FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Roger, 12 septembre 1889
Réponse à la lettre de monsieur Roger en date du 10 septembre 1889. Marie Moret le remercie pour les informations relatives à la carrière [à Lesquielles] et au cheval Boulanger ; elle évoque l'achat d'acide par Roger et un incendie en cours à Guise. Elle lui donne des nouvelles : le temps est superbe et le cheval Papillon va bien.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Elisabeth Piou de Saint-Gilles, 5 novembre 1889
Réponse à une lettre d'Elisabeth Piou de Saint-Gilles en date du 24 octobre 1889. Sur Gaston Piou de Saint-Gilles et ses études. Sur la connaissance des langues d'Elisabeth Piou de Saint-Gilles. Rêve de Marie Moret : Elisabeth Piou de Saint-Gilles et ses filles dans le grand monde. Marie Moret mère adoptive de Gaston Piou de Saint-Gilles selon Elisabeth Piou de Saint-Gilles.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur A. Dupont, 3 juin 1891
Sur une demande d'emploi de deux ouvriers de Revin dans l'usine du Familistère de Guise : réponse négative de François Dequenne.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 juillet 1891
Sur une maladie d'Antoniadès. Sur le second volume d'un livre de Deluc. Invitation à séjourner à Lesquielles avec détails sur le voyage en chemin de fer depuis Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Roger et Laporte, 24 octobre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet à Nîmes, du 21 au 30 octobre 1892. Sur la préparation et la composition du nouveau numéro du journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre Meerts-Ancelet, 8 novembre 1892
Informe monsieur Meerts qu'elle ne peut accepter ses services car elle ne sait quand elle rentrera à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 22 mars 1870
À propos de l'octroi de la ville de Guise : Godin demande au Journal de l'Aisne un droit de réponse à un article qui rend compte d'une décision de la municipalité de Guise. Godin précise que la commission municipale chargée de la question du maintien ou de la suppression de l'octroi s'est prononcée en faveur du maintien par trois voix contre deux, que la commission n'a pas intégré à son rapport les arguments des partisans de la suppression, que le conseil municipal n'a pas fait état de l'opposition aux conclusions du rapport et qu'il a reporté sa décision.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gustave Christian, 16 mars 1870
Sur la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire : Godin prie son correspondant d'accepter sa nomination par le tribunal de Vervins en tant qu'expert compétent dans les questions industrielles pour l'évaluation des biens de la communauté, aux côtés de deux architectes locaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Gaildreau, 16 mai 1870
À propos de l'édition de Solutions sociales : la lettre de Godin à Gaildreau du 13 mai 1870 est restée sans réponse. Il a un besoin pressant des clichés pour faire les essais d'impression des gravures de son livre chez son imprimeur habituel à Guise. Il demande une nouvelle épreuve de la grande vue à vol d'oiseau avec la légende. Demande le renvoi de dessins confiés à Gaildreau et lui adresse 24 vignettes à graver.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Vallin, 1er septembre 1870
Godin a bien reçu le courrier de Vallin et lui demande de lui communiquer son adresse exacte avec la mention du corps d'armée dans lequel il est affecté. Godin joint 10 F à sa lettre, indique à Vallin qu'il lui enverra davantage d'argent ensuite et qu'il a dédommagé ses parents du séjour que Vallin a fait à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur M. Conte, 28 octobre 1872
Jean-Baptiste André Godin répond à monsieur Conte au sujet de son fils qui prétend à un emploi à l'usine du Familistère. Godin ne donne pas suite à la demande de celui-ci et expose les motifs de sa décision : Godin avait accepté de donner un emploi de voyageur de commerce au jeune homme alors que celui-ci lui avait dissimulé des renseignements ; il lui a accordé des appointements pendant les quatre mois d'études qu'il a suivies au sein de l'usine du Familistère ; le jeune homme a commencé à voyager pendant que Godin se trouvait à Versailles ; Godin a eu connaissance que ses frais de voyage, 20 F par jour, excédaient les frais des autres voyageurs de la manufacture, aussi l'a-t-il congédié. Godin fait le compte des effets que le jeune homme a laissé chez monsieur Berns, d'une moindre valeur que ce qu'indique monsieur Conte.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 28 mars 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'Esther Lemaire se trouve à Paris avec ses amis et lui demande s'il a eu communication du mémoire de son avocat. Il communique à Lecoq de Boisbaudran, qu'il a vu à Paris, une nouvelle sommation de la part d'Esther Lemaire pour qu'il lui fasse part de ses objections.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 25 août 1868
