FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (18) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin attend des explications de Richon sur les raisons de l'arrêt des travaux de sondage depuis deux mois. Godin estime qu'après les accidents successifs signalés par Richon, il n'est pas possible de poursuivre le sondage dans le trou actuel.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Richon a été peiné par la lettre de Godin du 28 juillet 1876. Godin estime qu'il est nécessaire qu'il se préoccupe des retards des opérations. Il reproche à Richon d'avoir tardé à se rendre compte des défauts du matériel ou qu'il n'a pas pensé à filtrer l'eau qu'il utilise. Il juge que Richon a fait, depuis trois mois qu'il se trouve à Sardy, preuve d'imprévoyance ou de manque d'expérience pratique. Dans le post-scriptum, Godin signale à Richon que Boussard a évoqué le sondage de Cuzy en lui écrivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur l'encaissement du prix d'un cheval vendu à M. Rigault. Godin l'informe qu'il attend le beau temps pour lui rendre visite et demande à Richon de lui retenir une chambre à l'hôtel de la Poste le moment venu. Sur la solidité de l'emballage des pierres envoyées par Richon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Richon que Henri de Hulster se rend à Sardy pour reprendre le travail à sa place et que c'est lui-même qui sera responsable du matériel de Richon. Il l'avertit qu'il se rendra à Sardy quand Henri de Hulster le lui demandera. Godin informe Richon que Henri de Hulster réceptionnera en son nom son matériel. Il lui signale qu'Alexandre Tisserant a écrit à Larrivé pour faire une petite modification dans leur convention.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richon des informations sur l'aspect de l'eau au fond du trou de sondage. Il l'avertit qu'il lui envoie un paquet de papiers fermés pour l'envoi d'échantillons.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin rappelle à Richon que Tisserant est allé à Sardy pour trouver les moyens de poursuivre le travail, que Richon a voulu poursuivre le travail par lui-même, qu'il lui a soumis un contrat en ce sens, confirmé à Guise par son beau-père, mais qu'il a depuis refusé d'exécuter ses propres propositions sur le dégagement du trou de sonde. Godin avertit Richon qu'il devra faire appel à la justice pour faire appliquer le contrat qui les lie, sauf s'il revient à une interprétation raisonnable du contrat.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Sur les travaux de sondage : une pièce de fer et d'acier fait obstacle au fond du trou du sondage de Sardy ; les informations communiquées par Richon laissent Godin dans l'incertitude quant à l'avancement des travaux ; Godin veut savoir si Richon peut trouver une solution au problème avant d'abandonner le sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richon de lui donner des nouvelles du sondage.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Richon a informé Godin le 28 février 1877 qu'il avait reçu la visite de Larrivé et qu'il avait réussi à dégager la sonde, et le 5 mars suivant que la sonde était retombée au fond du trou. Godin est sans nouvelle de Richon depuis. Il demande à Richon s'il est prêt à trouver un arrangement pour que la suite du travail soit confiée à quelqu'un d'autre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait des observations sur les échantillons envoyés par Richon et sur le matériel employé pour le sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin répond à la lettre de Richon du 19 février 1877, qui l'informe de l'arrêt du sondage et propose l'abandon de celui-ci. Godin demande à Richon quelles sont les causes de l'arrêt du sondage. Il l'informe qu'il lui envoie monsieur Larrivé pour lui rendre compte de la situation d'une façon complète. Godin juge que c'est une chose grave d'abandonner un trou de sondage profond de 120 m commencé depuis deux ans, dont l'arrêt est dû à la direction du travail et non aux difficultés du terrain.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin informe Richon qu'il rentre de voyage et trouve sa lettre qui lui apprend que son travail a commencé. Il accuse réception des échantillons de sol.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin explique à Richon qu'il ne peut lui confier la surveillance des travaux de sondage de Sardy puisqu'il renonce à conduire ces travaux. Il lui annonce qu'il va venir voir avec une personne qualifiée s'il est possible de dégager la sonde du fond du trou et si le sondage peut être continué ou non. Godin fait référence au traité passé entre lui et Richon.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin estime que Richon met trop de lenteur dans ses travaux et qu'en vertu de leur traité, il ne peut lui verser aucune avance de fonds.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin se plaint de ne pas avoir de nouvelles de Richon depuis la lettre de celui-ci du 18 octobre 1876 annonçant qu'il était sorti de ses embarras.