FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Amédée et Flore Moret, 30 octobre 1889
Marie Moret adresse sa lettre à ses « chers frère et sœur », son frère Amédée et sa belle-sœur Flore Moret. Sur l'acquisition d'un poêle pour le logement de Gaston Piou de Saint-Gilles au 72, rue de Seine. Projet de visite de François Dequenne à la clientèle de Paris en compagnie d'Amédée Moret. Nouvelles du Familistère : manœuvres de Pernin, gérant désigné, et André repoussées par le conseil de gérance ; André et Colin en concurrence à la direction des modèles ; incidents en assemblée générale des associés. Départ samedi prochain de Joseph, Isanie et Maria Ducruet, remplacés au Familistère par monsieur et madame Roger, eux-mêmes remplacés à Lesquielles par le garde-champêtre et sa femme ; vente des chevaux. Sur la rente italienne 3 %. Démission de Donneaud devenu veuf, qui part rejoindre ses enfants dans le midi de la France. Copie des lettres.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Jean-Baptiste André Godin, 15 mai 1876
Propositions pour une prière que Godin est en train de rédiger. Marie Moret lui donne des nouvelles diverses.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 5 janvier 1881
Moret répond à la place de Godin, qui est trop occupé pour lui formuler une réponse lui-même. Ainsi, Moret évoque les suites judiciaires de « l'affaire d'Émile » et annonce qu'il a envoyé des pièces du dossier à monsieur Falaize pour connaître l'étendue de la décision prise par le juge taxateur. Dans cette affaire, les juges arbitres étaient messieurs André et Godet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Emmanuel Épaulard, 9 août 1882
Moret répond à Épaulard à la place de Godin au sujet de son compte d'épargne dans l'Association du Familistère. Elle confirme les courriers de Godin du 25 janvier 1881 et de février 1881, et cite ce dernier. Elle évoque plusieurs personnes connues de son correspondant qui sont soit restées au Familistère, soit ont quitté Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 2 mars 1866
Godin communique à Émile une lettre de A. Mineur, Demoustier et Cie. Il demande à Émile de choisir avec attention la fonte s'il va au haut-fourneau, car le matériau conditionne la fabrication : « Une mauvaise fabrication serait la ruine de notre industrie. Une bonne fabrication de bons produits empêcherait les autres maisons de jamais rivaliser avec nous. » Il adresse ses compliments à messieurs Denisart et André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Émile Godin, 16 juillet 1869
Approvisionnement en fonte des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Godin remarque que les lettres envoyées d'Angleterre par Émile arrivent à Guise avec retard. Il se réjouit qu'Émile parvienne à acheter de la fonte. Il souhaite qu'il trouve à en acheter de bonne qualité dans le Cumberland car cette fonte est indispensable pour donner de la résistance à celle de Middlesbrough. Sur des mélanges de fonte de qualité inférieure ordonnés par Émile avant son départ : Godin lui indique que la fonte de Cleveland est elle-même mélangée, mais qu'il arrive parfois des lingots très serrés qui font des pièces dures ; il signale qu'il a fait arrêter la fonte de Pinart et d'autres fournisseurs mais que les éprouvettes sont encore dures, et qu'il y a plus de casse dans les pièces qu'auparavant. Il informe Émile que la Compagnie du Nord ne demande pas moins de 8,30 F pour transporter une tonne de fonte de Calais à Bohain, que monsieur Pauwels a un pouvoir pour 500 tonnes et que Gillian Schmit a envoyé 200 tonnes. Godin fait observer à Émile qu'il pensait qu'Émile avait demandé à Trystram et Crujeot de faire entrer de la fonte [en France]. Il l'avertit qu'il part le dimanche suivant à Metz et qu'Eugène André est à Guise. Il lui fait part de son espoir que l'émaillage va s'améliorer et lui annonce qu'ils ont trouvé le moyen de supprimer le plomb. Il transmet ses amitiés à monsieur et madame Pagliardini.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 19 juillet 1859
Dolot confirme à Godin sa lettre de la veille contenant quatre effets sur Paris d'un montant de 2 000 F pour les besoins de l'usine de Belgique. Il avertit Godin qu'une construction entreprise par Medaets est arrêtée au niveau du 1er étage car ni Émile Godin ni monsieur André n'ont pu lui indiquer les bois destinés aux poutrelles. Dolot conseille à Godin de faire transporter par chemin de fer les bois que doit fournir Trystram et Crujeot en raison du prochain chômage de la navigation. Il explique à Godin que plusieurs ouvriers belges de l'usine de Guise ayant été débauchés par R. Bes sans que leur livret soit en règle, Émile Godin voulait que Dolot écrive une lettre de rappel à ce dernier ; Dolot demande l'assentiment de Godin avant d'écrire la lettre. Dolot avertit Godin que son fils Émile veut obliger des ouvriers de l'usine à travailler aux constructions ; Dolot pense que ce serait une cause de désorganisation des ateliers. Il demande enfin à Godin s'il doit attendre son retour pour déclarer les briques et la chaux. Dans le post-scriptum, Dolot indique à Godin que Pinart a annoncé qu'ils reprendront leurs expéditions après le chômage de la navigation, mais ne comptent pas faire de rabais.

