FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles Sauvestre, 15 septembre 1865
Godin rappelle à Sauvestre qu'il a promis à son fils Émile d'assister à la fête de l'Enfance et d'y amener Pernet-Vallier, qui lui a rendu des services. Il lui annonce que le docteur Savardan pourrait venir si sa santé le lui permet, et qu'il a invité ce dernier à venir le vendredi précédent la fête pour voir l'usine en activité. Il suggère à Sauvestre de venir en même temps que Savardan. Il précise que la fête aura lieu le dimanche 24 septembre.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 29 septembre 1865
Godin annonce à Souplet que la fête de l'Enfance du Familistère a été l'événement le plus remarquable qui ait eu lieu en 1865 dans le département, ainsi que Sauvestre a dû lui dire. Il regrette que Souplet n'ait pu y assister et il craint que la presse du département garde le silence sur la fête : « Je craignais de la voir parler quand je sentais que je n'avais aucun fait à opposer au dénigrement qui s'attache aux innovations mais maintenant qu'il ne peut y avoir que du bien à dire, n'est-ce pas un devoir de lutter ensemble contre le silence ? » Bien qu'on vienne de lui annoncer que le Journal de Saint-Quentin a demandé un compte rendu de la fête au maître d'école du Familistère, Godin communique à Souplet un compte rendu de la fête destiné au journal Le Glaneur. Il lui signale que la presse anglaise a devancé la presse française et il mentionne un journal d'architecture de Londres, le Journal de Birmingham et la Social Science Review.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au préfet de l'Aisne, 27 novembre 1865
Godin demande au préfet de l'Aisne l'autorisation spéciale d'un débit de boisson ouvert à tous et toutes à l'occasion de la fête de la Saint-Éloi au Familistère, dans la crainte que sa demande d'autorisation présentée au maire de Guise le 13 novembre n'aboutisse pas à temps. Sur les locomobiles à vapeur. Godin annonce au préfet qu'il va soumettre à son examen un service de locomotion à vapeur sur les routes de Guise à Busigny et de Guise à Saint-Quentin pour les besoins de son usine. Il assure que son projet n'est pas concurrent du projet de chemin de fer soutenu par le préfet. Il demande au préfet de lui communiquer quelles obligations devrait satisfaire un service de locomotives sur route ordinaire.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Pouliquen, 7 décembre 1865
Godin explique à Pouliquen que le Familistère n'est pas le phalanstère, qu'il ne veut pas toutefois méconnaître la part qui en revient à Charles Fourier, mais que la doctrine sur laquelle il repose « a sa base sur le sentiment religieux de la véritable religion de l'humanité qui préside à l'inauguration du culte du Travail en procédant à sa réhabilitation ». Il lui indique que le Familistère aura encore pendant longtemps plus de place pour le dévouement que pour le bonheur. Il remercie Pouliquen pour sa photographie et regrette de ne pouvoir lui offrir la sienne « car je n'ai pas pensé jusqu'ici à me créer ce moyen de souvenir auprès de ceux qui s'intéressent à moi ». Il l'informe qu'il faut, pour venir à Guise, prendre le chemin de fer jusqu'à Saint-Quentin puis prendre une voiture publique jusqu'à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 3 juillet 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin envoie à Delpech les pièces de Jacquet qu'il a annotées. Godin en conclut que le but de Jacquet dans cette affaire est de mettre fin au traité qui le lie à Godin. Godin explique que des indemnités étaient prévues pour ce cas dans le traité, 48 000 F en tout. Godin demande à Delpech s'il ne faut pas proposer la résiliation du contrat à la cour d'Amiens. Sur le voyage de Godin à Amiens : Godin juge qu'il faudrait qu'il évite ce voyage en raison de la recrudescence du choléra ; il cite le cas de monsieur Tausin qui a contracté le choléra à Amiens et en est mort à Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Tito Pagliardini, 14 juillet 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Pagliardini qu'il est avec sa femme dans la position de Socrate dont la femme ne partageait pas les idées ou de Bernard Palissy dont la femme cassait les vases. Il regrette que les développements