FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin informe Turquet qu'il a écrit au ministre des Travaux publics, au président de la commission des chemins de fer [de la Chambre des députés], au rapporteur de la commission et à Crozet-Fourneyron. Il fait un résumé de cette correspondance qui soutient le contre-projet de la ligne de chemin de fer de Guise à Wassigny et son passage à Guise contre le projet de l'administration des ponts et chaussées.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin exprime son inquiétude à Turquet : le tracé du contre-projet par Hannapes aurait été condamné par le ministre de la Guerre à la suite d'une visite d'une commission d'officiers du génie qui aurait confirmé les dires de Menche de Loisne sur la mauvaise nature des terrains. Godin demande à Turquet si cette rumeur est fondée.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 26 mai 1872
Godin demande à son fils Émile de réunir la commission des délégués aux réclamations à propos d'un abus d'autorité commis par Mathieux sur Druard. Il indique que Druard doit être maintenu et qu'Émile peut informer Denisart de la décision. Sur l'affaire de Rémoulu blessé par Carlier père et les amendes infligées aux ouvriers par les employés et décidées par la commission administrative ou la caisse de secours. Sur des augmentations de salaire à attribuer aux ouvriers Point, Notret, Mismaque fils, Dirson, Duval, Jas[??], Conte-Cronier, Cronier, Serrat ; Godin préconise d'organiser des élections et un concours pour évaluer les augmentations de salaires à accorder aux employés inférieurs. Dans le post-scriptum, il signale à son fils qu'il joint à sa lettre une adresse à la commission administrative à remettre au président de celle-ci pour qu'il en fasse lecture à l'occasion de la prochaine réunion.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Dequenne, 22 mai 1874
Sur des secours à accorder par le comité présidé par Dequenne aux ouvriers de Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin confie à Ganault que la suite administrative donnée à l'enquête sur le chemin de fer du Cateau à Laon le préoccupe et qu'il craint que le préfet veuille escamoter l'affaire en la présentant en avril au conseil général « avec tout l'art jésuitique possible ». Il affirme qu'il faut aller voir le ministre pour parer les manœuvres du préfet et des bonapartistes. Sur un tracé de la voie de Tupigny aux Coutures par Lesquielles. Godin demande à Ganault d'acquérir pour lui deux volumes des sessions du conseil général d'avril et août 1872 qu'il a égarés.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin accuse réception des 3 lettres de Gaston Ganault et le remercie pour son article du journal Le Glaneur. Il fait toutefois observer qu'Hourdequin n'a pas envoyé des exemplaires de celui-ci à tous les conseillers municipaux. Il l'informe que le conseil municipal de Guise a voté la résolution qu'il lui a présentée, que la commune de Lesquielles a délibéré en refusant le tracé de l'ingénieur et les 2 000 F demandés et a voté une subvention de 20 000 F en faveur du tracé de 1873, et que les autres communes s'apprêtent à délibérer dans le même sens. Il lui envoie une carte et un plan et lui indique qu'il fait étudier comparativement par un ingénieur, élève de l'École centrale et auparavant attaché aux études de la compagnie du Nord, les travaux d'art du tracé de l'ingénieur et ceux de la ligne du Cateau à Saint-Erme. Godin s'en remet à Ganault pour ce qu'il y a à écrire dans Le Courrier.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur l'implantation de la gare de chemin de fer de Guise. Godin demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 13 mars 1880. Il voudrait obtenir des nouvelles du rapport de la commission d'enquête, que Ganault avait promis d'aller consulter à Paris. Il l'informe qu'il achève une étude complète du tracé de Wassigny à Guise par Hannapes, Lesquielles et Les Coutures.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le tracé de la ligne de chemin de fer de Valenciennes à Laon. Godin est inquiet à propos d'un avis du génie militaire défavorable au tracé du contre-projet en raison du mauvais état supposé des terrains près de Wassigny. Il lui annonce qu'il va écrire à Turquet à ce sujet et lui suggère de se rendre à Paris avec lui.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique et à l'École sociétaire, 20 septembre 1849