Auteur : Dolot
Monsieur Dolot à Jean-Baptiste André Godin, 2 novembre 1859
Dolot informe Godin qu'il a remis à monsieur André la lettre qu'il a reçue de lui le matin même, et qu'André a fait à Ménard les recommandations pour qu'une charpente soit établie comme il le désire. Dolot communique à Godin des renseignements sur la marche de la nouvelle fonderie ; il fait des observations sur la montée en pression de la vapeur. Dolot signale à Godin que les commandes de marchandises arrivent en foule et qu'il est difficile d'y répondre étant donné le manque de voituriers.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 5 juillet 1862
Godin annonce à Brullé que monsieur André va lui succéder à la direction de l'usine de Laeken, où il va se rendre en compagnie d'A. Vigerie. Godin demande à Brullé des renseignements d'ordre domestique pour faciliter la vie à Laeken de monsieur André qui viendra sans sa femme dans un premier temps et occupera les appartements de Godin en attendant que Brullé libère le rez-de-chaussée. Godin ne souhaite pas causer de dérangement au couple Brullé.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 19 août 1862
Godin avertit qu'André et Vigerie arriveront le jeudi 20 août par le train de 3 heures 15 ; il lui demande d'envoyer la voiture pour les prendre à la gare.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 24 août 1862
Sur la nouvelle organisation de l'usine de Laeken. Godin explique à Vigerie que ce n'est pas à Brullé, qui va partir, de prendre des mesures nouvelles. Il indique que Brullé va s'occuper des ventes tandis qu'André ordonnera toutes les dépenses, et qu'il prie André de l'informer des deux procès en cours à Bruxelles. Il demande à Vigerie s'il reste assez de sable de moulage à Laeken pour l'hiver, et de lui communiquer un état du personnel de l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Brullé, 24 août 1862
Godin explique à Brullé qu'il veut entièrement réformer les moyens d'administration de l'usine de Laeken et qu'il va confier à André la responsabilité de cette transformation. Il demande à Brullé d'établir l'inventaire de l'usine de Laeken pour pouvoir évaluer les effets de la nouvelle direction, et lui indique qu'à partir de l'inventaire, toutes les dépenses seront ordonnées par André. Il précise qu'André sera de fait le seul directeur de l'usine et que Brullé lui apportera son concours en conservant la responsabilité des recettes et des ventes jusqu'à la fin de la convention établie entre eux. Il l'informe que Vigerie ne partira pas de Laeken avant que la situation de l'usine soit arrêtée ; il demande à Brullé de voir Demeure avec Vigerie pour mettre ce dernier au courant des procès. Godin transmet ses salutations à madame Brullé. Dans le post-scriptum rédigé dans la marge de la lettre Godin signale à Brullé qu'il communique une copie de sa lettre à Vigerie.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à A. Vigerie, 29 août 1862
Sur la nouvelle organisation de l'usine de Laeken. Godin demande à Vigerie de faire les modifications nécessaires sur le plan comptable pour pouvoir contrôler les opérations depuis Guise. Vigerie l'a informé que l'usine de Laeken dispose d'un stock de charbon pour deux ans : c'est un exemple de mauvaise gestion qui aurait pu être évité si Godin avait été consulté pour l'approvisionnement. Godin recommande de restreindre la fabrication aux produits les plus vendus en Belgique ; il signale que le prix de la fonte diminue en France et en Belgique. Godin explique à Vigerie qu'André peut transformer ce qu'il juge utile, mais qu'il doit préalablement l'informer. « Il faut enfin quand j'irai à Laeken que je ne vois rien de mes yeux dont je n'ai été instruit à l'avance. » Sur l'augmentation du prix du moulage : Godin recommande une augmentation modérée du salaire des mouleurs car celui-ci n'est pas aussi élevé dans les Flandres qu'en France et qu'il n'est pas besoin actuellement d'attirer des ouvriers. Godin indique que les chaudières devront être émaillées chez Delloye-Masson. Il souhaite qu'André lui adresse un rapport sur l'état de l'usine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 9 septembre 1862
