FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 21 octobre 1895
Remercie Buridant pour ses envois. Sur le changement d'adresse d'expédition du journal Le Rentier ; supprimer des registres des abonnés au Devoir le journal Le Crédit du commerce : « le Devoir n'est fait que pour ceux qui aiment les idées dont il est l'organe ». Sur le temps qu'il fait à Nîmes : il ne gèle pas, les orangers sont encore dehors. Marie Moret contente de savoir Buridant satisfait de sa nouvelle chambre. Marie Moret demande de lui envoyer si possible les numéros du Bulletin de la participation aux bénéfices lui appartenant et qui se trouveraient encore dans la bibliothèque du Familistère.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 26 octobre 1895
Lettre envoyée avec la précédente, rédigée après la réception de la lettre de Piponnier en date du 24 octobre 1895. Remercie Piponnier pour les renseignements qu'il communique au sujet de l'historique des répartitions de dividendes au Familistère : dès 1872, voire en 1870. Marie Moret prie monsieur Poulain de lui communiquer le chant « Travail ». Sur la famille Piponnier : félicite Marcel pour ses résultats en mathématiques ; souhaite que Robert se rétablisse de la coqueluche ; compliments à Antoine Piponnier et à son épouse de la part de la famille Moret-Dallet et d'Auguste Fabre. Le post-scriptum mentionne Antonia et évoque le récépissé d'un versement effectué par la Société du Familistère à Émilie Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 3 novembre 1895
Réponse à la lettre de Buridant en date du 31 octobre 1895. Sur le compte du Devoir. À propos du numéro d'octobre du Devoir, que François Dequenne a payé à Buridant 0,50 F, alors que Marie Moret aurait dû lui adresser gracieusement car il comprend son discours à la fête de l'Enfance. Prend connaissance de nouvelles communiquées par Buridant : l'administration des postes a posé une boîte aux lettres au Familistère ; souhaite bonne chance à madame Doyen pour sa nouvelle carrière « bien que le débit de boissons soit un triste commerce » ; envoi du Devoir à Gand. Marie Moret indique à Buridant qu'il peut ouvrir le colis de figues sèches et de grenades envoyées par le « bon ouvrier » de Flayosc [Marius Guériel] et les manger. Envoyer à M. Péan l'Étude sociale n° 5 au lieu de l'Étude sociale n° 1, épuisée. Dédommager monsieur Poulain de la peine qu'il aura prise à transmettre à Marie Moret le chant du travail. Envoyer à Marie Moret la brochure de Metzger Le monde sera-t-il catholique ?.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame Guiraut, 6 novembre 1895
Sur des travaux de blanchisserie confiés à madame Guiraut : ajouter une chemise de nuit d'Émilie Dallet ; confirme qu'il n'y a qu'un seul tablier.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 11 novembre 1895
Accuse réception des envois de Buridant : la clef de la bibliothèque, le dossier n° 7, l'ouvrage de Metzger, le colis de figues, et 8 registres « nouveaux » très utiles pour son travail : 6 des groupes des écoles et du bambinat, 1 de l'union de la nourricerie, 1 du conseil général des unions. Demande à Buridant d'où ils proviennent. La « solution intervenue pour le logement » ne satisfait pas Marie Moret. À propos d'un matelas et de l'aide de madame Buridant. Remercie Buridant d'avoir remis la clef du jardin à Flore Moret. Annonce à Buridant qu'Émilie Dallet va lui écrire « touchant le marabout ». Le post-scriptum annonce le départ de Nîmes, il y a deux jours, des 300 exemplaires du numéro de novembre du journal Le Devoir.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 15 novembre 1895
Réponse à la lettre de Piponnier en date du 11 novembre 1895. Remerciements pour l'envoi du chant « Le Travail » remis par Firmin Poulain et pour l'empressement à traiter la commande de monsieur Gardet [un foyer économique destiné à Marie Moret]. « Toujours obligée de me garder contre l'insomnie, je ne puis travailler (à mon vrai travail : Docum. biogr. Godin) que le matin. L'après-midi, il faut que je me contente d'enlever lettres (sic), deux au plus, puis de sortir bien vite, ou gare l'insomnie. C'est là ce qui m'empêche de vous écrire au long comme j'aimerais tant le faire. » Remercie Piponnier pour les nouvelles d'Antonia, de Marcel et de Robert, et donne des nouvelles de la famille Moret-Dallet : le temps est beau et Marie-Jeanne a repris ses leçons de peinture. Sur le « malheureux Anciaux », les ravages causés par l'alcool et le rôle des statuts de l'Association du Familistère pour la prévention ou la répression de l'alcoolisme ; alcoolisme à Nîmes : très peu d'ivrognes selon Auguste Fabre.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 21 novembre 1895
