FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin transmet deux communications, deux coupons de sa souche [de cotisations à la rente de l'École sociétaire] et la somme de 64 F. Il demande le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifiquede monsieur Poupart à Lesquielles et l'envoi par l'intermédiaire de Véran Sabran d'une vue du phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 20 septembre 1849
Godin accuse réception du numéro 11 du Bulletin phalanstérien contenant un appel de Victor Considerant ; il promet de verser 1 000 F au bénéfice des sociétés créées en 1840 et 1843 [pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique], comprenant les 500 F prêtés en 1848 à La Démocratie pacifique ; il envoie 100 F à titre d'avance. Godin explique qu'il croit à un découragement général parmi les phalanstériens. Il constate que les circulaires et les appels du Bulletin sont devenus une habitude et n'éveillent plus l'attention des destinataires. Il livre un conseil aux dirigeants de l'École pour exciter l'intérêt des phalanstériens et les presser à la générosité envers l'École : « Élevez les cœurs au diapason de l'unitéisme. Pour cela, faites lithographier immédiatement une nouvelle circulaire dans laquelle vous ferez ressortir les chances probables de l'appel européen, les avantages qui en résulteront, l'espoir d'une réalisation prochaine dont dépendent notre salut et le salut de l'humanité. Demandez formellement l'accusé de réception de l'appel de Considérant (sic) et la détermination de chacun. » Godin joint à sa lettre une note relative à son compte de librairie et aux abonnements, par laquelle il renouvelle son abonnement à La Démocratie pacifique et à La Phalange et celui de Poupart de Lesquielles-Saint-Germain à La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérants de La Démocratie pacifique, 16 novembre 1848
Godin souscrit un abonnement à La Démocratie pacifique au bénéfice de monsieur Poupart à Saint-Germain près de Guise et commande plusieurs ouvrages à lui expédier par l'entremise de Véran Sabran. Godin remet un mandat de 40 F et demande qu'on n'oublie pas ses droits à la remise [sur les ouvrages de la Librairie sociétaire].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin transmet deux communications, deux coupons de sa souche [de cotisations à la rente de l'École sociétaire] et la somme de 64 F. Il demande le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifiquede monsieur Poupart à Lesquielles et l'envoi par l'intermédiaire de Véran Sabran d'une vue du phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie Pacifique et à l'École sociétaire, 20 [septembre 1849]
Godin accuse réception du numéro 11 du Bulletin phalanstérien contenant un appel de Victor Considerant ; il promet de verser 1 000 F au bénéfice des sociétés créées en 1840 et 1843 [pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique], comprenant les 500 F prêtés en 1848 à La Démocratie pacifique ; il envoie 100 F à titre d'avance. Godin explique qu'il croit à un découragement général parmi les phalanstériens. Il constate que les circulaires et les appels du Bulletin sont devenus une habitude et n'éveillent plus l'attention des destinataires. Il livre un conseil aux dirigeants de l'École pour exciter l'intérêt des phalanstériens et les presser à la générosité envers l'École : « Élevez les cœurs au diapason de l'unitéisme. Pour cela, faites lithographier immédiatement une nouvelle circulaire dans laquelle vous ferez ressortir les chances probables de l'appel européen, les avantages qui en résulteront, l'espoir d'une réalisation prochaine dont dépendent notre salut et le salut de l'humanité. Demandez formellement l'accusé de réception de l'appel de Considérant (sic) et la détermination de chacun. » Godin joint à sa lettre une note relative à son compte de librairie et aux abonnements, par laquelle il renouvelle son abonnement à La Démocratie pacifique et à La Phalange et celui de Poupart de Lesquielles-Saint-Germain à La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 mai 1872
Godin demande à son fils Émile de réunir la commission des délégués aux réclamations à propos d'un abus d'autorité commis par Mathieux sur Druard. Il indique que Druard doit être maintenu et qu'Émile peut informer Denisart de la décision. Sur l'affaire de Rémoulu blessé par Carlier père et les amendes infligées aux ouvriers par les employés et décidées par la commission administrative ou la caisse de secours. Sur des augmentations de salaire à attribuer aux ouvriers Point, Notret, Mismaque fils, Dirson, Duval, Jas[??], Conte-Cronier, Cronier, Serrat ; Godin préconise d'organiser des élections et un concours pour évaluer les augmentations de salaires à accorder aux employés inférieurs. Dans le post-scriptum, il signale à son fils qu'il joint à sa lettre une adresse à la commission administrative à remettre au président de celle-ci pour qu'il en fasse lecture à l'occasion de la prochaine réunion.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Graux, 22 avril 1874
