FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Félix de Contreras, 19 juillet 1862
Godin annonce à Félix de Contreras qu'il ne pourra se rendre à Bruxelles avant un mois et lui demande de ne pas se considérer comme engagé par leur correspondance.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur J. Dhuet, 21 juillet 1862
Godin annonce à J. Dhuet qu'il ne pourra se rendre à Bruxelles avant le mois d'août et lui demande de ne pas se considérer comme engagé par leur correspondance et de saisir l'opportunité d'une position qui lui est offerte à Paris.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 1er mars 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin rapporte à Favre qu'Esther Lemaire aurait choisi son avocat, mais que son avoué est sans nouvelles du procès. Godin explique qu'à son arrivée à Paris il y a dix jours, Telliez, l'un de ses voyageurs de commerce qu'il pense être complice de Camatte dans la diffamation organisée à son encontre, a tenté de faire pression sur lui pour qu'il accepte la séparation sans débat sous le prétexte que sa femme détiendrait des preuves accablantes contre lui. Il ajoute que, depuis, Telliez a disparu. Godin raconte à Favre que pendant les 15 à 18 premières années de son mariage, Esther Lemaire lui a toujours demandé d'écrire le brouillon de ses lettres ou d'en corriger le texte, et que Telliez a évoqué auprès de lui les brouillons au crayon de Godin détenus par sa femme, en particulier la lettre d'introduction écrite à madame Brullé par Esther Lemaire lorsque Godin a emmené Marie Moret à Bruxelles. Il propose à Favre de lui parler de scènes de prétendues violences de Godin à l'égard d'Esther Lemaire, qu'il a pu reconstituer grâce à la mémoire de son fils.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 5 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin s'attendait à recevoir une lettre de Vigerie, annoncée par « Le Frère ». Il est question de l'application des nouveaux tarifs des produits Godin-Lemaire en Belgique et des remises à consentir sur le prix des marchandises. Sur la vente d'une partie de la propriété de Laeken : Godin veut connaître le prix des terrains et demande à Vigerie de s'en informer auprès d'un boucher propriétaire dans le quartier de l'usine. Sur un certain « V » que Godin juge de peu de mérite. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire : à propos d'un agent mystérieux au service des ennemis de Godin : Godin prie Vigerie de demander à Louis d'abandonner son travail pendant deux ou trois jours et de s'informer à son sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 8 mars 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin informe Favre qu'il a demandé à Oudin-Leclère de ne rien lui dissimuler sur le compte de Godin. Il lui explique que sa femme a emporté toute sa correspondance originale avec elle et toutes les lettres qu'elle lui a écrites, mais que cette correspondance affectueuse est irréprochable, et qu'ainsi des copies de ses lettres doivent être la production d'agents d'infamie. Il ajoute qu'il donne raison à Oudin-Leclère de croire que sa femme pense depuis longtemps à une séparation : elle a dit à une personne en visite chez elle qu'elle y songe depuis 7 ans ; elle a cherché à provoquer la séparation et est entrée dans la voie du scandale pour y parvenir. Godin raconte à Favre qu'il a appris qu'un individu est allé à Laeken au mois de février 1863 et a rencontré tous les domestiques qui étaient attachés à sa maison de Laeken sous la direction de monsieur Brullé à l'époque où Marie Moret était dans l'établissement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 10 mars 1864
Sur le tarif de la manufacture. Il est question de l'identification de l'individu suspect venu à Bruxelles enquêter sur la relation entre Marie Moret et Godin : Godin ne croit pas que la personne désignée à Vigerie soit la bonne personne. Godin a appris de Marie Moret que madame Vigerie s'ennuyait beaucoup de l'absence de son mari. Dans le post-scriptum, Godin donne un remède que monsieur André doit appliquer pour soulager ses yeux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 25 juin 1864
Jean-Baptiste André Godin explique à Vigerie qu'il est absorbé par son procès en séparation et qu'il ne peut consacrer du temps qu'aux affaires indispensables. Toutefois, il lui annonce qu'il va faire achever la cheminée et qu'elle sera expédiée à Bruxelles où il la trouvera à son arrivée.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 13 août 1864
Jean-Baptiste André Godin informe Cantagrel qu'il a reçu Grosselin et parlé avec lui d'éducation, et il le remercie de l'avoir recommandé à lui. Il lui annonce qu'il part le lendemain à Bruxelles et qu'il aura le plaisir de le voir là-bas ou bien de le voir à son retour à Guise accompagné de sa femme et de son fils. Il lui fait part de son souhait de voir Cantagrel venir dans l'année avec quelques-uns « de nos anciens amis ».

