FamiliLettres

FamiliLettres : Correspondances de Jean-Baptiste André Godin et Marie Moret


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Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Mary Hart, 7 janvier 1886
Marie Moret la remercie au nom de Godin de l'envoi du Times et lui adresse la copie de la lettre de Godin envoyée au journal, et lui demande de leur envoyer un exemplaire si elle est publiée. La remercie d'écrire un peu plus lisiblement car elle a peu d'occasions de lire en anglais.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à François Bernardot, 19 novembre 1894
Retourne à Bernardot un article de Higgs et le remercie. Au sujet de cet article et de la compréhension de Godin par Higgs. Erreur de Higgs sur la paternité de l'expérience fouriériste du Texas qu'il attribue à Considerant et à Cabet. Sur le beau temps dans le sud et la pluie à Guise.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard Montagne, 7 mars 1894
Demande l'autorisation de reproduction dans Le Devoir de deux articles de Max Leclerc, «Les professeurs en Angleterre » parus dans la Revue bleue.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, 20 juin 1849
Au sujet d'un article sur Victor Considerant et La Démocratie pacifique paru dans le numéro de la veille du Courrier de Saint-Quentin. Godin reproche à Magnier de jeter le discrédit sur l'École sociétaire : « Le moment est très mal choisi pour faire de la critique et il est pénible au moment du martyre de se voir jeter la pierre par ceux que l'on croyait ses amis. » L'article du journal lui fait penser à la fable de l'enfant et du maître d'école de Jean de La Fontaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise du procès en contrefaçon Degon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, vers le 4 juillet 1848
Godin demande à Léon Magnier de faire insérer une lettre dans les journaux de la ville, Le Courrier et Le Guetteur : « Au train où marche la réaction, les phalanstériens de notre contrée manqueront bientôt de sûreté. Je forme des vœux pour vous voir échapper à cette réprobation générale des socialistes. » Godin remercie Magnier pour les judicieuses observations contenues dans sa dernière lettre.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-François Glatigny, 4 juillet 1848
Godin informe Glatigny qu'il a écrit à Godon pour lui demander un service et qu'il écrit à nouveau à l'un et à l'autre pour leur demander de faire insérer dans les journaux une lettre rédigée à la suite de l'invasion de sa maison par la police ce jour du 4 juillet 1848.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard de Pompéry, 22 avril 1884
En réponse à la demande de son correspondant, Marie Moret envoie des numéros du Devoir. Elle se souvient que Monsieur de Pompéry lui avait fait parvenir le « Travail-fonction » (1). Pompéry demande à Moret si, outre sa traduction de l'ouvrage de monsieur Craig, elle disposait d'autres informations au sujet de la coopérative agricole de Ralahine. Elle n'a aucune autre source et sait que Craig et sa femme sont toujours en vie mais que celui-ci est physiquement diminué, étant presque aveugle. Moret indique que le Familistère recrutera de plus en plus de manière locale pour embaucher du personnel, « Mais nous ne comptons encore que 24 ans d'existence et nous ne sommes que 1200 personnes » ; elle évoque le destin des premiers écoliers du Familistère devenus adultes : les individus capables de diriger manquent dans une population de 1200 personnes. Il est ensuite question de Simon Deynaud, qui semble décrié dans les journaux mais que Moret défend tant elle le connaît personnellement. (1). Il s'agit d'un article portant sur les théories socialistes et qui fut publié dans La Science sociale

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Augusta Cooper Bristol, 14 janvier 1881
À la demande de sa correspondante, Marie Moret explique en détail le fonctionnement de la nourricerie au sein du Familistère. Il est question de l'allaitement et du statut des femmes équivalent à celui des hommes dans l'Association. Moret confirme la bonne réception de plusieurs articles et espère que Madame Bristol a bien reçu l'édition du Devoir. Elle et Godin sont toujours sans nouvelle de Héléna Cooper, fille de madame Bristol ; Marie Moret regrette que la fille aînée de madame Bristol ne soit pas avec elle pour la seconder. Elle évoque enfin l'hiver neigeux ainsi que les souvenirs de messieurs Fabre, Pascaly et Barbary.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Marie Howland, février 1879
Envoi de quelques feuillets traduits de l'ouvrage de Howland. Remerciements pour l'envoi d'articles de périodiques et nouvelles du Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à François Cantagrel, 16 septembre 1853