Godin accuse réception du numéro 11 du Bulletin phalanstérien contenant un appel de Victor Considerant ; il promet de verser 1 000 F au bénéfice des sociétés créées en 1840 et 1843 [pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique], comprenant les 500 F prêtés en 1848 à La Démocratie pacifique ; il envoie 100 F à titre d'avance. Godin explique qu'il croit à un découragement général parmi les phalanstériens. Il constate que les circulaires et les appels du Bulletin sont devenus une habitude et n'éveillent plus l'attention des destinataires. Il livre un conseil aux dirigeants de l'École pour exciter l'intérêt des phalanstériens et les presser à la générosité envers l'École : « Élevez les cœurs au diapason de l'unitéisme. Pour cela, faites lithographier immédiatement une nouvelle circulaire dans laquelle vous ferez ressortir les chances probables de l'appel européen, les avantages qui en résulteront, l'espoir d'une réalisation prochaine dont dépendent notre salut et le salut de l'humanité. Demandez formellement l'accusé de réception de l'appel de Considérant (sic) et la détermination de chacun. » Godin joint à sa lettre une note relative à son compte de librairie et aux abonnements, par laquelle il renouvelle son abonnement à La Démocratie pacifique et à La Phalange et celui de Poupart de Lesquielles-Saint-Germain à La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Louis Graux, 22 avril 1874
Godin demande à son collègue Louis Graux de lui adresser le rapport intitulé « Enquête sur les stations de Lesquielles-Saint-Germain et Guise » qui a été distribué lors de la dernière session du conseil général de l'Aisne.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Godin veut dissiper un malentendu sur le tracé du chemin de fer du Cateau à Guise avec le directeur de la Construction des chemins de fer à la suite de la conversation qu'il a eue avec lui la veille. Il fait valoir que le meilleur tracé du tronçon de la ligne de Valenciennes à Laon concédé à la Compagnie de Lille à Valenciennes évite la traversée du centre de Guise, permet aux Fonderies et manufactures du Familistère d'avoir accès à la gare située sur le plateau dit des Coutures et présente l'avantage de desservir Hannappes, Tupigny, Vénérolles, Iron, Étreux, Lesquielles.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérants de La Démocratie pacifique, 16 novembre 1848
Godin souscrit un abonnement à La Démocratie pacifique au bénéfice de monsieur Poupart à Saint-Germain près de Guise et commande plusieurs ouvrages à lui expédier par l'entremise de Véran Sabran. Godin remet un mandat de 40 F et demande qu'on n'oublie pas ses droits à la remise [sur les ouvrages de la Librairie sociétaire].

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au ministre de l'Instruction publique, 15 avril 1876
Godin informe le ministre qu'on lui a appris qu'on renvoyait des élèves de l'école de Lesquielles-Saint-Germain et qu'on lui a communiqué une lettre de l'inspecteur d'Académie à l'instituteur de l'école qui ordonne à ce dernier de renvoyer les enfants les plus jeunes au-delà du nombre de 45 élèves et lui signale que la municipalité recherche un local pouvant accueillir l'excédent d'élèves (lettre copiée sur le folio 374v). Godin informe le ministre qu'un local avait été refusé à la commune. Il estime que le moyen employé pour forcer la commune à aménager une école a pour conséquence de laisser vagabonder dans les rues les élèves refusés. Il lui demande d'intervenir.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur le service médical des ouvriers de Lesquielles-Saint-Germain des Fonderies et manufactures du Familistère. Le docteur correspondant de Godin soulève le problème des ouvriers malades de Lesquielles-Saint-Germain qui se font soigner à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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La préfecture de l'Aisne aurait égaré le dossier envoyé par Godin pour signaler les actes de dévouement d'Ermantine Ollivier de Saint-Germain près de Guise : Godin demande au préfet d'accorder son attention à cette affaire.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
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Sur la délégation cantonale : Godin conteste les griefs de négligence de la part de membres de la délégation cantonale à son encontre ; chacun d'eux sait parfaitement, selon lui les communes qui lui sont assignées ; il communique au sous-préfet la liste des délégués et des communes auxquelles ils sont assignés (copiée folio 384v).

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin transmet deux communications, deux coupons de sa souche [de cotisations à la rente de l'École sociétaire] et la somme de 64 F. Il demande le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifiquede monsieur Poupart à Lesquielles et l'envoi par l'intermédiaire de Véran Sabran d'une vue du phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 10 février 1849
Godin transmet deux communications, deux coupons de sa souche [de cotisations à la rente de l'École sociétaire] et la somme de 64 F. Il demande le renouvellement de l'abonnement à La Démocratie pacifiquede monsieur Poupart à Lesquielles et l'envoi par l'intermédiaire de Véran Sabran d'une vue du phalanstère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie pacifique, 18 mai 1849
Godin renouvelle un abonnement à La Démocratie pacifique au nom de Poupart à Lesquielles-Saint-Germain et souscrit un abonnement au numéro de huitaine du journal au nom de Romarisse, ouvrier fondeur à Guise, dont le prix est à porter sur son compte de librairie.

