FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Collection : Godin_Registre de copies de lettres envoyées_CNAM FG 15 (18) (Correspondance active de Jean-Baptiste André Godin)

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret remet à Pézieux des exemplaires à vendre des ouvrages de Jean-Baptiste André Godin. Elle précise que l'ouvrage Les socialistes et les droits du travail est épuisé.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond en l'absence de Godin à mademoiselle Cazé qui présente une note de frais de voyage de 25,40 F pour elle et sa mère. Marie Moret fait observer qu'elles auraient mangé à Cambrai comme à Guise et qu'ainsi les frais de nourriture ne devraient pas être pris en compte, pas davantage que les frais de voyage de la mère de mademoiselle Cazé qui s'était même offerte le 29 août dernier de venir à Guise sans que ses frais soient payés. Marie Moret lui adresse cependant un mandat postal de 10,40 F en plus de ses frais personnels dont elle a été indemnisée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin écrit à Bauchart à la suite d'une conversation qu'ils ont eue. Sur le chargement des wagons de la compagnie : Godin préfère s'en tenir à l'usage consacré qui veut que les industriels qui font leurs chargements eux-mêmes ne paient que 0,20 F de frais de gare au lieu de 0,75 F. Godin propose à Bauchart de se charger lui-même du chargement des wagons fournis par la compagnie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de Bauchart du 30 septembre 1876 lui faisant part de la décision de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise sur le tarif de transport de marchandises. Godin informe Bauchart que ce tarif est moins avantageux que le tarif du transport actuel et ne lui permet pas de se défaire de son matériel de transport. Il adresse à Bauchart un tableau comparatif des prix anciens et nouveaux montrant que sa compagnie demande 1,20 F de plus par tonne dans la direction de l'Est, 0,58 F de plus dans la direction du Nord et 0,26 F de moins dans la direction de Paris et de l'Ouest. Godin considère que ce tarif ne lui donne pas la possibilité de faire transporter ses marchandises par sa compagnie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande aux rédacteurs des journaux de publier une offre d'emploi pour un instituteur et une institutrice capables de tenir les classes d'une école libre de filles et de garçons.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à son correspondant qu'il sera absent la semaine à venir et il l'invite à venir chez lui le lundi 30 juillet 1877 pour qu'il lui soumette le projet de manifeste électoral qu'il a rédigé à sa demande.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du tarif de la Compagnie accompagnant la lettre de Mariolle-Pinguet du 12 avril 1877. Godin accepte les conditions du tarif et signale que des employés de la manufacture ont déjà chargé des wagons à la gare de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le président du tribunal de commerce de Vervins qu'il lui sera impossible de se rendre à sa convocation car il se trouve à Amiens jusqu'au mercredi suivant pour une affaire devant la cour d'Amiens. Il le prévient qu'il ne lui semble pas possible qu'un arrangement ait pu être conclu sous les yeux du tribunal, alors que 5 ou 6 longues conférences entre l'administration du chemin de fer et lui n'ont pu aboutir à un accord, et il souhaite que le tribunal rende son jugement. Il annonce qu'il serait prêt à conclure une convention avec la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise si celle-ci offrait des conditions acceptables comme celles que propose aux industriels la Compagnie du chemin de fer du Nord.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle au président du tribunal sa lettre du 22 janvier 1877. Le tribunal a reporté d'une quinzaine la comparution de Godin et du représentant de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, Godin s'est rendu à Vervins le lundi précédent, mais la comparution a été à nouveau reportée car l'ingénieur de la Compagnie n'était pas disponible. Godin estime que sa comparution est inutile. Dans la mesure où la Compagnie lui interdit depuis un an l'accès à la gare de Guise, qu'il s'agit d'une situation inédite faite à une industrie employant 1 200 ouvriers située à l'entrée d'une gare de chemin de fer et ne demandant que l'application des règles de droit commun, Godin demande au tribunal de rendre son jugement.