Godin informe Cantagrel qu'au moment où il a terminé la lettre jointe à son courrier [à Victor Considerant du 16 septembre 1853], on lui communique le journal L'Indépendance belge qui publie des lettres signées Hennequin dans lesquelles est exposée « une morale aussi sévère qu'inattendue ». Il explique à Cantagrel qu'en conséquence, il n'a pas le temps d'ajouter à sa lettre la copie promise des « révélations », joint seulement la fin de son « entretien » avant son départ à Bruxelles, « et je vous ajoute que tout ce que la révélation m'a dit lorsqu'elle a voulu me faire l'interprète de dieu sur la terre a pour but de me faire enseigner la poligamie (sic) et la liberté des passions ». Godin met cette révélation en relation avec les lettres imputées à Hennequin et exprime sa crainte qu'elle ne soit qu'une étrange mystification.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alexandre Chaseray, après le 8 novembre 1849
Godin exprime le souhait qu'il avait d'entrer en relation avec Alexandre Chaseray après avoir lu les articles qu'il avait publiés dans La Démocratie pacifique et La Phalange. Il lui confie qu'il doutait de pouvoir le compter parmi les partisans de l'association intégrale de Fourier, qu'il a reconnu en lui au moment de la Révolution de Février un ami du prolétaire et un partisan des réformes sociales mais que sa ligne politique ne lui permettait pas alors de le considérer comme un phalanstérien. Godin explique à Chaseray qu'il a vu son nom dans le tableau général des actionnaires, donateurs et abonnés de la Démocratie pacifique en qualité d'actionnaire ayant souscrit 1 000 F sans pour autant y figurer en tant que donateur ou abonné du journal. Godin pense que si Chaseray a contribué ainsi à la propagation des idées fouriéristes tout en se tenant à l'écart des fouriéristes, c'est en raison d'un malentendu qu'il voudrait dissiper. Godin fait part à Chaseray de la volonté de l'École sociétaire et de Victor Considerant, qui vient de lui écrire depuis son exil, de rallier les amis de la cause phalanstérienne pour réaliser « l'expérience décisive ». Godin lui propose de lui écrire à nouveau ou de lui rendre visite.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, 20 juin 1849
Au sujet d'un article sur Victor Considerant et La Démocratie pacifique paru dans le numéro de la veille du Courrier de Saint-Quentin. Godin reproche à Magnier de jeter le discrédit sur l'École sociétaire : « Le moment est très mal choisi pour faire de la critique et il est pénible au moment du martyre de se voir jeter la pierre par ceux que l'on croyait ses amis. » L'article du journal lui fait penser à la fable de l'enfant et du maître d'école de Jean de La Fontaine.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Allyre Bureau, 11 juillet 1848
Sur la persécution des phalanstériens de l'Aisne : Godin explique à Bureau qu'au cours de l'interrogatoire qu'il a subi le 4 juillet 1848 pendant la perquisition de sa maison, le procureur de la République lui a demandé s'il avait vendu des livres à un prix différent de celui qui y était porté, qu'il a répondu qu'il n'avait placé que des ouvrages de la Librairie phalanstérienne et qu'il a écrit une lettre aux journaux de Saint-Quentin qu'ils ne pourront publier que le dimanche suivant [16 juillet 1848]. Sur l'expertise d'un procès en contrefaçon : Godin rappelle à Bureau qu'il avait confié à Barral en février 1848 un rapport de contre-expertise et des documents à examiner et qu'il a compris en lisant La Démocratie pacifique les raisons pour lesquelles Barral ne lui a pas répondu ; il demande à Bureau de lui retourner les documents confiés à Barral pour lui éviter d'aller à Paris les chercher lui-même. Sur la faillite d'un monsieur Budy qui devait 413,12 F à Godin : sans nouvelles de l'huissier Lépine à qui il avait confié l'affaire, Godin propose à Bureau de charger quelqu'un de recouvrer sa créance au bénéfice de La Démocratie pacifique.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Léon Magnier, vers le 4 juillet 1848
Godin demande à Léon Magnier de faire insérer une lettre dans les journaux de la ville, Le Courrier et Le Guetteur : « Au train où marche la réaction, les phalanstériens de notre contrée manqueront bientôt de sûreté. Je forme des vœux pour vous voir échapper à cette réprobation générale des socialistes. » Godin remercie Magnier pour ses judicieuses observations contenues dans sa dernière lettre. Une mention finale précise que la lettre destinée aux journaux, non copiée dans le registre, a été insérée « au courrier » [ Le Courrier de Saint-Quentin].