Sur la commande de monsieur Gardet de Nîmes à la Société du Familistère : il manquait deux foyers hygiéniques dans la livraison qui lui a été faite, dont celui destiné à Marie Moret ; le temps devient humide et Marie Moret en a rapidement besoin. Demande des nouvelles de la santé de la famille de Piponnier. Donne des nouvelles de la famille Moret-Dallet : Marie-Jeanne Dallet cultive la peinture et la musique, aide Marie Moret dans ses travaux de recherche historique, aide aussi sa mère et prend part à la direction du ménage. Marie Moret évoque son travail sur les registres des groupes et unions, qui présentent un grand intérêt à ses yeux : « Il se dégage de là des vues instructives, abstraction faite des individus. Les problèmes du travail deviennent de plus en plus la question des questions » ; sur le lien entre les tentatives françaises de représentation libre du travail et les tentatives dans les pays anglo-saxons ; « Ce que les faits crient partout, c'est qu'il faut cultiver l'être humain le plus possible, et par-dessus tout lui donner le plus haut idéal de la vie ».

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 25 novembre 1895
Réponse à la lettre de Buridant du 20 novembre 1895. Marie Moret demande à Buridant de donner à Antoine Piponnier un exemplaire du numéro de novembre 1895 du journal Le Devoir pour l'enregistrement. Informe Buridant qu'elle va recevoir au Familistère 8 rapports du Department of Labor à Washington et lui demande de les envoyer à Nîmes. Demande à Buridant de proposer à Firmin Poulain de choisir un livre parmi ceux en vente au Bureau du en dédommagement du temps qu'il a consacré à procurer à Marie Moret le chant « Le Travail ». À propos des registres des groupes et unions joints au dossier n° 7 de la bibliothèque de Marie Moret : elle n'avait pas le souvenir qu'elle les y avait elle-même rangé : « Combien je désirerais que vous en retrouvassiez encore ! Cette tentative de Représentation du travail par la constitution libre de groupes, unions et conseils est pleine d'un intérêt dont vous saisirez la portée quand paraîtra dans Le Devoir ce que nous avons à en dire ». Remercie Buridant de ses envois à Émilie Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 16 décembre 1895
Réponse à la lettre d'Antoine Piponnier du 23 novembre 1895. Remerciements pour l'expédition des foyers économiques attendus, pour sa lettre à Émilie Dallet du 9 décembre 1895 et pour les informations relatives aux groupes et unions : « Dans "Le Devoir" de février vous verrez de quel intérêt tout cela est et comme il se dégage de cette tentative le grand enseignement fourni par tant d'autres essais : cultiver l'être humain et lui donner un très haut idéal ». Sur le numéro de décembre 1895 du Devoir>/em> : une conférence de Godin ; une conférence de monsieur Lelièvre qui n'a pas eu lieu. Sur la famille de Piponnier : succès scolaire de Marcel ; Antonia a joué un rôle dans Marie Stuart, opéra comique. Nouvelles du Familistère : départ d'Antoine Pernin et son remplacement ; sur Alizart frère mourant et sur Swedenborg ; sur monsieur Poulet : « va-t-il s'en tenir à la culture de son jardin ? ». Météorologie à Nîmes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 18 décembre 1895
Sur les secours à apporter à monsieur Pierquet, « brave homme » et « digne homme », employé du Familistère, qui donne des leçons d'anglais. Marie Moret a été informée par une lettre d'Hélène Moyat à Marie-Jeanne Dallet que monsieur Pierquet était malade et sans ressources : elle demande à Piponnier s'il connaît sa situation à l'égard des assurances mutuelles du Familistère et si sa famille est informée. Marie Moret propose de lancer une souscription pour le secourir sans blesser sa dignité. Temps pluvieux à Nîmes : Marie Moret attend toujours son foyer économique.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Lucy R. Latter, 21 décembre 1895
Réponse tardive à la lettre de Lucy Latter datée du 25 août 1895 : « Je n'ai que la matinée à donner au travail ; si j'écris l'après-midi, l'insomnie me prend. Or, le temps me suffit à peine dans ces conditions pour suivre mon travail du "Devoir". Ce qui m'oblige – bien malgré moi – à laisser en retard ma correspondance ». Vœux de bonne année à Lucy Latter et aux sœurs Pagliardini, en réponse à ceux reçus ce matin. Sur le travail de Lucy Latter : remplacement d'un ou d'une collègue à Londres.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 23 décembre 1895