À propos de la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire : Godin rapporte à Favre des détails de la vie privée d'Esther Lemaire après leur séparation. Sur l'amant d'Esther Lemaire : un jeune homme entré comme domestique dans sa maison. Sur les relations d'Esther Lemaire avec l'homme d'affaire Cottenest : Godin ne pense pas que Cottenest soit l'amant d'Esther Lemaire, mais décrit les séjours qu'ils ont fait ensemble à Paris à l'hôtel de la Réunion au 10, rue Paul-Lelong et le séjour de Cottenest à l'hôtel des Voyageurs de la rue Montmartre avec la fille Lesquilbet, de Guise. Godin demande à Favre s'il doit continuer son enquête sur la vie privée d'Esther Lemaire et s'il doit poursuivre jusqu'à constater un flagrant délit [d'adultère]. Il indique à Favre avoir versé 100 000 F à Esther Lemaire et que cette dernière lui en réclame à nouveau autant. Sur une question de remploi et sur la décision des tribunaux sur sa réclamation à l'égard de la plus-value des usines du Familistère due à son travail.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 6 août 1868
Visite de Delpech au Familistère le dimanche 9 août 1868 : Godin indique à Delpech qu'il pourra assister à la distribution mensuelle des récompenses aux enfants des écoles et qu'il enverra une voiture le chercher à la gare de Saint-Quentin. Sur la liquidation de la communauté de biens des époux Godin-Lemaire : Godin pense qu'Esther Lemaire va se pourvoir en cassation [à la suite du jugement du tribunal d'Amiens].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 23 janvier 1869
Sur les projets du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin. Godin demande au Journal de l'Aisne de publier sa lettre en réponse à la lettre du Journal de Saint-Quentin sur les tracés du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gilbert Stenger, 9 janvier 1869
Sur les projets du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin. Godin demande à Gilbert Stenger de publier dans son journal l'article qu'il lui a envoyé sur les chemins de fer dans l'Aisne avant la réunion du conseil général de l'Aisne. Godin informe Stenger qu'un rédacteur du Courrier de l'Aisne fait des démarches auprès de la municipalité de Guise au sujet du chemin de fer entre Guise et Saint-Quentin et que cela a peut-être à voir avec les élections.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Soye, 16 avril 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin sollicite le soutien de Soye-Godelle à la candidature de Jules Favre aux élections législatives dans l'arrondissement de Vervins, et lui propose d'organiser une réunion avec lui à Aubenton.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Desmasures, 1er mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin communique à Desmasures des exemplaires du manifeste électoral [en faveur de la candidature de Jules Favre], et lui en vante le succès. Sur la diffusion du manifeste : 5 000 exemplaires sont en circulation ; deux hommes sont employés à écrire les adresses d'expédition ; importance de dresser des listes de destinataires du manifeste. À propos d'une lettre de Chaseray au Journal de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Desmasures, 5 mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin fait un état précis des difficultés à organiser la propagande électorale : l'aide insuffisante du comité électoral ; la nécessité d'envoyer 3 000 à 3 500 manifestes à raison d'un manifeste pour 30 électeurs, alors que les bureaux de l'usine en envoient 500 par jour ; répartir les envois dans toute la circonscription au-delà du canton de Guise ; formalités à remplir pour la diffusion de la circulaire de Favre ; convaincre Favre de tenir des réunions publiques dans la circonscription. Godin informe Desmasures qu'il se rendra à Sains-Richaumont dimanche et lui demande s'il pourra le rencontrer à cette occasion.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 26 mai 1869
À propos des élections législatives de mai et juin 1869 en France. Godin communique à Georges Coulon les résultats du premier tour des élections législatives dans la circonscription de Vervins, qui se conclut par la défaite de Jules Favre. Favre arrive cependant en tête dans les cantons de Guise et de Wassigny. Selon Godin, la publication par le journal le Nouvelliste de Vervins de la lettre de Jules Favre aux Lyonnais et la crainte inspirée par la réunion électorale manquée [de Marle], ont créé un climat défavorable à la candidature de Jules Favre. Godin fait le vœu d'une réforme du système électoral « pour donner au suffrage universel la possibilité de donner de meilleurs fruits ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 28 juillet 1869
À propos d'une affaire de contrefaçon : Godin n'a pas rédigé la note demandée par Coulon et l'invite à venir au Familistère la rédiger avec lui. À propos de la liquidation de la communauté de biens Godin-Lemaire : Groualle a informé Godin que le rapporteur du pourvoi en cassation d'Esther Lemaire est monsieur Larembrière ; Godin demande conseil à Coulon et à Jules Favre.

