FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


Votre recherche dans le corpus : 26 résultats dans 19393 notices du site.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gustave Brocher, 3 avril 1893
Réponse à une lettre de Gustave Brocher en date du 29 mars 1893 sollicitant des informations sur le Familistère : Marie Moret conseille le livre de Bernardot Le Familistère de Guise dont elle se propose de lui envoyer un exemplaire de la deuxième édition dès sa parution prochaine. Envoie plusieurs ouvrages et revues pouvant fournir des éléments de réponse : numéros de septembre 1892, octobre 1892 et janvier 1893 Devoir ; un numéro de L'Émancipation contenant l'article « Jean-Baptiste André Godin et les assurances mutuelles du Familistère de Guise » ; La République du travail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à la Société du Familistère Dequenne et Cie, 30 août 1893
Invitation à la fête de l'Enfance de septembre : l'invitation reçue de la part de l'économat indique qu'une place sera réservée sur la scène du théâtre à Marie Moret, alors qu'elle occupe habituellement en cette circonstance avec sa famille la loge de Jean-Baptiste André Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 28 septembre 1861
Godin informe Cantagrel que l'annonce d'offre d'emploi lui a valu déjà 15 lettres qui ne satisfont pas son besoin de comptables. Il évoque la candidature de Vannaisse, qui se présente comme homme d'action et comme phalanstérien : « Quoique cette qualité ait infiniment perdu de son prestige à mes yeux, elle ne peut être malgré cela une cause d'écart [...] ». Godin explique à Cantagrel qu'il pourrait remplacer le responsable actuel de l'économat du Familistère qui perçoit 2 000 F d'appointements. Godin décrit la fonction. Il indique à Cantagrel que Vannaisse habite au n° 37, rue Notre-Dame-de-Lorette, qu'il a 35 ans, qu'il est marié et qu'il a un enfant ; il demande à Cantagrel des renseignements complémentaires. Dans le post-scriptum, il réclame la note des frais de la publication de l'offre d'emploi.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Vannaisse, 29 octobre 1861
Godin annonce à Vannaisse qu'il répond tardivement à sa lettre du 27 septembre 1861, car son offre s'écartait des besoins spéciaux de son annonce, mais que son entretien avec Cantagrel lui a confirmé qu'il devait prêter de l'attention à sa proposition. Il lui explique qu'à côté de son établissement industriel, il a entrepris de réaliser les moyens pratiques d'amélioration de la condition ouvrière, qu'il a élevé un édifice considérable où vivent 500 personnes et qu'un économe a en charge sa gestion sous le contrôle de l'administrateur comptable de son établissement. Il indique que l'économe actuel de la cité baptisée Familistère n'est pas à la hauteur de sa tâche : « il ne suffit pas en effet de savoir intervenir utilement dans les approvisionnements des caves, du magasin d'épicerie, du magasin d'étoffes, des combustibles, des comestibles, il faut encore maintenir ou mettre en bonne voie les services de ces magasins, d'un restaurant pour plus de cent personnes, d'un estaminet, d'un casino ou cercle des employés de l'usine, les services de propreté générale de toutes ces choses d'un usage commun, des chambres garnies et des dortoirs à l'usage des ouvriers, ce qui comporte encore la lingerie et la buanderie. Enfin avec des notions générales sur toutes choses, il faut une nature sympathique et dévouée, incapable de se rebuter devant l'ignorance et la méchanceté même des hommes. » Godin demande à Vannaisse s'il se juge capable de remplir ces fonctions. Dans le post-scriptum, Godin précise que sa lettre est confidentielle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à un inconnu, 25 novembre 1861
Godin répond à une candidature à l'emploi d'économe du Familistère. Il explique qu'il a édifié une cité ouvrière qui comprend des magasins et un restaurant, que 400 personnes y vivent actuellement et que de nouvelles constructions vont permettre d'accueillir 1 000 personnes. Il indique ce qu'il attend de l'économe de la cité en ce qui concerne l'approvisionnement des magasins et les services de propreté générale, et précise que l'économe est placé sous le contrôle de l'administrateur comptable de l'usine. Il demande au candidat des renseignements sur ses aptitudes professionnelles, sur sa situation familiale, sur son expérience professionnelle, et à quels appointements il prétend.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 décembre 1861
Godin annonce à Cantagrel, qui lui propose de s'entretenir avec Léon Jeannin pour l'emploi d'économe du Familistère, qu'il a fait le choix d'un jeune homme de Strasbourg pour l'emploi d'économe du Familistère. Aussi, lui demande-t-il de dire à Jeannin qu'il a pris en considération sa candidature. À propos d'un cuisinier choisi par Cantagrel : Godin lui demande si des conditions ont été faites pour les frais de son voyage et s'il a connaissance de toutes les conditions de l'emploi. Godin indique à Cantagrel qu'il lui enverra une nouvelle annonce prochainement, qu'il est naturel qu'il soit dédommagé des frais qu'il engage et du temps qu'il consacre aux affaires de Godin.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gustave Goffard, 5 décembre 1861