Sur le soleil spirituel qui rayonne des lettres de Piponnier. Réponse à la lettre de Piponnier du 20 décembre 1895. Réception à Nîmes du foyer économique. Demande s'il y a eu au Familistère des réactions à la publication de la conférence de Godin dans Le Devoir de décembre 1895. Antonia Piponnier a joué le rôle de Marie Stuart dans la pièce éponyme. Sur monsieur Pierquet : renseignements communiqués par Piponnier ; la souscription est écartée pour le moment ; Pierquet bénéficie des allocations des assurances mutuelles du Familistère. Sur les abus dans les assurances mutuelles. Sur la voix chantée de Robert Piponnier. Félicitations à Marcel Piponnier pour ses résultats scolaires. Georges et Julien « sur la voie où Paul était l'an dernier ». Envoi de la brochure d'Auguste Fabre sur Robert Owen : « Robert Owen était animé du même amour humanitaire que Godin. »

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 27 décembre 1895
Réception d'une lettre de la Compagnie du canal de Suez. Demande à Buridant de supprimer madame Brullé du registre des abonnés au Devoir : « La destinataire ne voit pas clair et ne peut plus même entendre lire. » Remettre 5 F d'étrennes au facteur de la part de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 30 décembre 1895
Sur les enfants de Marie Dossogne. Envoi d'argent. Marie Moret souffre de la main droite et doit abréger ses lettres.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 31 décembre 1895
Sur le caractère de Juliette Cros et celui de son père Auguste Fabre. Retour de Juliette Cros-Fabre auprès de sa famille ; départ de Nîmes de la famille Ronzier-Joly. Sur la famille Moret-Dallet : Émilie très fatiguée ; Marie-Jeanne, soleil de la famille, donne des cours d'anglais à Auguste Fabre ; Marie Moret a de la peine à écrire. Post-scriptum sur une entrevue de Jules Pascaly et de Ronzier-Joly à la Chambre des députés. Transmet le souvenir de Sophie Quet.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Eugénie Louis, 1er janvier 1896
Réponse à la lettre de madame Louis du 30 décembre 1895. Vœux de nouvelle année adressée à madame Louis, à son mari et à leur enfant. Émilie Dallet a souffert de maux de tête. Température douce à Nîmes. Le travail pour le journal Le Devoir laisse peu de temps à Marie Moret pour sa correspondance. Envoie à madame Louis le numéro de décembre du Devoir, qui contient une belle conférence de Godin, et, de la part d'Auguste Fabre, sa brochure sur Owen. Compliments à madame Roger, « une des plus excellentes personnes que nous ayons connues ».

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marguerite Tisserant, 4 janvier 1896
Sur le décès d'Alexandre Tisserant et la vie spirituelle après la mort physique. Tisserant a retrouvé Godin dans le monde spirituel ; la vraie parenté est celle de l'esprit.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 11 janvier 1896
Réponse aux lettres de Buridant des 8 et 9 janvier 1896. Préparation du numéro de février 1896 du journal Le Devoir. Divers sujets relatifs à la librairie et aux abonnés du Devoir : envoi d'un mandat de Capdeville ; accorder une remise à Capdeville et à Le Soudier ; envoi de numéros spécimens du Devoir à Capdeville ; inscription au registre des abonnés au Devoir de Don Manuel Navarro Murillo, Calle de Paris 1 Pral. à Séville (Espagne) et de Poulot de Paris ; suppression de Faugier de Bourg-lès-Valence ; réabonnement d'Albarracín. Félicite Buridant pour la qualité de l'écriture de la lettre envoyée par sa fille Marie, lue en présence de Jules Pascaly, à Nîmes depuis deux jours avec son fils de 9 ans. Températures froides à Nîmes. Dans le post-scriptum, Marie Moret indique le changement d'adresse de Pierre Martin, instituteur, abonné à titre gratuit ne résidant plus à Cheval-Blanc (Vaucluse) mais à Saint-Didier (Vaucluse) ; elle fait référence au pauvre Ovide Lommert ; elle demande à Buridant si le journal est lu à la bibliothèque du Familistère et si des lecteurs le réclame, par exemple monsieur Drecq.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 13 janvier 1896
