FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, vers le 18 novembre 1893
Réponse à une lettre de Gaston Piou de Saint-Gilles en date du 11 novembre 1893 : changement d'adresse pour l'expédition du journal Le Devoir. Le numéro de décembre 1893 du Devoir est en préparation.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret écrit à Sophie Quet à la suite de l'accident, la veille au Familistère, d'une personne qui a glissé et s'est cassée la jambe. Dans la crainte que cela lui arrive à Nîmes, elle recommande à Sophie Quet de laver les sols sans y laisser de traces de cire ou de pétrole, par exemple en appliquant de l'eau très chaude mélangée à du carbonate de soude.

Auteur : Sabran, Véran (vers 1811-1874)
Véran Sabran à Jean-Baptiste André Godin, 24 juillet 1874
En voyage à Nîmes, Véran Sabran envoie à Godin une procuration afin d'être représenté à la Société du Texas dont une réunion se tiendra le 29 juillet. Il indique avoir recours à l'aide de monsieur Meynier de Salinelles, résidant rue de l'Aspic, à Nîmes, pour que sa procuration parvienne à la Société du Texas. Plusieurs noms sont cités, mais demeurent difficilement lisibles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin pense qu'Auguste Fabre a reçu le numéro 26 du journal Le Devoir qu'il a demandé dans sa lettre du 12 septembre 1878. Il lui explique que Le Devoir ne peut traiter en détail du Familistère comme Fabre le souhaite car il faut servir à ses lecteurs des questions d'intérêt général, comme les caisses nationales de secours et de prévoyance. Il lui envoie les noms des personnes auxquelles le journal est envoyé à Nîmes. Il l'informe qu'au Familistère n'ont, jusqu'à présent, logé que des sociétaires ouvriers et employés de l'établissement. Il lui annonce qu'il aura plaisir à lui faire visiter le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre d'Auguste Fabre du 31 mars 1879. Godin relève leur long silence réciproque. Il confie à Fabre son espoir d'avoir près de lui de chauds partisans de la coopération ou même de l'association comme l'est Auguste Fabre. Fabre a écrit à Massoulard qu'il tente de créer à Nîmes une société coopérative : Godin le félicite. Il comprend les difficultés de Fabre à contracter des abonnements au journal Le Devoir dont la première année l'a déçu. Il lui explique que les statuts de l'association du Familistère sont terminés et promet de lui en envoyer un exemplaire quand ils seront imprimés. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception du rapport envoyé par Fabre le 2 juin sur la société coopérative qu'il a fondée à Nîmes. Il lui demande l'autorisation de le publier dans le journal Le Devoir. Il l'informe que les statuts de l'association du Familistère sont faits et qu'il veut les faire paraître en un volume expliquant les principes et les motifs de sa fondation. Godin fait des observations sur la société coopérative de Fabre : sur la boucherie, plus difficile que l'épicerie, sur le contrôle des opérations commerciales, sur la compétence de l'acheteur des produits et de la qualité de ceux-ci. Godin confirme à Fabre que le feuilleton La fille de son père sera prochainement édité en volume. Il lui annonce que Massoulard va quitter le Familistère à la fin du mois de juin pour des raisons de famille. Il lui adresse le souvenir de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Pascaly ce qu'il sait en comptabilité. Auguste Fabre l'a informé qu'il avait des compétences en la matière et qu'il touchait actuellement 1 200 à 1 300 F d'appointements par an, ce qui lui semble insuffisant compte tenu de ses charges. Godin souhaite être mieux fixé sur les services que peut rendre Pascaly avant qu'il fasse le voyage de Nîmes à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin voudrait obtenir des références sur Pascaly, mais ne peut s'adresser à son actuel employeur. Il lui demande de lui communiquer le nom d'autres personnes chez lesquelles il a travaillé auparavant. Il lui demande également s'il fait usage de tabac. Il le prie de dire à Auguste Fabre qu'il lui écrira dans quelques jours.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 30 mars 1880
Après le départ d'Auguste Fabre de Guise, Marie Moret lui a envoyé Solutions sociales ; elle lui envoie pour la Chambre La Solidarité

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 26 avril 1880