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin soumet au président du tribunal une antériorité au brevet Scellier n° 85565 exposée à la page 265 de l'édition de 1858 du Traité de la fonderie telle qu'elle existe aujourd'hui en France et de ses applications à l'industrie par A. Guettier, aujourd'hui directeur gérant de la Société anonyme des fonderies et ateliers de construction de Tergnier-Fargniers. Godin indique que la fonte d'objets creux à une seule ouverture se pratique depuis longtemps dans beaucoup de fonderies, notamment dans la fonderie dirigée par Guettier, alors que le procureur de la République a affirmé que seuls Boucher et Cie avaient résolu le problème dans les procédés décrits soit dans leur brevet n° 74 500 soit dans le brevet Scellier n° 85 565. Godin avance que Wilkes avait parfaitement résolu le problème dès 1849 dans son brevet n° 9 130 sur les boutons de porte, et il précise qu'il en a fait l'expérience dans sa fabrication. Godin explique que le brevet Wilkes de 1849 est tombé dans le domaine public avant 1867, et que la reconnaissance de l'exclusivité de Boucher et Cie sur la fonte de pièces creuses à une seule ouverture blesse à la fois l'équité et le droit. Il ajoute que son avoué Larue a communiqué à l'avoué de Boucher et Cie le passage concerné du traité de Guettier. Sur le folio 269r est copiée une liste d' « Experts à proposer dans l'affaire Boucher » comprenant les noms de Dehaître père, fondeur constructeur à Soissons, Joseph Despret, fondeur directeur de la Compagnie des mines d'Anzin, Guettier, administrateur de la Compagnie anonyme des fonderies de Tergnier-Fargniers au 232 rue Saint-Antoine à Paris, Schreibert, fondeur constructeur, fondateur de l'École de dessin industriel de Saint-Quentin et Hanquez, ingénieur fondeur à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin propose à la commission administrative de l'hospice de Guise d'acquérir un passage entre son usine et une ferme attenante à l'hospice. Il rappelle au président qu'il a déjà acquis par le passé plusieurs terrains à l'hospice au prix de mille francs l'hectare.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin communique au préfet de l'Aisne la déclaration d'ouverture d'une librairie au Familistère adressée au ministre de l'Intérieur.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique au préfet que la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise a soumis à son homologation un tarif spécial pour les produits en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, suivant lequel la Compagnie est exonérée de toute responsabilité en cas de dommage causé aux marchandises. Godin proteste contre cette mesure, qui revient à une interdiction d'utiliser les services de la Compagnie. Godin demande au préfet de refuser d'homologuer ce tarif.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin informe le préfet que lui-même, Malézieux, Soye, Leroux, Maréchal, Ringuier et Fischer, membres de la commission d'étude du projet d'école normale de Laon, sont allés visiter l'école normale en construction à Douai, et qu'ils ont été accueillis par le recteur de l'académie, l'inspecteur d'académie de Lille, le directeur de l'école normale et l'architecte. Il indique que l'architecture est en briques rouges et blanches. Il fait part des réserves de la commission sur l'exiguïté des salles, sur le manque de rigidité des planchers des dortoirs en raison de la grande portée des poutres sans colonnes de soutien, sur la trop grande surface des fenêtres des dortoirs, cause de courants d'air, et sur l'inadéquation des moyens de ventilation. Il explique que la commission estime que l'école normale de Douai n'est pas un modèle pour le département de l'Aisne et qu'elle est partisane de demander à l'architecte Georges Ermant de nouvelles études. Godin interroge le préfet sur les crédits nécessaires à ces études et sur la tenue prochaine d'une réunion de la commission pour faire le choix d'un architecte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin retourne au préfet de l'Aisne un questionnaire sur les tarifs des chemins de fer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la construction de l'école normale de Laon. Godin envoie au préfet le manuscrit du compte-rendu de la séance de la commission d'étude du projet d'école normale et du rapport lu dans cette séance, afin qu'il le fasse imprimer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de sa correspondante en l'informant qu'il va prendre des renseignements sur elle et qu'elle peut venir le voir à Guise à partir du mardi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Déclaration d'ouverture d'une librairie au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe le maire de Guise qu'il a soumis aux commissions des caisses de retraite de son usine la pièce qu'il lui avait soumise, et que les commissions ont décidé qu'elles n'avaient pas à intervenir dans la mesure où Gernelle était un enfant de Guise dont le cas relevait de l'administration publique et que les secours qui lui étaient prodigués devaient se poursuivre sous la même forme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Legrand qu'il le préviendra du jour où ce dernier pourra faire l'affichage de l'arrêté relatif au projet d'alignement des rues d'Aisonville, qui donne lieu à l'enquête qu'il doit conduire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit le maire d'Aisonville qu'il peut afficher le projet d'alignement des rues de la commune. Il lui demande à quels jours et à quelles heures l'enquête doit avoir lieu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit le directeur du Comptoir d'escompte de Paris que son fils Émile se présentera le mercredi 21 mars 1877 à la banque pour y percevoir 100 000 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie un mandat postal de 13 F pour un abonnement d'un an au Bulletin du mouvement social et l'achat des numéros parus en 1876, à adresser à Max Veyrac, Post Office Plattsmouth, Nebraska aux États-Unis.