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Joseph Cantagrel, 17 août 1864
Jean-Baptiste André Godin évoque sa rencontre à Bruxelles avec son frère François Cantagrel, qui lui a parlé d'une lettre de son correspondant relative à des cheminées en fonte qu'il a vues chez lui rue de la Coutellerie à Paris. Godin sollicite l'avis de Joseph Cantagrel sur ce modèle de cheminée. Il lui explique combien il est difficile de commercialiser un produit nouveau et prévient une de ses objections dont son frère lui a déjà fait part. Il établit un questionnaire sur les fonctionnalités et la commercialisation de la cheminée qu'il soumet à Joseph Cantagrel. Il lui demande en outre s'il peut lui communiquer les plans et coupes des maçonneries des cheminées telles qu'elles se font à Paris, et lui donner les indications d'installation de poêles de salle à manger.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 2 février 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin informe Cantagrel que le procès en appel avec sa femme est fixé au 7 mars 1865 et que son avoué lui apprend qu'une lettre de l'avocat Demeur de Bruxelles sera la nouveauté réservée à la cour. Godin demande à Cantagrel s'il lui est possible de porter une lettre à Demeur et de discuter avec lui de la réponse à opposer à sa femme. Godin pense que Demeur a été mystifié par sa femme.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à mister Pascaly, 5 août 1880
Marie Moret informe Pascaly de la présence de Miss Bristol, accompagnée d'une Irlandaise lui servant d'interprète, qu'il verra à la fête de l'Enfance ; elle veut que tous deux pratiquent leur anglais et souhaite désormais qu'ils correspondent en anglais. Elle a oublié de garder un extrait de La Finance nouvelle demandé par Pascaly et l'informe de l'arrivée d'un journal italien. Fabre et elle ont beaucoup à lui raconter. Lui demande de lui dire ce qu'elle doit garder dans les journaux et de s'amuser.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ugo Rabbeno, 16 octobre 1887
Marie Moret informe Rabbeno qu'elle et Godin sont allés à Bruxelles, où ils ont pu voir Bertrand avec lequel ils ont parlé de lui. Elle lui transmet le souvenir d'Emilie et George Jacob Holyoake. Elle espère que Rabbeno est en bonne santé et que son séjour à Paris n'est pas désagréable même s'il n'aime pas la vie dans les grandes villes. Elle lui transmet les meilleurs sentiments de Godin et d'Émilie Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 28 février 1888
Marie Moret explique à Demeur qu'elle a été élue administratrice-gérante par les associés de l'Association par 85 voix sur 89 votants, que la réorganisation de la gérance est en cours et que la succession de Godin est en voie de règlement. Elle s'adresse à Demeur au sujet de la transcription au bureau des hypothèques de Bruxelles des biens de Godin apportés à l'Association du Familistère ; elle cite à ce propos une lettre d'un employé de l'usine de Laeken et une lettre du notaire de Guise Aimé Flamant ; elle signale à Demeur le nom et l'adresse d'un notaire, Gustave Éliat au 59 rue Neuve à Bruxelles. Elle informe Demeur que le couple Brullé vit à Saint-Mandé, qu'Alexandre Brullé est atteint de paralysie grave depuis plusieurs années et qu'il est soigné par sa femme, elle-même de santé fragile.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adolphe Demeur, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Demeur pour sa double lettre de la veille. Elle fournit à Demeur des indications complémentaires sur la Société du Familistère et la succession de Godin en vue de la transcription au bureau des hypothèques de Bruxelles des biens de Godin apportés à l'Association du Familistère. Elle lui explique que la Société du Familistère a été enregistrée à Molenbeek-Saint-Jean le 19 août 1880, que la publication légale a été faite dans le Moniteur belge du 30 août 1880 avec la mention des apports de Godin, et que les modifications apportées aux statuts ont été déposées et publiées en 1882, 1885 et 1888. Elle ajoute que l'achat par la Société du Familistère d'un terrain attenant à l'usine de Laeken aux hospices de Bruxelles lui semble une preuve supplémentaire que la Société du Familistère est reconnue en Belgique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 4 décembre 1865