du Familistère soient compromis par la liquidation. Il informe Pagliardini que sa brochure sur le Familistère a été traduite en français dans un ouvrage publié par le rédacteur en chef d'un journal de Saint-Quentin sur le salaire et les associations ouvrières, alors que pas un mot n'est dit de la brochure d'Oyon. Il lui indique qu'en cas de nouvelle édition de la brochure, il aurait à ajouter la description des salles aux berceaux du pouponnat. Godin se réjouit de savoir que la santé de madame Pagliardini, qu'il ne savait pas gravement malade, soit rétablie et qu'elle puisse à visiter à nouveau le Familistère avec son mari. Il envoie à Tito Pagliardini son portrait photographique réalisé à Guise et lui demande le sien ainsi que celui de sa femme.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 22 août 1865
Godin a appris que l'Académie de Saint-Quentin a mis au concours la question des cités ouvrières et que le lauréat a parlé du Familistère dans son mémoire. Godin demande à Souplet en quels termes il en a parlé et si l'on peut se procurer son mémoire.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Calixte Souplet, 26 février 1867
Sur l'élection législative de 1867 (élection d'un député de la circonscription de Vervins au Corps législatif en remplacement d'Antoine Vilcocq, décédé). Godin estime que les électeurs veulent sortir de l'apathie électorale dans laquelle est plongé le pays. Il déclare être favorable à une candidature d'Odilon Barrot ; il indique qu'il sait que l'opposition à Paris soutiendrait cette candidature ; il demande à Souplet quel appui il trouverait parmi les journaux de Saint-Quentin en faveur d'Odilon Barrot. Il pense que les amis de la liberté doivent se mobiliser pour susciter la candidature d'Odilon Barrot qui pourrait bénéficier de la concurrence des autres possibles candidats : Besson (maire de Guise), Chérubin, de Madrid (de Le Hérie) et Soyer (de Vervins).

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Odilon Barrot, 3 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin rend compte de la propagande électorale. Il signale à Odilon Barrot le numéro du 3 mars 1867 du journal Le Glaneur de Saint-Quentin qui annonce la constitution du comité électoral en faveur de la candidature d'Odilon Barrot. Il l'informe qu'il a été à Sains le matin même. Godin décrit l'état de l'opinion : Besson est jugé incapable et Piette considéré comme un égoïste ; le canton d'Aubenton, dont Piette est conseiller général, paraît lui être acquis ; Godin fonde des espoirs dans le canton d'Hirson. Godin pense que pour gagner les masses, il faudrait pouvoir diffuser des circulaires et obtenir le soutien des journaux.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, 6 mars 1867
Sur l'élection législative de 1867. Godin confirme à Chaseray qu'Odilon Barrot sera bien candidat à l'élection. Il lui annonce que ce dernier arrivera le soir même à Saint-Quentin et il évoque la circulaire électorale de Barrot.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Delamarre, 29 mars 1867
Godin apprend par une lettre de François Humbert que Delamarre a l'intention de venir au Familistère pour en cultiver les jardins mais qu'il a le désir de visiter la propriété avant de s'engager et qu'il souhaiterait être défrayé du voyage. Godin lui accorde 30 F et il lui donne les indications utiles à son transport.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au président de la chambre de commerce de Saint-Quentin, 25 avril 1867
Sur les locomotives routières. Godin répond au président de la chambre de commerce de Saint-Quentin qui lui demande des renseignements sur les locomotives routières. Godin estime que les locomotives sur routes ordinaires sont dans une phase d'expérience et qu'il est difficile de se prononcer sur leur avenir. En préambule, il affirme que cette question ne doit pas être préjudiciable aux études de création de voie de chemin de fer, car les voies de communication des localités industrielles comme Guise se détériorent au lieu de s'améliorer. Cette détérioration est défavorable à la généralisation des locomotives à vapeur sur routes comme la sienne. Il faudrait que les routes, comme les voies ferrées, aient une résistance uniforme sur tous les points du