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Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux gérants de La Démocratie Pacifique et à l'École sociétaire, 20 [septembre 1849]
Godin accuse réception du numéro 11 du Bulletin phalanstérien contenant un appel de Victor Considerant ; il promet de verser 1 000 F au bénéfice des sociétés créées en 1840 et 1843 [pour la propagation et la réalisation de la théorie de Fourier et la publication de la Démocratie pacifique], comprenant les 500 F prêtés en 1848 à La Démocratie pacifique ; il envoie 100 F à titre d'avance. Godin explique qu'il croit à un découragement général parmi les phalanstériens. Il constate que les circulaires et les appels du Bulletin sont devenus une habitude et n'éveillent plus l'attention des destinataires. Il livre un conseil aux dirigeants de l'École pour exciter l'intérêt des phalanstériens et les presser à la générosité envers l'École : « Élevez les cœurs au diapason de l'unitéisme. Pour cela, faites lithographier immédiatement une nouvelle circulaire dans laquelle vous ferez ressortir les chances probables de l'appel européen, les avantages qui en résulteront, l'espoir d'une réalisation prochaine dont dépendent notre salut et le salut de l'humanité. Demandez formellement l'accusé de réception de l'appel de Considérant (sic) et la détermination de chacun. » Godin joint à sa lettre une note relative à son compte de librairie et aux abonnements, par laquelle il renouvelle son abonnement à La Démocratie pacifique et à La Phalange et celui de Poupart de Lesquielles-Saint-Germain à La Démocratie pacifique.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à monsieur C. Lefèvre, 20 décembre 1894
Informe avoir examiné la question de Lefèvre mais n'a pas encore décidé de vendre la maison de Lesquielles-Saint-Germain.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Adèle Augustine Brullé, 23 mai 1893
Remercie sa correspondante de sa lettre du 28 avril 1893 et espère qu'elle et sa soeur se sont remises de la grippe. Sur son séjour à Nîmes et son intention d'y rester jusqu'à fin juin avant de recevoir la démission des gardiens de sa maison de Lesquielles, l'obligeant à revenir à Guise. Fait part de sa décision d'avoir un logement au Familistère et un autre dans le midi pour l'hiver : elle a fait déménager les meubles de Lesquielles pour Nîmes. Marche normale du Familistère. Le fils de François Dequenne devient directeur de Laeken.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 4 septembre 1892
Revient au Familistère pour la Fête de l'Enfance mais a laissé à Lesquielles la lettre d'Antoniadès. Au sujet du voyage de Marie prévu à Paris puis finalement annulé car visiteurs et visiteuses ont afflué au Familistère. Marie heureuse du voyage d'Antoniadès et lui souhaitant le meilleur dans ses résultats aux examens. Envoi du nouveau numéro du journal Le Devoir.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 8 avril 1892
Au sujet des vacances d'été approchantes et des projets de Marie Moret comme sa réinstallation à Lesquielles-Saint-Germain. Invitation à venir au Familistère si Antoniadès le souhaite, éventuellement accompagné de Gaston Piou de Saint-Gilles, s'ils peuvent partager la chambre disponible. La même invitation sera faite à Gaston.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 8 juin 1892
Marie Moret est ravie du prochain déménagement d'Antoniadès avec un ami. Émilie Dallet revenue en bonne santé de Paris. Remerciements pour les informations pour Ladislas Sekutowicz. Demande des nouvelles de Gaston et de Paul Piou de Saint-Gilles. Souhaite être au courant des résultats de leurs examens qu'elle souhaite favorables.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 8 octobre 1891
Souvenir d'une promenade faite avec Antoniadès pendant son séjour à Lesquielles ; sur Gaston Piou de Saint-Gilles, son entrée à l'École centrale des arts et manufactures et son retour imminent à Paris ; envoi d'un numéro du Progrès médical destiné à un ami docteur d'Antoniadès.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 13 juin 1891
Réponse à une lettre d'Antoniadès en date du 2 juin 1891. Sur les études d'Antoniadès et la période des examens ; sur Gaston et Paul Piou de Saint-Gilles ; à propos d'un livre de Deluc ; sur les réflexions d'Antoniadès sur Jean-Baptiste André Godin ; sur l'organisation de la vie de la famille Moret-Dallet entre le Familistère et Lesquielles-Saint-Germain.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 18 septembre 1897
