FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au préfet l'autorisation d'élever des parapets sur les rives de l'Oise et du Canal des usines par mesure de sécurité pour la population du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, vers le 12 août 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin expose la question de la liquidation de la communauté. Le procès en séparation est intervenu au moment d'un important développement industriel et social. La liquidation de la communauté de biens met l'industrie en péril ; il présente le plan de ses adversaires qui défendent une licitation globale de l'établissement industriel pour le contraindre à le racheter et ainsi le priver de capitaux indispensables ; Godin se demande s'il ne devrait pas abandonner l'exploitation de l'usine. Il expose l'intérêt d'un partage des biens immobiliers, comparé au désastre d'une licitation. Il informe Dauphin que le seul arrangement accepté par Esther Lemaire serait d'être payée de la moitié de la valeur des immeubles, plus la moitié du coût d'édification des immeubles, plus la moitié des bénéfices réalisés depuis la séparation jusqu'à la liquidation définitive ; Godin serait alors contraint d'emprunter pour verser ce qu'il lui devrait ; il devrait constituer une société pour apporter les capitaux à l'industrie ; dans la situation de concurrence de cette industrie, il serait obligé bientôt de considérer les usines et le matériel général comme amortis ; il serait dépendant d'actionnaires avides d'intérêts, situation qu'ont malheureusement connue les usines de Sougland. Le partage permet à chacun d'exploiter ce qui lui revient, tandis que la licitation fait passer dans une main les capitaux liquides et dans l'autre des instruments mais sans les moyens pour les exploiter. Godin écrit qu'il n'espère pas dans la justice, qui n'a pu protéger ses brevets. Godin demande conseil à Dauphin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin confirme à Tony-Noël, qu'il a vu à Paris, la commande de deux bustes, l'un de lui et l'autre de Marie Moret. Il lui rappelle qu'il a promis de venir à Guise pendant la première quinzaine de juillet pour exécuter les plâtres. Il lui précise qu'il aura à sa disposition de la terre, du plâtre et un endroit pour travailler, et que la table et le logement lui seront offerts. Il lui rappelle également qu'ils ont convenu que les bustes coûteraient 2 600 à 2 800 F en bronze et 3 500 F en marbre, qu'ils auront environ 0,95 m de hauteur, et qu'il s'est engagé à finir les plâtres à Guise pour les soumettre à leur appréciation.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre expliquent au ministre de l'Instruction publique que faute de terrains disponibles, le conseil municipal de Guise ne peut mettre à exécution son projet de construire des écoles maternelles dans les quartiers de la ville. Ils demandent que le Génie abandonne les terrains qu'il a réservé près du fort dans le quartier Chantraine et prient le ministre de l'Instruction publique d'appuyer leur demande auprès du ministre de la Guerre.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Anonyme
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Les rédacteurs de la lettre demandent au ministre de la Guerre que le Génie abandonne des terrains réservés au pied du château de Guise pour que la municipalité puisse y construire une école maternelle.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, vers le 20 février 1888
Marie Moret informe Tisserant que le nécessaire se fait pour la publication de la nomination du gérant désigné, conformément à ses indications. Elle explique à Tisserant qu'elle a retrouvé un peu de sommeil en prenant définitivement le parti de transmettre la gérance, et que c'est pour elle une nécessité afin d'avoir le temps de publier les manuscrits de Godin. Elle donne l'exemple de Ringuier pour évoquer l'incertitude du lendemain. Elle explique ensuite qu'André, Dequenne et Pernin sont d'accord pour prendre ensemble la gérance de la Société et qu'une modification des statuts est nécessaire. Elle prend pour exemple le magasin Le Bon Marché, Veuve Boucicaut et Cie, qui vient de passer d'une commandite simple à une commandite par actions. Elle informe Tisserant qu'André, Dequenne et Pernin pensent consulter Vavasseur sur cette question, projet dont elle informe également Ganault. Elle lui transmet les compliments d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 18 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise sur la chaux vive et la chaux hydraulique. Godin répond à la lettre du maire du 18 mai 1865 : « Vous me parlez de "l'esprit de justice (dont personne ne doute) que vous apportez à la solution des questions qui intéressent vos administrés". Je regrette bien vivement que cet esprit vous ait toujours fait voir d'une façon contraire aux propositions que j'ai pu vous faire et aux demandes que je vous ai adressées [...] » Godin ne se satisfait pas de la réponse du maire, considère que la question est d'intérêt général et demande au maire de la soumettre au conseil municipal, dont lui-même fait partie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Dantec, A. Maury, Alfred Denisart, Beauchéry, Bonnin et L. Jourde, 18 juin 1865