parcours, que les fortes pentes soient adoucies, que le macadam soit toujours ferme et solide et que les routes soient d'une largeur suffisante. Il explique qu'à la différence des locomotives sur voies ferrées, les locomotives sur routes ordinaires sont soumises à des variations incessantes en fonction des soubresauts du sol, des pentes ou de la météorologie. Les coups de collier, les chocs sont causes de nombreuses réparations. La vitesse de 4 à 5 kilomètres par heure lui semble la meilleure pour un service régulier. Les locomotives routières sont destinées à remplacer les bœufs et les chevaux de trait, sur des trajets de petite distance mais rien de plus. Godin ajoute qu'un service régulier de locomotives à vapeur exigerait en outre l'installation de réservoirs d'eau tous les 6 à 8 kilomètres, la consolidation des ponts et des ouvrages d'art. Il recommande d'éviter de multiplier les wagons et de les faire avec la capacité de porter 15 tonnes. Il explique que la réglementation sévère l'a fait renoncer à mettre en service une locomotive pour aller à Saint-Quentin et à Bohain : « Je ne me sers de ma locomotive que pour les déchargements de mes bateaux quand elle est en état de fonctionner. » Il lui semble que le coût du transport par locomotives sur routes pourrait être inférieur de moitié au transport par voitures, mais que les imprévus sont trop nombreux pour donner lieu à un calcul.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Godin, Émile (1840-1888)
Jean-Baptiste André Godin au rédacteur du Journal de Saint-Quentin, 14 juin 1868
Sur le projet de voie de chemin de fer de Guise à Bohain. Godin répond à un appel du journal aux partisans du tracé de Guise à Bohain. Il rappelle au journal que le Journal de l'Aisne a publié en 1867 plusieurs lettres sur le sujet. Il indique qu'il écrit du chemin de fer à l'occasion d'un changement de convoi. Il met en valeur l'avantage d'un chemin de fer desservant Guise pour l'industrie, pour son approvisionnement en matières premières et pour la distribution de ses produits. Il décrit les avantages du tracé de Guise à Bohain sur celui de Guise à Saint-Quentin par Séry-les-Mézières ou par Ribemont pour relier Guise à la ligne du chemin de fer du Nord : le tracé de Guise à Bohain est deux fois plus court ; les usines et sucreries du canton de Guise s'approvisionnent en matières premières en Angleterre, dans le Nord et le Pas-de-Calais et en Belgique transportées via Bohain ; le coût du tronçon de Guise à Bohain serait deux fois moindre que celui de Guise à Saint-Quentin par Ribemont.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 17 juillet 1868
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Oudin-Leclère que la cour d'Amiens a confirmé le jugement du tribunal de Vervins et qu'elle a maintenu l'expertise dans le cas où les parties ne s'entendraient pas. Godin informe Oudin-Leclère que Lecointe, mécanicien, renonce à être expert et l'avertit qu'il faut veiller à ce que le tribunal ne le remplace pas par un homme incompétent en industrie. Godin pense que Mariolle-Pinguet est le seul dans l'Aisne à être à hauteur de la tâche, et qu'à part lui, le constructeur et chef d'industrie le plus habile est Albaret de Liancourt.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Léger Vauthier, vers le 2 septembre 1868
Godin informe Vauthier que le montant de la subvention pour la construction du chemin de fer est toujours de 50 000 F par kilomètre. Il lui explique que le conseil général de l'Aisne a donné sa préférence au tracé de Guise à Saint-Quentin par Ribemont sur le tracé de Guise à Bohain et que cela est contraire à l'intérêt public car le raccordement de Guise à la voie de la Compagnie du chemin de fer du Nord à Bohain sera de 64 km au lieu de 21 km. Il ajoute que le préfet avait envoyé le dossier de l'affaire à la Compagnie du chemin de fer du Nord et que celle-ci était favorable au tracé de Guise à Bohain.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Boinet, Lamouret et Cie, 29 décembre 1868
Godin avertit Boinet, Lamouret et Cie que son fils sera le lendemain à Saint-Quentin pour retirer chez eux la somme de 500 000 F.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Gobelet, 27 août 1869