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin envoie 500 F à Richon tout en regrettant les lenteurs des travaux de sondage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin accuse réception de la lettre de Richon du 24 mars 1877 qui convient d'une entente avec lui. Il lui décrit ce qu'il compte faire à Sardy pour dégager le trépan du fond du trou de sondage et demande son avis à Richon tout en lui annonçant qu'il viendra avec un entrepreneur de sondage et un bon contremaître. Godin demande à Richon quand il sera de retour de Bordeaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait des observations sur la préparation des échantillons envoyés par Richon. Il lui demande s'il a recouvré le montant de la vente des chevaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin fait référence aux lettres de Richon des 18 et 25 octobre pour évoquer les travaux de sondage. Sur un procès avec Imphy relatif à la cassure d'une tige de trépan.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à Richon des nouvelles des travaux de sondage. Il s'inquiète de la lenteur de l'avancement des travaux qu'il attribue au matériel venu d'Allemagne et du nord de la France. Sur les envois de Richon. Godin demande des informations sur le sondage de Cuzy, entrepris par une compagnie parisienne, dont Boussard lui avait dit quelques mots.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Richon qu'il doit renforcer l'enveloppe des paquets des échantillons de sol qu'il lui envoie car la poste se plaint qu'ils se déchirent. Il lui demande s'il sait quelque chose du sondage de Cuzy et s'il a reçu la visite de monsieur d'Aunay, député.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Maurin du 24 septembre dernier en lui faisant remarquer que les réponses à ses questions se trouvent dans le livre Solutions sociales qu'il dit avoir lu. Sur les assurances contre la maladie au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Topin du 16 mai 1877 en l'informant qu'il est prématuré qu'il vienne à Guise car les travaux des plafonds du nouvel édifice en chantier au Familistère ne pourront débuter qu'au commencement de l'année prochaine.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Toulet de compléter la lettre qu'il lui a écrite avec des plans de la cheminée en question.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Viéville du 17 février 1877 en lui indiquant qu'il n'est pas disposé à faire le prêt évoqué par son correspondant. Il lui demande toutefois de quelle propriété il s'agit.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Viéville qu'il ne donne pas suite à sa proposition qui est une opération bancaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Viéville que le maire de Liesse a reçu un exemplaire de la pétition [relative au chemin de fer du Cateau à Saint-Erme] et il espère qu'elle a été présentée à la signature des habitants de la ville. Il lui indique que, dans le cas contraire, il pourrait copier la pétition sur les numéros du Courrier de l'Aisne du 25 ou du 26 juillet et la faire signer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Parmentier que les élections auront probablement lieu plus tôt que prévu. Il regrette de ne pas l'avoir vu à la réunion de lundi au cours de laquelle le manifeste qu'il a présenté a été adopté. Il lui signale que monsieur Moret n'a pas encore signé et il lui demande s'il peut le remplacer en tant que signataire par un de ses conseillers municipaux, Ducatte ou Meunier de Marlinpèche. Il l'invite à déjeuner avant qu'il ne parte quelques jours et qu'il ne fasse imprimer le manifeste.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des récépissés de la Banque de France des 33 500 F de rente déposés au nom de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Muller a écrit au mois de mai dernier à Godin pour lui demander des renseignements sur le traité de commerce entre la France et l'Angleterre. Godin est en peine de lui donner l'état de l'opinion de l'industrie française sur le traité car les avis varient suivant la différence des intérêts, même si les résistances à la liberté des échanges s'effacent : le Midi est favorable à l'abaissement des droits pour ses vins et ses soieries ; la métallurgie n'y est pas favorable car elle prend ses matières premières à l'étranger et l'Angleterre a sur la France l'avantage d'un prix de revient moins élevé sur les produits manufacturés ; le commerce fait cause commune avec le consommateur en faveur du bon marché. Sur les acquits à caution. Godin questionne Muller sur le placement de capitaux dans les warrants en Angleterre : il informe Muller qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent ; il lui demande s'il connaît le moyen d'acheter de façon sûre les warrants au comptant car il ne possède pas de capitaux disponibles à Londres.