FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Hippolyte Destrem, 28 février 1888
Marie Moret communique à Hippolyte Destrem sa lettre à Jenny Fumet du 28 février 1888 et le prie de la lui remettre. Elle lui explique qu'elle doit se consacrer entièrement à ses travaux personnels, à commencer par la publication du livre posthume de Godin, tâche qu'elle n'a pas encore commencé en raison de la succession de Godin et de la gérance de l'Association du Familistère. Ainsi, poursuit-elle, elle doit renoncer à toute proposition pouvant la distraire de cette mission. Elle lui signale que ce n'est pas elle mais Gustave Rouanet qui a reproduit dans Le Devoir son article paru dans L'Arbitre. Si elle repousse à plus tard le projet de Destrem de s'entretenir avec elle, elle l'assure que pour autant le Familistère reste ouvert à la visite.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 28 février 1888
Marie Moret explique à Demeur qu'elle a été élue administratrice-gérante par les associés de l'Association par 85 voix sur 89 votants, que la réorganisation de la gérance est en cours et que la succession de Godin est en voie de règlement. Elle s'adresse à Demeur au sujet de la transcription au bureau des hypothèques de Bruxelles des biens de Godin apportés à l'Association du Familistère ; elle cite à ce propos une lettre d'un employé de l'usine de Laeken et une lettre du notaire de Guise Aimé Flamant ; elle signale à Demeur le nom et l'adresse d'un notaire, Gustave Éliat au 59 rue Neuve à Bruxelles. Elle informe Demeur que le couple Brullé vit à Saint-Mandé, qu'Alexandre Brullé est atteint de paralysie grave depuis plusieurs années et qu'il est soigné par sa femme, elle-même de santé fragile.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Trouilloud, 28 février 1888
Marie Moret envoie la notice biographique relative à Godin. Elle souhaite que son correspondant en accuse réception et espère obtenir 5 à 6 exemplaires de la notice imprimée. Elle présente à Maurice La Châtre ses compliments.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Goupil et Cie (Boussod, Valadon et Cie), 28 février 1888
Marie Moret souhaite savoir quand elle pourra recevoir l'épreuve de la photographie de Godin, ainsi que le prix de la retouche et des épreuves qu'elle a demandées.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Demeur pour sa lettre. Elle l'informe que madame Brullé a été heureuse d'avoir de ses nouvelles et qu'elle compatit à la perte de son enfant de 6 ans, elle qui craint la perte imminente de son mari. Elle explique à Demeur qu'elle est « mère par ma sœur » qui a eu trois petites filles, dont 2 ont disparu à l'âge de 2 et 4 ans, et qu'elle éprouve « le sentiment de l'isolement et du vide, quand on perd le compagnon de toute l'existence ». Elle évoque le souvenir de leur fréquentation à Laeken il y a 25 ans. Elle demande à Demeur s'il est devenu spiritualiste comme le fut Godin. Elle lui annonce qu'elle lui écrit une deuxième lettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Demeur pour sa double lettre de la veille. Elle fournit à Demeur des indications complémentaires sur la Société du Familistère et la succession de Godin en vue de la transcription au bureau des hypothèques de Bruxelles des biens de Godin apportés à l'Association du Familistère. Elle lui explique que la Société du Familistère a été enregistrée à Molenbeek-Saint-Jean le 19 août 1880, que la publication légale a été faite dans le Moniteur belge du 30 août 1880 avec la mention des apports de Godin, et que les modifications apportées aux statuts ont été déposées et publiées en 1882, 1885 et 1888. Elle ajoute que l'achat par la Société du Familistère d'un terrain attenant à l'usine de Laeken aux hospices de Bruxelles lui semble une preuve supplémentaire que la Société du Familistère est reconnue en Belgique.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ernest Dubois, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Dubois pour son affectueuse lettre du 19 janvier. Elle lui explique que ses multiples préoccupations l'ont empêché de lui répondre plus tôt. Elle l'assure que son cœur est uni à celui de Dubois et elle l'informe que Marie-Jeanne Dallet est maintenant plus grande que sa mère.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Charles Lemonnier, 1er mars 1888
