FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 683 résultats dans 19531 notices du site.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 23 mars 1849
Godin souscrit un abonnement au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique au nom de Millet, ajusteur à Guise, et demande de porter la dépense de 4 F sur son compte de librairie, créditeur de 32,45 F.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à la Société anonyme des hauts-fourneaux, usines et charbonnages de Marcinelle et Couillet, 2 avril 1849
Godin indique au directeur-gérant des hauts-fourneaux de Couillet qu'il est sûr de se trouver à Guise toute la semaine, mais qu'il faudrait prendre rendez-vous si sa visite avait lieu plus tard.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 13 avril 1849
Godin souscrit un abonnement au numéro de huitaine de Le Démocratie pacifique au nom de Hutin-Parmentier à Guise. Il signale que les envois de l'abonnement au numéro de huitaine du journal auquel il a souscrit récemment ne parviennent pas régulièrement. Il demande l'envoi de plusieurs exemplaires de deux ouvrages par l'intermédiaire de Véran Sabran.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 15 mai 1849
Sur l'affaire de contrefaçon Degon. Godin avertit son correspondant qu'il serait imprudent de payer à Degon la fonte acquise chez celui-ci à Guise car la vente pourrait se révéler frauduleuse à l'occasion de la banqueroute de Degon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au directeur-gérant de la Société anonyme des hauts-fourneaux, usines et charbonnages de Marcinelle et Couillet, 17 mai 1849
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin rend compte de son entrevue à Guise avec le directeur des hauts-fourneaux de Couillet : les hauts-fourneaux de Couillet sont dans l'impossibilité de fournir la fonte prévue et proposent à Godin de verser 3 155 F pour solder son compte ; Godin propose de verser 2 900 F car il a subi un préjudice en se fournissant ailleurs à grand frais ; Godin a dû acheter 100 tonnes de fonte ; il attend la réponse des hauts-fourneaux de Couillet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Nicolas Authier, 30 mai 1849
Godin annonce à Nicolas Authier qu'il peut lui céder de la fonte de moulage au prix de 16,50 F les 100 kg, enlevée à Guise et payée comptant. Il ajoute qu'il ne peut lui vendre la fonte entreposée à Vervins et que la fonte qui se trouve à Guise est de meilleure qualité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Millet-Cheyer, 30 juin [1849]
Godin revient sur une proposition de Millet-Cheyer relative à des meules qu'il ne peut vendre en raison de leurs dimensions : il demande de lui communiquer la largeur et l'épaisseur des meules, ainsi que le prix auquel il les céderait, inclus le transport à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Hourdequin, vers le 25 juillet 1849
Irrité par le nouveau retard de livraison à Guise des prospectus, Godin annule sa commande de papier à lettres à en-tête. Dans le post-scriptum, Godin menace Hourdequin de lui demander des dommages et intérêts si des prospectus n'ont pas été envoyés à Paris comme prévu.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Genonceaux, 7 [octobre 1849]
Godin répond à une demande Genonceaux en le renvoyant au tarif des marchandises et en lui précisant que le prix de la cuisinière à 3 fours est de 135 F. Il précise que le coût du transport jusqu'à Rethel est de 4 F les 100 kg, soit 6,50 F pour cette cuisinière. Il indique que le prix de 144 F fait à Fontaine de Guise est payable au comptant en écus. Godin avertit Genonceaux qu'il émet un mandat à vue de 64 F pour solder une facture.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur L. Bernus, 11 [novembre 1849]
Godin rappelle à Bernus qu'il lui avait demandé conseil sur l'introduction en Belgique de son industrie. Il explique qu'il vient d'apprendre que des hauts-fourneaux de Belgique veulent s'emparer de ses modèles. Dans la mesure où Bernus n'a pas écarté l'idée de s'intéresser à l'introduction de son industrie en Belgique, Godin lui demande s'il veut bien faire le voyage jusqu'à Guise. Il évoque les bénéfices importants qu'il pourrait faire en fabriquant les articles Godin-Lemaire, mais alerte sur les difficultés que la concurrence pourrait causer si des mesures ne sont pas prises pour l'en empêcher.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand-Lhomme, 13 [novembre 1849]
Godin informe Bertrand-Lhomme qu'il paiera les marchandises Godin-Lemaire à son dépôt de Paris plus cher que s'il se fournissait à Guise. Il lui indique que les prix de son tarif valent pour les marchandises enlevées à Guise et que les informations données sur les chaudières sont exactes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Audubert frères et Cie, 15 [novembre 1849]