Sur des écritures comptables, un projet de voyage commercial à Amsterdam et le déménagement de la famille d'André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 12 septembre 1862
Sur des écritures comptables. « Lorsque Mr André viendra à Guise, nous causerons d'un moyen qui vous permettrait de vendre tous les produits que je fais ici. »

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 16 septembre 1862
Godin demande à ce que monsieur André transmette ses besoins en boules de cuivres, limes, creusets, mine de plomb, fil de fer, pointes, manches de pelle, brûloirs, chaufferettes, brosses diverses et pinceaux, qui peuvent lui être fournis à bon prix depuis la France, même augmenté des droits de douane. Dans le post-scriptum, il signale qu'il porte au débit de l'usine de Laeken le règlement qu'il vient de faire de 259,07 F à La Louvière.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 1er octobre 1862
Sur des écritures comptables. Godin confirme qu'il a passé commande de 10 tonnes de combustible à La Louvière en deux livraisons de 5 tonnes. Il prescrit d'augmenter les salaires progressivement et isolément (et non en masse). Il souhaite que soient faites des économies d'éclairage, en ne faisant pas travailler davantage que cent heures par quinzaine dans les jours les plus courts. Il informe l'usine de Laeken que les objets demandés par André ont été chargés hier à Bohain. Le texte de la lettre est suivi d'une note sur des écritures comptables.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 23 octobre 1862
Godin informe l'usine de Laeken qu'il lui envoie du vernis noir. Il prescrit de passer une légère couche d'essence sur les produits vernis avec du coton ou de la ouate, pour parer aux nuisances liées au voisinage avec monsieur Cappelmans [Cappellemans] et à la nature du sol. Godin stipule qu'il faut cesser de livrer les clients qui, comme Elewyck, ne paient pas leurs échéances.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 10 janvier 1863
Sur la comptabilité et les prix de revient de produits de l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 4 février 1863
Sur la comptabilité de l'usine de Laeken. Sur le retour d'un mandat impayé par Veuve Canivez de Ath. Sur les ouvriers de l'usine de Laeken, leurs besoins et l'état des stocks dans le magasin de l'usine. Préparation de l'inventaire de l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Joseph Adan, 11 mars 1863
Godin informe Adan qu'il a donné à Alexandre Brullé un reçu pour retirer de la banque la somme de 12 540,45 F. Il l'avertit que Brullé cesse le jour même ses fonctions de directeur de l'usine de Laeken et qu'il est remplacé par Eugène André. Il informe Adan qu'il donne autorisation à André de retirer pour ses besoins personnels 2 000 F en moyenne par mois.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 2 avril 1863
Informations relatives à l'usine de Laeken : tôles commandées à Ackermans ; vernis commandé à Veuve Rodenbach ; modèles d'appareils ; transmet une lettre destinée à Van Gennip ; comptabilité de l'usine de Laeken.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Delloye, Tiberghien et Cie, 14 juillet 1863
Godin autorise monsieur André, directeur de l'usine de Laeken, à retirer sur son compte 2 000 F par mois en moyenne. La copie de la lettre fait mention de la signature de monsieur André.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Rémi Ville, 22 septembre 1863