Marie Moret envoie à Lemonnier la pétition n° 10 revêtue de 238 signatures. Elle lui explique que la pétition n° 11 ne lui a pas été nécessaire et qu'elle l'a placée dans le dossier de la paix.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard Raoux, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Raoux pour sa lettre du 5 février 1888, à laquelle elle répond tardivement en raison des occupations qui l'accablent. Elle le remercie pour sa photo-biographie et la collection de brochures qu'il lui a envoyées. Elle lui annonce qu'elle lui enverra un portrait photographique de Godin réalisé il y a douze ans ainsi qu'un portait d'elle-même.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Armand Grebel, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Grebel pour son télégramme du 18 janvier 1888, en son nom, en celui d'Émilie Dallet et en celui de Marie-Jeanne Dallet, qui est désormais plus grande que sa mère. Elle lui explique qu'elle n'a pu répondre plus tôt en raison des occupations qui l'accablent. Elle l'assure qu'elle est proche de lui par la pensée : « "La pensée fait la présence" dit Swedenborg, "et l'amour fait la conjonction" ». Elle lui demande de ses nouvelles et elle imagine qu'un jour elle pourrait aller en voyage près de chez lui qui habite dans le pays de la famille Dallet. Elle ajoute que Marie-Jeanne Dallet est grande, qu'elle va toujours à l'école et qu'elle a quinze ans.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard et Élisa Champury, 2 mars 1888
Marie Moret remercie le couple Champury pour leurs lettres des 17 janvier et 11 février 1888, auxquelles elle n'a pu répondre plus tôt en raison des occupations qui l'accablent. Elle leur explique qu'elle espère que « bonne, modeste et touchante » Armide puisse trouver un emploi dans les services du Familistère. Elle assure Édouard Champury qu'il a eu des successeurs au Devoir mais pas de vrais remplaçants : « Nul n'a été comme vous de cœur avec mon mari. » Moret et Émilie Dallet s'associent au sentiment de Champury « contre l'œuvre démoralisante de certains journaux et certains romanciers, hélas ! déplorablement nombreux », et elle le remercie de lui avoir signalé le nouveau livre de Sully Prudhomme, Le bonheur. Elle transmet les amitiés de la famille Moret-Dallet à la famille Champury, « y compris le grand Albert ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 2 mars 1888
Marie Moret informe Ganault qu'Offroy et Cie ont encaissé les coupons de rente 2 % et en ont crédité le compte de Godin mais qu'ils sont soulevé la question d'une répartition. Elle remercie Ganault de ses indications sur ce qui se passe du côté de Falaize et sur Marcel Laporte et son article ignoble contre Godin ; elle lui annonce qu'elle pourrait transmettre un double des documents à la gendarmerie de Guise et au procureur de Vervins si Marcel Laporte revenait à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur Trouilloud, 3 mars 1888
Marie Moret adresse à monsieur Trouilloud un exemplaire du Devoir du 22 janvier 1888 qui contient la biographie de Godin, ainsi qu'un exemplaire du 5 février 1888, dont l'« Avis au lecteur » montre que le journal a la rédaction qu'il lui faut. Elle lui explique que Le Devoir n'a pas besoin de nouvelle collaboration, que le journal a plus de matières qu'il ne peut publier, qu'il doit rester dans la ligne pacifique et progressive de Godin et qu'il n'est soutenu que par ses ressources personnelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Désiré Besson, 18 mai 1865
Sur le tarif de l'octroi de la ville de Guise sur la chaux vive et la chaux hydraulique. Godin répond à la lettre du maire du 18 mai 1865 : « Vous me parlez de "l'esprit de justice (dont personne ne doute) que vous apportez à la solution des questions qui intéressent vos administrés". Je regrette bien vivement que cet esprit vous ait toujours fait voir d'une façon contraire aux propositions que j'ai pu vous faire et aux demandes que je vous ai adressées [...] » Godin ne se satisfait pas de la réponse du maire, considère que la question est d'intérêt général et demande au maire de la soumettre au conseil municipal, dont lui-même fait partie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à messieurs Dantec, A. Maury, Alfred Denisart, Beauchéry, Bonnin et L. Jourde, 18 juin 1865