Godin répond à Goffard, économe du Familistère qui lui écrit du Familistère, sur les raisons qui le poussent à vouloir se séparer de lui. Godin lui reproche ses manques dans l'organisation de services, manques qu'il a dû pallier par le recrutement d'un comptable, que Goffard accuse à tort de calomnie. Il lui rappelle qu'il lui a proposé un emploi de voyageur de commerce. Il lui signale que des irrégularités, voire des malversations, ont été constatées avec les fournisseurs de marchandises. Godin propose à Goffard de cesser de s'occuper des écritures et de lui remettre la caisse, mais de continuer à s'occuper pendant un mois de veiller à la propreté générale et à l'approvisionnement du restaurant, le temps qu'il trouve un nouvel emploi. Godin l'assure qu'il ne veut pas mener d'enquête et que la question doit pouvoir se régler entre eux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gustave Goffard, 13 décembre 1861
Godin répond à Goffard que son idée d'approvisionnement à Reims ne l'intéresse pas. Il lui fait part de son regret que Goffard n'ait pas attendu le résultat de l'inventaire qui lui fut rendu la veille de son départ de Guise : 500 F de boissons ont été détournés de la consommation depuis le 1er septembre et il manque aussi des couvertures, draps et serviettes à la lingerie. En plus de cette faute grave de gestion, Godin signale à Goffard que son départ fait scandale, les créances arrivant de toutes parts. Godin conclut en indiquant que sa présence n'est plus désirée à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur H. Petit, 4 janvier 1865
Godin adresse à son correspondant, sur la recommandation d'Alphonse Delpech, des renseignements sur le Familistère, ainsi qu'une copie du mémoire qu'il a envoyé au sous-préfet de Vervins pour le préfet de la Somme avec une photographie du Familistère dans son état actuel, sur laquelle il lui fait observer que se trouvent des baraques et des matériaux liés à la construction d'un édifice affecté au soin et à l'éducation de tous les âges de l'enfance en face du pavillon central, de manière à former une place publique entourée de tous les bâtiments. Godin lui rappelle qu'il avait déjà correspondu avec lui sans comprendre qu'il agissait au nom de la Société industrielle d'Amiens.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 29 avril 1896
Accuse réception des divers documents envoyés par Buridant. Demande l'envoi de la liste détaillée des récompenses exceptionnelles distribuées à la fête du Travail et recommande à Buridant de voir le numéro de juin 1895 du Devoir pour savoir comment le journal traite habituellement l'événement. Souhaite recevoir le Mouvement des assurances et l'État civil tôt en mai, avant son retour au Familistère. Lettre d'Émilie Dallet ayant trait au cabinet de la cuisine [de son appartement]. Réparation de la sonnerie électrique [de l'appartement de Marie Moret] par monsieur Gilbert. Sur le crédit de Marie Moret aux magasins du Familistère et ses comptes avec Buridant. Sur le retour prochain de Marie Moret à Guise et la nécessité de prévenir Élise Pré pour la préparation de l'appartement. Buridant et sa femme peuvent y rester dormir jusqu'à son retour.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 30 janvier 1897
Accuse réception des divers envois de Buridant et le remercie. Difficultés de communication avec Antoniadès en Turquie : les lettres passent mais peut-être pas les journaux. Sur un oubli commis par l'imprimerie Veuve Laporte dans le précédent numéro du Devoir, que Buridant a remarqué. Accorde 3,3 % de remise au prix des livres demandés par Leymarie. Suppression du service d'échange du Devoir avec Le Jardin. Donnera bientôt à Buridant une nouvelle liste de lecteurs à qui envoyer Le Devoir. Suppression de monsieur Besnard du registre des abonnés. Sur le relevé de compte de Marie Moret aux économats du Familistère : monsieur Bocheux peut-il le transmettre à Buridant ou faut-il contacter monsieur Alizart ? En post-scriptum, Marie Moret demande à Buridant de lui communiquer le nombre restant d'exemplaires des numéros du Devoir de janvier à octobre 1896, et de janvier 1897.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesne, 31 janvier 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. À propos de l'évaluation du matériel du Familistère : Godin juge que l'évaluation de Lesne est correcte dans l'ensemble, mais il observe qu'il ne faut pas considérer le matériel du théâtre comme du mobilier et qu'il aurait fallu le faire entrer dans l'estimation du théâtre lui-même, et il juge que le matériel des magasins d'étoffes et d'épicerie ou celui des bains est sous-estimé. À propos de l'estimation du matériel de l'usine : Godin fait des recommandations sur l'analyse comptable et il demande à Lesne de se concerter avec Grebel pour remettre aux experts un état complémentaire de la valeur du matériel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Virlouvet, 19 février 1873
À propos d'un emploi offert par le Familistère de Guise. Godin veut bien s'entretenir à nouveau avec Virlouvet des magasins du Familistère et lui donne rendez-vous au 28, rue des Réservoirs à Versailles.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux candidats à l'emploi d'économe du Familistère, 6 mars 1873
Godin propose aux candidats à l'emploi d'économe un concours sur le plan de comptabilité et de contrôle des services du Familistère. Godin énumère les services : l'entretien des parties publiques du palais d'habitation, crèche, écoles, magasins, casino, estaminet, théâtre, buanderie, cuisine alimentaire.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Théodore Tressens, 5 juillet 1873
Godin fait remarquer à Tressens qu'il n'a pas de nouvelles de la marche des services du Familistère depuis sa lettre du 13 juin 1873. Sur des difficultés éprouvées par madame Paquerot et mademoiselle Lefèvre à l'épicerie. Godin s'étonne que Tressens ne lui ait pas communiqué ses observations sur les inventaires des services. Sur monsieur Cronier.