Godin annonce à Audubert frères et Cie qu'il a reçu par Dupont de Guise deux paquets contenant 18 modèles et non 19, et qu'ils ont omis d'y mettre le pignon de 29 dents droites. Il leur signale qu'il est obligé d'augmenter le prix d'exécution d'objets d'aussi petites dimensions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à William Taylor, 22 décembre [1849]
À propos d'une machine : Godin indique à W. Taylor qu'il n'est pas utile pour le moment de venir à Guise, et qu'une machine à moyenne pression suffirait dans la mesure où l'eau se trouve à 6 ou 7 m et ne tarit jamais puisqu'elle est au niveau de la rivière. Il suggère à Taylor de lui communiquer le prix de la machine qui, s'il est avantageux, pourrait déterminer Godin à aller la voir à Lille.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Coroze-Cardot, vers le 19 octobre 1843
Sur le transport de tôles de fer de Guise à Esquéhéries.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pottier-André, 30 octobre [1843]
Facturation et expédition de poêles. Godin explique qu'il aurait plus de facilité à faire déposer à Origny ou à Guise une commande ne représentant pas un chargement complet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Laplace-Borgnet, 30 octobre [1843]
Facturation et expédition de marchandises. Godin explique qu'il peut lui livrer directement le chargement complet d'un cheval ou qu'il peut faire déposer un volume moins important à Guise ou à Origny.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Grimblot, 4 novembre [1843]
Réponse à une lettre de monsieur Grimblot en date du 27 octobre 1843 : facturation et expédition d'une cuisinière ; précise que le transport de Guise à Marle est à la charge de Grimblot.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Viéville-Boutroy, 4 novembre [1843]
Réponse à une lettre de monsieur Viéville-Boutroy en date du 23 octobre 1843 : facturation et expédition de poêles chez monsieur Clément à Guise ; reprise d'une cuisinière, que Godin reproche à Viéville-Boutroy de n'avoir su placer.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Blubil, 9 avril [1845]
Réponse à une lettre de monsieur Blubil en date du 15 février 1845 : sur un contentieux relatif à la fourniture de poids de la manufacture Godin-Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lefèvre, 21 [juin 1845]
Sur l'achat par Godin d'une maison à Guise (Aisne).

Mots-clés :

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Thillois, 4 novembre [1845]
Réponse à une lettre de monsieur Thillois demandant une réduction du prix des cuisinières : Godin communique le prix auquel il peut les céder. À propos de poêles en dépôt chez monsieur Thillois que celui-ci a retiré de la préfecture : Godin en demande le paiement ou le renvoi par le messager de Marle à Guise chez monsieur Bailly, marchand de fer. Facturation d'une cuisinière à bois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Houlon, 6 novembre 1845
Réponse à une lettre de monsieur Houlon du 3 novembre 1845 : sur un accident de transport de poêles destinés à monsieur Houlon, survenu la nuit du 2 novembre 1845 sur la route de Guise à Leschelle (Aisne), à cause de travaux en cours d'exécution sur la route que les entrepreneurs n'avaient pas signalés : sept des onze poêles ont été brisés. Godin informe Houlon qu'il vient d'écrire au préfet et à l'ingénieur des ponts et chaussées en vue d'obtenir une indemnité. Godin indique à Houlon qu'il va lui envoyer les poêles en remplacement de ceux qui ont été brisés, ainsi que ceux demandés dans sa nouvelle commande, et lui remet une facture.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Thillois fils, 3 décembre [1845]
Facturation de poêles de la manufacture Godin-Lemaire livrés chez monsieur Lhote à Guise. À propos d'une cuisinière que monsieur Thillois souhaite retourner : Godin préférerait qu'il cherche à vendre la cuisinière quitte à changer le foyer au charbon pour un foyer au bois.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 19 mars [1846]
Godin envoie 16 F dont l'emploi est indiqué à la fin de la lettre : abonnements au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique de monsieur Moricourt-Viéville, banquier au Nouvion-en-Thiérache, et de monsieur Paringaux ; contribution de Godin et Lhermitte en faveur de la Pologne. Sur une pétition. Godin évoque la difficulté du libraire de Guise d'obtenir des livres de la Librairie sociétaire, que le Comptoir central de la librairie n'expédie plus.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Barthélémy Godin, 9 mai 1846