Sur l'emploi d'économe du Familistère. Godin demande à Cantagrel de faire insérer une offre d'emploi dans les journaux Le Siècle, La Presse, La Patrie, Le Temps et L'Opinion nationale. Il lui demande de le prévenir de l'heure de son arrivée à Bohain de retour de Bruxelles pour qu'il puisse y envoyer sa voiture. Il lui suggère de faire adresser les réponses à l'offre d'emploi au concierge du 33, rue de Rivoli à Paris. Une copie de l'offre d'emploi suit la copie de la lettre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 7 février 1867
Sur des procédés d'émaillage. Eugène André est allé visiter les ateliers d'émaillage de Engleben Mol à Bruxelles. Godin fait observer qu'il existe aussi un Mol, émailleur à Gosselies. Godin n'est pas opposé à l'achat du procédé de Mol si les prétentions de celui-ci ne sont pas excessives. Sur des essais d'émail à faire par Eugène André : Godin lui fait des recommandations techniques.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 21 juin 1867
Godin signale à Eugène André que son fils Émile est à Bruxelles et qu'il craint de faire double emploi en lui envoyant la fonte et le combustible qu'il demande. Sur des essais d'émaillage.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 24 mai 1872
Godin demande à André le montant des salaires payés à Laeken en 1871. Il lui demande également le nombre d'exemplaires de Solutions sociales vendus à Bruxelles et le nombre restant chez le libraire.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 janvier 1892
Marie s'excuse pour le retard dans sa correspondance. Au sujet des écrits spirituels de M. Moschos et d'une mauvaise note d'Antoniadès en mécanique. S'inquiète de la santé d'Antoniadès à la suite de son voyage à Bruxelles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Piou de Saint-Gilles, vers le 27 avril 1892
Au sujet de recommandations sur l'amitié, en particulier celle avec Antoniadès. Considérations sur le principe d'une « promesse ». Joint à sa lettre une boite de dragées, un mouchoir ainsi que la Revue de l'École Centrale. L'informe de la destination de son voyage à Bruxelles afin de se rendre pour « objet spécial » au Familistère de Laeken avec le directeur des écoles du Familistère de Guise. L'édition du numéro d'avril du journal Le Devoir s'arrête ce jour.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Luigi Giudice, 11 mai 1892
Revient de son voyage à Bruxelles et accuse réception de la demande de réabonnement au journal Le Devoir. Envoi de deux ouvrages : Histoire de l'Association agricole de Ralahine et Histoire des équitables pionniers de Rochdale, traduits par Marie Moret. Transmet son affection à Mme Giudice et leur enfant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 14 mai 1892
Au sujet du voyage de Marie Moret au Familistère de Laeken (Belgique) et de sa visite de différents lieux à Bruxelles. Demande des nouvelles d'Antoniadès et dit avoir reçu une lettre de Gaston Piou de Saint-Gilles. Le fils d'un membre du conseil de gérance du Familistère, Ladislas Sekutowicz, souhaite rentrer à Centrale. Demande de conseils concernant le logement et la nourriture à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 1er juin 1892
Se désole de l'annulation de la visite de Fabre. Approuve la recommandation de l'ouvrage de Bernardot et l'informe du retard de sa prochaine édition. Sur un ami de Fabre, membre du conseil municipal de Nîmes. Pascaly souffrant de la chaleur. L'informe du voyage effectué début mai au Familistère de Laeken dont elle est pleinement satisfaite. Sur le dernier numéro du journal Le Devoir et l'importance de Pascaly. Sur une réponse de Fabre à des industriels au sujet de L’Émancipation. Ressent réciproquement un lien de parenté, « Famille mentale », avec Fabre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 17 mars 1897
Remercie Piponnier pour l'envoi du dossier sur l'affaire du Texas : la Société de colonisation européo-américaine au Texas, fondée le 26 septembre 1854 à Bruxelles, fut transformée en société incorporée américaine le 27 avril 1861 et son siège fut établi à Réunion dans le comté de Dallas au Texas ; l'ancienne gérance (dont Godin) fut remplacée par un directeur habitant au Texas ; il manque encore à Marie Moret les statuts de cette nouvelle société ; Marie Moret désirerait avoir la collection complète du Bulletin de la Société de colonisation européo-américaine du Texas, où pourraient se trouver ces statuts. Marie Moret charge Buridant de remettre cette lettre à Piponnier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 mai 1874