Mots-clés :

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 juin 1874
Godin annonce à son fils Émile que le jeudi suivant arrivera par la voiture de Bohain monsieur Chevrolat qui vient faire un essai à la direction du service alimentaire du Familistère. Il lui demande de prévenir Taupier qu'il en attend davantage que la cuisine : Chevrolat devra exercer une surveillance générale sur tous les services alimentaires, notamment de la boucherie. Il ajoute que Chevrolat sera accompagné par sa femme qui serai également employée au Familistère, que le couple serait nourri à la cuisine du Familistère, que Chevrolat toucherait 1 600 F d'appointements et sa femme 400 F. Il annonce enfin qu'il espère envoyer dans quelques jours un économe pour le Familistère. Dans le post-scriptum, il souhaite qu'on recommande à F. Cronier d'aider Chevrolat à faire ses débuts.

Mots-clés : , ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 3 mars 1875
Godin recommande d'augmenter de 7,5 % les prix du tarif des marchandises de la manufacture et lui communique le modèle d'une lettre aux voyageurs de commerce (copiée sur le folio 58r) ; il demande à Émile d'avertir Delaruelle qu'il faut informer les marchands de cette augmentation avant de leur expédier la marchandise. Godin estime que le capital va produire au moins 6 % d'intérêts. Il indique qu'il n'y a pas de danger de perdre ce qui a été payé à Hourdequin pour les albums de la manufacture. Sur le restaurant du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Paquerot, 10 juillet 1875
Godin accuse réception de la lettre de démission de Paquerot du 9 juillet 1875. Godin explique à Paquerot que son caractère ombrageux lui fait parler d'insinuations et de mensonges à son égard. Il lui reproche de ne pas souffrir le contrôle exercé sur son service, et n'a pas supporté qu'on lui fasse observer qu'il ne faut pas boire du vin avec des clients sur le comptoir de l'épicerie. Paquerot s'est plaint du montant de ses appointements : Godin lui fait remarquer qu'il touchait 1 500 F à ses débuts et aujourd'hui 3 000 F avec sa femme, et qu'il aurait fallu qu'il montre plus d'affabilité pour prétendre à davantage. Il demande à Paquerot la date de son départ pour pourvoir à son remplacement et à celui de sa femme aux écoles du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Moret, 19 juillet 1875
Godin informe Amédée Moret qu'il ne veut pas passer d'annonce pour trouver l'épicier du Familistère, car on pourrait croire à Guise qu'il a l'intention de changer le service de l'épicerie et aussi parce que Paquerot pourrait ne pas partir. Il décrit les qualités de l'employé qu'il faudrait trouver. Sur les appointements de l'épicier : Godin précise que Paquerot est entré avec 1 500 F et qu'il touche aujourd'hui 3 000 F.