Godin demande à son collègue Louis Graux de lui adresser le rapport intitulé « Enquête sur les stations de Lesquielles-Saint-Germain et Guise » qui a été distribué lors de la dernière session du conseil général de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 22 mai 1874
Sur des secours à accorder par le comité présidé par Dequenne aux ouvriers de Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre de l'Instruction publique, 15 avril 1876
Godin informe le ministre qu'on lui a appris qu'on renvoyait des élèves de l'école de Lesquielles-Saint-Germain et qu'on lui a communiqué une lettre de l'inspecteur d'Académie à l'instituteur de l'école qui ordonne à ce dernier de renvoyer les enfants les plus jeunes au-delà du nombre de 45 élèves et lui signale que la municipalité recherche un local pouvant accueillir l'excédent d'élèves (lettre copiée sur le folio 374v). Godin informe le ministre qu'un local avait été refusé à la commune. Il estime que le moyen employé pour forcer la commune à aménager une école a pour conséquence de laisser vagabonder dans les rues les élèves refusés. Il lui demande d'intervenir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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La préfecture de l'Aisne aurait égaré le dossier envoyé par Godin pour signaler les actes de dévouement d'Ermantine Ollivier de Saint-Germain près de Guise : Godin demande au préfet d'accorder son attention à cette affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 3 lettres de Gaston Ganault et le remercie pour son article du journal Le Glaneur. Il fait toutefois observer qu'Hourdequin n'a pas envoyé des exemplaires de celui-ci à tous les conseillers municipaux. Il l'informe que le conseil municipal de Guise a voté la résolution qu'il lui a présentée, que la commune de Lesquielles a délibéré en refusant le tracé de l'ingénieur et les 2 000 F demandés et a voté une subvention de 20 000 F en faveur du tracé de 1873, et que les autres communes s'apprêtent à délibérer dans le même sens. Il lui envoie une carte et un plan et lui indique qu'il fait étudier comparativement par un ingénieur, élève de l'École centrale et auparavant attaché aux études de la compagnie du Nord, les travaux d'art du tracé de l'ingénieur et ceux de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin s'en remet à Ganault pour ce qu'il y a à écrire dans Le Courrier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin confie à Ganault que la suite administrative donnée à l'enquête sur le chemin de fer du Cateau à Laon le préoccupe et qu'il craint que le préfet veuille escamoter l'affaire en la présentant en avril au conseil général « avec tout l'art jésuitique possible ». Il affirme qu'il faut aller voir le ministre pour parer les manœuvres du préfet et des bonapartistes. Sur un tracé de la voie de Tupigny aux Coutures par Lesquielles. Godin demande à Ganault d'acquérir pour lui deux volumes des sessions du conseil général d'avril et août 1872 qu'il a égarés.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 13 mars 1880. Il voudrait obtenir des nouvelles du rapport de la commission d'enquête, que Ganault avait promis d'aller consulter à Paris. Il l'informe qu'il achève une étude complète du tracé de Wassigny à Guise par Hannapes, Lesquielles et Les Coutures.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Turquet qu'il a écrit au ministre des Travaux publics, au président de la commission des chemins de fer [de la Chambre des députés], au rapporteur de la commission et à Crozet-Fourneyron. Il fait un résumé de cette correspondance qui soutient le contre-projet de la ligne de chemin de fer de Guise à Wassigny et son passage à Guise contre le projet de l'administration des ponts et chaussées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin exprime son inquiétude à Turquet : le tracé du contre-projet par Hannapes aurait été condamné par le ministre de la Guerre à la suite d'une visite d'une commission d'officiers du génie qui aurait confirmé les dires de Menche de Loisne sur la mauvaise nature des terrains. Godin demande à Turquet si cette rumeur est fondée.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin est inquiet à propos d'un avis du génie militaire défavorable au tracé du contre-projet en raison du mauvais état supposé des terrains près de Wassigny. Il lui annonce qu'il va écrire à Turquet à ce sujet et lui suggère de se rendre à Paris avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la délégation cantonale : Godin conteste les griefs de négligence de la part de membres de la délégation cantonale à son encontre ; chacun d'eux sait parfaitement, selon lui les communes qui lui sont assignées ; il communique au sous-préfet la liste des délégués et des communes auxquelles ils sont assignés (copiée folio 384v).

