les auberges et les lieux publics. Godin affirme qu'ils ne pourront obtenir une majorité qu'avec le concours des travailleurs, et leur annonce qu'il se rendra le lendemain avec Véran Sabran pour mettre à exécution ce projet. Il demande quels rapports ses correspondants ont avec monsieur Dufour et s'ils connaissent des personnes pouvant l'aider. Il leur indique qu'il se trouvera au Café français. Godin envoie 8 F pour l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Gosse de Petit-Fayt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Glatigny, Godon et Curé, 14 mars 1848
Godin écrit à Glatigny, Godon et Curé en qualité de membre actif de la Révolution de février 1848 et de représentant du centre de l'École sociétaire pour les inciter à se présenter aux prochaines élections et leur proposer un plan d'action pour faire campagne auprès des travailleurs : se servir du journal Le Courrier de Saint-Quentin, actuellement disponible, pour faire valoir leurs idées et les diffuser gratuitement dans toutes les auberges et lieux publics du département de l'Aisne. Godin les informe qu'il se rend le lendemain à Saint-Quentin pour réaliser ce projet avec Véran Sabran et qu'il les y attendra jusqu'au 16 mars. Il indique que son adresse sera au Café français.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godon, 2 avril 1848
Godin demande à Godon sa profession de foi pour les élections afin qu'il puisse lui faire ses observations. Il affirme à Godon que le mouvement de l'opinion lui semble favorable et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise. Il envoie à Godon sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires. Godin encourage Godon à se montrer actif à Laon, lui envoie le programme des travailleurs de Guise et espère qu'il fera insérer sa profession de foi et celle de Véran Sabran dans les journaux de Laon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lejeune, 2 avril 1848
Godin indique à son correspondant qu'il est recommandé par La Démocratie pacifique pour être candidat aux prochaines élections. Godin l'informe qu'il compte obtenir à Guise deux à trois mille voix, l'invite à le rejoindre et prône l'union des phalanstériens. Godin envoie à Lejeune la profession de foi de Véran Sabran et la sienne et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Curé, 2 avril 1848
Godin, sans nouvelles de Curé, lui demande s'il s'occupe des élections. Il envoie à Godin sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande s'il veut en recevoir d'autres exemplaires. Il indique à Curé qu'il a fait tirer la sienne à deux mille exemplaires, qu'en s'entraidant, les phalanstériens pourraient obtenir de bons résultats et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Sauzet, 5 mai 1848
Godin envoie à Sauzet le texte modifié d'une chanson qu'il a composée. Sur l'affaire de contrefaçon Degon : Godin demande à Sauzet de presser messieurs Bureau et Barral pour l'envoi des pièces d'un procès que Godin leur a confiées.
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