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Paul Foucart qu'il fera poursuivre Bonnaire, de mauvaise foi, dès le retour d'Alexandre Tisserant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la faillite de Nison père et fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un article de Limousin paru dans le Journal des économistes. Sur un plan conçu par monsieur Boutin, que Godin ne croit pas aisément applicable. Godin remercie Leymarie d'avoir empêché l'envoi d'une parure de corail à Marie Moret « dont elle n'a que faire ». Il lui annonce qu'il part le lendemain voir le docteur Slade. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leymarie que la session du conseil général lui permet de se trouver à Guise et de l'accueillir. Il lui signale que les écoles du Familistère vont être en vacances les jours qui vont précéder la fête de l'Enfance du dimanche 2 septembre. Il lui semble qu'il ne trouvera pas à la fin de la semaine le calme nécessaire aux expériences spirites qu'il a proposé de faire. Il l'invite à venir avant le jeudi suivant, ou alors pour la fête de l'Enfance ; il précise que le lundi suivant la fête, l'usine reprendra ses travaux mais que les enfants resteront en vacances toute la semaine. Godin demande à Leymarie quand il compte venir au Familistère en compagnie de son médium.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Leymarie du 15 septembre 1876. Madame Leymarie regrette de n'avoir pu s'entretenir avec Godin « des points de contact qui existent entre nous », mais on a fait à Godin dans les bureaux [de la Revue spirite] la promesse de le conduire dans des réunions spirites de la prochaine saison. Godin indique qu'il se rendra volontiers à ces réunions avec Marie Moret, et qu'il connaît les faits de spiritisme depuis 1855 et ceux de magnétisme depuis plus longtemps encore. Il comprend la souffrance de Leymarie qui doit, comme lui-même, faire face à l'injustice et à la persécution. Sur l'efficacité pratique du spiritisme : « Homme pratique et réalisateur, je n'ai vu jusqu'ici dans le spiritisme que des confirmations ou des développements abstraits de la véritable morale, mais je n'y ai trouvé rien sur les voies pratiques de la justice et du bien dans les sociétés, rien sur la forme des institutions à réaliser pour que les directions humaines soient en parfaite concordance avec la charité et le devoir social. » Selon Godin, la question religieuse est intimement liée à la question sociale ; il pense que les hommes doivent être unis dans un sentiment universel commun. Il explique que le Familistère n'est pas un paradis mais un jalon planté sur la voie des réformes sociales. Godin assure Leymarie qu'il serait heureux si sa réponse « apportait quelque distraction aux ennuis de votre prison ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de lui procurer le livre de William Crookes, Phénomènes spirites. Il informe Leymarie qu'il a reçu une lettre de Georgina Weldon, qui a exprimé le désir de visiter le Familistère avec trois personnes après une conversation avec lui : il lui a indiqué qu'elle devrait se loger dans un hôtel de la ville ; il n'a plus entendu parler d'elle. Il prie Leymarie d'indiquer aux personnes désireuses de visiter le Familistère qu'il existe des hôtels en ville car il ne peut les recevoir toutes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Daillié des renseignements sur les opérations de sondage réalisées dans sa contrée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Goblet qu'après leur entrevue et sur sa suggestion, il a fait réaliser [par Tisserant] un travail qu'il adressé à Delpech et que ce dernier lui a probablement communiqué. Il lui annonce que Tisserant pourra se rendre à Amiens lui exposer le fondement des chiffres présentés dans ce travail.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin réagit aux propositions de transaction avec Esther Lemaire que Goblet lui a soumises, dont le montant s'élève à 1 million de francs, principal et intérêts compris, chiffre proposé par le premier président du tribunal civil. Godin estime que le sacrifice est énorme ; il évoque une atténuation des intérêts et une dotation à son fils Émile. Il se demande s'il ne ferait pas mieux d'attendre la licitation, mais accepte la transaction à 1 million à condition que l'intérêt ne soit pas supérieur à 4 %.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. René Goblet considère que la répartition de la licitation défendue par Godin, 5/7e pour lui et 2/7e pour la communauté, est exagérée. Godin prend en compte l'observation de Goblet ; il se range à son avis et à celui de Tisserant sur la répartition, même si c'est le travail de toute son existence qui est en question. Godin évalue les conséquences financières d'une répartition 2/6e pour la communauté et 4/6e pour lui, et demande à Goblet de lui faire part de sa décision sur la répartition à proposer. Dans le post-scriptum, il annonce qu'il envoie à Delpech le plan, que la note jointe commente. La dite note distingue les bâtiments teints en carmin (construit après 1863), les bâtiments en gris (dont l'affectation n'a pas changé depuis leur construction) et les bâtiments en rose (servant d'ateliers et de magasins provisoires puis convertis en ateliers) ; elle précise que le sol des ateliers est pavé de ciment, que des voies de chemins de fer traversent tous les ateliers, et que des conduites de gaz permettent d'éclairer chaque ouvrier par un bec.