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de son correspondant du 18 novembre 1875 en lui confirmant qu'il pourra le trouver chez lui le vendredi suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Le directeur de la Compagnie chanvrière et linière a demandé le 1er août à Godin des renseignements sur l'économat du Familistère. Il lui explique que jusqu'ici, il s'agit d'un ensemble de magasins gérés pour son compte. Il lui suggère de venir au Familistère. Il l'informe qu'il va se rendre à la session du conseil général, mais qu'il peut venir en son absence.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin remercie Pagliardini de s'être occupé de la lettre à Samuel Wilkes. Il lui précise que son fils avait obtenu l'adresse de Wilkes auprès de messieurs Carpmail et Cie, agents de patentes, au 24, Southampton Buildings à Londres, qui pensaient que la fabrique de Wilkes avait changé de propriétaire. Godin voudrait savoir si la fabrique a produit des boutons de serrure et des poignées de porte en fonte creuse selon les procédés patentés de Wilkes et souhaite obtenir des déclarations authentiques à ce sujet. Il demande à Pagliardini s'il veut bien s'en occuper en se concertant avec les agents de patentes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Pagliardini qu'il se rendra le lendemain au conseil général de l'Aisne. Il l'informe que son mandat de conseiller général est la seule fonction politique qu'il a conservée : « J'ai réellement quitté la vie politique, dégoûté des compétitions du monde officiel et de la stérilité de son action. » Il lui explique qu'il a installé le moulage mécanique à Guise, une révolution dans l'art de la fonderie, qu'il faut encore perfectionner. Sur l'état de l'Europe et de la France : « il ne faut pas s'y tromper, les républicains d'aujourd'hui seront bientôt les conservateurs d'hier ; le monde de la richesse gouverne et ne gouverne que pour son intérêt. Voilà la plaie de notre temps ; il est difficile de prévoir comment la société s'en guérira. » Il félicite Pagliardini pour son engagement en faveur de l'amélioration du sort des classes laborieuses en Angleterre et de celui des femmes ouvrières en particulier. Il estime que l'œuvre du Familistère est trop avancée pour l'époque. Il indique que l'Angleterre ne semble plus avoir l'attrait d'autrefois pour son fils Émile et qu'il n'a pas reçu de lettre de Kate Stanton. Il accuse réception de l'article de Pagliardini paru dans Le Télégraphe sur la guerre : « J'ai donc vu avec plaisir votre conclusion et je dis avec vous "Guerre à la guerre ! Honneur à la paix !" Car sans la Paix, il n'est pas de salut pour l'humanité. » Godin transmet aux sœurs de Tito Pagliardini ses compliments et ceux de Marie Moret et d'Émile Godin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la carte postale de Pagliardini. Il l'informe qu'Émile est arrivé à Guise souffrant, mais qu'il va mieux. Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin remet à Pagliardini une lettre à Wilkes, auteur en 1849 du brevet sur la fabrication de boutons de porte que Boucher et Cie a fait breveter à nouveau ; il demande à Pagliardini de traduire la lettre et d'essayer d'obtenir une réponse. Sur la réforme de l'orthographe : Godin apprécie l'idée de Pagliardini de poser les règles d'une nouvelle orthographe en tête du papier à lettres servant à la correspondance ; « Il faut être anglais pour trouver des inventions aussi pratiques ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 25 bouteilles d'eau de Spa du Pouhon du Prince de Condé.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin rappelle à Wilkes qu'il a pris en France en 1849 un brevet pour la fabrication de boutons de porte en fonte creuse à une seule ouverture ; il lui explique qu'une maison française veut s'arroger le privilège de fabriquer de tels boutons et prétend que les procédés décrits par Wilkes sont impraticables. Godin demande à Wilkes s'il a lui-même fabriqué en Angleterre des objets creux par le procédé de son brevet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin adresse à Goblet deux chèques d'un montant total de 6 500 F en paiement de ses honoraires. Godin demande à Goblet si cette évaluation de ses honoraires lui semble convenable, compte tenu de l'important service qu'il lui a rendu en le débarrassant de ce procès, même au prix du versement d'une somme énorme [à Esther Lemaire].