Godin prévient Rémi Ville qu'il est inutile qu'il aille à Bruxelles pour y attendre monsieur Gérard. Il demande à Rémi Ville de restreindre ses frais au nécessaire, en particulier que ses frais personnels de café ne dépassent pas un gloria [café ou thé à l'eau-de-vie] et deux chopes.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Rémi Ville, 8 novembre 1863
Godin explique à Rémi Ville qu'il lui avait demandé, en se rendant en Belgique, « d'oublier chez vos clients que vous apparteniez à la maison de Guise », ce qu'il n'a pas fait chez Wiesenbach d'Arlon en prenant une commission conditionnelle, qui est refusée. Godin expose les différences entre le tarif de Guise et celui de Laeken et renvoie Ville à monsieur André pour des informations complètes sur les bonifications accordées par Laeken. Il indique qu'il adresse sa lettre à Laeken, ne sachant où se trouve Ville suite à un changement d'itinéraire.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Van Elewyck, 14 novembre 1863
Godin explique à Van Elewyck que le retour de son mandat impayé l'a contraint à prendre à son égard des mesures que monsieur André lui a communiquées. Van Elewyck ne sera livré qu'en payant au comptant ; Godin lui demande de régler les 3 000 F qu'il lui doit.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à C. J. Van Gennip, 17 novembre 1863
Godin autorise monsieur André à donner quittance définitive de sa créance à Van Gennip contre la remise de 685 F.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin aux Fonderies et manufactures Godin-Lemaire, 17 février 1864
Opérations comptables de l'usine de Laeken.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Van Elewyck, 18 mars 1864
Godin demande à Van Elewyck d'acquitter son mandat de 680,98 F à échéance du 31 mars 1864 : il lui propose de verser 300 F à monsieur André avant l'échéance et de payer le reste à la fin du mois d'avril.

Auteurs : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888) ; Vigerie, A.
Jean-Baptiste André Godin à Delloye, Tiberghien et Cie, 12 avril 1864
Godin informe la banque que monsieur André étant absent de Laeken, il émet un mandat à vue de 500 F sur la banque en faveur de madame André.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur A. Vigerie, 10 mars 1864
Sur le tarif de la manufacture. Il est question de l'identification de l'individu suspect venu à Bruxelles enquêter sur la relation entre Marie Moret et Godin : Godin ne croit pas que la personne désignée à Vigerie soit la bonne personne. Godin a appris de Marie Moret que madame Vigerie s'ennuyait beaucoup de l'absence de son mari. Dans le post-scriptum, Godin donne un remède que monsieur André doit appliquer pour soulager ses yeux.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 16 mars 1888
Au sujet de la nécessité de réunir une assemblée générale afin d'inscrire au règlement des modifications déjà mises en pratique, notamment en ce qui concerne les assurances mutuelles. Marie Godin insiste sur le fait qu'il ne s'agit pas de modifications concernant le conseil de gérance de la Société du Familistère. Elle soumet le projet de modification à Ganault. Moret l'informe que Steüer va venir au Familistère au début du mois d'avril pour l'édification du mausolée de Godin et que Tony-Noël lui a déjà proposé quatre projets pour le mausolée de Godin. Dans le post-scriptum il est question d'un litige avec Patoux au sujet de fontes et de l'attente d'un jugement remis sous huitaine.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 30 mars 1888
Relatif aux absences répétées et non annoncées de Bernardot. Demande est faite que les éventuelles absences soient entendues avec M. André.