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Detrais, 19 août 1889
Sur la réparation de la citerne de la maison de Marie Moret à Lesquielles-Saint-Germain et la réfection du béton de sa cour d'entrée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Wilfrid Poulet, 19 août 1889
Sur la réparation de la citerne de la maison de Marie Moret à Lesquielles-Saint-Germain et la mise à disposition d'une pompe par la Société du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Roger, 2 septembre 1889
À propos du cheval de Marie Moret resté à Lesquielles et des travaux de réparation de la citerne de la maison de Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Marchand, 9 octobre 1889
À propos des conditions financières des transports de la famille Moret-Dallet entre Guise et Lesquielles-Saint-Germain, suite à la vente de ses chevaux par Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Franceline Alavoine, 23 décembre 1892
Réponse à une lettre de Franceline Alavoine en date du 30 novembre 1892. Marie Moret envoie 50 F à Franceline Alavoine pour le paiement de ses appointements de décembre, ses étrennes, celles du facteur de Lesquielles[-Saint-Germain] et pour couvrir les dépenses courantes. Sur le froid qu'il doit faire à Lesquielles et sur l'entretien de la maison de Marie Moret à Lesquielles. Que Venet, maçon, n'oublie pas de vérifier le bon état de la maison. Sur les nouvelles du jardin de Lesquielles entretenu par Jules, oncle de Franceline : le jardin est à sa toilette d'hiver ; messieurs Casseleux et Caudron continuent de louer leurs jardins à Marie Moret pour l'année 1893. Nouvelles du couple Roger.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 30 décembre 1892
Confirme sa demande télégraphiée de livraison de charbon à sa maison de Lesquielles-Saint-Germain. Espère que cela ne causera pas de souci à Piponnier, et qu'elle sera prévenue plus en avance la prochaine fois. Demande l'envoi de l'état de son compte au Familistère au 31 décembre 1892 dès que celui-ci sera clôturé. Demande des nouvelles de l'activité industrielle de l'usine. Température douce à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 28 janvier 1893
Accuse réception des envois de Doyen : la feuille des contributions de Marie Moret de Lesquielles, la liste des ouvrages reçus et le compte du Devoir. Sur le service du journal Le Devoir : Marie Moret compte 80 services étrangers contre 79 pour Doyen car elle reste dans l'attente du renouvellement de l'abonnement de monsieur Gauchet de Belgique ; correction du nom de Charles Doerflinger de Genève. Rappelle son besoin de la feuille 3 des épreuves du livre de François Bernardot [Le Familistère de Guise]. Demande des nouvelles de l'activité industrielle du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 5 mars 1893
Accuse réception des envois de Doyen : L'Église de l'avenir ; feuille 4e du livre de Bernardot [Le Familistère de Guise]. Prie Doyen de demander à Piponnier de commander un tombereau de charbon pour la maison de Lesquielles. Si Doyen reçoit l'état du compte de Marie Moret chez Guillaumin et Cie, qu'il lui envoie à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Franceline Alavoine, 5 mars 1893
Informe Franceline Alavoine qu'elle a fait commander un tombereau de charbon pour Lesquielles-Saint-Germain. Entretien de la haie du jardin de la maison par Julien Alavoine et monsieur Sarcy.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 10 mars 1893
Sur des abonnements au journal Le Devoir : proposition d'échange à titre gratuit du Devoir avec L'Église de l'avenir en remplacement de l'abonnement arrivant à échéance de Charles Humann ; changement d'adresse de Charles Doerflinger de Suisse aux États-Unis ; interruption de l'échange avec Le Réveil du peuple de Dijon qui ne paraît plus ; en attente de plus amples informations sur La Vraie République ; le non-renouvellement de l'abonnement de Morisseau. Sur une conférence de François Bernardot à Gand. Marie Moret accepte de prêter le bureau du journal à Doyen, comme avec Champury, mais refuse de le vendre. Joint à sa lettre celle d'Émilie demandant l'envoi des catalogues des nouveautés d'été reçus à Guise en leur deux noms.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 17 mars 1893