Auteur : Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Macé, 18 avril 1870
Émile Godin envoie à Macé une liste d'adhésions aux principes de l'instruction publique gratuite et obligatoire d'habitants de la commune de Macquigny. Il confirme l'envoi par son père d'une liste d'adhésions de la ville de Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 31 janvier 1870
Sur la liquidation de la communauté de biens Godin-Lemaire. Godin informe Coulon qu'Esther Lemaire « désire reprendre activement la poursuite de la licitation » et que monsieur Lecointe, mécanicien, l'un des trois experts désignés par le tribunal pour l'évaluation des biens de la communauté s'est désisté, les deux experts restants étant architectes. Godin semble le déplorer car selon lui la question des bâtiments est de moindre importance que la question industrielle dans l'évaluation. Godin invite Coulon à venir à Guise pour parler de ces questions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Macé, 6 avril 1870
Godin informe Macé qu'il a envoyé au Comité de Strasbourg [de la Ligue de l'enseignement] les listes de signatures qu'il a recueillies à Guise en faveur de l'instruction obligatoire et gratuite. Il félicite Macé pour son action, lui précise que ce n'est pas par indifférence qu'il a attendu jusqu'à présent pour y contribuer, et l'assure de son concours.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Félix Achard, décembre 1870
À propos de la nomination d'un commissaire cantonal du 2e Bataillon de mobilisés de l'Aisne. Godin, qui préside désormais la commission municipale, informe le préfet de l'Aisne qu'il avait révoqué monsieur Castagny, commissaire cantonal nommé par le maire de Guise, que Castagny avait fait recours auprès d'Anatole de La Forge, alors préfet de l'Aisne, qui avait ordonné sa réintégration. Godin fait le récit de son entrevue à Saint-Quentin avec Anatole de La Forge et monsieur Gronier sur ce sujet : Gronier aurait abusé de la confiance d'Anatole de La Forge. Godin fait part des manœuvres qui ont présidé à la nomination actuelle de Castagny.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Pichon, sous-préfet de Vervins, 19 septembre 1871
Godin répond à une demande du sous-préfet sur l'état de l'industrie de la fonte dans l'arrondissement de Vervins. Godin mentionne les Fonderies de Sougland et la manufacture du Familistère, toutes deux fabricantes d'appareils domestiques de chauffage et de cuisson qu'elles vendent en France et à l'étranger. Sougland a eu à souffrir de changements de propriétaires qui ont amoindri ses affaires ; la manufacture du Familistère n'a eu à souffrir que de la guerre. Godin met en avant que la principale difficulté pour le développement de cette industrie à Guise est l'insuffisance des moyens de transport, les chemins de fer en particulier. Godin répond favorablement à la demande de visite du sous-préfet, à l'occasion de laquelle il pourra convier ses collègues de l'administration municipale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Victor Poulliaude de Carnières, à Ernest Guillemin et à Maximilien Mailliet, vers 1871
À propos des droits de péage sur le canal de la Sambre à l'Oise et sur la Sambre canalisée : les droits de péage élevés sont une grande difficulté pour les cantons riverains et empêche la concurrence avec les chemins de fer. Le conseil général de l'Aisne pourrait se prononcer pour le rachat de ces voies fluviales ; Godin demande à ses correspondants s'il peuvent soutenir ce projet auprès du conseil général du Nord.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Félix Achard, préfet de l'Aisne, 24 novembre 1871
À propos du chemin de fer à Guise : Godin demande au préfet de l'Aisne d'autoriser la Compagnie du chemin de fer de Lille à Valenciennes et la Compagnie de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise de faire conjointement l'étude du raccordement des lignes provenant du Nord et de l'Est à une gare commune à Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 9 août 1872
À propos de l'embauche d'un comptable pour l'usine du Familistère : Godin retient la candidature de Lesne mais lui demande de s'engager sur l'honneur de lui signaler toute irrégularité comptable qu'il pourrait commettre. Un ancien employeur de Lesne, Victor Masson, a en effet appris à Godin que Lesne était honnête mais avait été responsable d'erreurs comptables.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 15 août 1872