Réponse à la lettre du 8 janvier 1896 de Piponnier différée en raison de l'achèvement du numéro de février 1896 du journal Le Devoir en compagnie de Jules Pascaly. Vœux de nouvelle année à la famille de Piponnier. Sur les bons résultats scolaires de Marcel Piponnier « qui fait honneur au Familistère ». Marie Moret heureuse des secours apportés à monsieur Pierquet. Sur la nouvelle loi sur les caisses de retraite et son application par François Dequenne : commentaire des dispositions de la loi. À propos du « soleil de l'esprit » auquel Marie Moret faisait référence dans une précédente lettre à Piponnier [23 décembre 1895] : « L'idée est lumière, l'essence de la lumière. Et d'où vient l'Idée, si ce n'est du Foyer de toute sagesse ». Temps froid et ensoleillé à Nîmes. Compliments à la famille de Piponnier. Dans le post-scriptum, Marie Moret demande l'état de son compte au Familistère

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 14 janvier 1896
Réponse à la lettre d'Antoniadès du 1er janvier 1896. Vœux de nouvelle année adressés à Antoniadès. Changement d'adresse d'Antoniadès enregistrée par le Bureau du Devoir. Donne des nouvelles de la famille Moret-Dallet à Nîmes.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marguerite Tisserant, 29 janvier 1896
Réponse à la lettre de Marguerite Tisserant du 26 janvier 1896 : déménagement de Marguerite Tisserant dans un nouvel appartement ; Marie Moret compatit avec sa correspondante qui vit une période pénible ; Marie Moret remercie Marguerite Tisserant pour les mots relatifs au présent de Marie-Jeanne Dallet.

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Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 8 février 1896
Réponse à la lettre d'Antoine Piponnier du 30 janvier 1896. Piponnier et son fils Marcel à Armentières la semaine dernière : Marie Moret a souhaité qu'ils aient beau temps. Sur le modèle n° 2 des titres de participation aux bénéfices pour 1877-1879 délivrés à environ 600 travailleurs, mentionné dans une conférence de Godin : Marie Moret demande à Piponnier de faire des recherches complémentaires dans les archives de l'Association du Familistère. Transmet les amitiés de Jules Pascaly dont elle a reçu des nouvelles. Sur diverses nouvelles communiquées par Piponnier : la question des caisses de retraite ; le bon combat de François Bernardot ; sur la description de Laeken qui a fait frissonner Fabre : « Oui, c'est un triste séjour. Il faut pouvoir s'y oublier dans le travail. » ; sur « ce pauvre » monsieur Dury, ennemi de l'Association ; agression de monsieur Carlier à la chapelle Notre-Dame de la Salette [à Proix, Aisne], dont l'auteur est resté inconnu : que fait la police, se demande Marie Moret. Remercie Piponnier pour l'extrait de son compte au Familistère que Buridant lui a envoyé. Annonce à Piponnier l'envoi d'un exemplaire de l'Almanach de la coopération française.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, le 25 février 1896
Accuse réception de la lettre de Buridant en date du 23 février 1896. Sur les comptes du Devoir. Comparaison des deux registres des abonné·es au journal Le Devoir : 20 services à 3 centimes, 64 services à 15 centimes, 131 services à 5 centimes ; 48 services « à la main » ; 22 exemplaires pour les collections ; 288 exemplaires utilisés sur un total de 300 exemplaires imprimés, soient 12 exemplaires restants. Il est resté 14 exemplaires du numéro de février 1896 sur les 302 reçus : ils pourront être diffusés aux penseurs qui s'intéressent aux essais de représentation libre du travail que Marie Moret publie dans Le Devoir avec les « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin ». À propos d'une convention dont Marie Moret s'entretient avec Piponnier. Réponses aux interrogations et informations de la lettre de Buridant : attendre avant d'envoyer Le Devoir en échange de La Résurrection ; sur les feuilles de contribution de Marie Moret ; remerciements d'Émilie Dallet pour son intervention au sujet de son jardin ; Marie Moret d'accord avec l'effacement du registre d'Aldor Rohan et l'envoi à monsieur Carret d'un exemplaire du Devoir ; « Merci de nous tenir au courant des nouvelles du vrai "chez nous", le Familistère » ; départ de monsieur André. Marie Moret demande à Buridant d'adresser Les États unis d'Europe à Jules Pascaly.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, le 4 mars 1896