Marie Moret le remercie pour les vues de Nîmes. Pascaly lui adresse l'encrier demandé. Elle donne des nouvelles de sa nièce malade.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Naquet des renseignements sur Émile Cantrel, pourquoi il a été détenu à Nîmes pendant 5 ans et s'il est capable d'être rédacteur d'un journal socialiste. Dans le post-scriptum, il demande à Naquet s'il lit les articles sur le divorce publiés dans Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 18 août 1880
Godin retenu par le Conseil général de l'Aisne, Moret répond à Neale à propos des statuts légaux de la Société du Familistère. Elle a reçu de Neale son rapport du Congrès de Newcastle. Pascaly est à Nîmes. Enfin, elle demande à Neale l'adresse exacte de plusieurs personnes mentionnées dans un courrier précédent, sans leurs coordonnées, il s'agit de M. Schulze-Delitzsch et de M. Viganò.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 11 décembre 1886
Augusta Cooper Bristol ayant interrogé Marie Moret sur la pensée de Godin concernant les rapports entre l'intempérance et les intérêts du capital et du travail, elle la renvoie vers les pages 319 à 321 de Solutions Sociales. Marie Moret l'informe que c'est Alexandre Tisserant qui les a aidés à rédiger les statuts de la Société du Familistère. Elle donne des nouvelles de plusieurs de leurs amis communs : Fabre qui est à Nîmes, Pascaly, qui est à Paris avec femme et enfant, Barbary toujours vif et alerte, Marie Howland qui se prépare à quitter la Casa Tonti pour Sinaloa.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Balline que la Fédération des sociétés coopératives de consommation, dont Fougerousse est le secrétaire général, a son siège au 10, rue de Nesle à Paris. Il ajoute que la Fédération est présidée par Édouard de Boyve, président de l'Abeille nîmoise à Nîmes. Il lui envoie le catalogue des ouvrages vendus par la Librairie du Familistère et l'étude sociale n° 10.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Anseele, 16 février 1888
Marie Moret accuse réception de la brochure de la traduction en flamand des Pionniers de Rochdale, qui a été reçue le matin suivant la mort de Godin. Elle évoque la rencontre de Godin et d'Anseele. Sur un projet de visite du Familistère par Anseele pendant les deux jours de Pâques : à la différence du Vooruit, qu'il est préférable de visiter le dimanche et les jours fériés, il vaut mieux visiter le Familistère en pleine activité un jour de la semaine. Elle propose à Anseele de lui offrir l'hospitalité au Familistère. Elle remercie le Vooruit d'avoir inscrit le nom de Godin sur un des cartels de sa grande salle « parmi ceux des grands hommes que le peuple vénère ». Elle attire l'attention d'Anseele sur Auguste Fabre, inspirateur du mouvement coopératif de Nîmes qui a pour organe le journal L'Émancipation rédigé par de Boyve.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret continue à travailler sur les manuscrits de son mari. Elle s'est installée à Lesquielles avec Marie-Jeanne et Émilie Dallet mais retourne au Familistère pour Le Devoir et les réunions du Conseil. Elle travaille sur la correction des épreuves du Devoir et rédige des brouillons de lettre qu'elle donne à copier à Buridant II [Jules Buridant] à cause de son mal à la main droite. Précise que les choses avec Pascaly s'arrangent et qu'il rendra bientôt visite à Fabre. Elle ne prévoit pas de voyager à cause de son travail et des études de Marie-Jeanne Dallet, sauf si les évènements politiques tournent à la guerre, alors elle pense se rendre en Suisse. Remercie pour l'invitation à venir séjourner dans sa future maison à Nîmes. Se réjouit de l'amélioration des relations entre Fabre et sa fille. Au Familistère et à l'usine tout va pour le mieux. Marie Moret est préoccupée par l'Exposition de 1889 où la société du Familistère est conviée au Congrès d'Économie sociale. Elle craint qu'on lui demande d'intervenir alors qu'elle souhaite qu'on la laisse tranquille (vit en dehors du monde et n'est que "le porte-plume de M. Godin"). Recommande Fabre pour le congrès et le remercie pour les informations sur la Société des jeunes amis de la paix dans le prochain numéro du Devoir. Demande de renseignements d'Édouard de Boyve au sujet du service du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Le Devoir risque d'être retardé à cause de deux compositeurs malades. Évocation des prochains articles et du contenu des prochains numéros. Marie Moret admire la capacité de travail de son mari et ce qu'il a pu faire. Discussion au sujet des vacances de Pascaly et de sa charge de travail. Marie Moret était occupée par la gérance mais maintenant c'est Le Devoir, John [Marie-Jeanne Dallet] et Ner [Émilie Dallet]. Elle est invitée à venir en Suisse pour faire une cure de raisins mais a horreur des voyages.