La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)

La correspondance inédite du géomètre Gaspard Monge (1746-1818)


81. Monge à sa femme, Catherine Huart

Auteurs : Monge, Gaspard

Transcription & Analyse

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Rome, le 20 germinal de l'an V de la République française une et indivisible
 
La dernière lettre que j'ai reçue de toi, ma chère amie, était datée du 12 ventôse.[1] Elle m'a fait grand plaisir, parce qu'elle était beaucoup plus gaie que toutes les autres[2] ; on s'apercevait bien en la lisant qu'à Paris le zèle pour la République était un peu ranimé, et que la nouvelle de la prise de Mantoue,[3] ainsi que l'arrivée du général Augereau[4] avaient produit un heureux effet.[5] Que sera-ce donc quand vous apprendrez les autres victoires, dont je te parlais dans ma dernière[6] ? Désormais ce ne sera plus nous qui vous apprendrons ces heureuses nouvelles; le théâtre de notre gloire est actuellement plus près de vous que de nous, et vous savez les résultats beaucoup avant nous.[7]
Jusqu'ici la Commission avait été non seulement complète à Rome, mais encore augmentée de beaucoup d'adjoints qui nous avaient été donnés par Bonaparte dans le temps qu'il croyait venir ici et traiter Rome en pays conquis[8] ; mais nous allons nous diviser demain matin. Les citoyens Thoüin et Wicar (adjoint)[9] retournent dans la Romagne pour recueillir les objets d'art et de sciences que le général en chef nous conseilla de laisser en arrière lorsque nous marchions avec lui[10] ; ils dirigeront leurs convois partiels sur Bologne où sera le rendez-vous général. Berthollet[11] retourne par Bologne jusqu'à Modène ; il accompagne le joaillier[12] qui a estimé pour la République les diamants et autres bijoux qui font partie du paiement de la contribution, afin de défendre l'estimation qui en a été faite, et d'empêcher que cela ne devienne la proie de la cupidité.[13] Un autre de nos adjoints[14] part pour accompagner le ler convoi qui doit partir de Rome et qui se dirige sur Bologne. Nous n'informerons le ministre de ce convoi que quand il sera réellement parti et sur un bon chemin.[15] Depuis huit jours il est en marche sur un chemin de terre qu'on lui a fait prendre pour l'écarter des yeux de sa sainteté ; on lui a fait longer les murs de Rome en dehors au lieu de lui faire traverser la ville ; des pluies abondantes sont survenues et les quatre premières voitures sont embourbées au point qu'il a fallu laisser sécher la terre pour continuer; mais ce soir elles seront sur la grande route et tout ira beaucoup mieux. Lorsqu'elles seront à un quart de lieue, nous enverrons la lettre d'avis. Ce sera le 2e convoi qui sera le plus précieux ; il comprendra entre autres choses l'Apollon, le Laocoon[16] et en peinture la Transfiguration de Raphaël. Ce dernier tableau est un chef-d'œuvre mais j'aime mieux la Ste Cécile du même maître. Quand tu la verras, tu n'en seras plus jalouse et tu partageras mon admiration pour elle.[17] Mais à propos de cela, personne ne nous mande qu'elle soit arrivée à Paris. Nous n'en avons aucune nouvelle ; cependant il y a plus de trois mois qu'elle est arrivée à Toulon.[18] Il serait bien convenable que le ministre prît sous sa protection le convoi d'Escudier; nous ne pouvons le surveiller d'ici.[19]  Les cordes de harpe que Louise a reçues de Gênes sont envoyées par la citoyenne Faipoult.[20] Elle était à Milan chez la citoyenne Bonaparte lorsque j'y arrivai à mon retour de Rome,[21] alors que j'achetais les cordes que je t'ai envoyées à cette époque. Elle a vu que j'étais fâché de n'avoir pas fait cette commission à Rome ; elle a vraisemblablement voulu réparer cette faute qui ne venait que de mon ignorance. Elle aura vraisemblablement écrit à Naples pour se les procurer et elle vous les aura envoyées. Je l'en remercierai si je vais à Gênes, et je la rembourserai. Indépendamment de cela, tu en recevras encore un paquet qui a été fait exprès pour moi, et que le citoyen Marmont[22] te fera parvenir du quartier général. Je crois te l'avoir déjà mandé.
Me voilà seul, ma chère amie, pour la Bibliothèque ; cela n'accélèrera pas notre travail, ce qui nous contrarie bien fort. Car nous désirerions tous être dans notre pays qui est encore le plus beau de tous, sous notre gouvernement qui est le meilleur de tous, au milieu de la nation française qui est la plus agréable de toutes, et auprès de nos femmes et de nos enfants que nous aimons bien tendrement.[23]
On a fait courir le bruit à Paris que quelques-uns de nous étaient malades, même que Berthélemy était mort. Nous sommes tous ici aujourd'hui et nous nous portons très bien. Pendant que nous étions à San Benedetto nous montâmes au clocher pour essayer de voir quelque chose de la bataille de La Favorite que nous entendions comme si nous y étions et dont nous n'avions aucune nouvelle. Le pauvre Berthélemy tomba de 6 à 7 pieds parce qu'une échelle sur laquelle il était glissa, et il s'écorcha un peu la jambe. Ce petit mal a été longtemps à guérir, parce que nous avons été obligés de voyager ; mais actuellement cela est entièrement passé ; et même il n'a quitté Bologne où nous l'avions laissé pour venir ici qu'après sa guérison.[24] Ainsi si les familles de nos collègues ont de l'inquiétude, rassure-les toutes. Adieu, ma chère amie, mille choses aimables à toute la colonie, et compte sur le sincère attachement de ton bon ami.
                                                 Monge
 