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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 21 janvier 1888
Marie Moret confirme la lettre d'Émilie envoyée la veille ainsi que son télégramme expédié ce jour. Elle explique à Tisserant qu'elle espérait ne pas avoir à assumer la charge de la gérance de l'Association et qu'elle avait accepté que Godin écrive dans son testament qu'elle aurait à publier ses manuscrits et éditer Le Devoir ; elle ajoute qu'elle doit achever le dernier ouvrage de Godin mais qu'on la presse de prendre la gérance pour éviter « l'inquiétude, l'insécurité, un trouble profond ». Elle exprime son inquiétude et sollicite les conseils de Tisserant. Elle explique qu'elle aurait voulu partir en Suisse ou à Jersey avec Émilie et Jeanne « pendant le retour de la période de 89 à 93 » : « J'ai une épouvante puérile, maladive du retour de ces terribles années. Guerres civiles ; guerres étrangères, bouleversements sociaux surtout, je redoute tout, et nous avons déjà eu les anarchistes ici ! » Elle imagine que Dequenne aurait été nommé administrateur-gérant et Pernin gérant désigné (car monsieur André est simple participant). Elle demande pourquoi il est besoin d'avoir une gérante fictive alors qu'elle voudrait se vouer à la publication des manuscrits inédits de Godin et à la rédaction d'une biographie de celui-ci. Elle affirme qu'à côté de la gérante fictive, André et Dequenne seront les gérants réels, déchargés de la responsabilité illimitée qu'elle devrait assumer. Elle précise que l'assemblée générale qui doit l'élire aura lieu le dimanche 29 janvier. Elle demande à Tisserant de l'éclairer sur sa responsabilité en tant que gérante, en particulier si l'Association devait subir des pertes financières, et exprime sa crainte de devoir être un jour à la charge d'autrui. Dans le post-scriptum, elle transcrit le télégramme qu'elle lui a adressé et l'informe qu'à la demande de Gaston Ganault, Aimé Flamant va organiser la réunion d'inventaire de la succession de Godin le mercredi suivant.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 28 janvier 1888
Marie Moret informe Ganault que le conseil de famille des enfants d'Émile Godin a été constitué et que Patoux, avoué à Saint-Quentin, les représentera à la réunion d'inventaire. Elle lui explique que Tisserant ne sera libre que le 3 février et qu'elle lui demande de lui dire quel sera le jour de son arrivée. Elle précise que si elle est nommée administratrice-gérante, un gérant désigné, probablement Dequenne, sera également nommé, qu'il pourra représenter la Société du Familistère à la réunion d'inventaire et se faire accompagner par monsieur André, le plus au courant des affaires générales de la maison depuis 30 ans. À propos de l'évaluation des meubles meublants et autres objets.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 janvier 1888
Marie Moret, occupée par la prochaine assemblée générale de l'Association du Familistère, remercie brièvement Tisserant pour sa lettre du 25 janvier 1888. Elle lui demande s'il pourra venir à Guise quelques jours à partir du 3 février et que sa visite est attendue par messieurs Ganault et André, et par elle-même, Émilie et Marie-Jeanne Dallet. Elle l'informe que les opérations d'inventaire commenceront le 2 février et qu'elle pourrait retenir Ringuier et Ganault s'il arrivait dès le 3 février pour qu'ils discutent ensemble au cas où des incidents se produisaient au cours de l'inventaire. Elle lui annonce : que le conseil de famille des enfants d'Émile a été constitué et que Patoux, avoué à Saint-Quentin et ancien homme d'affaires d'Émile, a été nommé subrogé tuteur et assistera à l'inventaire ; que Ganault et Ringuier séjourneront à Guise trois jours et qu'ils ne feront venir Falaize qu'en cas d'incident ; que Dequenne, probable futur gérant désigné de la Société du Familistère, représentera celle-ci accompagné de monsieur André, le plus au courant des affaires de l'usine. Sur la modification de la raison sociale de la Société du Familistère : Veuve Godin et Cie au lieu de Godin et Cie.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 17 février 1888