Sur l'emploi de chef comptable des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin propose aux candidats qui ont souhaité faire leurs preuves de les soumettre à un concours dont le sujet est l'amélioration de la comptabilité des services du Familistère. Godin décrit de façon détaillée l'organisation des services d'alimentation du Familistère. Il décrit ensuite sommairement le rôle du chef de la comptabilité à l'égard de l'organisation des services. Il demande aux candidats d'établir le tableau des moyens et procédés pour améliorer la comptabilité et l'organisation des services.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Dauphin, vers le 12 août 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin expose la question de la liquidation de la communauté. Le procès en séparation est intervenu au moment d'un important développement industriel et social. La liquidation de la communauté de biens met l'industrie en péril ; il présente le plan de ses adversaires qui défendent une licitation globale de l'établissement industriel pour le contraindre à le racheter et ainsi le priver de capitaux indispensables ; Godin se demande s'il ne devrait pas abandonner l'exploitation de l'usine. Il expose l'intérêt d'un partage des biens immobiliers, comparé au désastre d'une licitation. Il informe Dauphin que le seul arrangement accepté par Esther Lemaire serait d'être payée de la moitié de la valeur des immeubles, plus la moitié du coût d'édification des immeubles, plus la moitié des bénéfices réalisés depuis la séparation jusqu'à la liquidation définitive ; Godin serait alors contraint d'emprunter pour verser ce qu'il lui devrait ; il devrait constituer une société pour apporter les capitaux à l'industrie ; dans la situation de concurrence de cette industrie, il serait obligé bientôt de considérer les usines et le matériel général comme amortis ; il serait dépendant d'actionnaires avides d'intérêts, situation qu'ont malheureusement connue les usines de Sougland. Le partage permet à chacun d'exploiter ce qui lui revient, tandis que la licitation fait passer dans une main les capitaux liquides et dans l'autre des instruments mais sans les moyens pour les exploiter. Godin écrit qu'il n'espère pas dans la justice, qui n'a pu protéger ses brevets. Godin demande conseil à Dauphin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Lewis Henry Hornblower, 18 décembre 1865
Godin répond à une lettre de Hornblower en lui signalant que la Social Science Review du 2 octobre 1865 a publié un article sur le Familistère reproduit dans une brochure vendue à Londres. Il expose le projet du Familistère, décrit sa situation actuelle et donne des détails de ses dispositions. Il le renvoie au plan publié dans The Builder.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Charles-Louis Barreswil, 24 décembre 1865
Godin répond à Barreswill qui sollicite des documents sur le Familistère ainsi que des plans et détails. Il renvoie son correspondant au numéro du 2 décembre 1865 du journal The Builder. Il lui confirme ce qu'indique la brochure d'Oyon sur l'absence de règlement au Familistère et il précise que la brochure est en vente à la Librairie des sciences sociales au 13, rue des Saints-Pères à Paris.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 14 octobre 1866
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin présente son établissement industriel, rappelle qu'il a exposé à Londres mais que ses produits sont passés presqu'inaperçus en raison d'une erreur de classification et d'un emplacement désavantageux par rapport à ses concurrents anglais. Il pensait trouver une compensation avec l'Exposition universelle française, mais il n'a pu obtenir d'exposer dans le Palais, aussi se demande-t-il s'il doit figurer au nombre des exposants. « Vous trouverez sans doute inadmissible, Monsieur le Commissaire général, qu'un industriel qui s'est non seulement distingué en industrie, mais qui peut apporter au concours ouvert pour un nouvel ordre de récompenses dans l'organisation du travail et des rapports entre les ouvriers et ceux qui les dirigent, un des faits pratiques des plus importants, ne soit pas convenablement représenté à l'Exposition pour les produits de son industrie, si surtout l'on y accorde attention aux habitations ouvrières qu'il a fondées, et qui font l'objet de la nouvelle demande que je joins à la présente. » La copie de la lettre est suivie de la copie de la demande de Godin de prendre part au concours ouvert au titre IV du règlement des récompenses de l'Exposition universelle de 1867, à laquelle il joint une brochure sur le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 5 novembre 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Lecoq de Boisbaudran qu'il n'a pu lui remettre le dossier de l'affaire Jacquet qu'il veut que ce dernier suive et pour laquelle il veut qu'il plaide à Vervins. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Il lui signale également qu'il doit reprendre l'examen de l'affaire de la liquidation de la communauté de biens Godin-Lemaire. Il l'avertit que le notaire Borgnon s'en entretiendra avec lui à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Albert Lenoir, 10 novembre 1866