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jacques-François Glatigny, 4 juillet 1848
Godin informe Glatigny qu'il a écrit à Godon pour lui demander un service et qu'il écrit à nouveau à l'un et à l'autre pour leur demander de faire insérer dans les journaux une lettre rédigée à la suite de l'invasion de sa maison par la police ce jour du 4 juillet 1848.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au gérant directeur de La Démocratie pacifique, 5 avril 1844
Godin demande communication des statuts de la Société de Cîteaux évoquée dans un article de La Démocratie pacifique du 3 avril 1844. Il explique à son correspondant qu'il voudrait lui parler à Paris d'un nouvel instrument aratoire qui pourrait être essayé à Cîteaux.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à La Démocratie pacifique, 26 janvier 1844
À la suite de la publication dans La Démocratie pacifique du 12 janvier 1844 d'un article reprenant, mais de manière incomplète, les informations communiquées par Godin sur les conditions d'existence des ouvriers tisserands, celui-ci complète sa description pour donner la matière d'un nouvel article dans le journal et ainsi donner aux lecteurs une idée plus exacte de la réalité. Le post-scriptum de la lettre est relatif à l'adresse d'expédition de La Démocratie pacifique à Godin et au réabonnement au journal de Lhermitte à Esquéhéries.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Allard, 14 janvier 1844
À propos d'une critique par La Démocratie pacifique de lettres de Gustave de Beaumont parues dans Le Siècle, journal lu par Allard. Sur l'École sociétaire, qui s'est vouée au triomphe de la science sociale en vue de « l'extinction de toutes les souffrances de la société » et de la « conciliation de tous les intérêts ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret au directeur du Bulletin de l'industrie française, 28 août 1893
Réponse à une lettre du Bulletin de l'industrie française en date du 27 août 1893 : Marie Moret, avec l'aval de Bernardot, donne l'autorisation de reproduire l'article « Le Familistère de Guise. Conférence de M. Bernardot à la Société libérale pour l'étude des œuvres et des sciences sociales [Gand] », paru dans le journal Le Devoir du mois de juillet 1893.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Pierre-Alphonse Doyen, 23 février 1893
Émilie Dallet et Marie Moret remercient Doyen de ses envois. Demande à Doyen de transmettre à Élise Pré le mot qu'elle joint à sa lettre, 6,30 F de la part d'Émilie Dallet à prendre sur le compte du Devoir, et de récupérer la lettre que monsieur Martens à remise à Élise Pré. Sur la demande d'Émilie Dallet faite à Doyen de lui envoyer l'article de la conférence d'Alber Jhouney sur le Christ ésotérique, paru dans un numéro de L'Aurore : joint à sa lettre une carte d'Émilie Dallet donnant les indications pour trouver le numéro chez elle. Mise en chantier du Devoir de mars 1893. Transmet le mandat poste de 10 F du réabonnement de monsieur Ponteil (Toulon, Var).