Godin propose à son frère cadet de travailler avec lui. Il évoque avec lui la possibilité de créer un autre établissement industriel, par exemple sur les bords de la Loire, facilement accessibles par le chemin de fer, dont ils partageraient les bénéfices ; Godin imagine qu'ils pourraient diriger en alternance ce deuxième établissement et « l'établissement définitif » qu'il s'apprête à construire à Guise sur la propriété qu'il a achetée.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 14 mai [1846]
Réponse aux lettres des 11 mai et 22 avril de la Société des hauts-fourneaux du Nord : sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire ; contestation de l'augmentation du prix de la fonte au regard du prix de la fonte belge qui sert de référence ; demande la livraison de 50 tonnes à livrer en juillet à Guise dans la nouvelle fonderie Godin-Lemaire ; paiement de livraisons de fonte.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Delaunay, 19 juin 1846
Sur le percement du puits de la maison en construction à Guise (Aisne) : Godin annonce que le perceur du puits va commencer le travail ;Godin souhaite qu'il se contente du perçage et que Delaunay confie au maçon chargé des constructions de maçonner le puits.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur l'ingénieur des ponts et chaussées, 2 août [1846]
Sur l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie de Guise sur la route royale de Landrecies à Guise : Godin informe l'ingénieur des ponts et chaussées qu'il a remis à monsieur Lecerf les états de la concession qui lui est faite pour réaliser l'alignement des constructions ; Godin exprime sa satisfaction de constater qu'il n'aura pas à mettre à nouveau au chômage les ouvriers employés aux constructions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur David-Tisseron, 8 [août 1846]
Commande de deux soufflets de forge à livrer à Guise avant 15 jours, ainsi que d'étaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Depret-Béghin, 19 [août 1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Depret-Béghin a informé le 17 avril qu'il pouvait lui livrer 50 tonnes de fonte n° 1 ; Godin demande dans quel délai elle pourrait lui être livrée à Saint-Quentin ; Godin indique qu'il préférerait que le bateau prenne à La Fère le Canal de la Sambre à l'Oise et décharge près d'Étreux ou de Guise ; il demande un échantillon de fonte pour juger de sa qualité.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le préfet de l'Aisne, 22 août 1846
Sur l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie Godin-Lemaire édifiée à Guise : Godin explique qu'il a présenté un état de concession des terrains à acquérir pour alignement à l'ingénieur de Saint-Quentin qu'il a vu à plusieurs reprises, que celui-ci promettait à la fin de juillet que l'arrêté d'autorisation n'en tarderait pas et qu'il s'étonne des difficultés que lui a causé monsieur Lecerf conducteur des ponts et chaussées ; il demande au préfet les motifs qui retardent l'autorisation et empêchent la reprise des constructions ; il explique qu'il a été menacé d'un procès s'il faisait construire à moins de deux mètres de la route , qu'il a en conséquence suspendu les travaux, mais que le préjudice qu'il subit est considérable ; il signale que 40 ouvriers devaient être employés aux constructions.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur David-Tisseron, 5 [septembre 1846]
Réponse à une lettre de David-Tisseron en date du 26 août 1846 : sur une livraison d'étaux annoncée, mais non livrée ; Godin informe David-Tisseron qu'il a commandé ailleurs des étaux et des enclumes ; il lui demande si c'est à Guise qu'il a expédié soufflets et étaux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marcaille et fils aîné, 7 [septembre 1846]
Sur une commande de boules : Godin s'adresse à Marcaille et fils aîné sur la recommandation de Pillez frères [quincailliers] à Valenciennes ; il commande un échantillon de 500 boules de 40 mm ; il indique qu'on peut se renseigner sur sa solvabilité auprès de la maison Allez, quincaillier au 2, quai de la Mégisserie à Paris ; il précise que la livraison se fera à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Beaufay aîné, 7 [septembre 1846]
Commande de creusets en terre pour la manufacture Godin-Lemaire, dont Godin a un besoin urgent, à livrer sous huitaine à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 9 [septembre 1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin indique à monsieur Lucq qu'il vient d'écrire aux Hauts-fourneaux de Couillet pour les informer qu'il enverra une voiture charger de la fonte. Il précise que les Hauts-fourneaux de Couillet l'ont informé que les 70 tonnes de fonte achetées seront prêtes au transport du 20 au 25 septembre ; il demande à Lucq d'en transporter la moitié à Guise par bateau.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 12 septembre 1846