Pendant que nous dînions, ma chère amie, nous avons appris d'Ancône la nouvelle d'autres victoires remportées par l'incroyable armée d'Italie. On assure même que l'archiduc Charles, ce héros des journaux chouans, est prisonnier avec tout son état-major.[25] Nous n'osons le croire ; mais nous n'en avons pas moins fait l'office solennel ; la Marseillaise et le Chant du départ ont été chantés à la gloire de la République ; et la Carmagnole a été dansée autour de l'arbre de la liberté. Je m'échappe pour venir plier ma lettre, et te dire encore un petit bonjour.
 

[1] Lettre de Catherine de Paris le 12 ventôse an V [2 mars 1797]. 

[2] Catherine répond de Paris, le 17 floréal an V[6 mai 1797] : « Tu as donc enfin reçu à Rome une de mes lettres, il y en a encore plusieurs en route, si celle du 12 ventôse était gaie, celles qui lui succèdent ne le seront guère ; maintenant que la paix a répandu l’espoir sur tous [les] cœurs, je désire qu’elles ne te parviennent pas. Je les ai écrites au moment des élections ; et d’autres causes aussi affligeantes pour les Républicains, mais aujourd’hui que l’espoir du bonheur public est prêt à se réaliser nous sommes plus couleur de rose. » Voir les lettres n°

[3] Le 15 pluviôse an V [3 février 1797]. Voir les lettres n°12, 18, 21, 22, 30, 42, 45, 51, 53 et 55.

[4] Charles-Pierre-François AUGEREAU (1757-1816).

[5] Catherine écrit de Paris le 12 ventôse an V [2 mars 1797] : « […] Je laisse là mes tristes réflexions pour te parler de l’Esprit public qui reprend un peu […] Le 10 de ce mois les 60 Drapeaux pris par l’armée d’Italie ont été présentés au Directoire. La beauté du jour a ajouté encore au triomphe de nos guerriers. La cérémonie s’est faite dans la cour. Il y avait un monde considérable bien pénétré d’admiration. Les cris de « Vive la République ! » et « Gloire à la brave armée d’Italie ! » s’y faisaient entendre de toutes parts. On a porté tous ces trophées à la parade. Le Luxembourg était rempli de spectateurs, il y a eu grand dîner chez Carnot où le général Augereau et [son] respectable père étaient, (il doit être bien heureux d’avoir assez vécu pour être témoin des services de son fils). Après dîner, il y eut [un] bal duquel nous étions, mais malheureusement pour moi le général Augereau était sorti lorsque j’entrai car je me proposai bien de l’embrasser et de le faire embrasser par nos enfants. »

[6] La lettre n°76, Rome, le 6 germinal an V [26 mars 1797­]. Le 22 et 23 ventôse an V [12 et 13 mars 1797]  l’armée d’Italie  passe la Piave  et le Tagliamento ; le 4 germinal an V [24 mars 1797] Trieste est aux Français.

[7] Les mouvements de l’armée d’Italie sont orientés vers l’Autriche et visent Vienne depuis le début du mois de mars 1797.