À propos de l'embauche d'un comptable pour l'usine du Familistère : Godin répond à une lettre de Lesne du 13 août 1872, qui ne satisfait pas Godin. Lesne minimise l'importance des erreurs comptables qu'il a pu commettre dans ses emplois antérieurs et dévalorise les certificats des employeurs. Godin accepte toutefois que Lesne vienne à Guise pour parler avec lui, mais avant le lundi 19 août 1872 et son départ pour la session du Conseil général de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Ernest Leroux, 4 janvier 1874
Godin informe Leroux qu'il sera heureux de recevoir Hirsch à Guise ou à Versailles et qu'il ne s'oppose pas à la traduction en allemand de Solutions sociales (« mon livre ») par ce dernier. Il commande à Leroux le Dictionnaire de Littré en 4 volumes et lui demande si Jules Michelet a publié une Bible de l'humanité et quel en est le prix.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alber Jhouney, 29 décembre 1892
Réponse à une lettre d'Alber Jhouney en date du 23 décembre 1892. Marie Moret donne l'autorisation à son correspondant de publier dans L'Étoile des extraits d'œuvres de Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 9 février 1893
Explique palier son absence de correspondance avec Flore Moret par les lettres régulières de Marie-Jeanne et Émilie Dallet. Sur l'absence d'humidité du climat de Nîmes, favorable à la santé de la famille Moret-Dallet, et le beau temps leur permettant de sortir tous les jours. Sur l'hiver exceptionnellement rigoureux connu par les Nîmois, dont Marie Moret se moque, et qui a ravagé la végétation. Marie Moret « infiniment mieux qu'à Guise pour le travail, pour la vie intellectuelle - à cause de la présence de M. Fabre ». Remercie Flore Moret d'avoir remis 13 F à Élise Pré et de s'être arrangée avec Doyen. Demande des nouvelles de différentes personnes de Guise : le père de Sylvain Lefèvre ; Marcel Laporte ; les affaires industrielles. Sur les étrennes du facteur de Guise : prie Flore Moret de ne pas donner les 3 F car elle l'a demandé à Doyen.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 12 mars 1893
Réponse à la lettre de Marie Dossogne du 3 mars 1893. Marie Moret s'étonne de l'accusation de Marie Dossogne portant sur la trahison d'une promesse qu'elle lui aurait faite de ne pas l'abandonner dans le malheur. Marie Moret lui rappelle sa dernière demande de secours financier à laquelle elle a répondu, sans mot de réception de Marie Dossogne, et mentionne une riche parente de Belgique, attachée à l'époux de Marie Dossogne. Elle compatit aux douleurs de sa correspondante et lui envoie un billet de 50 F.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne, 13 mars 1893
Réponse aux lettres de Marie Dossogne des 3 et 9 mars 1893. Marie Moret s'étonne de l'accusation de Marie Dossogne portant sur la trahison d'une promesse qu'elle lui aurait faite de ne pas l'abandonner dans le malheur : « Et à propos de quoi l'eusse-je fais ? Comment as-tu pu me parler ainsi ? » Marie Moret lui rappelle sa dernière demande de secours financier à laquelle elle a répondu, sans mot de réception de Marie Dossogne, et mentionne une riche parente de Belgique, attachée à l'époux de Marie Dossogne. Espère que la famille de Marie Dossogne répondra aussi à son besoin d'aide financière. Elle compatit aux douleurs de sa correspondante et lui envoie un billet de 50 F.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 30 mars 1893
Remerciements pour la lettre de Piponnier et l'état de son compte au Familistère. À propos d'une imposition de 6 F adressée à Marie Moret pour emploi de domestiques : Marie Moret n'a pas remplacé Roger depuis son départ, les Pré ne sont pas ses domestiques ; demande à Piponnier de faire la réclamation si les délais ne sont pas passés. Transmission d'une lettre d'Abel Pagès à François Dequenne. Demande des nouvelles de la famille de Piponnier. Sur le printemps à Nîmes, la santé des Moret-Dallet et leurs occupations.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 6 mai 1893