Au vu des conditions posées par monsieur Sarcy pour l'entretien de la haie du jardin [de la maison de Lesquielles-Saint-Germain], Marie Moret décide d'attendre son retour pour examiner ce qu'il y aura à faire.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 7 avril 1893
Réponse à une lettre de monsieur Alavoine en date du 4 avril 1893. Sur les jardins potagers loués par Marie Moret à messieurs Caudron et Casseleux à Lesquielles ; sur le jardin d'agrément et la mauvaise santé des arbres fruitiers de la maison de Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 18 avril 1893
A la suite de l'annonce du départ des gardiens de la maison de Marie Moret à Lesquielles et en vue de son projet de pied-à-terre à Nîmes, Marie Moret demande à monsieur Picot-Delorme de déménager le mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Liste les meubles à déménager : lits et sommiers, tables de nuit, tables de toilette, armoires à glace et commode, canapés et fauteuils, chaises, fauteuils de bureau et tables, buffet de salle à manger, buste, suspension, cuisinière et ustensiles de cuisine, linge, rideaux etc. Demande le coût de leur emballage et de leur transport.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 avril 1893
Annonce du départ des gardiens de la maison de Lesquielles et du projet de déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Franceline Alavoine a trouvé un emploi de cuisinière à Courcelles (Lesquielles-Saint-Germain) où son mari est cocher. Sur la charge que représente la maison de Lesquielles pour Marie Moret mais qu'elle ne peut ni vendre ni louer. Informe qu'elle a écrit à monsieur Picot pour le déménagement. Émilie et Marie-Jeanne Dallet heureuses de rentrer prochainement à Guise, ce qui n'est pas le cas de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 20 avril 1893
Sur le départ de Lesquielles de Julien Alavoine et de son épouse Franceline pour Courcelles le 18 mai 1893. Informe qu'elle compte déménager le mobilier de la maison vers Nîmes où elle souhaite désormais passer l'hiver. La maison de Lesquielles vidée n'aura besoin que d'une surveillance générale. Arrêt de la location des jardins potagers à messieurs Caudron et Casseleux dont il faudra reboucher les ouvertures et refaire les haies.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 22 avril 1893
Organisation du déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles-Saint-Germain : Marie Moret se propose d'envoyer à Picot-Delorme un cadre de déménagement, capitonné à l'intérieur et sans roues, qu'il faudra monter sur un camion aux roues basses, comme ceux de la gare de Guise. Demande à Picot-Delorme s'il peut obtenir un tel camion, le prix du déménagement et s'il y a une grue en gare de Guise pour soulever le cadre de déménagement. En post-scriptum, annonce joindre une enveloppe prête pour la réponse de Picot-Delorme.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 3 mai 1893
Réponse à la lettre de Paul Picot en date du 24 avril 1893. Sur le déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes : Marie Moret a fait expédier de Nîmes le cadre de déménagement ; elle achève Le Devoir du mois de mai 1893 avant de rentrer à Guise pour faire le choix des meubles à déménager.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Juliette Cros, 4 mai 1893
Nouvelles de Juliette Cros par Auguste Fabre : le fils de Juliette Cros commence à marcher. Marie Moret annonce son retour à Guise, motivé par la nécessité de déménager sa maison de campagne de Lesquielles-Saint-Germain à la suite de la démission des gardiens de la maison. Souhaite transporter le mobilier à Nîmes afin d'y avoir une installation complète. La famille Moret-Dallet espère revenir à Nîmes à l'automne prochain pour rencontrer Juliette Cros.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alfred Bocheux, 12 mai 1893
Marie Moret envoie 200 F, son livre de compte et son carnet de dépenses usuelles pour que monsieur Bocheux puisse y porter les deux fournitures de charbon à Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 12 mai 1893
Sur le déménagement à Nîmes du mobilier de la maison de Lesquielles-Saint-Germain : Marie Moret n'a pas été informée de l'arrivée du cadre de déménagement ; sur son déplacement cet après-midi [du 12 mai 1893] à Lesquielles ; propose de s'entretenir avec Paul Picot le lendemain [13 mai 1893].