Sur l'emploi de chef comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin propose aux candidats qui ont souhaité faire leurs preuves de les soumettre à un concours dont le sujet est l'amélioration de la comptabilité des services du Familistère. Godin décrit de façon détaillée l'organisation des services d'alimentation du Familistère. Il décrit ensuite sommairement le rôle du chef de la comptabilité à l'égard de l'organisation des services. Il demande aux candidats d'établir le tableau des moyens et procédés pour améliorer la comptabilité et l'organisation des services.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Lewis Henry Hornblower, 18 décembre 1865
Godin répond à une lettre de Hornblower en lui signalant que la Social Science Review du 2 octobre 1865 a publié un article sur le Familistère reproduit dans une brochure vendue à Londres. Il expose le projet du Familistère, décrit sa situation actuelle et donne des détails de ses dispositions. Il le renvoie au plan publié dans The Builder.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles-Louis Barreswil, 24 décembre 1865
Godin répond à Barreswill qui sollicite des documents sur le Familistère ainsi que des plans et détails. Il renvoie son correspondant au numéro du 2 décembre 1865 du journal The Builder. Il lui confirme ce qu'indique la brochure d'Oyon sur l'absence de règlement au Familistère et il précise que la brochure est en vente à la Librairie des sciences sociales au 13, rue des Saints-Pères à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 14 octobre 1866
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin présente son établissement industriel, rappelle qu'il a exposé à Londres mais que ses produits sont passés presqu'inaperçus en raison d'une erreur de classification et d'un emplacement désavantageux par rapport à ses concurrents anglais. Il pensait trouver une compensation avec l'Exposition universelle française, mais il n'a pu obtenir d'exposer dans le Palais, aussi se demande-t-il s'il doit figurer au nombre des exposants. « Vous trouverez sans doute inadmissible, Monsieur le Commissaire général, qu'un industriel qui s'est non seulement distingué en industrie, mais qui peut apporter au concours ouvert pour un nouvel ordre de récompenses dans l'organisation du travail et des rapports entre les ouvriers et ceux qui les dirigent, un des faits pratiques des plus importants, ne soit pas convenablement représenté à l'Exposition pour les produits de son industrie, si surtout l'on y accorde attention aux habitations ouvrières qu'il a fondées, et qui font l'objet de la nouvelle demande que je joins à la présente. » La copie de la lettre est suivie de la copie de la demande de Godin de prendre part au concours ouvert au titre IV du règlement des récompenses de l'Exposition universelle de 1867, à laquelle il joint une brochure sur le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 5 novembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il n'a pu lui remettre le dossier de l'affaire Jacquet qu'il veut que ce dernier suive et pour laquelle il veut qu'il plaide à Vervins. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Il lui signale également qu'il doit reprendre l'examen de l'affaire de la liquidation de la communauté de biens Godin-Lemaire. Il l'avertit que le notaire Borgnon s'en entretiendra avec lui à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Lenoir, 10 novembre 1866
Godin répond à la lettre d'A. Lenoir du 30 octobre 1866 qui évoque l'exploitation d'objets nouveaux. Il l'avertit qu'il doit aller prochainement à Paris et pourra en parler avec lui. Il évoque la visite que Lenoir lui a rendu en 1858. Godin pense que l'appareil à rafraîchir de Lenoir ne sera pas d'une vente facile et lui indique que des modèles de chauffe-bain ont déjà été fait sans connaître le succès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté des biens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au doyen de Guise, 16 février 1869