Godin confirme à Gobelet qu'il juge que sa prétention à des appointements de 250 F par mois est élevée car il n'est pas certain des services qu'il peut rendre dans l'usine. Il l'invite à venir à Guise afin qu'il puisse voir les ateliers et pour discuter avec lui de la fonction qu'il pourrait prendre ; il propose de lui rembourser ses frais de voyage et d'hôtel. Il lui communique les horaires de train de Reims à Saint-Quentin et de la diligence de Saint-Quentin à Guise. Dans le post-scriptum, il lui demande d'éviter de venir les 5, 6 et 7 septembre car les ateliers seront fermés à cause de la fête.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Ancelet, 21 janvier 1870
Godin explique à Émile Ancelet que les travaux de construction du théâtre du Familistère sont retardés par la saison d'hiver mais aussi par l'absence de charpentiers ou d'ouvriers connaissant le travail de construction d'une scène. Il demande à Ancelet s'il lui est possible de faire faire le travail à des conditions raisonnables en lui précisant que le théâtre de Saint-Quentin est au-dessus de ses prétentions et de ses moyens.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Harriet Burton, 10 juillet 1872
Godin avertit Harriet Burton qu'il lui envoie un exemplaire de Solutions sociales qui lui donnera, en vue du voyage qu'elle veut accomplir, une idée plus exacte du Familistère que les articles de journaux. Il lui donne les indications du voyage : arriver à Southampton puis prendre à Douvres le bateau pour Calais, de Calais le chemin de fer pour Saint-Quentin, et de là un omnibus pour Guise. Il lui signale qu'il lui revient de décider si elle doit prendre le bateau à New York.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Ch. Galmard, 10 décembre 1872
Godin demande à Galmard, candidat à un emploi de voyageur, pourquoi il ne l'a pas autorisé à prendre des renseignements sur son compte à Perrot de Saint-Quentin chez qui il n'est pas revenu travailler.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au chef de l'agence de Paris de la Compagnie internationale des wagons-lits, 16 octobre 1896
Marie Moret souhaiterait savoir si cette année, au lieu d'effectuer la correspondance ferroviaire à Paris pour prendre le train wagons-lits jusqu'à Tarascon comme elle a l'habitude de le faire, elle pourrait prendre un train wagons-lits depuis Saint-Quentin ou Laon pour Tarascon directement, sans changement à Paris.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à madame veuve Laporte, 2 juillet 1897
Réponse au télégramme de madame Laporte du 1er juillet 1897 : les manuscrits envoyés ne sont pas arrivés et se sont égarés en route. Envoi d'épreuves corrigées pour le numéro de juillet 1897 du Devoir. Sur la publication dans Le Devoir de la suite de Sans famille. Rappelle que l'imprimerie doit envoyer un exemplaire du journal à Pascaly et à Moret dès que le numéro sort de presse. Accuse réception de la 5e feuille des « Documents biographiques ». Sur l'avenir de l'imprimerie Veuve Laporte : « monsieur Émile » [fils aîné de madame Laporte] a informé Marie Moret de l'intention de madame Laporte de céder l'imprimerie et que lui-même avait l'intention de chercher un emploi dans une autre imprimerie, peut-être chez Dubois et Cie à Saint-Quentin (Aisne) ; Marie Moret indique qu'elle témoignera favorablement des qualités d'Émile Laporte si on lui demandait des renseignements sur son compte.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Marchand, 4 novembre 1897
Demande à monsieur Marchand de mettre à sa disposition un omnibus pour conduire la famille Moret-Dallet à la gare de Guise le vendredi 5 novembre 1891 pour le train de 10 h 24 à destination de Saint-Quentin ; précise à monsieur Marchand que madame Louis, qui lui remettra la lettre, réglera les frais de l'omnibus.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au chef du service de la Compagnie générale des voitures pour le service des chemins de fer de la gare du Nord, 11 octobre 1895
Demande le transport en omnibus de famille (6 places) de la famille Moret-Dallet et de leurs bagages de la gare du Nord à la gare de Lyon le dimanche 13 octobre 1895 à 3 h 51 de l'après-midi. Post-scriptum sur l'éventualité d'un retard du train de Guise à Saint-Quentin qui lui ferait manquer l'express pour Paris.