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Camille Roy, 15 janvier 1893
Envoie les quatre derniers numéros du journal Le Devoir et demande l'autorisation d'y reproduire le discours de Charles Appleton, paru en novembre 1892 dans La Revue du siècle : « De la situation sociale et politique des femmes dans le droit moderne », prononcé à Lyon le 3 novembre 1892.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Georges Coulon, 27 août 1871
Godin envoie la somme de 4 000 F à Coulon et prévoit de le voir à Paris quand il retournera à Versailles. Godin indique à Coulon qu'il s'est reposé à Guise et qu'il n'a pas eu le temps de s'occuper d'une affaire de contrefaçon ni de son livre dont L'Avenir national et La Cloche ont publié un compte rendu. Sur la publicité à donner au livre dans les journaux républicains. Godin informe Coulon qu'il a confié des exemplaires du livre à Peyrat et à Joigneau à destination du Siècle, et que de bons articles sur le livre ont été publiés dans les journaux de Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 23 janvier 1869
Sur les projets du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin. Godin demande au Journal de l'Aisne de publier sa lettre en réponse à la lettre du Journal de Saint-Quentin sur les tracés du chemin de fer de Guise à Saint-Quentin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Auguste Fabre, 1er juillet 1868
Godin répond à Fabre qu'en dehors des travaux cités par ce dernier, seuls des articles de journaux ou de revues, en France et surtout en Angleterre, traitent du Familistère. Godin indique à Fabre qu'il n'a encore rien publié pour ne pas ajouter aux difficultés qu'il connaît, mais qu'il attend le moment favorable pour faire paraître « deux ou trois volumes de doctrine sociale et philosophique » contenant les principes qui m'ont conduit à l'expérience pratique du Familistère ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 4 décembre 1867
Godin envoie à Noirot le manuscrit de l'article [sur le Familistère] à paraître dans l'Annuaire de l'Association. Il demande à Noirot de ne pas faire de coupes dans le texte comme cela avait été fait pour l'article de l'année précédente.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Gustave Dietsch, 21 novembre 1867
Réponse de Godin à la lettre de Dietsch du 13 octobre 1867 par laquelle celui-ci communique des statuts et réglement de société de prévoyance qu'il a fondées et demande des renseignements sur le Familistère : Godin indique que la population du Familistère a doublé depuis la publication de la brochure d'Alexandre Oyon, lui indique son article dans l'Annuaire de l'Association pour 1867 et regrette de ne pouvoir lui communiquer des plans.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 27 octobre 1867
Sur un article demandé par Noirot à Godin sur le Familistère pour l'Annuaire de l'Association. Godin demande à Noirot s'il consent à publier la traduction d'un texte en espagnol [de Garrido] sur les récompenses décernées aux habitations ouvrières exposées à l'Exposition universelle de 1867, critique à l'égard de l'Empereur, ainsi que les documents réunis par Godin montrant comment on l'a empêché d'y présenter le Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin au Journal de l'Aisne, 22 mars 1870
À propos de l'octroi de la ville de Guise : Godin demande au Journal de l'Aisne un droit de réponse à un article qui rend compte d'une décision de la municipalité de Guise. Godin précise que la commission municipale chargée de la question du maintien ou de la suppression de l'octroi s'est prononcée en faveur du maintien par trois voix contre deux, que la commission n'a pas intégré à son rapport les arguments des partisans de la suppression, que le conseil municipal n'a pas fait état de l'opposition aux conclusions du rapport et qu'il a reporté sa décision.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Frédéric Paulhan, 15 septembre 1892
A obtenu son adresse par Fabre ; adresse ses remerciements pour l'envoi de la Revue scientifique et pour l'étude « sur l'œuvre du Familistère et son fondateur » qu'elle estime être très bien faite, notamment sur la portée morale des œuvres analogues. Envoi de La République du Travail.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Abel Davaud, 1er juillet 1892
Au sujet d'un article paru dans L'Avenir seurrois et des difficultés de diffusion des idées de Davaud et de Godin, ainsi que du Devoir. Remerciements pour les autres articles que Davaud se propose d'expédier.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 24 février 1890
Réponse à une lettre d'Auguste Fabre en date du 22 février 1890. Correction de la deuxième édition de l'Histoire des équitables pionniers de Rochdale. Sur l'article de Fabre en réponse à la Revue des deux mondes : publication dans le journal Le Devoir ; éloge de l'article par François Dequenne ; exemple pour les gens du Familistère, « Le personnel n'étant maintenu dans la voie que par les statuts ».