Réponse à la lettre d'Antoniadès du 3 et 15 août 1897 dans laquelle Antoniadès donne des nouvelles de lui « au milieu des terribles événements dont [son] pays a été le théâtre. » Rappelle à Antoniadès ses envois de Nîmes de février 1897 et lui demande si le journal Le Devoir lui est parvenu, un numéro lui étant revenu. Elle ne peut indiquer à Antoniadès s'il existe à Nîmes un lycée admettant des étrangers, comme le fait celui de Marseille. Réflexions d'Antoniadès sur le journal Le Temps, que Marie Moret lit chaque jour. Question d'Antoniadès sur la bonté et réflexions de Marie Moret à ce propos : « Celui qui la possède est rattaché par elle au principe même de la vie ». Le souvenir d'Antoniadès souvent évoqué au Familistère ou pendant les promenades à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la fête de l'Enfance des 5 et 6 septembre 1897, dont Marie-Jeanne Dallet a été la directrice : la matinée théâtrale montrait une masse de costumes allégoriques. Sur les écoles du Familistère, dont s'occupe toujours Émilie Dallet. Sur l'Association du Familistère : Louis-Victor Colin, homme de grande capacité industrielle, a remplacé François Dequenne à la tête de la société. Jules Pascaly s'occupe toujours du Devoir ; il a vu récemment Gaston Piou de Saint-Gilles revenant d'Allemagne et cherchant une place à Paris ; Marie Moret n'a pas de nouvelles de lui ni de sa famille.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 juillet 1891
Sur une maladie d'Antoniadès. Sur le second volume d'un livre de Deluc. Invitation à séjourner à Lesquielles avec détails sur le voyage en chemin de fer depuis Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, 25 mai 1892
Venant d'arriver à Lesquielles-Saint-Germain, elle n'a pas eu le temps de prendre des nouvelles de sa maladie. Remerciements de M. Sekutowicz et d'elle-même en ce qui concerne les informations demandées pour Ladislas Sekutowicz. Au sujet du voyage d'Émilie Dallet à Paris à cause du décès d'un membre de leur famille. Marie-Jeanne et Marie Moret s'occupent par le travail, notamment avec l'édition du journal Le Devoir.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, du 10 au 30 septembre 1891
Sur Swedenborg. Départ d'Antoniadès pour Saint-Gilles-Croix-de-Vie le 11 septembre 1891. Sur le coucher de soleil à Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Nouvelles de la famille Moret-Dallet : Pascaly venu quelques jours à Lesquielles ; installation au Familistère malgré le beau temps ; promenade de Guise à Lesquielles. Antoniadès de retour à Paris.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Antoniadès, vers le 4 septembre 1891
Souvenir de la visite d'Antoniadès à Lesquielles. Sur la communication spirituelle.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 9 décembre 1887
Marie Moret demande des nouvelles de son correspondant et s'il est délivré de l'affaire de Brouvelieures. Elle lui raconte que les affaires et les visites les ont obligées à quitter Lesquielles depuis longtemps et que le mauvais temps les emprisonne désormais. Elle évoque sa bonne réponse à une question d'intérêts soulevée par Godin. Elle lui indique que le numéro du 2 octobre du Devoir publie le compte-rendu de l'exercice 1886-1887 de l'Association et traite des « petits embarras que des anarchistes cherchaient à créer à l'Association ». Elle lui explique que des « attaques d'une certaine presse », qui durent depuis juin 1887, cherchent à exciter les rivalités, que monsieur Barbary a été évincé de l'Association, mais qu'il réside toujours à Guise, où les bruits courent qu'il serait devenu « le séide d'Émile ». Elle lui annonce que Godin prépare la rédaction de son volume La République du Travail, dont des extraits ont été publiés dans le Devoir depuis le 20 novembre 1887. Elle lui demande des nouvelles de sa famille et ce qu'il pense de l'avenir du pays. Elle lui transmet les amitiés de Godin (« André ») et d'Émilie Dallet ainsi que le souvenir de Marie-Jeanne Dallet, et elle présente ses respects à madame Tisserant et à Marguerite Tisserant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 avril 1885