Godin renvoie à Eugène André un mandat postal. Sur le retour d'André à Guise : Godin est prêt à accepter les conditions proposées par André le 10 mai 1874 mais veut résoudre auparavant la question de l'administration de l'usine de Laeken en son absence. Il indique qu'il aurait autrefois accepté une installation d'André à Bruxelles mais pense qu'il faut faire autrement désormais.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Méchin, 19 juin 1874
Godin considère que Méchin manque d'expérience en fonderie pour assurer la direction d'une fabrique d'appareils de chauffage près de Bruxelles occupant 150 ouvriers, dont la moitié de fondeurs et la moitié de monteurs. Il lui demande, avant de venir le voir à Versailles, s'il se sent capable d'assumer la fonction et à quels appointements il prétend. Il précise que le logement, l'éclairage et le chauffage sont fournis par l'établissement.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 6 juillet 1874
Godin transmet à Eugène André la réponse du directeur général des douanes sur le transport de son mobilier. Il accuse réception des lettres d'André des 26, 27 et 28 juin 1874. Il suppose que son fils Émile lui a indiqué que le logement de Quaintenne est vacant et qu'il pourra s'y installer ; il lui fait observer que la possibilité d'un logement à l'usine doit être examinée car tous les locaux y sont occupés. Godin informe André que plusieurs candidats se sont proposés pour la direction de Laeken et que son candidat préféré est affecté d'une légère surdité ; il lui demande si cela pourrait empêcher qu'il occupe convenablement la fonction ; il précise qu'il s'appelle Philippon, qu'il est élève de l'École centrale, qu'une partie de sa famille habite à Bruxelles, qu'il est marié et qu'il a deux enfants et qu'il avait ouvert un atelier de construction rue Saint-Maur à Paris, cédé à la suite des événements de la guerre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 mai 1875
Sur la recherche de minerais dans la Nièvre. Godin annonce à son fils Émile que Chamolle est arrivé. Il l'informe que Delaroche a promis d'envoyer le matériel le 4 mai et il lui demande que celui-ci soit étudié à Bohain, pour que les pièces en fer et en fonte puissent être reproduites. Il l'avise qu'il a l'intention de commencer trois sondages à la fois et qu'il lui faudrait alors plusieurs appareils. Il prie Émile de demander à Pernin d'étudier la question. Sur l'emploi de chef de la comptabilité des Fonderies et manufactures "Godin" : Godin demande à Émile s'il a des nouvelles de Colombet. Il lui signale qu'il a reçu les 500 F dans sa lettre du 28 avril, que Chamolle lui a remis les titres du Texas et qu'il a retourné à Bruxelles, signée, une lettre de change qu'il lui avait adressée le 27 avril.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 29 mai 1875
Sur le concours de Vitry. Sur une réclamation d'une compagnie de chemin de fer. Sur les conditions offertes par les banquiers : Godin avertit son fils que les banques qui offrent les meilleures conditions sont souvent celles qui offrent le moins de garanties ; il propose de retirer une partie des fonds de la banque Delloye de Bruxelles et d'ouvrir un compte dans une autre banque de la ville. Il recommande de profiter de la baisse de la fonte pour en acheter une grande quantité. Il préconise d'avoir à l'usine un employé pour faire les voyages quand Émile ne le peut pas. Il annonce qu'il ne veut pas de titres au porteur dans le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Eugène André, 18 juin 1875
Godin annonce à Eugène André qu'il a envoyé à Laeken, à Andenne et à Origny les chèques qu'il lui a soumis. Sur un procédé de nickelage. Il autorise André à embaucher un sculpteur. Il lui demande quelle était la forme de son pouvoir auprès de Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 28 juin 1875
