FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 17 janvier 1892
Adresse ses remerciements et transmet son affection pour Mlle Marguerite. Difficultés pour obtenir les clichés photographiques du mausolée et de la statue de Godin que Tisserant réclamait. Critique et commentaires des deux photographies qu'elle a pu trouver et envoyer. Citation de Swedenborg. Marie Moret s'inquiète des voyages de Tisserant à Guise et à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 mai 1892
Venant d'arriver à Lesquielles-Saint-Germain, elle n'a pas eu le temps de prendre des nouvelles de sa maladie. Remerciements de M. Sekutowicz et d'elle-même en ce qui concerne les informations demandées pour Ladislas Sekutowicz. Au sujet du voyage d'Émilie Dallet à Paris à cause du décès d'un membre de leur famille. Marie-Jeanne et Marie Moret s'occupent par le travail, notamment avec l'édition du journal Le Devoir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Rabatel, 1er juillet 1871
Sur l'édition de Solutions sociales : Godin présente ses condoléances à Rabatel et à madame Toinon, et s'informe de l'état d'avancement de l'impression et de la fabrication de son livre, retardées par le décès [de Laurent-Marie Toinon]. Godin explique à Rabatel qu'il s'est rendu à Saint-Germain-en-Laye le 22 juin 1871 pour la mise en route des gravures du livre et qu'il avait été convenu avec Laurent Marie Toinon qu'elles seraient tirées sur un papier identique à celui utilisé par l'imprimerie Lemercier, que le brochage commencerait aussitôt et que des exemplaires du livre seraient envoyés à Le Chevalier et Guillaumin. Godin informe aussi Rabatel qu'il avait signalé une déplorable erreur typographique sur la couverture du livre : « hef d'industrie » au lieu de « chef d'industrie ». Godin demande à Rabatel de lui adresser dès que possible des exemplaires du livre ; il a renoncé à aller à Bruxelles et doit se rendre à Versailles le 7 ou le 8 juillet 1871.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 27 août 1871
Godin envoie la somme de 4 000 F à Coulon et prévoit de le voir à Paris quand il retournera à Versailles. Godin indique à Coulon qu'il s'est reposé à Guise et qu'il n'a pas eu le temps de s'occuper d'une affaire de contrefaçon ni de son livre dont L'Avenir national et La Cloche ont publié un compte rendu. Sur la publicité à donner au livre dans les journaux républicains. Godin informe Coulon qu'il a confié des exemplaires du livre à Peyrat et à Joigneau à destination du Siècle, et que de bons articles sur le livre ont été publiés dans les journaux de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre 1845
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent : monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier la théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 20 décembre 1846
Godin remercie ses correspondants pour leur réponse à sa lettre [du 27 novembre 1846] qui l'informe que monsieur Barral propose de l'assister en tant qu'expert. Il les informe que « notre ami » Godon suit l'affaire au tribunal de Laon. Il demande l'envoi d'une douzaine d'almanachs et indique qu'il a déposé des affiches envoyées par ses correspondants dans une librairie de Guise. Sur un abonnement du « Cercle » de Guise à La Démocratie pacifique. Godin envoie 80 F pour son abonnement à La Démocratie pacifique, le paiement d'almanachs et d'une Grammaire de J. Blanc, et un versement à la rente de l'École sociétaire. Godin s'interroge sur les reçus de ses versements à la rente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 14 mars 1848