Auteur·e : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, 16 octobre 1895
Récit du voyage vers Nîmes : retard du train de Guise à Saint-Quentin (« le service sur la ligne de Guise laisse bien à désirer ») ; les malles n'ont pu être chargées dans l'express pour Paris ; attente à la gare du Nord du train suivant pour récupérer les malles ; à temps pour le train à la gare de Lyon ; réception hier 15 octobre des malles à papier et colis fragiles ; beau temps et chaleur à Nîmes. Allusion à un possible déménagement de Buridant dans un appartement plus proche de celui de Marie Moret. Demande de lui adresser 30 exemplaires sous enveloppe du numéro d'octobre du Devoir quand il aura été livré au Familistère. Demande à Buridant si lui et sa femme dorment aussi bien chez Marie Moret que chez eux et s'il leur manque quelque chose. Salutations d'Auguste Fabre, de Jules Pascaly et d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 8 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'envoyer à Tisseron le projet de son itinéraire, qu'il lui avait déjà demandé d'envoyer le 25 juin dernier, qui lui confie toutes les villes du parcours de Gripon et d'autres sans prendre sur l'itinéraire de Darras, et comprend la ligne d'Évreux à Cherbourg en respectant la circonscription d'Amédée Moret. Godin demande à Denisart d'informer Novelli qu'il lui propose de voyager dans les Ardennes. Sur une avance demandée par Vuillamy. Sur les remises accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les voyages en Alsace-Lorraine opérés par l'usine de Belgique ou par l'usine de France suivant la facilité des transports par chemin de fer. Sur le chemin de fer dans l'Aisne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 8 juillet 1873
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Observations sur les documents établis par Grebel et transmis par Émile Godin : Godin ne souhaite pas soumettre aux juges des annotations visant notamment des personnes, mais ne s'oppose pas à ce qu'il les communique aux experts. Sur le brevet du moulage mécanique : sur la translation des wagons. Sur les évaluations à faire en vue de la licitation de la communauté Godin-Lemaire. Godin avertit Grebel que Quaintenne va occuper un emploi dans l'usine et peut-être remplir la fonction d'architecte de la ville de Guise : Quaintenne doit parler avec Grebel du projet des écoles de la ville ; Godin ne veut pas attendre l'architecte de Saint-Quentin.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 8 juillet 1873
Godin annonce à Quaintenne que son fils Émile va le mettre en rapport avec Dequenne qu'il va remplacer à la surveillance des travaux de construction. Il l'informe qu'un architecte de Saint-Quentin devait à sa demande venir à Guise pour faire un projet d'aménagement de salles d'écoles pour la ville de Guise ; il demande à Quaintenne de s'entendre avec Alphonse Grebel, membre du conseil municipal et de la commission des travaux publics, et d'indiquer à Delorme, premier adjoint de Godin, qu'il va réaliser l'avant-projet de transformation des salles.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques Philippe Delorme, 12 juillet 1873
Alphonse Grebel a informé Godin que Delorme souhaite voir l'avant-projet de transformation des écuries en marché par Quaintenne : Godin lui adresse le document et ajoute que Quaintenne est un bon républicain et qu'il voudrait pouvoir lui faire une position à Guise. Sur les salles d'écoles de la ville de Guise : Godin suggère à Delorme qu'il ne faut pas compter sur le projet de Boutry de Saint-Quentin ; il lui demande d'aller visiter avec Quaintenne les salles de l'asile à transformer en salles d'école pour que ce dernier commence à en faire l'étude.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Louis Joseph Quaintenne, 20 juillet 1873