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Auguste Fabre, 9 février 1890
Sur la réédition de l'Histoire des équitables pionniers de Rochdale. À propos d'une bataille judiciaire des coopérateurs de Nîmes avec Auguste Fougerousse : Marie Moret soutient les coopérateurs mais ne veut s'engager dans la bataille (« j'ai été depuis l'âge de 16 ans si flagellée par les tribunaux que j'ai une peur maladive et des procès et des polémiques ». Réponse de Fabre dans L'Émancipation aux attaques de la Revue des deux-mondes contre le Familistère. Le journal Le Devoir se tient à l'écart des polémiques.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Théophile Tholozan, 9 février 1890
Sur la réédition de l'Histoire des équitables pionniers de Rochdale : Marie Moret transmet les épreuves corrigées des premières pages du livre. Félicite Tholozan pour son article « Les droits du mari » paru dans L'Émancipation et que le journal Le Devoir a reproduit.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Henry Levasseur, 3 janvier 1883
Marie Moret remercie son correspondant d'avoir écrit un article relatif au Familistère et à son fondateur dans le Courrier de l'Aisne. Elle suggère à Levasseur que Godin et elle apprécieront qu'il rende compte dans son journal du livre de Godin Le gouvernement...

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à monsieur Lesage, 27 juin 1867
Godin remercie Lesage pour sa lettre du 9 juin qu'on lui a renvoyée à Paris. Il le remercie pour ses réflexions sur les moyens de répartition à appliquer aux capacités qui doivent être expérimentés au Familistère dans un an et qu'il soumettra à la discussion dans les conseils du Familistère. Il informe Lesage qu'il s'est entendu avec Fribourg à propos de la proposition que Lesage avait faite à son sujet. Il explique qu'il a indiqué à Fribourg ce que seraient ses appointements pour s'occuper d'un atelier de l'usine et qu'il craignait que Fribourg s'étant livré au mouvement des idées sociales, il lui serait difficile de se consacrer à une occupation industrielle, mais que c'est le montant des appointements qui ont empêché qu'ils se mettent d'accord sur sa venue à Guise. Il annonce à Lesage qu'on vient de lui communiquer un article du Courrier français sur la fête du Familistère signé Fribourg. Il fait remarquer à Lesage, qui lui a annoncé qu'il voulait écrire sur le Familistère dans ce même journal, qu'une note de la rédaction indiquant que le Familistère est un essai de la théorie de Fourier est erronée, que le Familistère n'est pas le phalanstère, et qu'il a seulement emprunté à Fourier l'idée de l'habitation unitaire et celle de l'association du capital, du travail et de la capacité. Godin estime qu'il est trop tôt pour présenter le Familistère comme un modèle et qu'il ne faut pas s'écarter des faits réalisés à son sujet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Frédéric Le Play, 21 mars 1867
Sur l'Exposition universelle de 1867. Godin précise sa demande relative à la réintégration de son exposition dans le Palais : il ne souhaite pas transférer la totalité de ses produits du hangar de la classe 24 au Palais mais, au titre du nouvel ordre de récompenses, récupérer la place qui lui avait d'abord été attribuée afin d'exposer des spécimens remarquables de sa production avec des vues et plans du Familistère. Il lui rappelle qu'en réponse à sa lettre du 6 novembre 1866, il lui a adressé une note et des publications sur le Familistère. Godin demande à Le Play s'il doit faire exécuter les plans et vues du Familistère susceptibles d'être présentés au public, ou de lui dire si le Familistère est mis hors concours.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Henry de Chavannes, 31 janvier 1867
Godin répond à la lettre de Henry de Chavannes du 22 janvier 1867 lui demandant des renseignements sur l'éducation des enfants du Familistère : il a demandé à la directrice générale de l'enfance de rédiger une note à son intention et le renvoie à son article paru dans l'Annuaire de l'Association.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Marie Howland, 5 novembre 1866