Marie Moret évoque le séjour récent de Tisserant au Familistère. À propos de la propriété achetée par Marie Moret, celle-ci souhaite y élever « un modeste pavillon déjà pompeusement baptisé « Villa André-Marie » ». Elle fait parvenir à Tisserant « tous nos divers documents dont j'ai tiré le duplicata ». Elle mentionne la séance du conseil de gérance de l'Association qui a lieu le jour même.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alfred Bocheux, 12 mai 1893
Marie Moret envoie 200 F, son livre de compte et son carnet de dépenses usuelles pour que monsieur Bocheux puisse y porter les deux fournitures de charbon à Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Ambroise Rétout, 25 juillet 1891
Réponse à la lettre de Rétout en date du 22 juillet 1891 : réception du mandat de 10 F pour réabonnement au journal Le Devoir ; considération sur la dimension intellectuelle et morale de l'union conjugale ; vie à Lesquielles.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Amédée et Flore Moret, 30 octobre 1889
Marie Moret adresse sa lettre à ses « chers frère et sœur », son frère Amédée et sa belle-sœur Flore Moret. Sur l'acquisition d'un poêle pour le logement de Gaston Piou de Saint-Gilles au 72, rue de Seine. Projet de visite de François Dequenne à la clientèle de Paris en compagnie d'Amédée Moret. Nouvelles du Familistère : manœuvres de Pernin, gérant désigné, et André repoussées par le conseil de gérance ; André et Colin en concurrence à la direction des modèles ; incidents en assemblée générale des associés. Départ samedi prochain de Joseph, Isanie et Maria Ducruet, remplacés au Familistère par monsieur et madame Roger, eux-mêmes remplacés à Lesquielles par le garde-champêtre et sa femme ; vente des chevaux. Sur la rente italienne 3 %. Démission de Donneaud devenu veuf, qui part rejoindre ses enfants dans le midi de la France. Copie des lettres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 30 décembre 1892
Confirme sa demande télégraphiée de livraison de charbon à sa maison de Lesquielles-Saint-Germain. Espère que cela ne causera pas de souci à Piponnier, et qu'elle sera prévenue plus en avance la prochaine fois. Demande l'envoi de l'état de son compte au Familistère au 31 décembre 1892 dès que celui-ci sera clôturé. Demande des nouvelles de l'activité industrielle de l'usine. Température douce à Nîmes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 14 mai 1891
Réponse à une lettre d'Auguste Fabre en date du 12 mai 1891, contenant les portraits photographiques de sa fille et de son fils. Réception de livres et du faire-part de mariage de Juliette Cros. Sur l'isolement de la famille Moret-Dallet, « trois pauvres oisillons sans parents ». Émilie Dallet chargée officiellement de la surveillance des écoles du Familistère. Sur la crainte d'une guerre et sur l'édition du journal Le Devoir : « Doyen est rentré depuis longtemps dans les services de l'usine et personne autre que moi ne s'occupe ici de la correction des épreuves et de l'établissement de chaque numéro ». Invitation enthousiaste faite à Fabre de séjourner à Lesquielles-Saint-Germain. Sur la vie à Lesquielles-Saint-Germain. « Madame Dallet vous introduira dans les régions spiritualistes ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 19 mai 1892
Informe que Paulhan n'est pas venu au Familistère de Guise. Au sujet de son voyage au Familistère de Laeken avec Pascaly et de son prochain emménagement à Lesquielles-Saint-Germain. Invite Fabre à l'y rejoindre bien que les distractions y soient peu nombreuses.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 28 mai 1891
Sur les températures hivernales endurées en ce moment à Lesquielles-Saint-Germain ; nouvelle invitation à séjourner à Lesquielles-Saint-Germain. Sur le numéro de mai 1891 du journal Le Devoir. Sur le Nouveau mysticisme de Paulhan : les pionniers de Rochdale pensaient déjà avec Robert Owen que la coopération était un principe de rénovation sociale ; Neale et les socialistes chrétiens ou Godin ont déjà défendu l'idée d'associer coopération et religion. À propos de la lettre de Fabre sur la stylonichie : les principes de la vie universelle et la différence entre les sexes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Croux et fils, 9 mai 1885