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Ne peut accuser réception ni répondre au télégramme car elle n'est pas à Lesquielles. A encore de la matière pour Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Cherche le portrait de Godin. Revient au Familistère pour régulariser la situation avec le nouveau gérant du Devoir, Doyen. Elle rend à l'usine Buridant II [Jules Buridant], âgé de 17 ans, qui est rentré pour ses services comme son frère. Doyen remplacera Buridant II. Pense donner à Doyen une seconde augmentation s'il arrive à traduire l'anglais pour le journal ou s'il la seconde efficacement. Cet arrangement lui permettra de se concentrer sur le travail de son mari. Détails sur l'organisation de la préparation du Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Accuse réception d'un télégramme, d'un article et d'une lettre. Signale l'envoi d'articles à Baré pour Le Devoir et en garde d'autres pour le prochain numéro. Pose des questions diverses : lettres reçues, arrangement du Devoir, chèque de 200 francs. Prend des nouvelles de la famille de Pascaly et de sa santé. La fête de l'Enfance ne s'est pas déroulée comme les autres années et une distribution a été faite le samedi.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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En attendant sa voiture pour aller à Guise, Marie Moret explique qu'elle ne retrouve pas le portrait de son mari et qu'elle envoie une revue anglaise où se trouve un autre portrait qui pourra être utilisé par la Société des jeunes amis de la paix. Elle envoie le chèque de 200 francs et la lettre qu'elle a reçue d'Épaulard en résumant la réponse qu'elle a donnée. Sur l'édition du Devoir. Répond aux questions et à la dernière lettre de Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Mauvaise santé de Pascaly. Se rend bientôt à Paris pour récupérer les photographies faites et voir les sculpteurs qui s'occupent de la statue de Godin. Veut récupérer un article sur l'Exposition au Crystal Palace. Complimente Fabre sur ce qu'il accomplit à Nîmes dans l'éducation, le féminisme et le socialisme. Sur le contenu du Devoir. Ne souhaite pas demander des articles à Davaud.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Manque de temps pour répondre aux lettres. Elle est occupée par le manuscrit de son mari et d'autres affaires. Pascaly devrait avoir plus de temps pour s'occuper du Devoir. Demande ce qu'il pense de l'avenir de l'entreprise de Ferdinand de Lesseps après sa condamnation car Marie Moret et Émilie Dallet y ont des actions. S'interroge sur ce que va apporter l'année 1889. Envoie les photographies.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Souhaite faire passer la lettre de Fabre sur la guerre ou la paix dans le prochain numéro du Devoir. Pascaly est souffrant depuis plusieurs jours. Remercie pour les paroles sur les portraits envoyés, son avis sur l'œuvre de Panama, sur les réponses apportées sur la guerre étrangère et ses appréciations sur le pasteur Fallot. S'inquiète également des troubles intérieurs. Visite du pasteur Fallot au Familistère. Complimente Fabre pour ses engagements et actions. Travaille sur la publication du manuscrit de son mari.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Au sujet de la feuille envoyée avec la lettre : volonté de mise en place d'un système d'assurances mutuelles pour le droit de vivre de tous les citoyens. Travail sur la publication du manuscrit de son mari. En l'absence de Pascaly, Le Devoir l'occupe bien plus. Pascaly viendra peut-être dimanche. Félicite Fabre pour son ouverture. Modification des statuts qui paraîtra dans Le Devoir. Remercie pour les informations données sur l'état des esprits du peuple à Nîmes. Redoute les problèmes sociaux pour l'année 1889 et envisage de s'installer à La Rochelle. Demande son avis à ce sujet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 29 novembre 1889
Réponse à une lettre d'Auguste Fabre en date du 27 novembre 1889 : état des stocks de brochures que Fabre pourrait écouler à Nîmes ; modalités de vente à l'appréciation de Fabre ; proposition d'écouler également les petits livres de Godin publiés dans les années 1870.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Faugier, 2 décembre 1889