Fait suite à la lettre de Godin au préfet de l'Aisne en date du 22 août 1846 relative à l'alignement des constructions de la nouvelle fonderie Godin-Lemaire à Guise : Godin rappelle ses demandes de juin et d'août, restées sans réponse ; confronté aux difficultés que lui cause monsieur Lecerf, conducteur des ponts et chaussée à Guise, Godin souhaite savoir à quelles conditions il pourrait construire dans les limites de sa propriété et à quelle distance de la route ; Godin rappelle qu'il a remis à Lecerf des états de concession, mais que ce dernier lui a remis de nouveaux états qui, dit-il, permettraient d'obtenir immédiatement l'alignement ; Godin considère la proposition comme une nouvelle vexation et demande au préfet de lui préciser les conditions à respecter pour pouvoir construire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Depret-Béghin, 12 septembre 1846
Réponse à une lettre de Depret-Béghin en date du 7 septembre 1846 sur l'approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin accepte l'offre qui lui est faite de recevoir une tonne de fonte à Guise ; Godin indique qu'il serait prêt à en recevoir deux ou trois tonnes si le transport ne coûtait pas davantage que 20 F la tonne, qu'il compare aux 12 F que lui coûte le transport de charbon à partir de Valenciennes.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le maire de Guise, 14 [septembre 1846]
Godin explique qu'il est « sur le point » de mettre en activité une nouvelle fonderie à l'extrémité du faubourg de Landrecies et qu'il va recevoir d'importantes quantités de combustible pour fabriquer des marchandises destinées à l'exportation et non pour la consommation intérieure de la ville. Il sollicite de jouir du privilège d'entrepôt accordé aux marchandises destinées à l'exportation.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 9 octobre [1846]
Probablement sur l'affaire de contrefaçon des produits de la manufacture Godin-Lemaire : Godin ne peut se rendre avant la semaine suivante à Vervins en raison de la mise en activité de la nouvelle fonderie de Guise ; il invite Oudin-Leclère à venir à Guise étudier ses produits afin de plaider d'une façon convaincante dans une délicate affaire industrielle pour laquelle les juges n'ont pas assez de connaissance.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 22 octobre 1851
Godin remercie son fils pour la lettre que celui-ci a écrite. Il promet de parler de lui à ses grands-parents à Esquéhéries, lui donne des nouvelles de la santé de son chiot et de deux chatons soignés par Élise. Il demande à Émile d'écrire souvent, et il espère qu'il se plaît à Bellevue.

Mots-clés : , ,

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 25 novembre 1851
Godin reproche à Émile de ne pas avoir écrit depuis longtemps et lui demande de le faire tous les quinze jours. Il lui transmet les compliments de la grand-mère Lemaire, de l'oncle d'Émile et d'Élise. Il lui donne des nouvelles de son chien et des deux chats de la maison. Il l'informe que le nombre d'ouvriers occupés à Guise n'a pas changé depuis qu'il est parti. Il lui demande d'écrire sa prochaine lettre avec une seule conjonction de coordination à l'exemple de la lettre que lui écrit Godin. Dans le post-scriptum, il transmet ses compliments à Régnier et enjoint Émile à rappeler à celui-ci qu'il doit lui procurer tout ce qui lui est nécessaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 avril 1853
Émile a annoncé dans sa dernière lettre qu'il ferait une narration. Godin trouve que c'est un bon moyen pour qu'il soit plus disert dans sa correspondance et il propose de lui fournir des sujets. Il lui propose une narration sur l'étude des langues et leur orthographe : « Pose-toi des questions et fais-y des réponses écrites que tu mettras au net ensuite. Tu examineras d'abord s'il est nécessaire, étant Français, de bien connaître la langue française. Après avoir exposé ton opinion de la manière la plus étendue sur ce point, tu examineras quelle nécessité il peut y avoir pour un Français d'apprendre l'anglais, et pour un Anglais d'apprendre le français, etc. » Il lui annonce qu'il lui donnera ensuite un sujet sur les mathématiques. Godin évoque enfin l'envoi de graines par Émile, « et nous les soignerons d'autant mieux qu'elles nous rappellerons chaque jour que c'est à l'amitié que tu as pour nous qu'elles doivent d'avoir vu le jour à Guise ».