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Goblet le montant de ses honoraires, alors que le plus gros de son affaire de liquidation est résolu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre se trouvant dans les mains de Guillaume Ernest Cresson. Godin veut prouver que les faits présentés par Goblet à la cour d'Amiens sont avérés en produisant les originaux et les copies des lettres de la correspondance qui a eu lieu à ce sujet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Goblet deux chèques d'un montant total de 6 500 F en paiement de ses honoraires. Godin demande à Goblet si cette évaluation de ses honoraires lui semble convenable, compte tenu de l'important service qu'il lui a rendu en le débarrassant de ce procès, même au prix du versement d'une somme énorme [à Esther Lemaire].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin rappelle à Wilkes qu'il a pris en France en 1849 un brevet pour la fabrication de boutons de porte en fonte creuse à une seule ouverture ; il lui explique qu'une maison française veut s'arroger le privilège de fabriquer de tels boutons et prétend que les procédés décrits par Wilkes sont impraticables. Godin demande à Wilkes s'il a lui-même fabriqué en Angleterre des objets creux par le procédé de son brevet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 25 bouteilles d'eau de Spa du Pouhon du Prince de Condé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la carte postale de Pagliardini. Il l'informe qu'Émile est arrivé à Guise souffrant, mais qu'il va mieux. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin remet à Pagliardini une lettre à Wilkes, auteur en 1849 du brevet sur la fabrication de boutons de porte que Boucher et Cie a fait breveter à nouveau ; il demande à Pagliardini de traduire la lettre et d'essayer d'obtenir une réponse. Sur la réforme de l'orthographe : Godin apprécie l'idée de Pagliardini de poser les règles d'une nouvelle orthographe en tête du papier à lettres servant à la correspondance ; « Il faut être anglais pour trouver des inventions aussi pratiques ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il se rendra le lendemain au conseil général de l'Aisne. Il l'informe que son mandat de conseiller général est la seule fonction politique qu'il a conservée : « J'ai réellement quitté la vie politique, dégoûté des compétitions du monde officiel et de la stérilité de son action. » Il lui explique qu'il a installé le moulage mécanique à Guise, une révolution dans l'art de la fonderie, qu'il faut encore perfectionner. Sur l'état de l'Europe et de la France : « il ne faut pas s'y tromper, les républicains d'aujourd'hui seront bientôt les conservateurs d'hier ; le monde de la richesse gouverne et ne gouverne que pour son intérêt. Voilà la plaie de notre temps ; il est difficile de prévoir comment la société s'en guérira. » Il félicite Pagliardini pour son engagement en faveur de l'amélioration du sort des classes laborieuses en Angleterre et de celui des femmes ouvrières en particulier. Il estime que l'œuvre du Familistère est trop avancée pour l'époque. Il indique que l'Angleterre ne semble plus avoir l'attrait d'autrefois pour son fils Émile et qu'il n'a pas reçu de lettre de Kate Stanton. Il accuse réception de l'article de Pagliardini paru dans Le Télégraphe sur la guerre : « J'ai donc vu avec plaisir votre conclusion et je dis avec vous "Guerre à la guerre ! Honneur à la paix !" Car sans la Paix, il n'est pas de salut pour l'humanité. » Godin transmet aux sœurs de Tito Pagliardini ses compliments et ceux de Marie Moret et d'Émile Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Pagliardini de s'être occupé de la lettre à Samuel Wilkes. Il lui précise que son fils avait obtenu l'adresse de Wilkes auprès de messieurs Carpmail et Cie, agents de patentes, au 24, Southampton Buildings à Londres, qui pensaient que la fabrique de Wilkes avait changé de propriétaire. Godin voudrait savoir si la fabrique a produit des boutons de serrure et des poignées de porte en fonte creuse selon les procédés patentés de Wilkes et souhaite obtenir des déclarations authentiques à ce sujet. Il demande à Pagliardini s'il veut bien s'en occuper en se concertant avec les agents de patentes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Le directeur de la Compagnie chanvrière et linière a demandé le 1er août à Godin des renseignements sur l'économat du Familistère. Il lui explique que jusqu'ici, il s'agit d'un ensemble de magasins gérés pour son compte. Il lui suggère de venir au Familistère. Il l'informe qu'il va se rendre à la session du conseil général, mais qu'il peut venir en son absence.
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