Godin s'étonne de ne pas avoir de nouvelle de Quaintenne pour l'aménagement de salles d'écoles dans les écoles de Guise. Il lui demande de se rapprocher de l'instituteur Maroqueaux pour visiter les écoles et les salles à aménager et il l'informe que Grebel et Minart pourront lui expliquer comment l'opération était entendue par la commission des travaux publics. Godin souhaite avoir, lorsqu'il reviendra à Guise dans 8 jours, un aperçu des dépenses et des travaux à faire pour l'aménagement de deux salles d'écoles ouvrant sur la cour des filles et de deux salles ouvrant sur la cour des garçons. Il ajoute qu'il voudrait que le projet de nivellement de la place des écoles de la ville pour l'écoulement des eaux soit exécuté. Le post-scriptum porte sur une table d'école commandée pour échantillon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 15 février 1874
Sur la révocation de Godin maire de Guise. Godin informe Levasseur qu'il pensait lui demander de publier dans le Courrier de l'Aisne une lettre sur sa situation de maire de la ville de Guise, mais que des amis l'ont incité à la faire paraître dans un grand journal parisien, Le Siècle ou Le XIXe siècle, et il l'invite à consulter leur numéro du lendemain. Il explique à Levasseur qu'en passant à Saint-Quentin ce matin, il a soumis la copie de cette lettre à leurs amis du Glaneur et du Guetteur de Saint-Quentin, qui comptent la publier dans leur prochain numéro ; il informe Levasseur qu'il a demandé qu'on lui envoie les épreuves de la publication pour qu'il en fasse ce qu'il juge bon.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Guillaume Ernest Cresson, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin informe Cresson qu'il croit qu'il est important qu'il assiste aux expériences qui vont avoir lieu à Guise jeudi et vendredi prochains. Il lui indique que sa voiture le prendra avec Barral et Péligot à la gare de Saint-Quentin le jeudi à 10 heures du matin. Il lui remet un chèque de 3 000 F sur la Caisse commerciale.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Augustin Barral, 6 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Barral qu'il pense qu'il est important qu'il assiste aux débats devant la cour de Nancy. Il souhaite discuter avec lui de cela et des frais d'impression des pièces du procès et notamment de son contre-rapport. Il lui remet 500 F et il l'informe qu'il a écrit à Cresson pour lui annoncer qu'il l'attend à Guise avec lui le jeudi suivant.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Athanase Cucheval-Clarigny, 20 avril 1874
Godin informe Cucheval-Clarigny que la question de l'implantation de la gare de Guise a été débattue au conseil général de l'Aisne qui a nommé une commission d'enquête composée de 5 conseillers : Pille, maire de Chézy-sur-Marne ; Leroux, propriétaire à Charmes près de La Fère ; Deviolaine, maire de Cuffies ; Legris, maire de Vailly ; Guay, maire de Villers-Cotterêts. Il lui signale que le Journal officiel a annoncé la nomination d'un nouveau maire de Guise à la place de Delorme. Il demande à Cucheral-Clarigny s'il ne doit pas faire examiner la question de l'implantation de la gare, que l'administration veut situer au Moulin-Neuf, par un des ingénieurs de sa compagnie. Il l'informe que le préfet fera probablement accompagner la commission d'enquête du conseil général par les ingénieurs du département, et que celle-ci rendra son rapport dans la session extraordinaire du conseil général du 10 mai 1874. Dans le post-scriptum, il l'avertit qu'il va recevoir la visite d'Edmond Turquet, conseiller général du canton de Sains et député de l'Aisne.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Barral, 25 avril 1874
Sur l'affaire Boucher et Cie. Godin avertit Barral que sa voiture sera à sa disposition et à celle des experts le lendemain à la gare de Saint-Quentin. Il l'informe que Boucher et Cie lui ont signifié que les plaidoiries auront lieu le 7 mai 1874. Godin demande à Barral s'il ne veut pas profiter de sa venue à Guise pour faire des expériences sur des émaux noirs. Il lui signale qu'il a fait venir de Paris du verre noir à l'imitation du jais pour bijoux taillés qui donne de parfaits résultats dans l'émaillage si on le rend suffisamment fusible.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 13 août 1874
Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère. Godin adresse à Levasseur une copie de la protestation des ouvriers du Familistère [contre l'arrêté préfectoral de fermetures des écoles pour une irrégularité des déclaration d'une institutrice] envoyée par eux aux journaux de Saint-Quentin pour qu'il la publie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry Levasseur, 14 août 1874