Godin rappelle au doyen de Guise qu'il avait constaté l'année précédente que l'enseignement du catéchisme à l'église venait contrarier l'enseignement reçu par les élèves des écoles du Familistère et qu'à sa demande monsieur Marchand avait convenu avec lui que l'enseignement du catéchisme aurait lieu le jeudi après-midi, en dehors des heures de classe. Les élèves ayant reçu ordre d'aller à nouveau aux leçons de catéchisme le jeudi matin, Godin lui rappelle ses engagements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Hurstel frères, 5 mai 1876
Godin répond tardivement à la lettre de Hurstel frères du 11 avril. Il déclare qu'il est prêt à souscrire pour une dizaine d'actions dans leur société.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Amédée Moret qu'il lui envoie un dossier concernant un procès de chemin de fer. Il demande à Amédée Moret d'aller chez Allez frères leur demander l'adresse d'un bon agréé auprès du tribunal de commerce de Paris à qui il pourrait confier le dossier et qui pourrait le représenter à l'audience du 14 décembre 1876.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Bourdon qu'il n'honorera pas sa traite de 382,95 F car il attend toujours que Bardin lui restitue ce qui lui appartient dans l'imprimerie de Heutte et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le compte de Henri de Hulster. Sur les travaux de sondage à La Capelle et à Sardy. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : difficultés du sondage de Sardy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Règlement du compte de Henri de Hulster qui s'élève à 4 266,65 F. Godin envoie un chèque de 2 154,55 F et effectue une retenue provisoire de 1 500 F correspondant à la valeur de tubes appartenant à Godin endommagés pendant les travaux de sondage. Dans le post-scriptum Godin demande à Henri de Hulster d'ordonner à Maurois d'opérer différemment pour épargner les tubes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Henri de Hulster que la retenue sur le paiement de sa facture a pour cause un mauvais emploi des tubes de sondage. Il lui propose un accord financier. Il lui donne des nouvelles du sondage [de Guise]. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : dans le post-scriptum, Godin se plaint de l'inertie de monsieur Richard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Rignault que monsieur Benoit-Leroy doit lui verser 230 F en paiement des baraques de sondage de Sardy. Il lui demande de payer 42 F à monsieur Bonnerond, voiturier à Thavenet et le rembourser des frais d'annonces faites pour son compte. Il lui demande également de ne pas oublier la vente du terrain situé sur la route de Cervon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à monsieur Bonnerond de se présenter chez Rignault, notaire à Corbigny, pour y percevoir 42 F en paiement du transport de 1 400 kg de fer à Clamecy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Benoit-Leroy de verser 230 F à monsieur Rignault, notaire à Corbigny, en paiement des baraques de sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention du président de la Société musicale du Familistère sur l'abus que certains des membres de la société font de leur instrument en dehors des répétitions et concerts. Il lui explique qu'à l'occasion de la dernière Fête du Travail, les musiciens ont joué « des airs de saltimbanque » dans la rue du Familistère après le bal. Cela constitue pour lui un tapage nocturne, et il ajoute que la police aurait pu "justement intervenir". Il suggère que la société musicale introduise dans son règlement un article encadrant l'usage des instruments, faute de quoi l'administration du Familistère pourrait infliger des amendes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Requête relative à un plan d'alignement d'une propriété de Godin en face de la gare de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin constate la rupture de son fils avec lui. Il veut faire cesser le désordre que son fils Émile introduit par son comportement violent à l'égard du personnel de l'usine et du Familistère. Il lui rappelle les articles du code pénal pouvant sanctionner ses agissements. Il lui indique qu'il est prêt à le doter de la fortune nécessaire, à condition qu'Émile ne s'immisce plus dans la direction et l'administration du Familistère et de l'usine et qu'il ne vive plus sous son toit. Il avertit Émile qu'il agira à son égard suivant la réponse qu'il fera à Tisserant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation d'une association syndicale de tous les corps d'état de la commune de Gautier : Godin discute les objections que le ministre de l'Intérieur fait au projet ; il fait des recommandations d'ordre juridique à Gautier pour la réussite de son projet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ernest Rignault un pouvoir pour régulariser la vente aux enchères d'une parcelle de terrain se trouvant le long de la route de Corbigny à Cervon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le règlement d'une facture à l'imprimerie du journal Le Courrier de l'Aisne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant qu'il désire recruter des hommes doués d'initiative, d'esprit inventif, capables d'accéder à des postes de direction. Il énumère les connaissances et les qualités requises pour ces employés. Il explique que ces qualités sont indispensables dans le contexte d'une association employant 1 000 personnes participant aux bénéfices industriels. Il précise que son industrie repose sur la fonderie appliquée à la construction d'appareils de chauffage et d'ustensiles domestiques et que les employés participent aux bénéfices en plus de leurs appointements fixes. Godin demande à son correspondant quelles seraient ses prétentions salariales. Il espère pourvoir trouver des talents que l'association pourrait rémunérer 5 000 à 10 000 F par an, non compris leur part dans les bénéfices. Il le prie de lui communiquer des renseignements : son âge, sa situation familiale, s'il fait usage du tabac, ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leblon que ses usines fabriquent des appareils de chauffage portatifs domestiques, et qu'il faut créer des modèles nouveaux, avec des connaissances approfondies en fumisterie et une recherche d'élégance des formes, pour être en avant du goût de la consommation. Il lui demande de lui fournir des références et l'avertit qu'il devrait faire un certain temps d'étude avant de rendre de réels services. Il lui demande également de lui communiquer le montant minimum d'appointements qu'il accepterait, de lui donner son âge et lui dire s'il fait usage du tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Dans sa lettre du 16 décembre 1879, Beauchéry rappelle à Godin qu'il a déjà correspondu avec lui en 1865. Godin lui demande de lui communiquer son âge, ses références, sa situation familiale et s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Labadie qu'il n'a pas besoin d'un homme pour la direction supérieure de ses usines, mais uniquement pour la création de modèles et la direction de la fabrication qui emploie 1 200 ouvriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Paillot qu'il préférerait un candidat dix ans moins âgé que lui, mais lui demande de lui fournir des références et s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Beaubrun qu'il recherche un comptable compétent. Dans le post-scriptum il l'informe qu'il lui retourne les certificats qu'il lui avait envoyés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une demande d'emploi. Dans le post-scriptum il l'informe qu'il lui retourne les certificats qu'il lui avait envoyés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au préfet d'accorder son autorisation à l'établissement du port de Longchamps, que son fils Émile a oublié de solliciter en vertu du traité passé le 6 mars 1876 entre lui et l'administration de la Société du canal de la Sambre à l'Oise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Éthiou-Pérou le placard corrigé des statuts de l'association du Familistère. Il lui demande de lui renvoyer au plus vite deux épreuves du placard.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur : Épaulard, Emmanuel (1848-)
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Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures du Familistère et l'existence d'un compte individuel de Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la composition du prochain numéro du journal Le Devoir, qu'il lui demande de tirer à 480 exemplaires comme d'habitude.