Sur la nécessité de réimprimer l'Histoire des équitables pionniers de Rochdale pour satisfaire la demande de monsieur Faugier. Sur la distribution de livres par Marie Moret. Indique qu'Auguste Fabre est le meilleur conseiller pour la rédaction des statuts de la société que Faugier a en projet, autant qu'aurait pu l'être Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Faugier, 3 décembre 1889
Sur la réimpression de l'Histoire des équitables pionniers de Rochdale.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Victor Robert-Libert, 21 décembre 1889
Réponse à une lettre de Victor Robert-Libert du 20 décembre 1889 demandant une réduction du prix de l'abonnement au journal Le Devoir : proposition d'adresser gratuitement le journal L'Émancipation en cas d'abonnement au Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 14 mai 1891
Réponse à une lettre d'Auguste Fabre en date du 12 mai 1891, contenant les portraits photographiques de sa fille et de son fils. Réception de livres et du faire-part de mariage de Juliette Cros. Sur l'isolement de la famille Moret-Dallet, « trois pauvres oisillons sans parents ». Émilie Dallet chargée officiellement de la surveillance des écoles du Familistère. Sur la crainte d'une guerre et sur l'édition du journal Le Devoir : « Doyen est rentré depuis longtemps dans les services de l'usine et personne autre que moi ne s'occupe ici de la correction des épreuves et de l'établissement de chaque numéro ». Invitation enthousiaste faite à Fabre de séjourner à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la vie à Lesquielles-Saint-Germain. « Madame Dallet vous introduira dans les régions spiritualistes ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 1er juin 1892
Se désole de l'annulation de la visite de Fabre. Approuve la recommandation de l'ouvrage de Bernardot et l'informe du retard de sa prochaine édition. Sur un ami de Fabre, membre du conseil municipal de Nîmes. Pascaly souffrant de la chaleur. L'informe du voyage effectué début mai au Familistère de Laeken dont elle est pleinement satisfaite. Sur le dernier numéro du journal Le Devoir et l'importance de Pascaly. Sur une réponse de Fabre à des industriels au sujet de L’Émancipation. Ressent réciproquement un lien de parenté, « Famille mentale », avec Fabre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Pascaly, 28 juin 1892
Demande des nouvelles de la santé et se plaint de la chaleur. Au sujet de « Little Prov ». A vu M. Dequenne et lui a parlé de « M. Lap ». Pascaly, s'il ne travaillait plus pour Le Petit Provençal, pourrait-il vivre du seul Devoir et pourrait-il travailler au journal à Nîmes plutôt qu'à Paris. Insomnie due à la chaleur.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur A. Drapé, 30 septembre 1892
Marie touchée par la lettre de Drapé : elle a eu comme lui la fièvre typhoïde à 18 ans et comprend le silence de son correspondant. Envoi du numéro d'août du journal Le Devoir que Drapé n'a pas reçu. Informe que le prochain numéro, celui de septembre, partira prochainement et qu'il annonce la mort d'Edward Vansittart Neale. Précise que le qualificatif de « Directrice du Familistère » employé par Drapé n'est pas correct. Lui souhaite un bon rétablissement et d'avoir du beau temps. Demande s'il se rend à Nîmes et connaît son « excellent ami M. Auguste Fabre ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Roger et Laporte, 28 octobre 1892
Lettre écrite lors du voyage de Marie Moret, Marie-Jeanne et Émilie Dallet à Paris, du 21 au 30 octobre 1892. En fonction de la date d'arrivée des épreuves, Pascaly leur donnera le bon à tirer. Demande d'expédier 340 exemplaires à Doyen au Familistère en grande vitesse. Rappelle qu'elle les autorise à se servir pour la brochure de la Société de la composition du compte-rendu de leur assemblée générale faite pour Le Devoir pour leur brochure. Les 60 exemplaires restants devront être envoyés à Fabre, à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à l'administrateur du journal Le Temps, 6 novembre 1892
Demande de changement d'adresse de son abonnement au Temps.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur A. Drapé, 15 novembre 1892