Godin répond à la lettre d'A. Lenoir du 30 octobre 1866 qui évoque l'exploitation d'objets nouveaux. Il l'avertit qu'il doit aller prochainement à Paris et pourra en parler avec lui. Il évoque la visite que Lenoir lui a rendu en 1858. Godin pense que l'appareil à rafraîchir de Lenoir ne sera pas d'une vente facile et lui indique que des modèles de chauffe-bain ont déjà été fait sans connaître le succès.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 28 novembre 1866
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté des biens.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au doyen de Guise, 16 février 1869
Godin rappelle au doyen de Guise qu'il avait constaté l'année précédente que l'enseignement du catéchisme à l'église venait contrarier l'enseignement reçu par les élèves des écoles du Familistère et qu'à sa demande monsieur Marchand avait convenu avec lui que l'enseignement du catéchisme aurait lieu le jeudi après-midi, en dehors des heures de classe. Les élèves ayant reçu ordre d'aller à nouveau aux leçons de catéchisme le jeudi matin, Godin lui rappelle ses engagements.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Hurstel frères, 5 mai 1876
Godin répond tardivement à la lettre de Hurstel frères du 11 avril. Il déclare qu'il est prêt à souscrire pour une dizaine d'actions dans leur société.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Amédée Moret qu'il lui envoie un dossier concernant un procès de chemin de fer. Il demande à Amédée Moret d'aller chez Allez frères leur demander l'adresse d'un bon agréé auprès du tribunal de commerce de Paris à qui il pourrait confier le dossier et qui pourrait le représenter à l'audience du 14 décembre 1876.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Bourdon qu'il n'honorera pas sa traite de 382,95 F car il attend toujours que Bardin lui restitue ce qui lui appartient dans l'imprimerie de Heutte et Cie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le compte de Henri de Hulster. Sur les travaux de sondage à La Capelle et à Sardy. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : difficultés du sondage de Sardy.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Règlement du compte de Henri de Hulster qui s'élève à 4 266,65 F. Godin envoie un chèque de 2 154,55 F et effectue une retenue provisoire de 1 500 F correspondant à la valeur de tubes appartenant à Godin endommagés pendant les travaux de sondage. Dans le post-scriptum Godin demande à Henri de Hulster d'ordonner à Maurois d'opérer différemment pour épargner les tubes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Henri de Hulster que la retenue sur le paiement de sa facture a pour cause un mauvais emploi des tubes de sondage. Il lui propose un accord financier. Il lui donne des nouvelles du sondage [de Guise]. Sur la recherche de minerais dans la Nièvre : dans le post-scriptum, Godin se plaint de l'inertie de monsieur Richard.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin demande à monsieur Benoit-Leroy de verser 230 F à monsieur Rignault, notaire à Corbigny, en paiement des baraques de sondage de Sardy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à monsieur Bonnerond de se présenter chez Rignault, notaire à Corbigny, pour y percevoir 42 F en paiement du transport de 1 400 kg de fer à Clamecy.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin avertit Rignault que monsieur Benoit-Leroy doit lui verser 230 F en paiement des baraques de sondage de Sardy. Il lui demande de payer 42 F à monsieur Bonnerond, voiturier à Thavenet et le rembourser des frais d'annonces faites pour son compte. Il lui demande également de ne pas oublier la vente du terrain situé sur la route de Cervon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin attire l'attention du président de la Société musicale du Familistère sur l'abus que certains des membres de la société font de leur instrument en dehors des répétitions et concerts. Il lui explique qu'à l'occasion de la dernière Fête du Travail, les musiciens ont joué « des airs de saltimbanque » dans la rue du Familistère après le bal. Cela constitue pour lui un tapage nocturne, et il ajoute que la police aurait pu "justement intervenir". Il suggère que la société musicale introduise dans son règlement un article encadrant l'usage des instruments, faute de quoi l'administration du Familistère pourrait infliger des amendes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Requête relative à un plan d'alignement d'une propriété de Godin en face de la gare de Guise.