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur les obligations fiscales de l'Association coopérative du capital et du travail déduites de l'étude des statuts dans Mutualité sociale. Sur le tracé dans Guise de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon : Godin s'attend à ce que le conseil général accepte le passage en tunnel sous le château-fort de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin avertit Latrade qu'il ne faut pas confondre le contre-projet [au projet de l'administration des ponts et chaussées] établi à la hâte pour les besoins de l'enquête publique en mars 1880 et le contre-projet remis au ministre des Travaux publics en mai 1880. Il réfute certaines objections de l'administration des ponts et chaussées et des personnes ayant déposé pendant l'enquête publique à l'encontre du contre-projet, et il pointe les difficultés du projet de l'administration. Sur l'accès à la gare projetée dans le contre-projet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à ses correspondants des renseignements sur la capacité comptable de Vandevyver, employé comptable de la Société des bassins houillers du Hainaut à partir de 1868, puis chef de comptabilité de la Banque belge du commerce et de l'industrie de 1872 à 1877.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Léon Duclos a demandé à Godin des renseignements sur les sociétés coopératives au nom de la chambre syndicale dont il est le secrétaire. Godin lui répond par des indications sommaires et lui annonce qu'il traitera le sujet dans le journal Le Devoir et il l'avertit que le journal va publier un travail de Holyoake sur les Pionniers de Rochdale et la coopération en Angleterre. Godin énumère 5 mesures fondamentales à observer par une coopérative de consommation. La dernière stipule qu'il ne faut verser des dividendes aux acheteurs que sous la forme d'actions qui forment un capital disponible, moyen d'émancipation des travailleurs avec lequel ils pourraient fonder une coopérative de production et devenir leurs propres patrons. Sur le partage des bénéfices dans les coopératives : Godin préconise qu'ils soient partagés entre les acheteurs mais aussi avec tous ceux qui ont contribué à les produire, c'est-à-dire les fonctionnaires des coopératives, suivant l'importance de leurs services ; il préconise également de consacrer 2 à 3 % des bénéfices nets à la création d'une bibliothèque et à l'entretien d'une salle de réunion des sociétaires. Il ajoute qu'il faudrait également fonder une assurance mutuelle de secours financée par une part de bénéfices en plus des cotisations des sociétaires. Il le renvoie à la loi du 24-25 juillet 1861 pour la fondation légale de la société que Duclos veut établir. Dans le post-scriptum, Godin demande à Duclos s'il peut évoquer dans Le Devoir le projet de sa chambre syndicale.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin délivre des informations sur les écoles du Familistère et la fonction de ses instituteurs. Les écoles sont une dépendance du palais d'habitation ; elles existent depuis 20 ans ; elles sont des écoles libres de l'association du Familistère, qui pourraient être déclarées d'utilité publique ; elles sont gratuites. La ville de Guise a des écoles primaires de filles et de garçons et des pensionnats congréganistes. Godin voudrait élever l'enseignement du Familistère à un niveau supérieur à celui des établissements de Guise. Godin décrit la répartition des enfants de 0 à 12 ans dans les 6 classes mixtes des écoles. Il annonce la construction de deux nouvelles classes pour les enfants de 12 à 14 ans et au-dessus, qui pourront accueillir des pensionnaires. Il explique qu'il n'y a pas de vacances scolaires pour assurer une surveillance constante des enfants. Il décrit la fonction des instituteurs, leur rémunération, leurs charges. Il demande à son correspondant comment il conçoit l'enseignement de l'histoire ancienne, moderne ou contemporaine à des enfants de 12 à 14 ans ; il lui demande également son âge, sa situation de famille, s'il fait usage de tabac et ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin reconnaît l'exactitude de son compte dans la Société du Familistère, qui s'élève à 1 856 452, 81 F

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin explique à Falaize qu'il a reçu la signification du jugement dans l'affaire contre le duc de Padoue, qu'il veut se pourvoir en cassation ; il demande à Falaize d'adresser le dossier à l'avocat Moret, rue de Tournon à Paris. Il l'informe qu'il va demander à Lecomte, avocat à Amiens, d'entrer en relation avec Moret.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'affaire du duc de Padoue. Godin envoie à Moret la signification du jugement du tribunal de Vervins dans l'affaire contre le duc de Padoue. Il l'informe qu'il veut se pourvoir en cassation pour faire juger la question de principe et ne pas de soumettre à une expertise. Il l'informe qu'il va écrire à Lecomte, avocat à Amiens, et à Falaize, avoué à Vervins, pour qu'ils se mettent en rapport avec lui.

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