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre d'Édouard Larue retrouvée par Cresson et dont Delpech détient une copie. Sur la valeur de l'usine de Laeken : Godin explique qu'il a commencé en 1852 par ouvrir un atelier à Forest, administré par un associé qui a mal géré l'affaire, et que la société a été dissoute en 1858 avec des pertes de 142 000 F qui ont été ajoutées aux dépenses d'acquisition du site de Laeken qui s'élevaient à 160 852 F. Sur la licitation des biens de la communauté, la propriété intellectuelle des modèles et des brevets. Godin indique que de 1863 à 1874, il a créé 295 appareils pour la fabrication desquels, à raison de 30 modèles par appareil, près de 9 000 modèles sont nécessaires. Il annonce à Goblet que « nous arriverons demain soir dimanche à Amiens ».

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Sur une lettre se trouvant dans les mains de Guillaume Ernest Cresson. Godin veut prouver que les faits présentés par Goblet à la cour d'Amiens sont avérés en produisant les originaux et les copies des lettres de la correspondance qui a eu lieu à ce sujet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin demande à Goblet le montant de ses honoraires, alors que le plus gros de son affaire de liquidation est résolu.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. René Goblet considère que la répartition de la licitation défendue par Godin, 5/7e pour lui et 2/7e pour la communauté, est exagérée. Godin prend en compte l'observation de Goblet ; il se range à son avis et à celui de Tisserant sur la répartition, même si c'est le travail de toute son existence qui est en question. Godin évalue les conséquences financières d'une répartition 2/6e pour la communauté et 4/6e pour lui, et demande à Goblet de lui faire part de sa décision sur la répartition à proposer. Dans le post-scriptum, il annonce qu'il envoie à Delpech le plan, que la note jointe commente. La dite note distingue les bâtiments teints en carmin (construit après 1863), les bâtiments en gris (dont l'affectation n'a pas changé depuis leur construction) et les bâtiments en rose (servant d'ateliers et de magasins provisoires puis convertis en ateliers) ; elle précise que le sol des ateliers est pavé de ciment, que des voies de chemins de fer traversent tous les ateliers, et que des conduites de gaz permettent d'éclairer chaque ouvrier par un bec.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin réagit aux propositions de transaction avec Esther Lemaire que Goblet lui a soumises, dont le montant s'élève à 1 million de francs, principal et intérêts compris, chiffre proposé par le premier président du tribunal civil. Godin estime que le sacrifice est énorme ; il évoque une atténuation des intérêts et une dotation à son fils Émile. Il se demande s'il ne ferait pas mieux d'attendre la licitation, mais accepte la transaction à 1 million à condition que l'intérêt ne soit pas supérieur à 4 %.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Goblet qu'après leur entrevue et sur sa suggestion, il a fait réaliser [par Tisserant] un travail qu'il adressé à Delpech et que ce dernier lui a probablement communiqué. Il lui annonce que Tisserant pourra se rendre à Amiens lui exposer le fondement des chiffres présentés dans ce travail.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Daillié des renseignements sur les opérations de sondage réalisées dans sa contrée.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Leymarie de lui procurer le livre de William Crookes, Phénomènes spirites. Il informe Leymarie qu'il a reçu une lettre de Georgina Weldon, qui a exprimé le désir de visiter le Familistère avec trois personnes après une conversation avec lui : il lui a indiqué qu'elle devrait se loger dans un hôtel de la ville ; il n'a plus entendu parler d'elle. Il prie Leymarie d'indiquer aux personnes désireuses de visiter le Familistère qu'il existe des hôtels en ville car il ne peut les recevoir toutes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Leymarie du 15 septembre 1876. Madame Leymarie regrette de n'avoir pu s'entretenir avec Godin « des points de contact qui existent entre nous », mais on a fait à Godin dans les bureaux [de la Revue spirite] la promesse de le conduire dans des réunions spirites de la prochaine saison. Godin indique qu'il se rendra volontiers à ces réunions avec Marie Moret, et qu'il connaît les faits de spiritisme depuis 1855 et ceux de magnétisme depuis plus longtemps encore. Il comprend la souffrance de Leymarie qui doit, comme lui-même, faire face à l'injustice et à la persécution. Sur l'efficacité pratique du spiritisme : « Homme pratique et réalisateur, je n'ai vu jusqu'ici dans le spiritisme que des confirmations ou des