Retourne trois documents remis à Buridant par monsieur Piponnier de la part de monsieur Alizart. Divers sujets relatifs au Devoir, dont : envoi des États unis d'Europe à Jules Pascaly et cessation de l'échange avec Le Lotus bleu.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 juin 1874
Godin informe son fils Émile qu'il envoie à la gare de Bohain une caisse de livres et de papier à déposer dans la chambre du 3e au-dessus de son appartement, dont la cousine Moret détient la clé. Il l'autorise à congédier le père Masse et à couper la haie du clos Waret et il lui indique qu'il n'y a pas à s'occuper de la maison de la mère Honoré. Sur des dessins de buanderie et le brevet de nouvelles cuisinières. Sur le four d'émaillage : Godin demande à Émile de dire à Alphonse Grebel qu'Eugène André fait observer qu'un système analogue a été décrit dans différents ouvrages ; Godin mentionne deux numéros de périodiques, le Bulletin de la Société des anciens élèves des écoles d'arts et métiers de novembre 1873 et la Revue industrielle du 4 mars 1874.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 9 décembre 1874
Sur l'affaire de Rivière. Godin juge que la pièce envoyée par André relative à de Rivière confirme que ce dernier est excité par des esprits corrupteurs. Il y voit une manipulation de sa femme ou des Boucher, Huet et consorts qui auraient à perdre si Godin gagnait son procès en cassation. Il veut qu'André s'entretienne du problème avec l'avoué Larue. Il rappelle à André que c'est de Rivière qui lui a proposé ses services et qu'il ne l'a pas engagé à faire venir sa famille. Il l'avertit que madame Dallet lui remettra les annonces parues dans les journaux et les lettres des autres candidats. Il lui demande de s'informer sur des relations de monsieur de Rivière avec Esther Lemaire ou tout autre de ses ennemis. Sur une expédition à Buenos Aires : Godin informe André qu'il n'est pas favorable à l'expédition de marchandises à Jules Biron à qui il pourrait être écrit que la manufacture fait à Buenos Aires des affaires exclusivement avec Bullrick, si toutefois la maison Bullrick tient ses engagements.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Moret Marie à madame Paquerot, 31 janvier 1876
Sur des leçons de couture dans les écoles du Familistère. Marie Moret rappelle à madame Paquerot qu'elle faisait faire dans sa pension des travaux de couture de bienfaisance, des vêtements d'enfants en particulier. Elle lui demande d'examiner avec mesdames Allart et Baquet la possibilité de faire faire par ses élèves du Familistère des layettes pour la nourricerie du Familistère afin de donner de la variété à leurs travaux. Elle la prie d'en parler à sa sœur, qui peut la seconder pour avoir été autrefois attachée au magasin. Elle joint une image pour Félicie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Chatelais, 13 mars 1875
Godin informe Chatelais qu'il peut reprendre auprès d'Émilie Dallet le registre des délibérations de la commission cantonale des chemins vicinaux. Il lui demande si les tergiversations de la politique nationale exercent une influence sur l'esprit de la ville de Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 20 novembre 1875
Godin demande à Grebel de payer à de Sobirats ce qu'il lui doit, ainsi qu'à Édouard Larue. Sur l'affaire Quaintenne : Godin demande à Grebel de se concerter avec Eugène André pour y mettre un terme. Sur la licitation des biens de la communauté Godin-Lemaire. Sur les prochaines élections [législatives] : il lui signale qu'Émile Godin demande s'il doit se rendre au Nouvion. Il lui demande d'établir la liste des personnes de la circonscription qui ont répondu aux envois de livres faits par Chatelais ; il lui indique qu'Émilie Dallet détient le dossier de la correspondance avec Chatelais.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception de la lettre de son « cher co-religionnaire » du 1er août 1876 et d'un numéro de la revue [La Religion laïque]. Il rappelle à Fauvety qu'il avait demandé un deuxième abonnement au nom de Marie Moret au n° 27 au Familistère. Il demande à Fauvety un troisième abonnement au nom de madame Dallet au numéro 28 du Familistère. Fauvety sollicite une rencontre avec Godin au sujet du spiritisme : Godin mentionne plusieurs auteurs ou ouvrages traitant de la question et signale qu'il ne peut rien leur ajouter ; il indique que ses expériences personnelles sont proches de celles d'Allan Kardec ; il propose à Fauvety une rencontre au Familistère de Guise, dont il pourrait tirer des enseignements d'économie sociale utiles à sa revue, plutôt qu'à Paris. Godin indique à Fauvety que les températures excessives vont cesser, qu'il part quelques jours pour la session du conseil général de l'Aisne, que la fête de l'Enfance aura lieu le 3 septembre, qu'il se rendra ensuite dans la Nièvre et que la visite de Fauvety pourrait avoir lieu avant ou après ce voyage.