[8] Après la signature du Traité de Tolentino le 1er ventôse an V [19 février 1797], Bonaparte augmente la commission d’adjoints pour en exécuter les clauses. Voir la lettre n°76 et la lettre de Bonaparte au général Berthier du 30 pluviôse an V [18 février 1797] (1384, CGNB).

[9] André THOÜIN (1747-1824) et Jean-Baptiste-Joseph WICAR (1762-1834), peintre, adjoint à la commission. Voir supra.

[10] En février 1797. Voir la lettre n°58.

[11] Claude-Louis BERTHOLLET (1748-1822).

[12] Moise FORMIGGINI ( ? - ? ), joaillier juif qui selon Eschassériaux a soufflé à Haller l’idée que les diamants avaient été estimés trop haut, afin de profiter, en les achetant, des avantages d’une estimation faite à bas prix. B.É., p. 258. De Launay maintient cette position dans sa biographie de Monge. La première estimation de 9 millions, réalisée par l’expert Ulysse Pentini, choisi par Cacault, est contestée au sein d’un complot. À la tête de ce complot les joailliers juifs Formiggini, très riches et très remuants, de Milan. Ils soutiennent que les diamants ne valent pas plus de 5 millions afin de les racheter à ce bas prix. Le soutien d’Haller se manifeste dans une lettre à Cacault dans laquelle il écrit en argument final : «  Les besoins immenses de l’armée nous obligent d’être un peu corsaires et nous ne pouvons pas trop nous livrer aux discussions, parce que leur résultat nous donnerait tort quelques fois. » Lettre de Haller à Cacault du 1er avril 1797. (L. DE LAUNAY (1933), p. 159.) Voir les lettres n°65, 66, 70, 71, 73, 75, 77, 79 et 93.

[13] Le 12 avril Cacault écrit à Haller et lui manifeste son étonnement du reproche de n’avoir pas fait faire une estimation contradictoire des diamants. Pour lui montrer son erreur il lui dit que les pierres ont été reçues régulièrement sur l’estimation contradictoire ; conformément à l’instruction du général en chef, et qu’elles ont été acceptées par les commissaires des arts et par son propre préposé. Cacault ajoute : «  La discussion contradictoire entre votre expert, les commissaires, votre préposé, a été longue et rigoureuse vis-à-vis des quatre joailliers du Pape qu’on a forcés à des réductions énormes et  à retirer ce qui ne convenait pas. […] On a donné décharge de ces 5 millions de diamants. Il n’y a aucun motif juste et raisonnable d’attaquer cet acte. Il me paraît, citoyen, que vous avez été induit en erreur par de faux rapports, sur la manière dont les choses se sont passées ici. Vous avez rendu un arrêté qui ordonne une vérification à Modène du contenu des caisses de diamants et une nouvelle estimation. Je trouve la mesure que vous avez prise à cet égard sage et juste. Le citoyen Berthollet et l’expert très honnête et courageux qui vous a servi ici seraient déjà à Modène pour concourir à l’exécution de votre arrêté, si le joaillier n’était pas tombé malade. Mais je crois qu’il sera en état de partir demain ou après-demain. » E. E., pp. 257-258. Voir la lettre n°75.

[14] Charles-Joseph GERLI (17 ? - ? ) peintre adjoint à la commission en février 1797. Voir la lettre n°92.

[15]Charles DELACROIX (1741-1805). La lettre que la commission a envoyée au ministre n’est pas comprise dans le corpus. La lettre n°92 est la seconde lettre que la commission adresse au ministre à ce sujet pour l’informer d’un changement de route.  Le convoi se dirige vers Livourne.

[16] Les deux sculptures : le « Laocoön et ses fils » et l’ « Apollon du Belvédère. » 

[17] « La transfiguration du Christ », (1520) et « La Sainte-Cécile  et quatre saints » (1515-1516) de Raffaello SANZIO DA URBINO (1483-1520). Voir les lettres n°12, 27, 42, 48 et 53.

[18] Catherine écrit à ce propos dans sa réponse de Paris le 17 floréal an V [6 mai 1797] : « Le convoi de Toulon y est toujours, on craint apparemment le passage de Lyon, mais la madone et ses pots cassés [les saisies effectuée à Notre Dame de Lorette] sont ici. Il y [a] un homme qui en donne 25 mille francs ; je donnerais toutes les madones du monde pour cela. »

[19] Jean-François ESCUDIER, (1759-1819), sur le convoi rassemblé à Tortone et la partie laissée par La Billiardière à Coni et donnée à la responsabilité d’Escudier. Voir lettres n° 41, 42, 48, 77, 92, 98 et 109. Si Monge montre autant d’intérêt c’est qu’il s’agit du convoi des tableaux de la Lombardie, de Modène, de Bologne et de Ferrare, notamment deux tableaux du Corrège : « La Madone de saint Jérôme » (1527-1528) et la « Madonna della scodela » (1530). Voir lettre n°15 au ministre des Relations extérieures.