Marie Moret explique à Fabre qu'elle n'a pas répondu à trois lettres d'Édouard de Boyve : celle du 10 janvier 1888 annonçant à Godin qu'il avait rompu ses relations avec Fougerousse ; celle du 16 janvier 1888 présentant ses condoléances à Godin à la suite du décès d'Émile Godin ; celle du 22 janvier 1888 à Marie Moret dans laquelle il évoque son désir de voir le Familistère et rencontrer son fondateur. Marie Moret demande à Fabre d'accompagner de Boyve au Familistère. Elle l'informe qu'elle a écrit à Anseele à son propos et à celui d'Édouard de Boyve et de L'Émancipation. Sur son rôle de gérante de la Société du Familistère : elle lui signale qu'il lira dans Le Devoir qu'elle a délégué une partie de ses pouvoirs de gérante à messieurs André, Dequenne et Pernin ; Fabre et Neale ont les mêmes idées sur son rôle ; sa gérance ne peut être que transitoire ; elle est une gérante fictive ; elle pense que le pacte social et les prescriptions testamentaires constituent un lien suffisamment fort pour maintenir l'œuvre. Elle fait référence à une lettre de Fabre à Émilie Dallet évoquant les photographies de la famille Godin-Moret-Dallet : elle lui explique qu'elle cherche à faire tirer de nouvelles épreuves d'un portrait photographique de Godin exécuté il y a une douzaine d'années, meilleur que le portrait paru dans Le gouvernement... « qui ne m'a jamais plu » ; elle lui enverra ce portrait avec les portraits d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Edward Vansittart Neale, 17 février 1888
Marie Moret répond aux lettres de Neale des 21 janvier et 16 février 1888. Elle le remercie pour la résolution du comité exécutif du Central Board [de l'union coopérative britannique] relative à Godin. Sur son rôle de gérante de la Société du Familistère : il ne peut être que transitoire ; il faut un gérant actif doué de capacités industrielles ; elle ne peut être qu'une gérante fictive ; elle lui signale qu'il lira dans Le Devoir qu'elle a délégué une partie de ses pouvoirs de gérante à messieurs André, Dequenne et Pernin ; elle pense que le pacte social et les prescriptions testamentaires constituent un lien suffisamment fort pour maintenir l'œuvre. Elle remercie Neale pour ses articles sur Godin parus dans les Cooperative News et lui transmet les remerciements de Bernardot, dont Neale a reproduit une partie du discours [aux funérailles de Godin]. Elle lui demande de transmettre ses amitiés à Johnston qui lui a écrit le 20 janvier et à qui elle ne peut répondre en anglais au milieu des préoccupations qui l'accablent. Elle transmet à Neale le souvenir d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, vers le 20 février 1888
Marie Moret informe Tisserant que le nécessaire se fait pour la publication de la nomination du gérant désigné, conformément à ses indications. Elle explique à Tisserant qu'elle a retrouvé un peu de sommeil en prenant définitivement le parti de transmettre la gérance, et que c'est pour elle une nécessité afin d'avoir le temps de publier les manuscrits de Godin. Elle donne l'exemple de Ringuier pour évoquer l'incertitude du lendemain. Elle explique ensuite qu'André, Dequenne et Pernin sont d'accord pour prendre ensemble la gérance de la Société et qu'une modification des statuts est nécessaire. Elle prend pour exemple le magasin Le Bon Marché, Veuve Boucicaut et Cie, qui vient de passer d'une commandite simple à une commandite par actions. Elle informe Tisserant qu'André, Dequenne et Pernin pensent consulter Vavasseur sur cette question, projet dont elle informe également Ganault. Elle lui transmet les compliments d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 24 février 1888
Marie Moret remercie Ganault pour son information sur la possibilité qu'a Dequenne de devenir gérant désigné. Elle lui confie qu'elle songe à remettre la gérance au triumvirat composé d'Eugène André, Dequenne et Pernin, solution qui conviendrait aux « trois dissidents ». Elle lui communique la copie de la lettre qu'elle a écrite à Tisserant à ce sujet. Il est question de consulter Vavasseur, qui avait déjà été consulté pour la rédaction du pacte statutaire, bien qu'il ait été oublié à l'occasion de l'envoi du faire-part du mariage de Godin et de Moret et du faire-part de décès de Godin : elle demande à Ganault s'il peut aller le voir ; elle l'interroge sur le montant des honoraires et lui rappelle que Vavasseur avait demandé 4 000 F pour donner son avis sur la rédaction des statuts rédigés par Tisserant et que ce dernier lui apporta seulement 2 000 F ; elle se demande si Vavasseur leur en a gardé de la rancœur. Elle signale qu'elle pourrait aussi demander conseil à Georges Coulon, conseiller d'État, directeur général des Postes.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 26 février 1888