Accuse réception de sa lettre du 30 octobre mais n'a pu encore se fixer à cause de ses voyages et du manque de temps. Demande si Drapé connait Fabre car elle réside chez lui jusqu'en janvier voire février et serait ravie de le rencontrer s'il venait à passer à Nîmes. Espère que Le Devoir lui est bien parvenu et que sa santé va mieux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Offroy et Cie, 15 décembre 1892
Accuse réception de la lettre d'Offroy et Cie du 14 décembre 1892 et des 2 000 F demandés. Demande d'envoi à Nîmes d'un certificat de dépôt d'obligations Suez 3 % 2e série.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jules Delbruck, 16 décembre 1892
Réponse à la lettre de Jules Delbruck du 17 octobre 1892 : Marie Moret confuse dela bienveillance de son correspondant. Informe que Le Devoir se fait depuis trois mois à Nîmes, où elle réside actuellement. À propos de la seconde édition du livre de François Bernardot, Le Familistère de Guise (Guise, 1893) dont le travail d'édition se fait toujours à Guise mais lentement ; la livraison est attendue dimanche [18 décembre 1892]. Sur la difficulté de diffuser les œuvres et des idées de Godin : « Livres ou brochures, tous les écrits sur le Familistère, tous les ouvrages de M. Godin n'ont été répandus que gratuitement et à grande dépense de temps. Le "Devoir" […] n'a pas d'abonnés, pour ainsi dire. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Isanie Ducruet, 16 décembre 1892
Réponse à la lettre d'Isanie Ducruet en date du 17 octobre 1892. Sur le voyage de la famille Moret-Dallet vers Nîmes depuis Guise en passant par Paris, La Rochelle et Bordeaux. Jules Baré ayant épuisé la patience de Marie Moret, elle fait désormais imprimer Le Devoir à Nîmes. La température et le climat étant plus favorable à Nîmes que dans l'Aisne, la famille Moret-Dallet s'y sent mieux. Ravie que le numéro de septembre 1892 du Devoir ait fait plaisir à Isanie Ducruet, Marie Moret lui envoie le numéro d'octobre 1892. Pascaly toujours à la rédaction du Devoir. Tisserant vient de perdre son fils Lucien, laissant femme et trois enfants. Demande des nouvelles de Maria et de Joseph Ducruet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Augustine Brullé, 23 janvier 1893
Sur les rudes froids à Paris et le mistral à Nîmes. À propos de la relation de Marie Moret et Auguste Fabre : « comme il m'est bon de vivre et travailler près de cet homme de qui émane une bonté et une puissance intellectuelles de même qualité fondamentale que celle de M. Godin ! » Fabre comble l'impression de « vide immense » laissée par la mort de Godin. Informe qu'elle tâchera désormais de passer l'hiver à Nîmes et l'été au Familistère. Demande des nouvelles de madame Brullé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 17 mars 1893
Marie Moret prévient Bernardot de la parution prochaine, dans la collection des ouvrages de propagande en vente au Bureau du journal L'Émancipation, d'une biographie de Jean-Baptiste André Godin, par Auguste Fabre. L'ouvrage de Bernardot sur le Familistère fera partie des documents de référence, grâce au travail sur les chiffres et les faits. Marie Moret et Fabre souhaitent s'assurer de l'exactitude absolue des chiffres qui y sont présentés, en particulier le chiffre des naissances et décès dans la population de Guise comparée à celle de la ville de Guise : « M. Fabre dit qu'il y a devoir pour nous de mettre ces chiffres en vedette, de nous appuyer sur eux et de défendre par les arguments qu'on peut en tirer les avantages incontestables de l'habitation unitaire. » Remercie Bernardot pour l'envoi de la feuille de la nouvelle édition du livre Le Familistère de Guise et espère qu'il sera bientôt publié. Demande des nouvelles des affaires industrielles du Familistère. Sur la « magique éclosion » du printemps à Nîmes, les longues promenades dans la campagne et les rencontres qui rappellent les membres de la famille Bernardot.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur B. Meffre, 21 mars 1893
Réponse à une lettre de B. Meffre en date du 14 mars 1893 : Marie Moret se renseignera sur la brochure Arbitrage international. Envoie gratuitement à son correspondant les six derniers numéros du journal Le Devoir, un numéro du journal La paix par le droit et un exemplaire de l'Almanach de la paix, tous deux publiés par l'Association des jeunes amis de la paix de Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 30 mars 1893