Marie Moret annonce son arrivée à Guise jeudi 11 mai 1893 et indique à Élise Pré les dispositions à prendre pour le déjeuner : quatre à table ; Élise Pré et son mari déjeuneront dans la cuisine. Prévient de la possible arrivée de deux paquets à son nom : l'un d'Henry Herth, l'autre de La Belle jardinière.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 6 mai 1893
Accuse réception des deux exemplaires de La fille de son père. Sur la différence du nombre de services étrangers du Devoir : La Providenza porté au registre de Marie Moret. Annonce son retour à Guise jeudi [11 mai 1893] à midi et demande à ce que plus aucune lettre ne lui soit adressée à Nîmes. Arrivée prochaine du Devoir de mai 1893.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 12 janvier 1846
Godin demande que monsieur Gosse de Prisches (Nord), nouveau sympathisant phalanstérien, soit inscrit dans la série du dévouement au nombre des actionnaires de La Démocratie pacifique pour la somme de 100 F ; il demande à ce que le titre soit envoyé chez lui et non à Prisches ou chez Doloi à Saint-Quentin. Sur la rente de l'École sociétaire : Godin et Lhermitte versent deux cents francs ; encouragements de Godin. Godin envoie 9 F pour deux abonnements au numéro de quinzaine de La Démocratie pacifique aux noms de Pierre Vaudois à Prisches par Landrecies (Nord) et de Salandre-Dessons à Sains-Richaumont par Guise (Aisne). Sur le titre de monsieur Moricourt-Viéville.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 19 mars 1846
Godin envoie 16 F [dont l'emploi est indiqué à la fin du brouillon de la lettre sur le cahier ARCH-FAM-2021-0-0815]. Sur une pétition lancée par la Démocratie pacifique. Godin évoque la difficulté du libraire de Guise d'obtenir des livres de la Librairie sociétaire, que le Comptoir central de la librairie n'expédie plus.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 1er novembre 1846
L'état de santé de Godin ne lui permet pas de se rendre à Paris. Il envoie 108 F pour des abonnements à La Démocratie pacifique et au numéro de huitaine de la Démocratie pacifique pour lui-même à Guise et pour messieurs Drucbert à l'hôtel Saint-Nicolas à Saint-Quentin et Lécolier, et pour le versement à la rente de l'École sociétaire à son nom et à celui de Lhermitte. Godin commande une douzaine d'almanachs et fait des observations sur la vente de livres par l'École sociétaire : les libraires bénéficient d'une remise de 25 %, il leur achète les livres publiés par l'École avec une réduction de 15 %, alors que lui-même ne bénéficie pas d'avantage lorsqu'il achète directement à la Libraire sociétaire 50 ou 100 F de livres qu'il distribue en partie gratuitement ; Godin envisage de fonder une librairie à Guise. Godin demande des nouvelles de l'École car il ne peut plus lire La Démocratie pacifique depuis deux mois. Observation sur le versement de la rente de l'École sociétaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Martin, 29 novembre 1846
Ne pouvant se rendre à Sains[-Richaumont], Godin écrit à monsieur Martin sur l'indication de monsieur Brasseur pour l'aider dans la propagande des idées phalanstériennes. Godin informe Martin qu'il tient à sa disposition des almanachs et une brochure, et l'invite à le visiter à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 20 décembre 1846
Godin remercie ses correspondants pour leur réponse à sa lettre [du 27 novembre 1846] qui l'informe que monsieur Barral propose de l'assister en tant qu'expert. Il les informe que « notre ami » Godon suit l'affaire au tribunal de Laon. Il demande l'envoi d'une douzaine d'almanachs et indique qu'il a déposé des affiches envoyées par ses correspondants dans une librairie de Guise. Sur un abonnement du « Cercle » de Guise à La Démocratie pacifique. Godin envoie 80 F pour son abonnement à La Démocratie pacifique, le paiement d'almanachs et d'une Grammaire de J. Blanc, et un versement à la rente de l'École sociétaire. Godin s'interroge sur les reçus de ses versements à la rente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, vers le 29 septembre 1847
Sur une erreur d'adresse d'envoi de La Démocratie pacifique. Godin a demandé au facteur de remettre le numéro au Cercle de Guise. Godin envoie 6 F pour un abonnement de monsieur Dourlet, contremaître de fabrique à Guise, au numéro de huitaine de La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 9 mars 1848