[20] Louise MONGE (1779-1874) et Anne-Germaine DUCHÉ (1762-1815). Dans sa lettre de Paris du 12 ventôse an V [2 mars 1797] Catherine informe Monge de la réception d’un paquet de cordes : « Louise a reçu le paquet de cordes de harpes que le C[itoyen] Faipoult lui a envoyées. Elle t’en remercie. »  Voir les lettres n°20, 39, 81 et 95.

[21] Marie-Joseph-Rose TASCHER DE LA PAGERIE, vicomtesse de BEAUHARNAIS (1763-1814). Voir la lettre n°42. Monge arrive à Milan, le 21 brumaire an V [11 novembre 1796].

[22] Auguste-Louis-Frédéric VIESSE DE MARMONT (1774-1852). Voir les lettres n°66 et 70.

[23] Catherine lui répond de Paris le 17 floréal an V [6 mai 1797] : « Quand tous les manuscrits du monde seraient réunis au Vatican tu dois les avoir tous feuilletés, quand tu en laisserais quelques-uns. Si l’or et l’argent et les objets d’art sont partis, que ne pars-tu aussi ? Voilà un an que tu es absent, cela est bien honnête […]. »

[24] Jean-Simon BERTHÉLÉMY (1743-1811), peintre. La bataille de la Favorite le 27 Nivôse [16 janvier 1797]. Voir les lettres n°50, 51. 53, 54, 58 et 70.

[25] CHARLES DE HABSBOURG (1771-1847) général, commande l’armée autrichienne. Bonaparte écrit au Directoire le 12 germinal an V [1er avril 1797] : « Le 8 [germinal] [28 mars], trois divisions de l’armée se trouvaient avoir traversé les gorges qui, de l’État vénitien conduisent en Allemagne, et campaient à Villach sur les bords de la Drave. Le 9 [29], le général Masséna se mit en marche avec sa division ; il rencontra à une lieue de Klagenfurt, l’armée ennemie, et il s’engagea un combat où l’ennemi perdit deux pièces de canon et 200 prisonniers. Nous entrâmes le soir même à Klagenfurt, qui est la capitale de la haute et basse Carinthie. […] Le prince Charles, avec les débris de son armée extrêmement découragée, fuit devant nous.  […] Depuis le commencement de cette campagne, le prince Charles a perdu près de 20 000 hommes de ses troupes, qui sont nos prisonniers. [ …] Voilà donc les ennemis entièrement chassés des États de Venise ; la haute et la basse Carniole, la Carinthie ; le district de Trieste et toute le Tyrol, soumis aux armes de la République. [souligné par N. Bonaparte]» (1486, CGNB). Le 11 germinal an V [31 mars 1797], Bonaparte écrit à l’archiduc Charles : « Monsieur, le général en chef, les braves militaires font la guerre et désirent la paix. Celle-ci ne dure-t-elle pas depuis six ans ? Avons-nous assez tué de monde et commis assez de maux à la triste humanité ! Elle réclame de tout côté. L’Europe, qui avait pris les armes contre la République française, les a posées. Votre nation reste seule, et cependant le sang va couler encore plus que jamais. Cette sixième campagne s’annonce par des présages sinistres ; quelle qu’en soit l’issue, nous tuerons de part et d’autres quelques milliers d’hommes de plus, et il faudra bien que l’on finisse pas s’entendre, puisque tout a un terme, même les passions haineuses. […] Quant à moi, monsieur le général en chef, si l’ouverture que j’ai l’honneur de vous faire peut sauver la vie à un seul homme, je m’estimerai plus fier que la couronne civique que je me trouverais avoir méritée que de la triste gloire qui peut revenir des succès militaires. » (1486, CGNB).

Auteur(s) de la transcriptionDupond, Marie

Relations entre les documents


Collection 1796-1797 : Première mission en Italie, La commission des sciences et des arts Prairial an IV - vendémiaire an VI

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Notice créée par Marie Dupond Notice créée le 08/11/2016 Dernière modification le 11/02/2022