développements abstraits de la véritable morale, mais je n'y ai trouvé rien sur les voies pratiques de la justice et du bien dans les sociétés, rien sur la forme des institutions à réaliser pour que les directions humaines soient en parfaite concordance avec la charité et le devoir social. » Selon Godin, la question religieuse est intimement liée à la question sociale ; il pense que les hommes doivent être unis dans un sentiment universel commun. Il explique que le Familistère n'est pas un paradis mais un jalon planté sur la voie des réformes sociales. Godin assure Leymarie qu'il serait heureux si sa réponse « apportait quelque distraction aux ennuis de votre prison ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leymarie que la session du conseil général lui permet de se trouver à Guise et de l'accueillir. Il lui signale que les écoles du Familistère vont être en vacances les jours qui vont précéder la fête de l'Enfance du dimanche 2 septembre. Il lui semble qu'il ne trouvera pas à la fin de la semaine le calme nécessaire aux expériences spirites qu'il a proposé de faire. Il l'invite à venir avant le jeudi suivant, ou alors pour la fête de l'Enfance ; il précise que le lundi suivant la fête, l'usine reprendra ses travaux mais que les enfants resteront en vacances toute la semaine. Godin demande à Leymarie quand il compte venir au Familistère en compagnie de son médium.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un article de Limousin paru dans le Journal des économistes. Sur un plan conçu par monsieur Boutin, que Godin ne croit pas aisément applicable. Godin remercie Leymarie d'avoir empêché l'envoi d'une parure de corail à Marie Moret « dont elle n'a que faire ». Il lui annonce qu'il part le lendemain voir le docteur Slade. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Paul Foucart qu'il fera poursuivre Bonnaire, de mauvaise foi, dès le retour d'Alexandre Tisserant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la faillite de Nison père et fils.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Muller a écrit au mois de mai dernier à Godin pour lui demander des renseignements sur le traité de commerce entre la France et l'Angleterre. Godin est en peine de lui donner l'état de l'opinion de l'industrie française sur le traité car les avis varient suivant la différence des intérêts, même si les résistances à la liberté des échanges s'effacent : le Midi est favorable à l'abaissement des droits pour ses vins et ses soieries ; la métallurgie n'y est pas favorable car elle prend ses matières premières à l'étranger et l'Angleterre a sur la France l'avantage d'un prix de revient moins élevé sur les produits manufacturés ; le commerce fait cause commune avec le consommateur en faveur du bon marché. Sur les acquits à caution. Godin questionne Muller sur le placement de capitaux dans les warrants en Angleterre : il informe Muller qu'il a proposé un million de francs à la Banque de Londres et Westminster pour servir à l'achat de warrants, mais que celle-ci en a refusé le dépôt à cause de l'abondance de l'argent ; il lui demande s'il connaît le moyen d'acheter de façon sûre les warrants au comptant car il ne possède pas de capitaux disponibles à Londres.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des récépissés de la Banque de France des 33 500 F de rente déposés au nom de Marie Moret.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Parmentier que les élections auront probablement lieu plus tôt que prévu. Il regrette de ne pas l'avoir vu à la réunion de lundi au cours de laquelle le manifeste qu'il a présenté a été adopté. Il lui signale que monsieur Moret n'a pas encore signé et il lui demande s'il peut le remplacer en tant que signataire par un de ses conseillers municipaux, Ducatte ou Meunier de Marlinpèche. Il l'invite à déjeuner avant qu'il ne parte quelques jours et qu'il ne fasse imprimer le manifeste.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Viéville que le maire de Liesse a reçu un exemplaire de la pétition [relative au chemin de fer du Cateau à Saint-Erme] et il espère qu'elle a été présentée à la signature des habitants de la ville. Il lui indique que, dans le cas contraire, il pourrait copier la pétition sur les numéros du Courrier de l'Aisne du 25 ou du 26 juillet et la faire signer.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Viéville qu'il ne donne pas suite à sa proposition qui est une opération bancaire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à une lettre de Viéville du 17 février 1877 en lui indiquant qu'il n'est pas disposé à faire le prêt évoqué par son correspondant. Il lui demande toutefois de quelle propriété il s'agit.

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