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Fauvety un mandat postal de 30 F pour le réabonnement à La Religion laïque de lui-même, de Marie Moret au n° 27 du Familistère et d'Émilie Dallet au n° 28 du Familistère.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin informe Tisserant que Ganault pourra se charger de son affaire de compte avec Esther Lemaire, mais que ce dernier va devoir comme Goblet, s'occuper des élections législatives et de sa candidature au conseil général. Godin envoie à Ganault le tableau résumé des propositions qu'il a faites pour [le mobilier des] écoles, ainsi qu'un plan pour la bonne compréhension des mesures. Il lui indique qu'il ne s'est jamais préoccupé de concevoir un appareil de chauffage brûlant exclusivement de sapin commun et il lui demande pour quel usage il se sert d'un tel appareil. Dans le post-scriptum, Godin indique que Marie Moret et Émilie Dallet lui envoient leurs compliments.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur des vide-poches offerts à Marina Leymarie. Sur un accident survenu à Pierre-Gaétan Leymarie. Godin accuse réception des ouvrages annoncés par Pierre-Gaétan Leymarie dans sa lettre du 12 octobre, mais il indique qu'il n'a pas encore reçu de numéro du Messager de Liège auquel il a souscrit un abonnement d'un an à compter du 1er septembre 1877. Il signale que la Religion laïque de la fin d'octobre a fait paraître un article sur sa visite chez Slade, article qui doit faire disparaître le reproche adressé à la revue de Fauvety par le dernier numéro de la Revue spirite. Il communique les remerciements de Marie Moret à Pierre-Gaétan Leymarie pour la Genèse qu'il lui a offert. Il transmet au couple Leymarie et à leur fille les compliments de toute la famille Godin-Moret-Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux que Massoulard ait trouvé un accueil sympathique dans sa famille. Il souhaite qu'il s'occupe d'abord de sa famille avant de penser aux affaires du Familistère et lui indique que la seule conséquence sera de différer la parution du journal de quelques jours. Il présente à Massoulard les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret annonce à Marie Howland que l'édition en volume de la traduction de Papa's Own Girl restituera le texte complet du roman sans les coupes qui ont été faites dans les chapitre VII à XIII du feuilleton du journal Le Devoir pour pouvoir offrir le roman en entier aux lecteurs au cours de la première année. Marie Moret indique qu'elle répond en partie aux lettres que Marie Howland a écrites à Godin le 7 avril et le 4 mai avant que ce dernier ne lui dicte une réponse. Marie Howland a lu avec émotion dans Le Devoir la conférence du 4 mai 1878 de Godin aux ouvriers de l'usine : Marie Moret explique que les difficultés qu'il affronte sont le lot des novateurs ; elle loue le génie et la force morale de Godin. Elle livre un portrait de Godin : « Quant aux moyens de distraction et de repos, imaginez-vous qu'il ne s'amuse de rien de ce qui plaît aux autres hommes. Il ne fume pas, n'aime ni les cartes, ni les échecs, ni le billard, ni mille choses dont, en conséquence, j'ignore les noms. Le théâtre le fatigue ; les conversations oiseuses lui pèsent ; la promenade ne lui est bonne qu'en voiture. L'unique distraction qu'il puisse prendre, c'est la conversation entre gens sympathiques et notre cercle est très restreint. » Elle ajoute qu'il joue avec ses deux nièces les plus âgées, de 3 et 6 ans, qui l'appellent oncle André. Sur Albert Brisbane : il n'est pas venu au Familistère ; à la différence de Godin, il ne versa pas un sou des 25 000 $ qu'il avait promis à la Société de colonisation du Texas ; Brisbane se sentirait humilié devant Godin et il ne faut pas compter qu'il vienne au Familistère. Sur le journal Le Devoir : Godin éprouve le besoin d'élargir le cercle de ses auditeurs devant l'insuffisance de son personnel ; il pense que ses articles sur les caisses nationales de prévoyance publiés dans les numéros 16, 17 et 19 du Devoir seraient plus intéressants à traduire en anglais que sa conférence, comme l'ont fait en partie déjà des