Godin informe son fils Émile que l'élection du conseiller général du canton de Wassigny aura lieu le dimanche suivant et que les députés de l'Aisne soutiennent Maréchal comme candidat républicain et veulent écarter le bonapartiste Godelle. Il demande si Émile peut trouver des employés ou des ouvriers de l'usine qui pourraient donner un concours à la candidature de Maréchal à Étreux, Hannapes, Vénérolles, Mennevret, Tupigny et Verly, et il l'avertit que ce concours est difficile car il consiste à influencer les électeurs sans l'aide de circulaires ou de bulletins. Il lui demande d'informer Eugène André qu'il a envoyé le pouvoir à Delloye à Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Boureau qu'il consent à l'accepter dans son usine de Guise ou dans celle de Bruxelles aux appointements de 300 F par mois.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin commande 25 bouteilles d'eau de Spa du Pouhon du Prince de Condé.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Fritz si Slade se trouvera encore à Bruxelles à la fin de la semaine suivante et s'il est possible d'assister à une séance analogue à celle dont rend compte la Revue spirite du 1er septembre 1877. Godin souhaite voir une expérience d'écriture directe et de matérialisation.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin annonce à Tisserant qu'il est menacé de poursuite à cause du manifeste électoral bien qu'il n'ait pas été mis en circulation et que les exemplaires imprimés ont été détruits la veille du jour où le parquet en avait ordonné la saisie : « Un silence de mort va donc se faire sur les élections ». Il lui communique une lettre de Delpech qui lui est adressée. Sur des ballots de l'imprimerie Bardin « arrivés ici et déposés chez vous au moment où vous partiez ». « J'aurai des communications bien intéressantes à vous faire sur mon voyage de Bruxelles lorsque vous reviendrez. J'y ai été témoin de phénomènes spirites qui m'ont donné la preuve de faits que je désirais vérifier depuis longtemps » Il transmet à Tisserant les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin informe Geldart qu'il arrivera à Bruxelles le lendemain pour participer à la Conférence internationale et soutenir la fondation d'associations nationales d'arbitrage et de paix. Il propose d'y lire un travail sur la paix, pages extraites du livre Le gouvernement et les droits de l'homme qu'il fait éditer en ce moment. Il précise qu'il se rendra directement au Palais de la Bourse à son arrivée et il voudrait savoir à quel hôtel est descendu Hodgson Pratt.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
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Marie Moret répond à Thévenin en qualité de secrétaire de Godin, parti à la Conférence internationale de Bruxelles. Elle le remercie pour l'envoi de son article paru dans L'Opinion du 14 octobre 1882. Elle lui adresse l'ouvrage Mutualité sociale et l'assure que Godin sera heureux de le voir au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin demande à Tisserant de lui communiquer des renseignements sur Auguste Lintermans, candidat à l'emploi de jardinier du Familistère, qui a été jardinier paysagiste à Nancy il y a 5 ou 6 ans et qui habite désormais Bruxelles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le logement populaire. Godin informe Manier que les cités Peabody présentent peu d'intérêt selon ses amis d'Angleterre. Il lui adresse une lettre pour Pagliardini à Londres qui pourra l'aider dans ses recherches. Il lui indique qu'il ne connaît rien d'intéressant à Lille ou à Bruxelles et lui signale aux Pays-Bas la Fabrique néerlandaise de levure et d'alcool de J. C. Van Marken. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la régularité de l'acquisition faite auprès de messieurs Meganck : Godin annonce à Gauchet qu'il se rendra à Bruxelles le lundi suivant et qu'il descendra à l'hôtel de l'Europe. Il remet à Gauchet un contre-rapport modifié.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Manier du 15 mars 1884 avant de partir à Bruxelles : il lui annonce qu'il ne lui est pas possible de se passer de Deynaud pendant un mois, d'autant que celui doit partir un temps à Paris pour un projet personnel. Manier a rapporté à Victoire Tinayre une fausse nouvelle relative à Godin : Godin lui demande quelle est sa source d'information. Il lui transmet les compliments de Marie Moret et d'Émilie Dallet.