Godin répond à la lettre de Marie Howland du 10 octobre 1866. Il évoque son article pour l'Annuaire de la coopération qui n'a pas encore paru. Il la remercie pour l'envoi de la livraison du journal The Galaxy et lui signale que la brochure d'Auguste Oyon est plus complète que les articles parus à Londres sur le Familistère. Il reconnaît que Fourier a inspiré le Familistère, mais que celui-ci n'est pas un phalanstère. Il estime qu'il faudra du dévouement et du sacrifice avant de compter sur l'essor libre des passions. Il explique qu'il s'écarte des idées de Fourier sans se mettre en contradiction avec elles. Il fait une rapide description du Familistère. Dans le post-scriptum, il annonce à Marie Howland qu'il lui envoie une brochure composée d'articles sur le Familistère parus dans un journal ainsi qu'un exemplaire de la gravure qu'il a fait exécuter pour l'Annuaire de la coopération, ainsi que la brochure d'Auguste Oyon.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 2 mars 1888
Marie Moret informe Ganault qu'Offroy et Cie ont encaissé les coupons de rente 2 % et en ont crédité le compte de Godin mais qu'ils sont soulevé la question d'une répartition. Elle remercie Ganault de ses indications sur ce qui se passe du côté de Falaize et sur Marcel Laporte et son article ignoble contre Godin ; elle lui annonce qu'elle pourrait transmettre un double des documents à la gendarmerie de Guise et au procureur de Vervins si Marcel Laporte revenait à Guise.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Élie Reclus, 28 septembre 1866
Godin rappelle à Élie Reclus que sa lettre du 13 septembre 1866 promettait l'envoi d'une épreuve de son article sur le Familistère, qui a subi des retranchements. Godin souhaite rétablir certains passages en respectant les éliminations principales qui ont été faites, mais craint de ne pas avoir le temps suffisant pour le faire si l'épreuve tarde à arriver. Il remercie Reclus pour ses observations qui lui font voir « que les difficultés pour faire accepter un livre sont absolument les mêmes que pour faire accepter un produit d'industrie ».

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Étienne Mouttet, 28 septembre 1866
Godin répond à une demande de renseignements sur le Familistère de la part de Mouttet du 24 septembre 1866. Il lui indique qu'il n'a rien publié encore sur le Familistère car « je désire appuyer les idées que j'exposerai sur les faits de l'expérience ». Il signale à son attention les brochures d'Auguste Oyon, ancien rédacteur de L'Observateur de l'Aisne, éditée par la Librairie des sciences sociales au 13 rue des Saints-Pères à Paris ; il lui envoie une gravure exécutée d'après une photographie récente pour l'Almanach de la coopération qui doit prochainement paraître. « Certainement, Monsieur, les dessins peuvent servir utilement pour divulguer une fondation comme la mienne, mais il ne faudrait pourtant pas croire qu'ils puissent permettre de bien se rendre compte de l'œuvre. Elle a besoin de plus d'étude que cela, et si un jour elle doit avoir des imitateurs, ce ne sera pas trop pour eux de venir étudier et bien étudier sur le vif les détails de cette entreprise. »

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Édouard Raoux, 1er mars 1888
Marie Moret remercie Raoux pour sa lettre du 5 février 1888, à laquelle elle répond tardivement en raison des occupations qui l'accablent. Elle le remercie pour sa photo-biographie et la collection de brochures qu'il lui a envoyées. Elle lui annonce qu'elle lui enverra un portrait photographique de Godin réalisé il y a douze ans ainsi qu'un portait d'elle-même.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Gaston Ganault, 29 février 1888
Marie Moret annonce à Ganault qu'elle envoie à Offroy et Cie des coupons de titres de rente pour en encaisser le montant et en créditer le compte de Godin. Sur la modification des statuts de l'Association du Familistère : Tisserant doit lui confirmer la légitimité de la modification de l'article relatif au titre d'associé ; elle le prévient qu'elle lui soumettra ainsi qu'à Tisserant le projet de lettre qu'elle va écrire à Vavasseur sur ce sujet. Elle l'informe que Bernardot est allé à Vervins et a vu Falaize à propos de la succession de Godin : elle a écrit à Falaize que seul Ganault, en qualité d'exécuteur testamentaire, a le pouvoir de lui donner des instructions sur la succession de Godin. Elle demande à Ganault s'il a reçu sa lettre du 25 février 1888 