Mots-clés : ,

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
0104.T.100r.jpg
Godin répond à la lettre de Bajer du 21 juin 1886. Il lui envoie la brochure Associated homes, qui contient une esquisse de sa biographie et qui emprunte à Solutions sociales. Il lui envoie également ce dernier ouvrage ainsi que le numéro du Panthéon de l'industrie, qui contient aussi une notice biographique. Il lui indique qu'il ne faut pas l'identifier à un Jules Godin habitant Versailles et qu'Harald Westergaard est venu visiter le Familistère en mai 1879, avant la constitution légale de l'association du Familistère le 13 août 1880. Il lui demande l'adresse de Westergaard pour lui adresser l'étude sociale Le Familistère, qui présente l'état actuel de l'association. Sur le restaurant du Familistère : il a été fermé car il n'était pas fréquenté par la population, ce qui prouve « que la vie dans un palais unitaire ne modifie pas les mœurs et les habitudes de la famille autant que des critiques opposées le prétendent ». Sur le théâtre du Familistère : il sert chaque hiver ; il accueille les troupes qui exploitent la région. Il l'invite à venir au Familistère.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_1999-09-059_0067v_H.jpg
Attend le relevé de son compte aux économats du Familistère. Sur la missive d'Hector Malot qui apparaitra dans le numéro de février 1898 du Devoir. Envoie des exemplaires de l'Almanach de la coopération de l'année 1898 à plusieurs personnes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_1999-09-059_0128v_H.jpg
Marie Moret regrette que Buridant ait envoyé un numéro de janvier 1898 du Devoir à monsieur Timourian. Demande le nombre d'exemplaires restants des numéros de décembre 1897 et de janvier 1898. Selon la dernière liste de Buridant, 19 numéros restants de novembre 1897. Avant, les 30 exemplaires en réserve étaient livrés à Nîmes mais elle les fait désormais livrer à Guise pour éviter le transport. Mettre le numéro de février 1898 réservé à Pascaly en réserve car il en a déjà un exemplaire. Demande à Buridant de ne plus répondre aux demandes similaires à celles de monsieur Timourian. Satisfaire la demande de collection du Devoir de la bibliothèque du Familistère et lui réserver à l'avenir 2 numéros : combien restera-t-il d'exemplaires de chacun des numéros de 1897 ? Espère avoir de nouvelles adresses de bibliothèques municipales qui « mettent le journal sous les yeux d'un plus grand nombre de lecteurs et surtout le collectionnent pour l'avenir ». L'Étude sociale n°1 est épuisée : la demande de monsieur Duluc ne peut être satisfaite. Remercie Buridant pour ses envois et la réponse de monsieur Pierquet. Cessation du service du Devoir auprès de monsieur Ménochet : un numéro de janvier 1898 en plus. Marie Moret répondra aux demandes de complétion de collections de bibliothèques à son retour à Guise. Propose de récupérer les exemplaires lus au Familistère pour les envoyer aux bibliothèques. Transmet les remerciements d'Émilie Dallet pour le fumier dans son jardin. Buridant a été nommé au service de l'épicerie en remplacement de monsieur Rousselle.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_1999-09-059_0161v_H.jpg
Prie Buridant de transmettre ses remerciements à monsieur Conte pour les feuilles de présence mais, étant toute à son travail sur les États-Unis, elle n'en a pas besoin maintenant. Buridant nommé chef de service à l'épicerie du Familistère. Fabre regrette qu'il n'existe pas à Paris de magasin de gros coopératif comparable au Wholesale anglais.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0216_H.jpg
Marie Moret espère que la santé de son correspondant s'est rétablie et qu'il pourra effectuer les travaux dans le jardin [de sa propriété de Lesquielles] avant les gelées : planter l'if dont Henri Buridant peut avancer les frais, abattre l'orme, déplacer les rejetons d'acacias épineux dans la haie en face de la maison Lamartine, élaguer ou entrecroiser les branches des haies pour protéger les clôtures. Elle l'invite à prévenir Émile Venet lorsqu'il souhaitera être payé.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
M0787_2005-00-122_0375v_H.jpg
Marie Moret transmet les remerciements de la famille Moret-Dallet pour les divers envois d'Henri Buridant. Plusieurs points concernant le journal Le Devoir : Marie Moret s'occupera des étiquettes ; le numéro de mars 1900 est parti en retard de Nîmes ; elle souhaite offrir à monsieur Houdin l'ouvrage de son choix parmi ceux disponibles. Marie Moret préfèrerait déposer la collection du Devoir à la bibliothèque municipale de Saint-Quentin plutôt qu'à la Société de la libre pensée, ne sachant si elle pourra la conserver. Elle se réjouit de la bonne marche des affaires des magasins et comptoirs du Familistère sous la responsabilité d'Henri Buridant. Sur la crise de croissance de Marie Buridant qui fragilise sa santé. Elle remercie son correspondant de leur avoir donné des nouvelles de monsieur Franqueville et transmet l'approbation d'Émilie Dallet pour l'utilisation de scolymes.
Formats de sortie

atom, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2