Godin fait parvenir à ses correspondants un travail de monsieur Cavenne, phalanstérien de Leschelle. Il souscrit un abonnement de trois mois à La Démocratie pacifique au nom de Jacques-Nicolas Moret de Brie-Comte-Robert et envoie un mandat de 8 F à cet effet. Godin communique à ses correspondants ses réflexions sur la situation politique dans le pays : les socialistes à Paris se trompent sur le sentiment de la population ; le peuple des campagnes n'est pas enthousiaste de la révolution et de l'idée de son émancipation prochaine, il est abandonné à lui-même et a faim ; les riches, autrefois apôtres du progrès social sont atterrés et craignent l'explosion des ressentiments du peuple ; Godin s'interroge sur le résultat des élections prochaines, étant donné l'opposition des intérêts des bourgeois et des travailleurs ; les notabilités de Guise se méfient du peuple, aussi Godin songe-t-il à être candidat aux élections par le moyen d'une circulaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Godon, 2 avril 1848
Godin demande à Godon sa profession de foi pour les élections afin qu'il puisse lui faire ses observations. Il affirme à Godon que le mouvement de l'opinion lui semble favorable et qu'il espère obtenir deux à trois mille voix à Guise. Il envoie à Godon sa profession de foi et celle de Véran Sabran et lui demande combien il en souhaite d'exemplaires. Godin encourage Godon à se montrer actif à Laon, lui envoie le programme des travailleurs de Guise et espère qu'il fera insérer sa profession de foi et celle de Véran Sabran dans les journaux de Laon.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Adolphe Sabran, 2 avril 1848
Godin demande à Adolphe Sabran de faire savoir aux ouvriers de Bernot qu'il viendra leur présenter le programme arrêté par la commission des travailleurs de Guise en vue des élections législatives, et d'avertir également les habitants des communes voisines où il prévoit de se rendre également.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 22 juin 1848
Godin explique à Allyre Bureau qu'à l'occasion de son dernier voyage à Paris en février 1848, il avait confié à Jean-Augustin Barral le rapport d'une contre-expertise à examiner avec monsieur Minich, caminologue, dans le cadre d'un procès en contrefaçon intenté deux ans plus tôt, qu'il a écrit à Barral le 3 juin 1848, que sa lettre est restée sans réponse, et qu'il doit récupérer les pièces confiées à Barral car il est maintenant pressé par les experts de payer les frais d'expertise. Godin demande à Bureau de demander à Barral de lui renvoyer rapidement ces pièces. Godin demande à Bureau de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange qu'il payera « à la prochaine réunion du congrès ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lecoyer fils, 20 janvier 1849
Godin envoie à son correspondant le reçu d'une cotisation versée à la rente pour la propagande phalanstérienne. Il lui demande s'il veut poursuivre ses versements et l'informe qu'il est le percepteur de la rente pour le groupe de Guise. Il lui annonce que les phalanstériens ont « l'espoir d'entrer prochainement en réalisation » d'un premier phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 janvier 1849
Sur le financement de l'École sociétaire : Godin regrette que les ressources manquent à l'École : «[Je] ne conçois pour limites au dévouement que doivent inspirer les convictions phalanstériennes que l'épuisement absolu de ressources et je suis encore loin de là. » ; il juge que le sort de la rente de l'École est lié à « la proposition de réalisation que notre ami Considérant (sic) doit faire à l'assemblée nationale constituante » ; il pense que le phalanstère est encore éloigné du domaine politique, que l'étude de la théorie de Fourier est nécessaire pour forger des convictions et que seuls les livres peuvent le permettre. Il les enjoint de faire connaître la situation de l'École par la « Petite correspondance » [de la Démocratie pacifique] et par des circulaires, et de lui écrire en cas d'urgence. Godin envoie 200 F qui portent ses apports à 340 F depuis le 16 novembre 1848, à utiliser pour la rente de l'École, pour les abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange et pour l'achat de livres.
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