Sur la gérance de l'Association du Familistère. Marie Moret explique à Ganault qu'elle veut faire tout ce qui est en son pouvoir pour assurer la perpétuité de l'Association, que Godin et elle convenaient que le poste de gérante n'était pas fait pour elle, qu'elle a confiance comme Godin en Eugène André pour la direction industrielle et commerciale, et qu'un triumvirat à la gérance permettrait de contrebalancer les décisions d'André. Elle indique qu'André doit obtenir le titre d'associé, même dans le cas où la gérance n'était pas modifiée, car Dequenne ne veut pas de la gérance définitive et que Pernin ne peut ni ne doit l'occuper. Elle lui soumet une proposition de modification des statuts, entendue avec Tisserant, pour accorder à André le titre d'associé sans qu'il soit obligé d'habiter au Familistère, ce que lui interdit l'état de santé de sa femme. La modification (devenir associé après 25 ans de travail consécutif en faveur de l'Association) profiterait également à quelques vieux travailleurs comme le père Damien. Elle s'interroge sur la réaction possible à cette modification des « dissidents » Donneaud, Sekutowicz et Bernardot, raccommodés avec le nouveau régime, mais qui « n'en cherchent pas moins à me tirer aux jambes après m'avoir poussé à accepter la gérance ». Elle informe Ganault que Donneaud est entré à l'économat du Familistère, où ses débuts sont prometteurs, et que Sekutowicz et Bernardot ont conservé leurs fonctions précédentes, mais que les ouvriers trouvent qu'ils sont trop payés ; elle espère que les esprits se calmeront à leur sujet. Dans le post-scriptum, elle transmet le souvenir d'Émilie et Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Alexandre Tisserant, 28 février 1888
Sur la gérance de l'Association du Familistère. Marie Moret remercie Tisserant pour sa lettre du 28 février 1888. Elle est résolue à réorganiser la gérance mais ne veut pas réaliser son projet en « casse-cou ». Elle lui explique que Ganault pense que le changement ne peut advenir qu'après le règlement complet de la succession de Godin. Elle veut, en attendant, conférer à Eugène André la qualité d'associé, projet auquel pourraient s'opposer les trois « dissidents » ; elle expose le projet de modification des statuts pour conférer le titre d'associé à ceux qui ont travaillé 25 ans consécutivement au service de l'Association ; elle demande à Tisserant s'il confirme son accord pour un tel changement ; elle l'informe qu'elle est résolue à accomplir cette modification car Dequenne ne veut pas être gérant définitif et que Pernin ne doit pas devenir gérant, et que l'idée d'un triumvirat pourrait faciliter l'acceptation de ce changement ; elle fait valoir que Godin était favorable à une gérance partagée, plus efficace qu'une gérance individuelle.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Roussel, 22 novembre 1866
Sur le dépôt en Belgique d'un brevet d'invention d'un épurateur au gaz à effectuer pour monsieur Roussel par Eugène André, directeur de l'usine de Laeken. Godin précise à Roussel que tant que l'appareil ne sera pas au point, il ne le fabriquera pas en fonte mais en tôle. Godin fait des observations sur les dispositions de l'appareil de Roussel.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur L. Apeldorm, 25 janvier 1869
Godin informe Apeldorm que sa lettre à Eugène André, qui fait part de son désir de reprendre les voyages pour Laeken, lui est parvenu à Guise et que ce dernier lui a transmise car les voyageurs de commerce de Laeken sont ses voyageurs. Il lui explique qu'il a gardé un bon souvenir de lui même s'il est parti sans l'avertir. Il lui signale qu'il se plaint à tort d'une personne qui l'estime toujours. Godin accepte qu'il fasse les voyages en Hollande sans avoir à travailler dans les bureaux. Godin lui demande de lui fixer ses conditions.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 5 mai 1872