journaux anglais et américains. Sur l'appréciation de Marie Moret par Marie Howland : Marie Moret compare Marie Howland à Clara Forest [le personnage de Papa's Own Girl], dont le cœur déborde d'amour. Sur la traduction de la lettre d'amour du comte de Frauenstein à Clara Forest : le plus grand soin sera apporté à la traduction. Sur Massoulard : il a appris l'existence du Familistère à New York dans un article réactionnaire de La revue des deux mondes. Marie Moret remercie Marie Howland pour l'envoi du Harper's magazine dont Le Devoir a reproduit l'article sur l'école normale de New York. Sur Kate Stanton : elle a obtenu la dignité de docteur-médecin ; elle est rieuse comme Émile Godin, a un esprit fin mais superficiel. Elle retourne à Marie Howland l'article de monsieur Fields, « Une visite à l'auteur de La Fille de son père » et elle espère que Marie Howland puisse venir en Europe et au Familistère. Elle le prévient que Godin ne supporte pas l'odeur du tabac, qu'elle ne pourrait pas fumer près de lui, et qu'il estime que le tabac affaiblit l'intelligence. Sur la traduction de Papa's Own Girl : Massoulard informe Marie Howland qu'il n'endosse aucune responsabilité dans la traduction en raison des remaniements effectués au texte des chapitres VII à XIII du roman dans le journal Le Devoir ; elle précise que ces chapitres ont été rétablis dans le texte de Massoulard pour l'édition en volume, et qu'elle fait maintenant la révision du texte aidée d'une autre personne ; elle l'assure que Massoulard est resté son ami et celui de Godin. Elle transmet ses compliments à Edward Howland.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Fauvety pour ses vœux du 31 décembre 1879. Il lui adresse en retour ses vœux pour qu'il poursuive la propagande des idées nécessaires à la régénération des sociétés. Il le félicite pour son dernier livre, Le spiritisme devant la science dont le journal Le Devoir rend compte. Il l'informe que depuis qu'il l'a vu au Familistère, il est absorbé par la constitution définitive de l'association du Familistère ; il pense que la rédaction des statuts et règlements est trop approfondie pour être comprise des socialistes, mais qu'ils seront étudiés dans l'avenir. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et de la sœur de cette dernière.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret informe Pagliardini qu'elle lui écrit de la part de Godin, appelé à Paris pour une question de chemin de fer. Elle l'avertit que l'ouvrage contenant les statuts de l'association du Familistère est mis en page et qu'elle pourra bientôt lui en envoyer un exemplaire. Elle lui explique que le travail consacré à cette étude, en plus des questions de l'usine et de celles du Familistère ont empêché Godin de rédiger l'article sur l'ouvrage de monsieur Jozon. Elle lui demande s'il suit la publication du Dernier-né de Ginx dans le journal Le Devoir, qui est une bonne œuvre mais de peu d'étendue. Elle lui demande s'il connaît une œuvre qui pourrait être publiée en feuilleton à la suite de Ginx's Baby. Elle transmet à Pagliardini et à ses sœurs les compliments de Godin, de sa sœur et d'elle-même.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin intervient auprès du receveur en faveur de Louise Pissot qui désire rentrer en possession d'un titre de rente de 1 570 F, que la perception de Guise n'a pas voulu lui remettre. Godin menace de relayer les plaintes au sujet de la perception de Guise. Il adresse au receveur la reconnaissance de dépôts de fonds de Louise Pissot et le prie de lui adresser le titre de rente, chez madame Dallet au Familistère.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Tisserant pour sa lettre du 18 février 1881 et se réjouit de l'accueillir au Familistère. Il se dit accablé par les occupations. Il lui donne des nouvelles de l'Association du Familistère : elle fonctionne mais Godin se plaint du manque d'hommes ayant les aptitudes nécessaires à son fonctionnement ; il regrette l'indifférence générale à l'égard du Familistère et de l'Association et que Tisserant n'ait pas pu devenir un collaborateur de l'Association. Il lui annonce qu'il profitera de sa visite pour parler de son testament. Il lui demande, à l'occasion de son passage à Paris, d'aller voir Moret, son avocat à la Cour de cassation dans l'affaire Boucher et Cie, au 13 rue de Tournon. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin est heureux d'avoir des nouvelles de Champury. Il le remercie pour les informations sur la ville de Nantes, dont il juge les habitants un peu arriérés sur le plan intellectuel. Il accepte de recevoir les numéros du Phare de la Loire contenant son étude sur le Familistère. Il transmet à Champury et à sa femme ses compliments ainsi que ceux de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie. Tisserant a proposé à Godin de se pourvoir en cassation [dans l'affaire Boucher et Cie jugée à Amiens]. Godin l'avertit de ne rien entreprendre sans chance de succès. Il est satisfait de savoir que Tisserant n'est pas malade. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin annonce à Tisserant que Pouillet l'engage fortement à se pourvoir en cassation. Il accuse réception du numéro du Progrès de l'Est qui contient un article de Tisserant sur l'organisation des écoles publiques. Il lui signale que l'usine du Familistère n'a pas reçu de lettre de son fils. Il lui transmet les amitiés de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin assure Tisserant qu'il a fait le nécessaire auprès de l'usine pour que lui soit faite l'expédition qu'il demandait. Il l'informe qu'il a écrit à Moret, avocat à la Cour de cassation. Il transmet à Tisserant les meilleurs souvenirs de Marie Moret et d'Émile Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prévient Tony-Noël qu'il attend l'envoi des modèles en plâtre des bustes pour lui envoyer le règlement. Il lui indique qu'il n'est pas satisfait de la ciselure du bronze. Il lui adresse le souvenir de Marie Moret et de la famille Dallet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Tisserant que lui et Marie Moret n'ont pas reçu les numéros du journal Le Progrès de l'Est contenant un article sur la Société du Familistère et la lettre de Tisserant à Morand, mais d'autres numéros. À propos de la Conférence internationale sur la paix et l'arbitrage de Bruxelles : Godin pense qu'il faudrait organiser des conférences internationales dans différents pays et éditer en trois langues à Paris, Londres et Berlin une revue de l'arbitrage et de la paix, organe de la fédération des associations internationales de l'arbitrage et de la paix. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin avertit Tisserant qu'il a reçu l'accusé de réception de l'ouvrage Mutualité sociale de la part de monsieur Chanove. Il l'informe qu'Émilie Dallet fait faire pour lui une copie des conférences de Drivon. Il lui annonce que le journal Le Devoir signalera ses articles parus dans Le Progrès de l'Est quand le travail sera complet. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Tisserant du 28 décembre 1882. Tisserant est de retour à Nancy mais devra se remettre en voyage sous peu. Godin accuse réception du Progrès de l'Est contenant le travail de Tisserant, à qui il fera adresser le journal Devoir à Nancy pendant quelques semaines. Il lui indique que le prochain numéro du Devoir annonce sa nomination à la qualité d'officier d'Académie et d'officier de la Légion d'honneur. Sur le procès avec le duc de Padoue. Sur l'augmentation des salaires du personnel de la Société du Familistère et la constitution de l'assurance des retraites en 1871. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin remercie Champury pour sa lettre du 30 décembre relative à sa nomination à l'ordre de la Légion d'honneur. Il lui annonce qu'il a un nouvel ouvrage sous presse, qu'il recommande à son attention. Sur les progrès de l'idée républicaine. Il transmet à Champury les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin prend des nouvelles de la santé de Tisserant. Il lui envoie une carte qui lui a été adressée au Familistère. Il lui annonce que « ces dames » [Marie Moret et Émilie Dallet] lui envoient par ce courrier le texte des conférences 4, 5 et 6 faites par Drivon et relevées par Marie Moret. Il lui annonce qu'il trouvera dans le journal Le Devoir l'information que le conseil de gérance du Familistère a été complété par trois membres élus. Il lui indique que le comité de conciliation sera nommé le 15 février 1883. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire Boucher et Cie : Godin informe Tisserant que Pouillet n'est pas parvenu à faire venir l'affaire devant la cour avant les vacances. Il lui signale que la presse parisienne commence à s'occuper de ses ouvrages. Il lui transmet les compliments d'Émilie Dallet et de Marie Moret.
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