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 9 avril 1854
La lettre d'Émile du 31 mars 1854 donne satisfaction à Godin car elle montre sa détermination à étudier : « Quelle glorieuse satisfaction en effet pour moi si un jour je te vois capable de me seconder dans les diverses entreprises que j'aurai faites, et si je te vois doué de connaissances supérieures à celles que je possède, et par cela imprimer à toutes choses une direction sage, intelligente et supérieure. » Il se félicite que la résolution d'Émile resserre les liens avec ses parents. Il l'informe qu'il ne peut aller à Paris et lui demande de venir à Guise ; il lui indique qu'il écrit à Allyre Bureau pour que ce dernier l'accompagne au chemin de fer jeudi matin ; il lui recommande de mettre son uniforme et de prendre une veste, et lui donne des conseils pour le voyage : manger quelque chose avant de partir et au buffet de la gare de Creil ; prendre une voiture de seconde classe ; prendre une voiture pour Guise à partir de Saint-Quentin ; réserver à la gare de Paris une place dans la diligence allant à Guise, si c'est possible ; retirer 20 F à l'économat du collège Chaptal.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 9 avril 1854
Godin informe Allyre Bureau qu'il ne peut se rendre à Paris pour les vacances de Pâques ; il lui demande d'accompagner Émile jeudi matin à la gare de chemin de fer du Nord, et précise qu'Émile retirera 20 F à l'économat du collège pour payer son billet. Godin explique à Allyre Bureau qu'il est satisfait des progrès scolaires d'Émile : il a obtenu 53 points (classé 30e de la classe), puis 60 points (classé 17e) et enfin 97 points (classé 1er). Godin confie à Bureau que devant ces résultats, il va différer ce qu'il comptait faire. Il souhaite que Bureau lui envoie la brochure de Victor Considerant et il adresse ses compliments à madame Bureau.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 27 avril 1854
Godin raconte à son fils que la tirelire de ce dernier a ri aux éclats du fond du coffre quand ils ont reçu sa lettre, dont il est également enchanté car il était inquiet de ne pas avoir de nouvelles de lui ; il indique à Émile que Goubaux lui a confirmé qu'il avait écrit vendredi et qu'il ne s'explique pas le retard de la réception de la lettre. Godin signale à Émile que le compte du collège Chaptal mentionne 15 exemplaires de géographie à 1 F, et lui demande une explication franche à ce propos. Godin donne à son fils des nouvelles de son petit chien et de son moulin dont les ailes ont été arrachées par le vent pendant que Godin et Esther Lemaire étaient à Saint-Quentin ; Godin lui annonce qu'il va le réparer en lui donnant davantage de solidité. Il lui demande de lui envoyer son bulletin scolaire et de lui dire combien de pièces d'or se trouvent dans sa tirelire.

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 25 octobre 1854
Esther Lemaire annonce à Émile qu'elle a retrouvé son jeu de patience et qu'elle vient de recevoir une petite caisse « dans laquelle je t'ai vu avec ton papa » et qu'elle en a été agréablement surprise. Elle l'informe que Godin est parti à Bruxelles dimanche, qu'il lui communiquera à son retour les dimensions de la machine qu'il avait demandées, et que sa marraine est venue passer quelques jours à Guise. Elle transmet à Émile les compliments de sa marraine et ceux de la grand-mère Lemaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 6 novembre 1854
Godin rappelle à Émile les promesses qu'il lui a faites de bien occuper son temps au collège Chaptal cette année. Il trouve justifiée la punition qu'a reçue Émile pour avoir mangé en classe : une règle commune est nécessaire. Il accuse réception de la lettre qu'il a remise à Allyre Bureau ou de celle qui lui demande les mesures d'une machine. Il fait observer à ce propos à Émile que cela va lui demander beaucoup de temps, mais lui annonce qu'il le fera, même s'il pense qu'Émile ferait mieux de ne pas se distraire des leçons qu'on lui donne et de penser « à donner à manger à la tirelire pour acheter un canton au Texas » grâce à ses bons bulletins scolaires.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 12 juin 1855
Godin accuse réception du dernier bulletin d'Émile ; ce dernier n'a pas envoyé le précédent bulletin qui, probablement, ne le classait pas parmi les vingt premiers de la classe. Il regrette qu'Émile soit irrité à l'égard de ses maîtres et lui recommande l'indulgence et un comportement plus raisonnable. Il le prévient qu'il n'a pas envie de jouer le rôle du pion si Émile étudiait à Guise. Il l'informe qu'une nichée de cochons d'Inde est née et lui demande d'écrire chaque semaine pour que sa mère ne s'inquiète pas.

Mots-clés : ,

Auteur·e : Lemaire, Sophie Esther (1819-1881)
Esther Lemaire à Émile Godin, 13 mars 1856
Esther Lemaire adresse à Émile une lettre à remettre à Goubaux pour qu'il lui donne les 30 F. Elle donne à Émile les instructions et les horaires de train pour son voyage de Paris à Guise. Elle lui interdit de prendre le train de nuit et lui demande de prendre un billet de 1re classe. Elle souhaite qu'en arrivant à la gare du Nord, il réserve une place de Saint-Quentin à Guise auprès du bureau des messageries impériales. Elle lui signale qu'il fait un peu froid.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2