Godin demande à Denisart de recevoir Melin et de l'installer dans les fonctions occupées par Cavot. Il lui demande également de s'entendre avec Viney pour savoir s'il est possible d'employer provisoirement Cavot au règlement des litiges et des créances en retard. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Il l'invite à demander à Eugène André un inventaire des immeubles et du matériel de Laeken au 31 décembre 1871 et au 31 décembre 1863.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henri Buridant, le 25 février 1896
Accuse réception de la lettre de Buridant en date du 23 février 1896. Sur les comptes du Devoir. Comparaison des deux registres des abonné·es au journal Le Devoir : 20 services à 3 centimes, 64 services à 15 centimes, 131 services à 5 centimes ; 48 services « à la main » ; 22 exemplaires pour les collections ; 288 exemplaires utilisés sur un total de 300 exemplaires imprimés, soient 12 exemplaires restants. Il est resté 14 exemplaires du numéro de février 1896 sur les 302 reçus : ils pourront être diffusés aux penseurs qui s'intéressent aux essais de représentation libre du travail que Marie Moret publie dans Le Devoir avec les « Documents pour une biographie complète de Jean-Baptiste André Godin ». À propos d'une convention dont Marie Moret s'entretient avec Piponnier. Réponses aux interrogations et informations de la lettre de Buridant : attendre avant d'envoyer Le Devoir en échange de La Résurrection ; sur les feuilles de contribution de Marie Moret ; remerciements d'Émilie Dallet pour son intervention au sujet de son jardin ; Marie Moret d'accord avec l'effacement du registre d'Aldor Rohan et l'envoi à monsieur Carret d'un exemplaire du Devoir ; « Merci de nous tenir au courant des nouvelles du vrai "chez nous", le Familistère » ; départ de monsieur André. Marie Moret demande à Buridant d'adresser Les États unis d'Europe à Jules Pascaly.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Antoine Piponnier, 28 février 1896
Remercie Piponnier pour les informations contenues dans sa lettre du 26 février 1896, qui lui permettent d'y voir clair [dans l'histoire de la participation aux bénéfices au Familistère]. Nouvelles du Familistère : importants événements survenus récemment ; Piponnier, directeur de la comptabilité, devenu directeur commercial de la Société du Familistère : Marie Moret souhaite que Piponnier continue à exercer sa sollicitude à l'égard du Familistère dans son ensemble ; monsieur André responsable personnellement de la faillite Fleury ; suggestion de Marie Moret pour la fonction de directeur commercial : que le compte rendu mensuel aux conseillers soit de nature à éviter des ouvertures de crédit inopportunes. Marie-Jeanne enchantée que ses « fleurs » soient bien arrivées.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Grebel, 19 mai 1873
Sur un monsieur A. et des dommages à la propriété de Laeken causés par une usine de produits chimiques. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens : à propos de l'évaluation des brevets ; titre d'acquisition de Laeken à remettre aux experts.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 4 juillet 1873
Sur la question de la tournée en Alsace-Lorraine. Godin indique à Denisart qu'il aurait dû accepter la proposition d'un monsieur Rhein de visiter les villes de Nancy, Remiremont, Mirecourt, Neufchâteau, Bar-le-Duc, Verdun et toute l'Alsace-Lorraine, y compris Pont-à-Mousson, Lunéville, Vitry, Toul, et toutes les Ardennes. Godin estime que les discussions avec Crevon sont trop engagées pour qu'il puisse écrire à Rhein.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alfred Denisart, 8 juillet 1873
Godin demande à Denisart d'envoyer à Tisseron le projet de son itinéraire, qu'il lui avait déjà demandé d'envoyer le 25 juin dernier, qui lui confie toutes les villes du parcours de Gripon et d'autres sans prendre sur l'itinéraire de Darras, et comprend la ligne d'Évreux à Cherbourg en respectant la circonscription d'Amédée Moret. Godin demande à Denisart d'informer Novelli qu'il lui propose de voyager dans les Ardennes. Sur une avance demandée par Vuillamy. Sur les remises accordées aux clients des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire. Sur les voyages en Alsace-Lorraine opérés par l'usine de Belgique ou par l'usine de France suivant la facilité des transports par chemin de fer. Sur le chemin de fer dans l'Aisne.
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