Godin donne à Levasseur des éclaircissements sur le procès-verbal, mal rédigé, d'une séance du conseil municipal de Guise du 26 juin 1874 relative au budget communal. Sur l'autorisation d'ouverture des écoles du Familistère : Godin signale à Levasseur que la lettre des ouvriers du Familistère dont il lui a envoyé une copie la veille n'a pas été acceptée sans modification par les journaux de Saint-Quentin, et il lui annonce qu'il lui fait envoyer l'épreuve de la composition modifiée. Il l'avertit que le maire de Guise prend connaissance de tous les télégrammes au bureau de Guise.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pinart, 3 novembre 1874
Sur l'expertise d'une imprimerie à Saint-Quentin. Pinart renonce à l'expertise que Godin lui avait proposée de conduire avec Toffin. Godin lui demande de désigner une personne à sa place.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Beaudemont, 11 novembre 1874
Godin informe Beaudemont qu'il va publier un ouvrage sur la souveraineté et les droits du peuple, qu'il voudrait envoyer aux hommes les plus avancés du département de l'Aisne. Il lui demande de lui communiquer une liste des lecteurs les plus intelligents et les plus propres à faire de la propagande républicaine dans le canton de Saint-Quentin. Il lui annonce l'envoi des deux livres qu'il a déjà publiés en 1874.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Victor Poupin, 16 novembre 1874
Godin envoie à Victor Poupin un chèque de 460,55 F suivant la demande de ce dernier. Il prie Poupin de le prévenir de la surprise que celui-ci lui prépare, pour pouvoir en tirer parti dans son département s'il s'agit de publicité. Godin lui demande de lui désigner quelqu'un capable de se charger de l'expertise d'une imprimerie lithographique et typographique et d'un journal qu'il voudrait « mettre en société » à Saint-Quentin. Godin lui explique qu'une expertise contradictoire est nécessaire pour faire aboutir l'opération et qu'il voudrait soumettre à la commission d'initiative les conditions exigées par l'expert si Poupin en désignait un. Le post-scriptum est relatif à une question financière.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 23 janvier 1875
Godin attire l'attention de François Dequenne, président de la commission administrative du Familistère, sur les approvisionnements en allumettes chimiques du mois de décembre dernier, achetées au prix de 0,76 F le mille alors qu'on les vend 0,56 F le mille à Paris. Il explique qu'il a écrit à Blain-Mariolle de Saint-Quentin qui les a fournies mais que ceux-ci n'ont pas répondu. Godin estime que la Compagnie des allumettes chimiques ne respecte pas la loi du 12 août 1872 selon laquelle il ne lui est pas possible de vendre les allumettes plus de 0,52 F le mille.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 23 janvier 1875
Eugène André souhaite donner un encouragement à Lefèvre : Godin lui rappelle que Lefèvre a eu l'habitude de venir travailler le lundi malade ou en état d'ébriété et il lui demande s'il s'est corrigé sur ce point. Il lui apprend qu'en raison de son avis sur le décorateur en émail, il s'est abstenu d'embaucher quelqu'un. Il veut connaître l'état du compte de Hourdequin, et savoir les travaux qu'il a faits car il a une souscription à régler dans son journal [Le Glaneur (Saint-Quentin, 1858-1896)]. Il lui demande si une lettre de Blain-Mariolle de Saint-Quentin, fournisseur des allumettes chimiques au Familistère, est arrivée à Guise. Il lui demande d'informer Alphonse Grebel que Georges Barral va lui renvoyer son dossier et de remettre une note à François Dequenne.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Blain-Mariolle et Cie, 24 janvier 1875