Godin informe ses correspondants qu'il vient d'écrire à Glatigny et Godon de Laon et à Curé de Fagniers pour leur proposer de s'unir afin de s'adjoindre un journal, par exemple Le Courrier de Saint-Quentin, pour diffuser leurs idées auprès des travailleurs en distribuant gratuitement le journal dans les auberges et les lieux publics. Godin affirme qu'ils ne pourront obtenir une majorité qu'avec le concours des travailleurs, et leur annonce qu'il se rendra le lendemain avec Véran Sabran pour mettre à exécution ce projet. Il demande quels rapports ses correspondants ont avec monsieur Dufour et s'ils connaissent des personnes pouvant l'aider. Il leur indique qu'il se trouvera au Café français. Godin envoie 8 F pour l'abonnement à La Démocratie pacifique de monsieur Gosse de Petit-Fayt.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Amédée Guillon, 26 juin 1854
À propos d'un colis de livres d'un montant de 12 F envoyé à Godin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lucq, 2 février 1849
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin explique à Lucq que ses bateliers n'étaient pas arrivés à Hourpes avant son départ des hauts-fourneaux où il s'est rendu pour faire le choix de la fonte et que le facteur de Lucq, Wautier, est remonté vers Thuin mais ne les a pas trouvés. Il demande à Lucq d'éviter tout retard et de l'informer s'il peut profiter d'une voiture qui transporte des farines à Maubeuge pour la charger de fonte au retour.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur E. Allez, 18 juillet 1849
Godin envoie à Allez la facture des marchandises qu'il a expédiées ou qui sont exposées au Palais de l'Industrie s'élevant à 1 378,17 F. Il annonce qu'il fait envoyer le jour même de Saint-Quentin un paquet de 500 prospectus. Le post-scriptum est relatif à une pièce de cuisinière à remplacer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-Nicolas Moret, 18 septembre 1843
Proposition faite par Godin à son cousin d'être dépositaire des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 6 septembre [1845]
Godin a oublié de renouveler ses abonnements à La Démocratie pacifique et à La Phalange pendant son séjour à Paris ; il adresse 35 F à son correspondant pour ce renouvellement. Il rend compte de ses visites à des sympathisants fouriéristes à Rouen et à Amiens : monsieur Lemaître était absent ; monsieur Spineux craint d'être compromis par le nom de phalanstérien, mais Godin pense l'avoir convaincu d'étudier le théorie de Charles Fourier. Il annonce qu'il doit se rendre à Landrecies, au Quesnoy, à Valenciennes, à Mons, à Charleroi, à Maubeuge, à Avesnes, à Marle, à Laon, à La Fère, à Reims, à Montcornet et à Vervins, et demande à Cantagrel s'il connaît des personnes à visiter dans ces villes.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Direz-Pierret, 19 septembre [1845]
Sur le transport de poêles à Senlis et sur un accord pour le transport des marchandises de la manufacture Godin-Lemaire à Paris et dans différentes villes de la région : Senlis, Compiègne, Noyon, Ham, Péronne, Albert, Arras.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux régisseurs des hauts-fourneaux du Nord, 27 février [1846]
Approvisionnement en fonte de la manufacture Godin-Lemaire : Godin annonce qu'il ne lui reste de fonte que pour 6 jours de travail et qu'il n'a pas reçu l'avis d'expédition d'un chargement par bateau ; il demande qu'on lui envoie une voiture en urgence : il signale que le batelier s'est à nouveau trompé en déchargeant à Étreux la précédente expédition. Il adresse un paiement de 1622,60 F.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur le directeur général des postes, 15 [avril 1846]
À propos d'un procès-verbal dressé par la gendarmerie de Leschelle (Aisne) à l'encontre du voiturier Chevalier pour avoir transporté un colis postal adressé par Godin vraisemblablement au domicile parisien de Véran Sabran et contenant des cheveux destinés à une magnétiseuse ; Godin demande l'indulgence pour le voiturier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Moricourt-Viéville, 13 juillet [1846]
Godin envoie à son banquet des valeurs pour un montant de 1 707,70 F. Il accuse réception d'effets impayés et demande de remettre en espèces 1 000 F à monsieur Alexandre.