relative au mausolée de Godin. Sur le chantage exercé par Marcel Laporte : Marie Moret raconte à Ganault que Marcel Laporte, fils naturel prétendu d'Émile Godin, a demandé si une part lui avait été réservée dans le testament de Godin, qu'il est venu à Guise lui apporter une lettre de menaces en vue d'obtenir quelque chose ainsi qu'un article de lui contre Godin refusé par le Nouvelliste et qu'il a écrit une nouvelle lettre de menaces à son retour à Alger ; elle demande à Ganault comment empêcher le chantage exercé par Laporte ; elle rapporte que la veuve d'Émile Godin aurait proposé 1 000 ou 2 000 F à Laporte pour récupérer des lettres par lesquelles Émile lui aurait promis 10 000 F ; elle précise que Laporte est employé à la compagnie du chemin de fer Paris, Lyon, Méditerranée et se demande s'il faut saisir le procureur de la République ou avertir son employeur. Elle transmet à Ganault le souvenir d'Émilie et de Marie-Jeanne Dallet.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 2 août 1866
Godin confirme à Noirot qu'il va écrire l'article demandé sur le Familistère. Il demande à Noirot quelle doit être la taille de l'article et évoque la possibilité d'une visite de Reclus, Horn et Blanc au Familistère.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à J. P. Beluze et Cie, 26 juillet 1866
Godin explique à Béluze et Cie qu'il n'avait pas compris que la lettre de convocation du 17 juillet 1866 lui était destinée personnellement et que c'est Noirot qui le lui a fait comprendre. Ce dernier lui a appris qu'il a été question pendant la réunion de publier un article sur le Familistère dans un almanach de la coopération. Godin propose d'écrire lui-même l'article et il demande de quelle nature il doit être.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Jean-Baptiste Noirot, 26 juillet 1866
Godin répond à une lettre de Noirot du 25 juillet 1866 à propos d'une invitation faite à Godin par Béluze et Cie. Il informe Noirot qu'il va répondre à leur invitation et qu'il leur demandera la nature de l'article à paraître dans l'Almanach de la coopération. Godin indique à Noirot qu'il rédigerait bien lui-même cet article. Il informe également Noirot qu'il doit prochainement publier une offre d'emplois, et il lui demande s'il veut bien réceptionner la correspondance et la lui transmettre.

Auteur : Moret, Marie (1840-1908)
Marie Moret à Benoît Malon, 24 février 1888
Marie Moret remercie Malon pour sa lettre du 18 janvier 1888 ; elle exprime à Malon le sentiment que provoque en elle la perte de Godin. Elle le remercie également pour l'article que la Revue socialiste de février 1888 a consacré à Godin ; elle lui demande toutefois de rectifier une inexactitude dans une note relative aux croyances mystiques et spirites que Godin aurait professées « dans les dernières années de sa vie » : il était déjà spiritualiste en 1856. Elle lui fait part de l'estime et de l'affection que Godin avait pour lui, qu'il aurait voulu accueillir au Familistère ; elle souhaite que la santé de Malon, désormais dans le Midi, se rétablisse.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à Alphonse Delpech, 14 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin informe Delpech que Jacquet fait encore des annonces qui font la promotion des appareils qui sont la cause du procès qu'il lui intente. Il lui envoie le numéro du périodique contenant l'annonce que lui a communiqué Lecoq de Boisbaudran. Il explique à Lecoq de Boisbaudran qu'il comprend d'autant moins l'attitude de Jacquet qu'il a entendu dire qu'il dépréciait la marchandise aux acheteurs dans son magasin. Il lui envoie la copie du traité conclu avec Jacquet qui fait l'objet de la lettre qu'il écrit à Dauphin.

Auteur : Godin, Jean-Baptiste André (1817-1888)
Jean-Baptiste André Godin à André Lecoq de Boisbaudran, 11 juin 1866
Sur l'affaire Jacquet. Godin remercie Lecoq de Boisbaudran de lui envoyer une annonce passée par Jacquet. Il lui communique la copie des conclusions de Delpech avec ses observations. Sur la séparation des époux Godin-Lemaire et la liquidation de la communauté de biens. Godin explique à Lecoq de Boisbaudran l'erreur qui a été commise dans le calcul des bénéfices nets des Fonderies et manufactures Godin-Lemaire.
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