Transcription & Analyse
[1] Claude-Louis BERTHOLLET (1748-1822).
[2] Lettre d’Émilie MONGE (1778-1867) et Nicolas-Joseph MAREY (1760-1818) Nuits le 25 germinal an V [14 avril 1797]. Émilie ne précise pas si elle a reçu la lettre de Louise la veille. Voir la réponse à Marey lettre n°90.
[3] Lettre de Bonaparte à la Commission des arts et sciences en Italie du 18 germinal an V [7 avril 1797] voir la lettre n°91. Cette lettre ni ne figure ni n’est référencée dans la CGNB.
[4] Sur la tâche de saisie des manuscrits du Vatican voir les lettres n°25, 26, 27, 70, 76, 79, 99, 100, 104, 110, 111, 113, 114, 120, 139 et 140.
[5] Berthollet quitte Rome pour Modène en passant par Bologne le 10 avril 1797 [21 germinal an V]. Voir la lettre n°81. Il est chargé de défendre l’estimation qui a été faite des diamants. Voir les lettres n°65, 66, 70, 71, 73, 75, 77, 79, 81 et 93. Berthollet rejoint ensuite Bonaparte. Voir la lettre n°95.
[6] Marie-Marguerite BAUR (1745-1829).
[7] Pie VI, Giannangelo BRASCHI (1717-1799). L’état de santé du pape est déterminant pour la poursuite des négociations avec l’Empereur et l’élaboration des stratégies militaires et diplomatiques. Bonaparte en informe le Directoire le 30 floréal an V [19 mai 1797] : « Le pape est très malade et a quatre-vingt-trois ans. Sur la première nouvelle que j’en ai eu, j’ai fait réunir tous mes polonais à Bologne, d’où je les pousserai jusqu’à Ancône. Quelle conduite dois-je tenir si le pape meurt ? […] Quand ensuite la paix définitive avec l’Empereur sera faite, je prendrai des mesures pour réunir ces deux républiques [la Cispadane et la Lombardie] ; mais en attendant, il faut que je profite des moments de repos pour organiser parfaitement l’une et l’autre, afin que si les choses se brouillent avec l’Empereur nous puissions être sûrs que nos derrières sont tranquilles, et que si les affaires de Rome viennent à se brouiller par la mort du pape, l’on puisse partir de là pour faire toutes les opérations qui deviendraient nécessaires. » (1561, CGNB). Le lendemain 1er prairial an V [20 mai 1797], il écrit toujours au Directoire : « Je vous prie de ne pas perdre un instant à me donner et à m’envoyer les instructions sur la conduite à tenir envers Rome. Le Pape a une mauvaise santé, il peut mourir d’un instant à l’autre ; il y a d’ailleurs beaucoup de fermentation à Rome. » (1565, CGNB). Voir les lettres n°99. .
[8] Sur les relations entre Venise et la France, voir les lettres n°40, 45, 76, 84, 90, 96 et 99.
[9] Avec la signature des préliminaires de Leoben le 29 germinal an V [18 avril 1797].
[10] Rodolphe KREUTZER (1766-1831), musicien. Il fait partie des adjoints de la commission nommés après le Traité de Tolentino en janvier 1797.
[11] Luigi BRASCHI ONESTI (1745-1816), neveu du Pape Pie VI et sa femme issue de la famille FALCONIERI.
[12] Famille du secrétaire d’état à Rome Giuseppe MariaDORIA PAMPHILI (1751-1816).
[13] Anne Françoise HUART (1767-1852), jeune sœur de Catherine HUART et son mari Barthélémy BAUR (1752-1823) ainsi que Louis MONGE (1748-1827) frère de Gaspard MONGE et sa femme Marie-Adélaïde DESCHAMPS(1755-1827).
[14] Louise MONGE (1779-1874), Marie-Élisabeth Christine LEROY (1783-1856) appelée Paméla, nièce de Catherine HUART.