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Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Dolot
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 7 août 1858
Godin envoie à Brullé la somme de 5 000 F à débiter du compte de l'usine de Belgique. Il lui annonce qu'il va se rendre à Bruxelles mais qu'il est encore occupé par les constructions à Guise. Il indique qu'il est heureux que l'accident survenu à Forest n'ait pas causé de victimes ni de dégâts aux marchandises.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 7 février 1863
Sur la comptabilité de l'usine de Laeken.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 22 novembre 1894
Donne des nouvelles de son séjour à Nîmes. Jeanne Dallet peint des chrysanthèmes. Sur le mauvais temps à Paris et les rhumatismes de Pascaly. Sur la réception d'une lettre « de cet animal de Marcel Laporte » envoyée d'Alger à Lesquielles-Saint-Germain : « ce malheureux détraqué » y profère des injures à l'encontre de Marie Moret ; Marie Moret compte sur l'intelligence d'Élise Pré pour ne pas lui dire où elle se trouve. Joint un télégramme à cette lettre pour que Flore Moret la prévienne si Laporte arrive à Guise. Précise qu'elle préviendra la police en cas de besoin. Joint à sa lettre une lettre d'Émilie Dallet qui lui est adressée.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Flore Moret, 25 décembre 1894
Sur le chantage exercé par Laporte et son équilibre psychologique : « Quelle folie ! ». Sur l'arrivée dans la période des encombrements postaux et de ses désagréments. Sur le mauvais temps à Guise et à Paris et la santé de Pascaly et de son garçon, malade d'influenza.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Dossogne,26 décembre 1894
Remercie Marie Dossogne de ses bons souhaits. S'inquiète de l'accentuation du froid à Paris et lui envoie une paire de guêtres en paquet avec cette lettre. Joint une petite somme d'argent pour les fêtes de fin d'année.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Beaugeois, 12 janvier 1861
Godin donne suite à l'offre de concours de Beaugeois concernant C. Delachevardière, son ancien employé et candidat à un emploi dans les Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Il l'informe que ce dernier habite au 12 rue de la Révolte à Neuilly-sur-Seine et qu'il est chef de comptabilité dans la maison d'un facteur commissionnaire aux halles et marchés d'approvisionnement de Paris. Il fait part à Beaugeois que Delachevardière lui est présenté comme fort capable en comptabilité, mais qu'une certaine obscurité subsiste sur son passé, son caractère et sa manière d'être. Dans le post-scriptum, Godin ajoute que Delachevardière lui a écrit qu'il aurait travaillé 4 ans dans sa maison de commerce.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 7 septembre 1863
Godin écrit à Cantagrel qu'en revenant de Bruxelles avec madame Cantagrel, il pourrait venir le voir à Guise. Il lui explique qu'en le voyant occupé aux affaires, il a pensé qu'il pourrait être son nouveau représentant à Paris. Il lui explique que le travail consiste à rendre visite de temps à autre aux commerçants et qu'on peut gagner jusqu'à 1 400 F, voire davantage s'il parvient faire des affaires avec les architectes. Godin pense aussi que voir le Familistère est un autre motif pour venir à Guise : « Si jusqu'ici je marche seul, c'est pour que l'unité d'action ne me fasse pas défaut, mais à un certain moment, cela devra cesser, c'est du moins mon espoir. » Il l'informe qu'il prépare un livre « sur lequel je suis privé de toute critique et de tout conseil » et il voudrait avoir un ami avec lui quelques jours pour lui en parler. Il lui signale que le dimanche suivant sera un jour de fête au Familistère à l'occasion des quelques jours de vacances donnés aux enfants.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Oudin-Leclère, 4 mars 1864
Jean-Baptiste André Godin cite une lettre que lui a écrite Jules Favre, qui demande à Oudin-Leclère à sommer Esther Lemaire de communiquer les pièces dont elle entend se servir dans le procès, faute de quoi elles seront rejetées, et de s'entendre avec lui pour fixer le jour de l'audience. Godin invite son avoué à satisfaire les demandes de Jules Favre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jules Favre, 9 avril 1864
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Godin propose à Favre de venir à l'audience du 15 avril 1864 du tribunal de Vervins en partant le 13 avril de Paris en soirée et en passant par Guise comme l'a suggéré Versigny, ou bien le 14 avril au matin. Il lui rappelle qu'Oudin-Leclère l'a invité à descendre chez lui. Il explique à Favre qu'il a cherché depuis sa dernière lettre des explications aux questions posées à Laeken aux anciens domestiques de la maison et qu'il a pensé qu'elles avaient pour objet de leur faire déclarer que Marie Moret avait été enceinte et avait avorté. Godin précise qu'Esther Lemaire était parfaitement au courant de la maladie contractée par Marie Moret à Laeken puisque Godin lui donnait des nouvelles de sa santé et que c'est elle qui tenait informée la famille Moret. Godin ajoute qu'il ne savait pas que le bruit courait à Guise que Marie Moret était enceinte.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Dureteste, 9 décembre 1864