Accuse réception des envois de Doyen : catalogues Leymarie ; cartes postales de James Smyth et Marie Fischer ; lettres diverses ; feuille contributions au Devoir ; L'Avenir seurrois. Sur le compte financier du Devoir : créditeur de 163,80 F au 22 mars 1893 ; versement de 30 F à Élise Pré pour ses appointements de mars 1893 et 5 F de la part d'Émilie Dallet. En post-scriptum, joint à sa lettre les cartes de Leymarie et Fischer, et s'interroge sur l'abonnement au Devoir du docteur de Marie Fischer de Wiesbaden. Sur le prêt de la voiture-fauteuil de Marie Moret à Jules Disant pour promener sa femme. Cessation de l'échange du Devoir avec la Revue du Nord et suppression de l'abonnement de Bouchet à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 18 avril 1893
A la suite de l'annonce du départ des gardiens de la maison de Marie Moret à Lesquielles et en vue de son projet de pied-à-terre à Nîmes, Marie Moret demande à monsieur Picot-Delorme de déménager le mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Liste les meubles à déménager : lits et sommiers, tables de nuit, tables de toilette, armoires à glace et commode, canapés et fauteuils, chaises, fauteuils de bureau et tables, buffet de salle à manger, buste, suspension, cuisinière et ustensiles de cuisine, linge, rideaux etc. Demande le coût de leur emballage et de leur transport.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 18 avril 1893
Annonce du départ des gardiens de la maison de Lesquielles et du projet de déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes. Franceline Alavoine a trouvé un emploi de cuisinière à Courcelles (Lesquielles-Saint-Germain) où son mari est cocher. Sur la charge que représente la maison de Lesquielles pour Marie Moret mais qu'elle ne peut ni vendre ni louer. Informe qu'elle a écrit à monsieur Picot pour le déménagement. Émilie et Marie-Jeanne Dallet heureuses de rentrer prochainement à Guise, ce qui n'est pas le cas de Marie Moret.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Julien Alavoine, 20 avril 1893
Sur le départ de Lesquielles de Julien Alavoine et de son épouse Franceline pour Courcelles le 18 mai 1893. Informe qu'elle compte déménager le mobilier de la maison vers Nîmes où elle souhaite désormais passer l'hiver. La maison de Lesquielles vidée n'aura besoin que d'une surveillance générale. Arrêt de la location des jardins potagers à messieurs Caudron et Casseleux dont il faudra reboucher les ouvertures et refaire les haies.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 22 avril 1893
Organisation du déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles-Saint-Germain : Marie Moret se propose d'envoyer à Picot-Delorme un cadre de déménagement, capitonné à l'intérieur et sans roues, qu'il faudra monter sur un camion aux roues basses, comme ceux de la gare de Guise. Demande à Picot-Delorme s'il peut obtenir un tel camion, le prix du déménagement et s'il y a une grue en gare de Guise pour soulever le cadre de déménagement. En post-scriptum, annonce joindre une enveloppe prête pour la réponse de Picot-Delorme.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 2 mai 1893
N'a pas encore reçu les deux exemplaires de La fille de son père demandés mais acccuse réception des deux volumes de La Terre d'Emmanuel Vauchez. Lettre du ministère de l'Intérieur pour la complétion de leur collection du Devoir. Demande à Doyen de renvoyer sans délai la correspondance qui lui est adressée à Guise puis de ne plus rien lui adresser une fois communiquée sa date de départ. En post-scriptum, demande des notes pour le compte-rendu de la fête du Travail du Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Paul Picot, 3 mai 1893
Réponse à la lettre de Paul Picot en date du 24 avril 1893. Sur le déménagement du mobilier de la maison de Lesquielles à Nîmes : Marie Moret a fait expédier de Nîmes le cadre de déménagement ; elle achève Le Devoir du mois de mai 1893 avant de rentrer à Guise pour faire le choix des meubles à déménager.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur le chef de la gare de Nîmes, 3 mai 1893
Sur le voyage de Marie Moret, de sa sœur et de sa nièce de Nîmes à Paris le 10 mai 1893 : Marie Moret souhaite voyager dans le wagon des femmes seules dans le train partant de Nîmes à 11 h 43, arrivant à Tarascon à 12 h 15, puis réserver un coupé-lit entier dans l'express n° 4 qui part de Tarascon à 12 h 57 pour une arrivée à Paris à 4 h 54 du matin. Demande de renseignements pour les voyages de dames seules et s'il se trouvent des water-closets, couloir intérieur et libertés de communications dans le train express n° 4.
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