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la fondation d'une association syndicale de tous les corps d'état de la commune de Gautier : Godin discute les objections que le ministre de l'Intérieur fait au projet ; il fait des recommandations d'ordre juridique à Gautier pour la réussite de son projet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin constate la rupture de son fils avec lui. Il veut faire cesser le désordre que son fils Émile introduit par son comportement violent à l'égard du personnel de l'usine et du Familistère. Il lui rappelle les articles du code pénal pouvant sanctionner ses agissements. Il lui indique qu'il est prêt à le doter de la fortune nécessaire, à condition qu'Émile ne s'immisce plus dans la direction et l'administration du Familistère et de l'usine et qu'il ne vive plus sous son toit. Il avertit Émile qu'il agira à son égard suivant la réponse qu'il fera à Tisserant.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin adresse à Ernest Rignault un pouvoir pour régulariser la vente aux enchères d'une parcelle de terrain se trouvant le long de la route de Corbigny à Cervon.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le règlement d'une facture à l'imprimerie du journal Le Courrier de l'Aisne.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à son correspondant qu'il désire recruter des hommes doués d'initiative, d'esprit inventif, capables d'accéder à des postes de direction. Il énumère les connaissances et les qualités requises pour ces employés. Il explique que ces qualités sont indispensables dans le contexte d'une association employant 1 000 personnes participant aux bénéfices industriels. Il précise que son industrie repose sur la fonderie appliquée à la construction d'appareils de chauffage et d'ustensiles domestiques et que les employés participent aux bénéfices en plus de leurs appointements fixes. Godin demande à son correspondant quelles seraient ses prétentions salariales. Il espère pourvoir trouver des talents que l'association pourrait rémunérer 5 000 à 10 000 F par an, non compris leur part dans les bénéfices. Il le prie de lui communiquer des renseignements : son âge, sa situation familiale, s'il fait usage du tabac, ses références.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Leblon que ses usines fabriquent des appareils de chauffage portatifs domestiques, et qu'il faut créer des modèles nouveaux, avec des connaissances approfondies en fumisterie et une recherche d'élégance des formes, pour être en avant du goût de la consommation. Il lui demande de lui fournir des références et l'avertit qu'il devrait faire un certain temps d'étude avant de rendre de réels services. Il lui demande également de lui communiquer le montant minimum d'appointements qu'il accepterait, de lui donner son âge et lui dire s'il fait usage du tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Paillot qu'il préférerait un candidat dix ans moins âgé que lui, mais lui demande de lui fournir des références et s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Labadie qu'il n'a pas besoin d'un homme pour la direction supérieure de ses usines, mais uniquement pour la création de modèles et la direction de la fabrication qui emploie 1 200 ouvriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Dans sa lettre du 16 décembre 1879, Beauchéry rappelle à Godin qu'il a déjà correspondu avec lui en 1865. Godin lui demande de lui communiquer son âge, ses références, sa situation familiale et s'il fait usage de tabac.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin explique à Beaubrun qu'il recherche un comptable compétent. Dans le post-scriptum il l'informe qu'il lui retourne les certificats qu'il lui avait envoyés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur une demande d'emploi. Dans le post-scriptum il l'informe qu'il lui retourne les certificats qu'il lui avait envoyés.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin envoie à Éthiou-Pérou le placard corrigé des statuts de l'association du Familistère. Il lui demande de lui renvoyer au plus vite deux épreuves du placard.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur : Épaulard, Emmanuel (1848-)
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Sur la comptabilité des Fonderies et manufactures du Familistère et l'existence d'un compte individuel de Jean-Baptiste André Godin.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande au préfet l'autorisation d'élever des parapets sur les rives de l'Oise et du Canal des usines par mesure de sécurité pour la population du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la composition du prochain numéro du journal Le Devoir, qu'il lui demande de tirer à 480 exemplaires comme d'habitude.
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