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Augustine Brullé, 23 mai 1893
Remercie sa correspondante de sa lettre du 28 avril 1893 et espère qu'elle et sa soeur se sont remises de la grippe. Sur son séjour à Nîmes et son intention d'y rester jusqu'à fin juin avant de recevoir la démission des gardiens de sa maison de Lesquielles, l'obligeant à revenir à Guise. Fait part de sa décision d'avoir un logement au Familistère et un autre dans le midi pour l'hiver : elle a fait déménager les meubles de Lesquielles pour Nîmes. Marche normale du Familistère. Le fils de François Dequenne devient directeur de Laeken.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au maire de Lesquielles-Saint-Germain, 31 mai 1893
La maison de Lesquielles étant désormais sans meuble, sans gardien et sans chien, Marie Moret demande à être exonérée de la contribution mobilière de 95,59 F et de la taxe municipale pour le chien de 8 F, impôts dus à la commune de Lesquielles pour 1894.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 3 juin 1893
Sur le déménagement à Nîmes du mobilier de la maison de Lesquielles-Saint-Germain : Marie Moret renvoie la facture à monsieur Picot, dépassant de 50 F le montant auquel elle s'attendait ; Fabre accuse réception des meubles « "à peu près en bon état" » à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Venet, 6 juin 1893
Marie Moret invite monsieur Venet à passer la voir en matinée au Familistère pour l'entretenir au sujet de la maison de Lesquielles-Saint-Germain.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Venet, 14 juin 1893
Demande qu'on rattache les arbres fruitiers fixés aux murs de sa maison de Lesquielles-Saint-Germain.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Amédée et Flore Moret, 30 octobre 1889
Marie Moret adresse sa lettre à ses « chers frère et sœur », son frère Amédée et sa belle-sœur Flore Moret. Sur l'acquisition d'un poêle pour le logement de Gaston Piou de Saint-Gilles au 72, rue de Seine. Projet de visite de François Dequenne à la clientèle de Paris en compagnie d'Amédée Moret. Nouvelles du Familistère : manœuvres de Pernin, gérant désigné, et André repoussées par le conseil de gérance ; André et Colin en concurrence à la direction des modèles ; incidents en assemblée générale des associés. Départ samedi prochain de Joseph, Isanie et Maria Ducruet, remplacés au Familistère par monsieur et madame Roger, eux-mêmes remplacés à Lesquielles par le garde-champêtre et sa femme ; vente des chevaux. Sur la rente italienne 3 %. Démission de Donneaud devenu veuf, qui part rejoindre ses enfants dans le midi de la France. Copie des lettres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Carré, 27 avril 1885
Avec Godin, Marie Moret est allée voir la propriété qu'elle a achetée à Lesquielles-Saint-Germain (Aisne) afin de l'inspecter, ainsi que celle de madame Dagnicourt, contiguë à la sienne. Marie Moret souhaite que soit vérifiée la superficie de la propriété : elle juge qu'elle est plus petite que les six ares annoncés.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 avril 1885
Marie Moret évoque le séjour récent de Tisserant au Familistère. À propos de la propriété achetée par Marie Moret, celle-ci souhaite y élever « un modeste pavillon déjà pompeusement baptisé « Villa André-Marie » ». Elle fait parvenir à Tisserant « tous nos divers documents dont j'ai tiré le duplicata ». Elle mentionne la séance du conseil de gérance de l'Association qui a lieu le jour même.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Croux et fils, 9 mai 1885
Recommandée par Godin, l'entreprise que Marie Moret contacte peut fournir des essences d'arbres qu'elle souhaite utiliser pour faire des clôtures de bonne défense sur des terrains crayeux ou planter pour faire ombrage. L'idée consiste à acheter les essences pour faire pousser les arbres dans le sol tel qu'il est, sans apport de terre nouvelle.

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