Sur le prix de vente des allumettes chimiques. Godin remercie ses correspondants pour la franchise de leur réponse. Il explique qu'il veut en qualité de député faire la preuve des exactions du monopole de la Compagnie des allumettes chimiques qui vend à 0,76 F ce que la loi ne lui permet pas de vendre plus de 0,52 F, tandis que le ministre de la Justice et les procureurs la laissent faire. Il remercie Blain-Mariolle et fils de lui communiquer tout document utile à ce sujet. Il leur demande s'ils connaissent des personnes de Saint-Quentin qui seraient prêtes à se joindre à lui pour exercer une action contre la compagnie ou pour lui fournir des preuves.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies
« Les chemins de fer départementaux et les grandes compagnies (voir L'Opinion nationale des 17 et 21 mars et du 2 avril) » : l'article dénonce l'opposition des grandes compagnies de chemins de fer et du gouvernement au développement des lignes de chemins de fer concédées par les conseils généraux.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 13 mars 1875
Sur le tarif des marchandises de la manufacture. Sur le transport de marchandises par chemin de fer : Godin rappelle qu'il faut s'efforcer de faire arriver et expédier par Marle et de s'entendre avec la Compagnie du chemin de fer du Nord à ce sujet, et éviter de se servir de la gare de Bohain à cause des taxes appliquées aux transports sur la route déclassée de Guise à Bohain. Sur la journée de travail à l'usine de Guise : Godin estime qu'il serait possible d'ajouter une heure à la journée si le volume des marchandises diminuait dans les magasins, mais il pense qu'il n'est pas possible de maintenir tous les emplois dans une période aussi difficile ; il lui demande d'aviser sur ce qu'il convient de faire avec Eugène André et François Dequenne. Godin retourne à son fils Émile une lettre qui lui a été renvoyée par Bazin ; il demande à ce que le télégraphe soit réservé aux cas d'urgence et recommande de prendre des habitudes d'économie.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Rosalie Morel, 21 mars 1875
Godin répond à la lettre de Rosalie Morel du 15 mars. Il l'informe que la fin des vacances dans les écoles du Familistère aura lieu le 1er ou le 2 avril et qu'elle pourra les visiter en détail. Il la prie de venir le voir dès son arrivée au Familistère. Il lui communique les horaires de train de la gare du Nord à Paris à Saint-Quentin et de Saint-Quentin à Longchamps, d'où elle prendra une voiture pour Guise. Il lui signale qu'il existe plusieurs hôtels à Guise. Il la remercie pour l'envoi de son excellent ouvrage Un million comptant, mis à la disposition des lecteurs du Familistère. Il précise qu'il la connaît grâce à leur ami commun Édouard de Pompéry et que c'est la raison pour laquelle il lui a envoyé La richesse au service du peuple.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène Heutte et Cie, 8 septembre 1875
Godin demande à Heutte et Cie de lui adresser les 2 000 exemplaires demandés de La politique du travail à Guise et non à Bohain, par le chemin de fer du Nord et celui de Saint-Quentin à Guise.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à l'administrateur de la Compagnie du chemin de fer de Saint-Quentin à Guise, 4 octobre 1875
Godin répond positivement à l'invitation à l'inauguration du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin et indique qu'il se joindra au cortège à son arrivée à la gare de Guise le dimanche suivant.

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Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean Louis Henri Villain, 5 octobre 1875
Sur l'inauguration de la ligne de chemin de fer de Saint-Quentin à Guise : Godin se demande s'il se contentera de se joindre au cortège à son arrivée à Guise ou si les députés ne devraient pas se concerter pour mettre à profit la circonstance. Il indique à Villain qu'il pourrait prendre le train arrivant à Saint-Quentin à 10 heures pour pouvoir s'entretenir avec eux et lui propose de lui montrer le Familistère à cette occasion.

Auteur·e : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Adolphe Hourdequin, 7 octobre 1875
Godin s'étonne de ne pas voir dans les journaux de Saint-Quentin le programme de la fête d'inauguration du chemin de fer. Il lui demande des renseignements sur le déroulement de la fête. Il lui indique qu'à la première occasion, il retirera ses actions dans la société du Glaneur.
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