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un litige avec la ville de Bruxelles relatif aux constructions nouvelles à Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin répond à la lettre de Neale du 6 novembre 1884 : Neale a reçu une cheminée alors qu'il s'attendait à un foyer économique ; Godin lui demande de garder la cheminée, cassée dans le transport de Bruxelles à Manchester, et l'informe qu'il lui envoie le foyer. Il lui demande de remercier Greening pour ses appréciations flatteuses à son égard. Il lui transmet les compliments de Marie Moret.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la modification des statuts de la Société du Familistère, nécessaire pour protéger cette dernière de son fils, de la municipalité de Guise et des autres dangers après la mort de Godin. Godin décrit ces dangers et les difficultés pour trouver des remèdes par les statuts. Il expose à Tisserant plusieurs questions d'ordre juridique et il présente son projet de modification des statuts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur un litige avec la Ville de Bruxelles relatif à la propriété de Laeken. Godin ne souhaite pas engager une procédure perdue d'avance et doute que Lejeune, avocat à la Cour de cassation puisse plaider en Cour d'appel contre un arrêt rendu par la Cour de cassation autorisant la Ville de Bruxelles à percevoir un péage sur le canal.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le procès de la Société du Familistère avec la municipalité de Bruxelles relatif au droit de passage sur la digue du canal de Willebroek. Godin souhaite trouver un arrangement avec la municipalité de Bruxelles, qui a la prétention d'empêcher la Société du Familistère de sortir ses marchandises de l'usine de Laeken et empêche ainsi la construction d'une habitation et d'une école.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le litige opposant la municipalité de Bruxelles à la Société du Familistère relatif au droit de passage sur la digue du canal de Willebroek. Godin n'est pas satisfait de la réponse de Buls car il souhaite obtenir un droit définitif et non précaire. Il demande à Lagneau de revoir à ce sujet Buls, qu'il est prêt à rencontrer à Bruxelles. Godin n'est pas partisan de poursuivre le procès si la commune de Laeken ne s'engage pas aux côtés de la Société du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des deux lettres de Donneaud du 7 février 1886 lui demandant de lui communiquer des adresses de réunions spirites à Bruxelles. Godin lui indique qu'il n'en connaît aucune en ce moment et que les personnes avec lesquelles il avait eu des relations habitent maintenant à Paris ; il lui signale que c'est Liège qui est le centre du spiritisme en Belgique. « Mais laissez-moi vous dire qu'il est assez difficile de trouver, de prime abord, au sein de ces réunions la possibilité de se faire une conviction. Le meilleur moyen consiste à étudier et à rechercher par soi-même les éléments de certitude, lesquels ne s'obtiennent qu'à la longue. »

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin rappelle à Tisserant que Marie Moret avait répondu de Bruxelles à sa lettre du 9 août 1885 pour l'informer qu'il lui écrirait aussitôt son retour à Guise, réponse qu'il a dû différer en raison notamment des nombreux visiteurs qui se sont succédés au Familistère et à cause de la fête de l'Enfance. Godin prend des nouvelles de sa santé. Sur l'augmentation du capital de la Société du Familistère par voie d'emprunt hypothécaire. Il lui demande quand il pourra venir pour examiner avec lui l'emprunt et il lui pose une série de questions sur le sujet. Sur les articles des statuts imprimés sur les certificats d'apport ou d'épargne. Il lui indique que la fête de l'Enfance s'est bien passée et que le journal Le Devoir en fait le récit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le suffrage universel en Belgique, en Angleterre, aux Pays-Bas et dans les pays scandinaves. Godin explique à Carlier qu'il poursuit depuis le 26 septembre 1886 dans Le Devoir l'étude qu'il a soumise en mai 1884 aux députés français. Il espère le soutien de Carlier pour une propagande européenne en faveur du suffrage universel. Il lui demande de lui communiquer l'adresse de H. E. Berner, parlementaire norvégien, à Bruxelles ou à Kristiana [Oslo].
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