Recommandée par Godin, l'entreprise que Marie Moret contacte peut fournir des essences d'arbres qu'elle souhaite utiliser pour faire des clôtures de bonne défense sur des terrains crayeux ou planter pour faire ombrage. L'idée consiste à acheter les essences pour faire pousser les arbres dans le sol tel qu'il est, sans apport de terre nouvelle.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 3 août 1887
Marie Moret annonce à Neale que sa lettre du 31 juillet leur est parvenue le 2 août dans leur cottage de Lesquielles, qu'il avait eu l'occasion de voir. Elle le remercie pour son invitation à séjourner dans son abbaye [Bisham Abbey]. Elle lui indique qu'elle lit le livre Hyms of experience and hope qu'il lui avait donné en janvier 1896 et qu'elle juge précieux. Elle l'informe que Godin a pensé que Neale aurait pu s'éviter la peine de lui envoyer un chèque car il devra faire passer la même somme en Angleterre pour prendre le brevet dont il a été question avec Johnston. Elle lui signale qu'une lettre de Johnston du 20 juillet les avait informé de leur bon voyage de retour. Elle demande à Neale de transmettre ses compliments à Thomson et à Johnston.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 14 décembre 1894
Demande de transmettre ses meilleures pensées à Devillers père et Mme Piponnier. L'informe qu'il n'y a pas de neige à Nîmes mais plutôt dans les environs. Sur les neiges éternelles en Suisse. Demande à Élise Pré de lui envoyer sa feuille de dépenses dans sa prochaine lettre. Si Élise croise Venet, qu'elle lui demande des nouvelles de la maison de Lesquielles et notamment du marronnier. Marie Moret et toute sa société de Nîmes envoient à Élise et son mari leurs meilleurs compliments.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 25 décembre 1894
Souhaite un prompt rétablissement à Jules Pré, malade. Adresse ses vœux de fin d'année, et ceux de la famille et des amis de Nîmes ; transmet les affectueux sentiments de Sophie Quet ; joint à sa lettre un billet de 100 F et la feuille de dépenses d'Élise ; remercie Élise pour les cartes remises à Flore Moret et les informations sur le marronnier de Lesquielles et la fenêtre du 3ème. En post-scriptum, demande à Élise de régler Hanquet et l'informe que Doyen se charge des étrennes du facteur.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Élise Pré, 25 février 1894
Informations communiquées par Élise sur la maison de Lesquielles. Sur le livre des dépenses d'Élise. Envoi d'un mandat de 50 F couvrant les 35 F des appointements d'Élise pour février 1894. Santé de Jules Pré. Sur l'encre utilisée par Élise pour écrire ses lettres : elle a utilisé de l'encre communicative appropriée aux lettres dont on fait copie, mais ne convenant pas aux autres lettres car elle tache. Compliments d'Auguste Fabre et de Sophie Quet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Venet-Baudeville, 1er octobre 1896
Marie s'apprêtant à retourner à Nîmes, demande à Venet de lui apporter sa facture pour le soin de la maison et du jardin de Lesquielles.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Venet-Baudeville, 3 mars 1897
Demande à Émile Venet-Baudeville d'effectuer des travaux d'entretien du jardin de la maison de Lesquielles-Saint-Germain : élaguer la haie le long du sentier à la demande du maire ; tailler les vignes ; arracher l'herbe des allées : « Mais laisser l'herbe dans la cour devant la maison sur la route, afin qu'on voie que ce n'est pas une maison habitée et que les militaires ne feront pas à nouveau la grille. » ; enlever les herbes coupées comme le faisait le père d'Émile Venet-Baudeville. Indique à Émile Venet-Baudeville que son père donnait une gratification de 5 F au garde-champêtre pour surveiller la propriété. Ne faire que les travaux d'entretien de la maison indispensables, « cette petite propriété ne pouvant plus servir d'habitation, vu que les briques blanches entretiennent dans les murs une humidité qui pourrit tout ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Émile Venet-Baudeville, 5 juillet 1897
Marie Moret demande à Émile Venet-Baudeville d'aller le voir le 7 juillet 1897, s'il fait beau, à Lesquielles-Saint-Germain pour s'entendre avec lui sur des travaux à faire dans sa maison ; elle veut profiter de la présence d'un de ses amis [Auguste Fabre] pour prendre les décisions à ce sujet.
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