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Sur la demande de Godin de nullité de la certificat d'addition de Corneau frères. Godin demande à Dureteste si sa présence à Charleville est indispensable à la première audience. Godin indique que sa présence pourrait être utile pour montrer que leur calorifère est la copie de calorifères se trouvant dans le domaine public et que leur certificat d'addition n'apporte aucune amélioration à ceux-ci, bien au contraire. Sur la possible nomination d'experts dans l'affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 17 mars 1865
Sur la séparation des époux Godin-Lemaire. Jean-Baptiste André Godin annonce à Delpech qu'il refuse de prendre le parti du renvoi de la famille Moret, qui serait à ses yeux un manque de dignité : « Je n'ai défendu cette famille contre la calomnie que par respect pour son honneur. Je ne peux au dernier moment la sacrifier sans bassesse. » Il joint à son courrier la copie d'une lettre au président du tribunal. Il espère que Jules Favre enverra à Delpech une lettre de Vilcocq, ancien sous-préfet de Vervins, qui connaît l'antipathie de Besson pour Godin ; il lui signale que Chamblin donnerait des renseignements favorables sur Godin si la cour lui en demandait.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Pailhoux, 13 avril 1865
Jean-Baptiste André Godin répond à un courrier de Pailhoux, en lui expliquant que le Familistère a été édifié pour acquitter une dette à l'égard des ouvriers de l'usine de Guise, mais qu'il n'est pas exclu qu'il puisse accueillir des personnes locataires étrangères aux services de l'usine ou du Familistère. Godin prévient Pailhoux que le Palais du travail n'est pas un séjour paisible pour rentiers : il abrite « une population virile, active, jeune et travailleuse » et une enfance nombreuse ; en outre, le Familistère n'est pas près de Paris.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Éléonore Joséphine Rouchy, 16 avril 1888
Moret autorise, en tant qu'administratrice gérante de la Société du Familistère, légataire à titre universel de Jean-Baptiste André Godin, la veuve d'Émile Godin à toucher la somme de 111 188,75 F, reliquat du compte de Jean-Baptiste André Godin dans la Société du Familistère. Cette somme pourra être reconsidérée lors du partage définitif.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 11 décembre 1886
Augusta Cooper Bristol ayant interrogé Marie Moret sur la pensée de Godin concernant les rapports entre l'intempérance et les intérêts du capital et du travail, elle la renvoie vers les pages 319 à 321 de Solutions Sociales. Marie Moret l'informe que c'est Alexandre Tisserant qui les a aidés à rédiger les statuts de la Société du Familistère. Elle donne des nouvelles de plusieurs de leurs amis communs : Fabre qui est à Nîmes, Pascaly, qui est à Paris avec femme et enfant, Barbary toujours vif et alerte, Marie Howland qui se prépare à quitter la Casa Tonti pour Sinaloa.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Bertrand, 4 janvier 1866
Sur le procès en contrefaçon opposant Corneau frères à Godin. Godin accuse réception de la lettre de Bertrand du 29 décembre 1865. Godin lui explique qu'il n'a pas renoncé à faire valoir ses droits, mais qu'il a été accaparé par d'autres affaires et s'est contenté de mettre ses pièces à la disposition des experts. Il lui indique que Corneau frères avaient refusé la proposition qu'il leur avait faite de payer tous les frais du procès pour mettre un terme à l'affaire. Il demande à Bertrand ce qu'il convient de faire pour la faire avancer.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Wimy, 9 juillet 1866
Godin demande à Wimy d'acheter pour son compte 10 000 F de rente italienne 3% et l'avertit qu'il écrit en ce sens à Béchet et Dethomas. Godin évoque des placements qu'il avait voulu faire avant le « dénouement des événements de la guerre ». Il demande des renseignements sur des valeurs boursières.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 11 juillet 1866
Godin félicite Cantagrel d'avoir eu l'idée d'organiser une nouvelle visite au Familistère avec des amis. Il lui demande de le prévenir à l'avance. Sur le chiffre d'affaires [des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire sur la place de Paris ?]
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